COLLECTION HISTOIRE COURTE. Réveillée par mon beau-père (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Réveillée par mon beau-père (1/1)
Mon aventure avec mon beau-père a commencé il y a trois ans environ, nous sommes en juin et c’était en août, dans les premiers jours de ce mois.
J’étais marié avec Romain son fils depuis trois mois quand tout a commencé.
Romain est conducteur routier et roule du lundi au vendredi.
Il avait eu ses vacances en juillet et nous étions partis pour la Martinique en voyage de noces.
Il était parti vers la Roumanie pour cette première semaine, il livre de nombreuses choses souvent à des usines décentralisées par le système libéral.
La canicule était là et j’avais pris l’habitude de dormir nue, la porte-fenêtre ouverte dans le pavillon qu’il partageait avec son père.
Cette chambre donnait sur une terrasse, elle-même donnant sur une piscine.
Je dois reconnaitre que presque chaque nuit depuis les grandes chaleurs, j’allais me baigner même dans le noir sans jamais avoir rencontré Charles, mon beau-père.
Il avait pour habitude depuis sa retraite de me quitter tôt le soir pour aller ce coucher.
Il était un couche-tôt, alors que j’étais une lève tard, mais pour le reste nous nous entendions très bien.
Il avait soixante-deux ans et le temps d’avant était comme son fils conducteur dans la même société.
Veuf depuis quatre ans, Simone sa mère était présente dans sa chambre par de nombreuses photos, les seules dans la maison.
Je savais que Romain avait mis la mienne à côté de la sienne dans sa couchette ainsi, je roulais de concert avec celle qui avait été la seule femme de sa vie avant moi.
J’aurais pu être jalouse, mais comme il me l’avait dit, j’avais admis qu’il nous partage lorsqu’il conduisait étant seul pendant de nombreux kilomètres.
Cette nuit-là, j’étais resté dans l’eau presque une heure, principalement à faire la planche sans avoir été dérangé.
J’étais venue me coucher encore ruisselante mouillant mes draps, mais avec le bonheur de m’endormir avant qu’ils aient le temps de sécher.
Comme je l’ai dit, j’avais laissé ouverte ma porte-fenêtre et alors que je dormais en chien de fusil, je me suis mise à rêver que l’on me soufflait dans mon dos plus précisément sur ma chatte épilée.
Dans mon coma somatique, j’ai eu l’impression que le vent s’était levé et qu’une douce brise chaude parcourait mon intimité.
Je commençais à émerger, lorsque j’ai senti un doigt parcourir ma chatte de haut en bas.
La position que j’avais protégeait mon clito hypersensible depuis que je me masturbe au début de mon adolescence.
Le vent peut beaucoup de choses, mais là s’était impossible alors je me suis relevé en pleine panique.
• Soit sans crainte petite fleur, c’est moi Charles ton beau-père, je passais devant ta fenêtre lorsque je t’ai vu nue dormant sur ta couche.
Ça fait presque une heure que je suis assis là à contempler la mangue formée par ton sexe.
Depuis le départ de Simone, c’est la première que je vois et en la contemplant, je me remémorais les moments de notre vie.
Elle adorait le sexe et était toujours partante chaque fois que je revenais d’un de mes voyages.
En me donnant ces explications, mon beau-père s’était relevé.
• Je dois reconnaître que tu me fais bander, à un certain moment, me masturbant d’une main, j’ai eu envie d’y passer un doigt même si ça devait te réveiller.
Veux-tu me rendre service ?
• Charles, vous êtes fou, je suis la femme de votre fils !
• Mais à ce que je vois, tu es avant tout une femme, ta magnifique poitrine en fait foi.
J’ai pris conscience que je me cachais la chatte, mais que je laissais ma poitrine nue, il l’avait déjà vu avant et après mon voyage de noces.
C’était auprès de la piscine où nous mangions à l’ombre d’un arbre alors que je me tenais topless.
Dans ma chambre, c’était une tout autre histoire, j’avais l’impression de m’exhiber avec cet homme seul, fusse mon beau-père.
