COLLECTION HISTOIRE COURTE. Secret de famille (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Secret de famille (1/1)
• Grand-mère, toi qui as l’expérience de la vie, le coup de foudre, pour toi cela existe ?
• Toi Marie si tu me poses cette question, c’est que tu crois être amoureuse d’un garçon et comme ça t’es tombé dessus sans crier gare, tu t’interroges.
• Tu te trompes grand-mère, l’autre soir, je lisais un roman qui abordait le sujet et je me demandais, si c’était possible ou bien si c’était un fantasme de romancier.
• Je vais te répondre franchement, toi si proche de moi depuis ta plus tendre enfance.
C’est possible, je l’ai vécu !
• Avec grand-père !
La réaction de mamy Adèle a été surprenante.
J’ai cru qu’elle allait se lever de son fauteuil roulant où elle se tient depuis que la pose d’une prothèse de hanche s'est mal terminée.
• Surtout pas, mais là tu rendre dans le fin fond de l’histoire de notre famille qui a failli couter la vie à ta maman et à moi.
• Je sais que tu lorsque tu étais jeune, tu conduisais.
Tu as eu un accident de la route avec maman et vous vous en êtes sorties miraculeusement.
• Tu devrais écrire des livres ma petite-fille, tu deviendrais un auteur à succès.
Non, c’est lorsqu’elle était dans mon ventre que nous avons failli mourir.
• Raconte-moi, je te jure que cela restera entre nous, nul autre que nous seront au courant des révélations que tu vas me faire.
• Tu as peut-être raison, je suis plus près de ma mort que de ma naissance.
Il vaut mieux que je dévoile à une personne de ta génération le secret que je cache depuis le début de ma vie amoureuse.
Je suis la seule rescapée de cette époque et de cette histoire pas toujours très jolie.
• Dis-moi, c’est lié au coup de foudre.
• Entièrement, tu me promets de garder tout cela pour toi et surtout évites d’en parler avec à ta maman, ma fille en serait marquée durablement.
• Grand-mère, pour te rassurer, veux-tu que je crache.
• Dans ma salle à manger, ce serait le bouquet.
Bon, je venais de fêter mes seize ans.
Mon père, ton arrière-grand-père, comme tu le sais était un riche propriétaire terrien et ce depuis la révolution.
• J’ai entendu des bruits que si des aristos s’étaient fait raccourcir, certaines personnes parmi tes ancêtres ont su prendre la place de ces comtes, Ducs où autres Marquis.
• Tu as raison, bref, nous sommes ce que nous sommes et pourquoi cracher sur la fortune de la famille.
Dans notre village ou ta maman en est le maire après mon mari, un jeune homme est arrivé sortant comme moi d’un collège d’une autre région.
Il était beau et d’entrée à son regard j’ai eu le coup de foudre.
Pendant trois mois, je lui ai fait les yeux doux, il semblait être indifférent jusqu’aux feux de la saint Jean au bord de notre rivière.
Les filles étant plus nombreuses que, les garçons, nous avions pour habitude de faire une colonne fille et une colonne garçon.
Après avoir sauté, les filles tournaient à droite et les garçons, bien sûr, à gauche.
• Je m’en doutais grand-mère.
Comment s’appelait-il ?
• Cyprien, dès le deuxième tour, j’ai senti sa main dans ma main, je me suis liquéfiée.
Ça a été un crève-cœur quand, nous nous sommes lâchés.
Le tour suivant, j’étais certaine que la main que j’allais récupérer, serait moins douce que celle de ce garçon m’ayant fait battre mon coeur.
Que nénie, il a réussi à me récupérer.
• C’était un signe.
• Comme tu le dis Marie et quel signe, car une fois avoir sauté, sans nous occuper des autres, nous nous sommes isolées.
Nous étions un certain nombre, j’ai même croisé ce qui a fait scandale quelques jours plus tard dans ces années-là, deux homos qui s’embrassaient chacun ayant sortie la queue de l’autre de leur short.