Mes yeux étaient fixés sur sa verge entièrement bandée me montrant qu’entre le fils et le père, la différence était énorme.
• Je sais, je connais mon fils, entre hommes, nous avions l’habitude de nous baigner entièrement nue.
Tu dois souffrir de sa petite taille, je le sais, car depuis votre mariage, étant dans la chambre voisine, j’ai peu entendu tes cris de jouissance.
Il est vrai qu’avec Romain s’était loin de la fête du slip.
Sa petite verge aurait pu me satisfaire, mais chaque fois qu’il voulait me faire l’amour, c’était une petite veuve poignée jusqu’à ce qu’il bande et se couchant sur moi.
Une pénétration puis en quelques allées retours, il déchargeait sans s’occuper de mon plaisir.
J’étais vierge à notre mariage et en voyant le pieu de Charles, je me suis demandé s’il y avait autre chose dans le sexe que ces moments si cours.
• Je vais t’avouer quelque chose, Simone était enceinte lorsque je l’ai épousé.
Elle a toujours refusé même sur son lit de mort de me dire qui était son père, ce que je sais c’est que dans notre village, tous les jeunes garçons bandaient devant sa beauté.
Cette année-là, pendant les vacances, un groupe de Danois tous blonds étaient venus camper près de la source bleue.
Je suis persuadé qu’elle a fauté avec l’un d’eux voir toute la bande, mais c’est trop tard et comme je suis passé pour le coq du village en l’épousant, j’ai fermé ma gueule.
Prends-la en main, pour me faire plaisir.
C’est là que mon mariage a pris une tout autre tournure, lorsque j’ai avancé ma main.
Je l’ai saisi, elle était chaude, mais surtout plus qu’impressionnante.
• Au oui, masturbe-moi et met là dans ta bouche, fais-moi une fellation.
Tous ces mots étaient nouveaux pour moi, j’avais été élevé surveillé de très près par mes parents et comme je l’ai dit, j’étais vierge le jour de mon mariage.
Cet objet chaud, j’ai eu plaisir à l’avoir dans ma main et de le sucer, son gland entrant de quelques millimètres dans ma bouche.
J’ai vu que ça lui faisait plaisir et je voulais surtout ressentir quelque chose de nouveau pour moi.
Lorsqu’il est monté sur le lit que je partageais avec son fils, j’aurais dû le repousser, mais je me suis poussé pour qu’il me rejoigne.
Il m’a appris un nouveau mot, qui depuis est la façon dont il aime me prendre chaque fois que Romain part avec son 40 tonnes, la levrette.
Mais je vais trop vite, pourtant, cette première fois avec lui, c’est dans cette position qu’il m’a pénétré entrainant des cris sortis naturellement de ma bouche.
Des cris, oui, mais des cris de plaisir, car toutes femmes ayant eu un sexe en elles et qui sentent monter du fond de leur être, le plaisir, savent de quoi je parle.
Charles m’avait pris par mes hanches et la force de sa verge a fait le reste.
Au fond de moi, je devenais une femme, une vraie femme.
J’avais dû perdre conscience sous la charge émotionnelle de découvrir le plaisir intense, car je suis revenue à moi lorsqu’il m’a jeté dans la piscine.
Il m’avait pris dans ses bras musclés malgré son âge, il avait commencé dans son métier en conduisant ses camions bien loin des engins modernes avec toutes les aides à la conduite.
Ça surprend, mais après l’effort physique que nos corps venaient de pratiquer, l’eau était divine.
C’est là qu’il m’a enlevé ma rondelle, j’ignorais à ce jour que l’anus après plusieurs petites défonces pouvait être un lieu de plaisir.
Je venais de m’accrocher à la margelle lorsqu’il est venu se plaquer à moi.
Sa verge sevrée de sexe depuis quatre ans, en sentant mon corps s’est remis à bander.
J’avais pied, je les ai écartés m’attendant à ce qu’il la remette dans ma chatte.
J’ai senti sa main qui la plaçait sur ma rosette et qu’il s’est mis à pousser.
Mal au début surtout le gland énorme je vous l’ai dit, mais qui a fini par rentrer.
J’ai hurlé du mal que ça m’a fait, mais je savais qu’il me faisait découvrir l’amour entre homme et femme fort de son expérience due à son âge.
Le soir ainsi que dans les jours, semaines et mois qui ont suivi s’ouvrait à moi une double vie.
Avec Romain et sans Romain, avec très peu de plaisir et un plaisir intense lorsqu’il reprenait la route.
Ceci depuis le vendredi au lundi suivant.
En prévoyant son retour, j’avais changé les draps et aéré la chambre, contrairement à lui, Charles aiment fumer sa clope comme il dit après avoir fait l’amour.
Au fil des jours et des parties de trou du cul que nous pratiquions, l’odeur du tabac aurait pu nous trahir.
Pour éviter tout ce travail et le risque de soupçon de ma fidélité de ma part, c’était moi qui le rejoignais dans sa couche lorsque Romain était parti.
Par petite touche, sans éveiller ses soupçons, j’ai réussi à changer certaines de ses habitudes, mais sans jamais ressentir ce que je ressentais avec mon amant père de mon mari.
C’était dur d’attendre le lundi lorsque le vendredi arrivait, mais fort de son expérience, Charles évitait les impers risquant de chambouler l’édifice que nous avions bâti dans notre relation à trois.
Deux fois pendant ces trois ans, nous avons dérogé, deux fois pendant ses vacances, le temps nous semblant interminable.
C’était des dimanches, Romain allait faire son jogging en allant faire son Tiercé et lire les journaux de la semaine que Gaston le patron du bar lui gardait.
Je venais de mettre en route une machine de son linge sale en ayant fait une autre la veille.
Charles est venu derrière moi, comme pour fêter le premier anniversaire de nos turpitudes, il a profité de ce que j’étais en peignoir pour me l’ôter et m’assoir sur la machine à laver.
Les sensations étaient autres que dans notre lit à cause des vibrations et une nouvelle fois je suis partie pour le grand frisson.
Comme pour remercier Romain de son absence et de ce que ça m’avait apporté, en reprenant pied sur terre, je lui ai fait du riz au lait.
Il mange énormément de riz au lait, mais un jour en rangeant la cuisine j’ai retrouvé les recettes de ma belle-mère.
Je lui en fais lorsque je suis contente de lui, ce matin,c’est son absence assez longue qui a été source de mon contentement.
Lui, mais aussi la verge de son père, du moins celui qui l’avait élevé, même si ce sont les couilles d’un autre qui l’a mis au monde.
Voilà, comment mon aventure avec mon beau-père se passe depuis trois ans.
Cette après-midi, nous avions rendez-vous pour la concrétisation de nos amours, mes règles ont assez de retard pour que le doute soit levé, je suis enceinte.
Romain est en Pologne alors, c’est Charles qui m’a accompagné.
La praticienne a constaté notre différence d’âge sans faire la moindre allusion.
C’est mon beau-père, qui a vu sur l’écographie, que Romain ou lui aurait un petit garçon.
Mon mari me baise mal, mais me pénètre assez pour me féconder.
Que dire de Charles qui sait me remplir tous mes orifices et qui bien sûr peut être le père de mon enfant ?
Ce qui est certain, c’est que Romain nous faisant vivre veut autour de nous plein d’enfants.
Nul doute que dans les années futures, l’un et l’autre seront satisfaits sans le savoir sauf à faire des tests ADN, certains de mes enfants étant blonds, d'autres bruns et pourquoi pas roux.
Je vous quitte, Romain vient de partir, ça fait quinze jours qu’il était en vacances et refuse de me sauter de peur à faire mal au bébé.
Charles lui sait qu’il est bien protégé et lorsque je lui saute au cou dès la porte de notre maison s’est refermé le camion ayant démarré, je m’empale sur sa verge collée à la porte.