Ça c’est su et les deux sont partis dans des pensions différentes pour parfaire leur éducation.
L’un d’eux a mis fin à sa vie, l’autre est devenu curé, il officie non loin d’ici dans une autre ville.
Merde, le père Charles-Antoine originaire d’ici serait-il ce garçon que certains dans cette vieille cité de notre région accusaient d’avoir eu des mœurs déviantes.
• De mon côté, j’ai donné et j’ai reçu mon premier baiser.
Baiser seul ce soir-là suivi de nombreux autres.
Je me rends compte que j’emploie des mots choquant pour une jeune fille de ton âge ma petite Marie.
• Grand-mère nous avons terminé le 20e siècle pour entamer le 21e, tu sais, j’ai Internet, je connais tous, comment se font les bébés et comment je dois faire pour me masturber.
• Tu me rassures ma chérie, moi aussi je me masturbe malgré mon âge conséquent, j’avais peur d’aller au purgatoire.
J’aime le tour que prend la conversation, à quel moment aurais-je pu penser que ma grand-mère se caressait le clito, comme moi depuis la découverte de mon corps.
Un jour ma mère m’a pris la main dans ma culotte, elle m’a dit que comme pour les garçons, ça rendait sourde.
Grand-mère est impotente, mais entant admirablement.
• Et Cyprien ?
• Je suppose que lui aussi !
• Ça, je m’en doute, quand as-tu craqué, parce que je suis sûr que tu as craqué.
• Je te dis que tu devrais écrire ma chérie.
Je sortais en me cachant de mon père, car je savais qu’il avait des vues sur une autre famille qui pouvait augmenter les biens de notre propre famille.
J’étais prête à fuguer avec l’amour de ma vie et un soir, je me suis offerte à lui.
Il a été surpris, mais comme tous les garçons de notre âge, il espérait ce moment.
Je savais que j’allais souffrir, mais je m’en fichais.
Ça s’est passé près de la rivière à la fin de l’été, là où nous avions fait le feu de notre rencontre.
Nous l’avons fait régulièrement et c’est lui qui m’a appris bien des choses.
• Tu lui faisais des fellations !
• Alors, toi, je voulais te dire avoir fauté mais oui, fellations et...
• Il t’a pris en levrette, grand-mère, tu étais tombée sur un amant d’exception.
• Oui, ma chérie, une vraie bête de sexe.
• Mais cela a mal fini.
• Encore perspicace Marie, un jour, j’ai dit à ma mère que j’avais des douleurs au ventre et elle m’a amené chez son gynéco que j’avais déjà vu trois à quatre fois.
Ça a tourné au vinaigre quand elle m’a demandé si je préférais un garçon ou une fille.
Vinaigre, chez elle et vinaigre à la maison quand mon père l’a appris.
C’est là que nous avons failli perdre la vie avec ta maman, car c’est à coups de ceinturon qu’il m’a fait comprendre son courroux.
• Dis-moi que ton père t’a fait épouser grand-père en urgence.
• J’avais un peu plus de seize ans et dans ces années-là, nous étions majeurs à vingt et un.
Il me fallait son autorisation pour me marier avec Cyprien ce qu’il me refusait.
Par contre, il voulait éviter le déshonneur de notre famille et était d’accord pour signer pour que j’épouse ton grand-père
Adolphe est entré dans ma vie.
Sais-tu pourquoi il s’appelait Adolphe ?
• J’ai entendu des bruits que sa famille au moment de la guerre avait fait sa fortune sur le dos de certaines réquisitions !
• Exact, nous s’était à la révolution eux c’était en 40, mais avec les mêmes procédés.
Adolphe, car comme celle qui devenait ma belle-mère était amoureuse du chef de guerre autrichien, elle l’a appelé comme lui.
De plus, elle était fière que son fils épouse la plus grosse fortune de la région, tout c’est fait sans plus de question.