Un, deux kilomètres que mon mari roule, impossible qu’il m’entende lorsque je hurle de plaisir, la chatte éclatée, mais si bien rempli.
Cinq jours de sexe, rien que pour moi.
J’étais marié avec Romain son fils depuis trois mois quand tout a commencé.
Romain est conducteur routier et roule du lundi au vendredi.
Il avait eu ses vacances en juillet et nous étions partis pour la Martinique en voyage de noces.
Il était parti vers la Roumanie pour cette première semaine, il livre de nombreuses choses souvent à des usines décentralisées par le système libéral.
La canicule était là et j’avais pris l’habitude de dormir nue, la porte-fenêtre ouverte dans le pavillon qu’il partageait avec son père.
Cette chambre donnait sur une terrasse, elle-même donnant sur une piscine.
Je dois reconnaitre que presque chaque nuit depuis les grandes chaleurs, j’allais me baigner même dans le noir sans jamais avoir rencontré Charles, mon beau-père.
Il avait pour habitude depuis sa retraite de me quitter tôt le soir pour aller ce coucher.
Il était un couche-tôt, alors que j’étais une lève tard, mais pour le reste nous nous entendions très bien.
Il avait soixante-deux ans et le temps d’avant était comme son fils conducteur dans la même société.
Veuf depuis quatre ans, Simone sa mère était présente dans sa chambre par de nombreuses photos, les seules dans la maison.
Je savais que Romain avait mis la mienne à côté de la sienne dans sa couchette ainsi, je roulais de concert avec celle qui avait été la seule femme de sa vie avant moi.
J’aurais pu être jalouse, mais comme il me l’avait dit, j’avais admis qu’il nous partage lorsqu’il conduisait étant seul pendant de nombreux kilomètres.
Cette nuit-là, j’étais resté dans l’eau presque une heure, principalement à faire la planche sans avoir été dérangé.
J’étais venue me coucher encore ruisselante mouillant mes draps, mais avec le bonheur de m’endormir avant qu’ils aient le temps de sécher.
Comme je l’ai dit, j’avais laissé ouverte ma porte-fenêtre et alors que je dormais en chien de fusil, je me suis mise à rêver que l’on me soufflait dans mon dos plus précisément sur ma chatte épilée.
Dans mon coma somatique, j’ai eu l’impression que le vent s’était levé et qu’une douce brise chaude parcourait mon intimité.
Je commençais à émerger, lorsque j’ai senti un doigt parcourir ma chatte de haut en bas.
La position que j’avais protégeait mon clito hypersensible depuis que je me masturbe au début de mon adolescence.
Le vent peut beaucoup de choses, mais là s’était impossible alors je me suis relevé en pleine panique.
• Soit sans crainte petite fleur, c’est moi Charles ton beau-père, je passais devant ta fenêtre lorsque je t’ai vu nue dormant sur ta couche.
Ça fait presque une heure que je suis assis là à contempler la mangue formée par ton sexe.
Depuis le départ de Simone, c’est la première que je vois et en la contemplant, je me remémorais les moments de notre vie.
Elle adorait le sexe et était toujours partante chaque fois que je revenais d’un de mes voyages.
En me donnant ces explications, mon beau-père s’était relevé.
• Je dois reconnaître que tu me fais bander, à un certain moment, me masturbant d’une main, j’ai eu envie d’y passer un doigt même si ça devait te réveiller.
Veux-tu me rendre service ?
• Charles, vous êtes fou, je suis la femme de votre fils !
• Mais à ce que je vois, tu es avant tout une femme, ta magnifique poitrine en fait foi.
J’ai pris conscience que je me cachais la chatte, mais que je laissais ma poitrine nue, il l’avait déjà vu avant et après mon voyage de noces.
C’était auprès de la piscine où nous mangions à l’ombre d’un arbre alors que je me tenais topless.
Dans ma chambre, c’était une tout autre histoire, j’avais l’impression de m’exhiber avec cet homme seul, fusse mon beau-père.
Mes yeux étaient fixés sur sa verge entièrement bandée me montrant qu’entre le fils et le père, la différence était énorme.