• Ils ont tout gobé !
• Mon père en bon stratège m’a demandé de fauter rapidement avec Adolphe et qu’il devrait reconnaitre sa paternité.
• C’est ce que tu as fait, rapidement !
• Trois jours après nos fiançailles, je vais être vulgaire, j’ai écarté mes cuisses et c’est moi qui après l’avoir masturbé, me le suis introduit.
Deux convulsions et il a déchargé, l’honneur de la famille était sauf.
• Comment ça s’est passé avec mon vrai grand-père, car c’est là ton lourd secret, mamy, j’ai compris que mon grand-père est réellement cyprien ?
• Tu veux voir sa photo, tu vas être surprise.
Conduis-moi dans ma chambre, je vais te la montrer.
Je pousse son fauteuil jusqu’à sa chambre où elle ouvre son armoire.
Entre deux piles de draps, elle récupère un cliché commençant à passer.
Il était là devant moi, mon portrait tout craché, à s’y méprendre, sauf que j’ai des cheveux de femme.
• Tu vois depuis que tu es toute petite pourquoi tu es ma préférée.
Chaque fois que je te vois, je reviens au bord de la rivière.
• Grand-mère, merci de m’avoir dit la vérité sur mes origines, j’aimais grand-père avant qu’il nous quitte, mais je viens d’apprendre qu’il y avait mieux sur terre.
Je viens te revoir demain, nous regarderons sa photo ensemble.
Je quitte grand-mère et comme je lui ai promis le lendemain, je suis là.
Trois mois, chaque jour, jusqu’à aujourd’hui.
• Grand-mère, je t’emmène faire un tour au bord de la rivière afin de profiter du beau temps.
Nous sommes à l’endroit ou par tradition, le feu de la saint Jean a lieu.
Des jeunes sont en train de le préparer, c’est demain le grand jour.
• Marie, merci de m’amener ici, tu es formidable, tu as compris qu’avant de quitter cette terre, j’ai plaisir à me remémorer ces merveilleux moments de ma vie.
• Pourquoi vouloir quitter cette terre avant d’avoir vécu les bons moments que je peux encore t’apporter ?
• Marie, qu’as-tu fait ?
Un détective privé, j’ai engagé un détective privé pour qu’il retrouve Cyprien.
Par chance, il venait en France avec le fils qu’il avait eu aux États-Unis avec la fille d’un riche propriétaire texan.
Nous avons préparé avec Christian son petit-fils, leurs retrouvailles au bord de la rivière.
Je la vois partir vers son destin.
Quand Cyprien lui a parlé en prenant à ma place son fauteuil, elle est restée droite, stoïque comme elle l’a toujours été.
Ils se parlent, mais les mots sont rapidement inaudibles à cause du bruit de l’eau qui coule comme a glissé leur vie.
• Marie et si demain, nous venions sauter ensemble ce feu de la saint Jean.
Mon grand-père m’en a si souvent parlé.
Qui demandait à sa grand-mère si le coup de foudre existait ?
Nous avons sauté sans prendre la fille de droite ou celle de gauche.
Le baiser que nous échangeons chavire mon cœur, je viens de comprendre qu’il vient de m’atteindre.
Je sais, notre grand-père est commun.
Nous le savons et nous nous en foutons, même si la ressemblance entre nous pouvait faire croire que nous sommes frère et soeur.
Qui saura notre lien de parenté en France où au Texas où nous partons avec grand-mère quelques semaines plus tard.
Maman, elle sera absente lors de notre mariage, mais ma grand-mère sera mon témoin,
Cyprien celui de Christian comme nous le serons pour eux.
Attention, vous mes lecteurs, vous êtes tous les seuls dans la confidence comme je l’ai été pour ma mamy, je compte sur vous pour garder le silence.
C’est ça l’amour et le coup de foudre, il aplanit toutes les barrières et se fiche des tabous.