• Je sais, je connais mon fils, entre hommes, nous avions l’habitude de nous baigner entièrement nue.
Tu dois souffrir de sa petite taille, je le sais, car depuis votre mariage, étant dans la chambre voisine, j’ai peu entendu tes cris de jouissance.
Il est vrai qu’avec Romain s’était loin de la fête du slip.
Sa petite verge aurait pu me satisfaire, mais chaque fois qu’il voulait me faire l’amour, c’était une petite veuve poignée jusqu’à ce qu’il bande et se couchant sur moi.
Une pénétration puis en quelques allées retours, il déchargeait sans s’occuper de mon plaisir.
J’étais vierge à notre mariage et en voyant le pieu de Charles, je me suis demandé s’il y avait autre chose dans le sexe que ces moments si cours.
• Je vais t’avouer quelque chose, Simone était enceinte lorsque je l’ai épousé.
Elle a toujours refusé même sur son lit de mort de me dire qui était son père, ce que je sais c’est que dans notre village, tous les jeunes garçons bandaient devant sa beauté.
Cette année-là, pendant les vacances, un groupe de Danois tous blonds étaient venus camper près de la source bleue.
Je suis persuadé qu’elle a fauté avec l’un d’eux voir toute la bande, mais c’est trop tard et comme je suis passé pour le coq du village en l’épousant, j’ai fermé ma gueule.
Prends-la en main, pour me faire plaisir.
C’est là que mon mariage a pris une tout autre tournure, lorsque j’ai avancé ma main.
Je l’ai saisi, elle était chaude, mais surtout plus qu’impressionnante.
• Au oui, masturbe-moi et met là dans ta bouche, fais-moi une fellation.
Tous ces mots étaient nouveaux pour moi, j’avais été élevé surveillé de très près par mes parents et comme je l’ai dit, j’étais vierge le jour de mon mariage.
Cet objet chaud, j’ai eu plaisir à l’avoir dans ma main et de le sucer, son gland entrant de quelques millimètres dans ma bouche.
J’ai vu que ça lui faisait plaisir et je voulais surtout ressentir quelque chose de nouveau pour moi.
Lorsqu’il est monté sur le lit que je partageais avec son fils, j’aurais dû le repousser, mais je me suis poussé pour qu’il me rejoigne.
Il m’a appris un nouveau mot, qui depuis est la façon dont il aime me prendre chaque fois que Romain part avec son 40 tonnes, la levrette.
Mais je vais trop vite, pourtant, cette première fois avec lui, c’est dans cette position qu’il m’a pénétré entrainant des cris sortis naturellement de ma bouche.
Des cris, oui, mais des cris de plaisir, car toutes femmes ayant eu un sexe en elles et qui sentent monter du fond de leur être, le plaisir, savent de quoi je parle.
Charles m’avait pris par mes hanches et la force de sa verge a fait le reste.
Au fond de moi, je devenais une femme, une vraie femme.
J’avais dû perdre conscience sous la charge émotionnelle de découvrir le plaisir intense, car je suis revenue à moi lorsqu’il m’a jeté dans la piscine.
Il m’avait pris dans ses bras musclés malgré son âge, il avait commencé dans son métier en conduisant ses camions bien loin des engins modernes avec toutes les aides à la conduite.
Ça surprend, mais après l’effort physique que nos corps venaient de pratiquer, l’eau était divine.
C’est là qu’il m’a enlevé ma rondelle, j’ignorais à ce jour que l’anus après plusieurs petites défonces pouvait être un lieu de plaisir.
Je venais de m’accrocher à la margelle lorsqu’il est venu se plaquer à moi.
Sa verge sevrée de sexe depuis quatre ans, en sentant mon corps s’est remis à bander.
J’avais pied, je les ai écartés m’attendant à ce qu’il la remette dans ma chatte.
J’ai senti sa main qui la plaçait sur ma rosette et qu’il s’est mis à pousser.
Mal au début surtout le gland énorme je vous l’ai dit, mais qui a fini par rentrer.
J’ai hurlé du mal que ça m’a fait, mais je savais qu’il me faisait découvrir l’amour entre homme et femme fort de son expérience due à son âge.
Le soir ainsi que dans les jours, semaines et mois qui ont suivi s’ouvrait à moi une double vie.
Avec Romain et sans Romain, avec très peu de plaisir et un plaisir intense lorsqu’il reprenait la route.
Ceci depuis le vendredi au lundi suivant.
En prévoyant son retour, j’avais changé les draps et aéré la chambre, contrairement à lui, Charles aiment fumer sa clope comme il dit après avoir fait l’amour.
Au fil des jours et des parties de trou du cul que nous pratiquions, l’odeur du tabac aurait pu nous trahir.
Pour éviter tout ce travail et le risque de soupçon de ma fidélité de ma part, c’était moi qui le rejoignais dans sa couche lorsque Romain était parti.
Par petite touche, sans éveiller ses soupçons, j’ai réussi à changer certaines de ses habitudes, mais sans jamais ressentir ce que je ressentais avec mon amant père de mon mari.
C’était dur d’attendre le lundi lorsque le vendredi arrivait, mais fort de son expérience, Charles évitait les impers risquant de chambouler l’édifice que nous avions bâti dans notre relation à trois.
Deux fois pendant ces trois ans, nous avons dérogé, deux fois pendant ses vacances, le temps nous semblant interminable.
C’était des dimanches, Romain allait faire son jogging en allant faire son Tiercé et lire les journaux de la semaine que Gaston le patron du bar lui gardait.
Je venais de mettre en route une machine de son linge sale en ayant fait une autre la veille.
Charles est venu derrière moi, comme pour fêter le premier anniversaire de nos turpitudes, il a profité de ce que j’étais en peignoir pour me l’ôter et m’assoir sur la machine à laver.
Les sensations étaient autres que dans notre lit à cause des vibrations et une nouvelle fois je suis partie pour le grand frisson.
Comme pour remercier Romain de son absence et de ce que ça m’avait apporté, en reprenant pied sur terre, je lui ai fait du riz au lait.
Il mange énormément de riz au lait, mais un jour en rangeant la cuisine j’ai retrouvé les recettes de ma belle-mère.
Je lui en fais lorsque je suis contente de lui, ce matin,c’est son absence assez longue qui a été source de mon contentement.
Lui, mais aussi la verge de son père, du moins celui qui l’avait élevé, même si ce sont les couilles d’un autre qui l’a mis au monde.
Voilà, comment mon aventure avec mon beau-père se passe depuis trois ans.
Cette après-midi, nous avions rendez-vous pour la concrétisation de nos amours, mes règles ont assez de retard pour que le doute soit levé, je suis enceinte.
Romain est en Pologne alors, c’est Charles qui m’a accompagné.
La praticienne a constaté notre différence d’âge sans faire la moindre allusion.
C’est mon beau-père, qui a vu sur l’écographie, que Romain ou lui aurait un petit garçon.
Mon mari me baise mal, mais me pénètre assez pour me féconder.
Que dire de Charles qui sait me remplir tous mes orifices et qui bien sûr peut être le père de mon enfant ?
Ce qui est certain, c’est que Romain nous faisant vivre veut autour de nous plein d’enfants.
Nul doute que dans les années futures, l’un et l’autre seront satisfaits sans le savoir sauf à faire des tests ADN, certains de mes enfants étant blonds, d'autres bruns et pourquoi pas roux.
Je vous quitte, Romain vient de partir, ça fait quinze jours qu’il était en vacances et refuse de me sauter de peur à faire mal au bébé.
Charles lui sait qu’il est bien protégé et lorsque je lui saute au cou dès la porte de notre maison s’est refermé le camion ayant démarré, je m’empale sur sa verge collée à la porte.
Un, deux kilomètres que mon mari roule, impossible qu’il m’entende lorsque je hurle de plaisir, la chatte éclatée, mais si bien rempli.
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Les avis des lecteurs
une belle histoir