• Toi Marie si tu me poses cette question, c’est que tu crois être amoureuse d’un garçon et comme ça t’es tombé dessus sans crier gare, tu t’interroges.
• Tu te trompes grand-mère, l’autre soir, je lisais un roman qui abordait le sujet et je me demandais, si c’était possible ou bien si c’était un fantasme de romancier.
• Je vais te répondre franchement, toi si proche de moi depuis ta plus tendre enfance.
C’est possible, je l’ai vécu !
• Avec grand-père !
La réaction de mamy Adèle a été surprenante.
J’ai cru qu’elle allait se lever de son fauteuil roulant où elle se tient depuis que la pose d’une prothèse de hanche s'est mal terminée.
• Surtout pas, mais là tu rendre dans le fin fond de l’histoire de notre famille qui a failli couter la vie à ta maman et à moi.
• Je sais que tu lorsque tu étais jeune, tu conduisais.
Tu as eu un accident de la route avec maman et vous vous en êtes sorties miraculeusement.
• Tu devrais écrire des livres ma petite-fille, tu deviendrais un auteur à succès.
Non, c’est lorsqu’elle était dans mon ventre que nous avons failli mourir.
• Raconte-moi, je te jure que cela restera entre nous, nul autre que nous seront au courant des révélations que tu vas me faire.
• Tu as peut-être raison, je suis plus près de ma mort que de ma naissance.
Il vaut mieux que je dévoile à une personne de ta génération le secret que je cache depuis le début de ma vie amoureuse.
Je suis la seule rescapée de cette époque et de cette histoire pas toujours très jolie.
• Dis-moi, c’est lié au coup de foudre.
• Entièrement, tu me promets de garder tout cela pour toi et surtout évites d’en parler avec à ta maman, ma fille en serait marquée durablement.
• Grand-mère, pour te rassurer, veux-tu que je crache.
• Dans ma salle à manger, ce serait le bouquet.
Bon, je venais de fêter mes seize ans.
Mon père, ton arrière-grand-père, comme tu le sais était un riche propriétaire terrien et ce depuis la révolution.
• J’ai entendu des bruits que si des aristos s’étaient fait raccourcir, certaines personnes parmi tes ancêtres ont su prendre la place de ces comtes, Ducs où autres Marquis.
• Tu as raison, bref, nous sommes ce que nous sommes et pourquoi cracher sur la fortune de la famille.
Dans notre village ou ta maman en est le maire après mon mari, un jeune homme est arrivé sortant comme moi d’un collège d’une autre région.
Il était beau et d’entrée à son regard j’ai eu le coup de foudre.
Pendant trois mois, je lui ai fait les yeux doux, il semblait être indifférent jusqu’aux feux de la saint Jean au bord de notre rivière.
Les filles étant plus nombreuses que, les garçons, nous avions pour habitude de faire une colonne fille et une colonne garçon.
Après avoir sauté, les filles tournaient à droite et les garçons, bien sûr, à gauche.
• Je m’en doutais grand-mère.
Comment s’appelait-il ?
• Cyprien, dès le deuxième tour, j’ai senti sa main dans ma main, je me suis liquéfiée.
Ça a été un crève-cœur quand, nous nous sommes lâchés.
Le tour suivant, j’étais certaine que la main que j’allais récupérer, serait moins douce que celle de ce garçon m’ayant fait battre mon coeur.
Que nénie, il a réussi à me récupérer.
• C’était un signe.
• Comme tu le dis Marie et quel signe, car une fois avoir sauté, sans nous occuper des autres, nous nous sommes isolées.
Nous étions un certain nombre, j’ai même croisé ce qui a fait scandale quelques jours plus tard dans ces années-là, deux homos qui s’embrassaient chacun ayant sortie la queue de l’autre de leur short.
Ça c’est su et les deux sont partis dans des pensions différentes pour parfaire leur éducation.
L’un d’eux a mis fin à sa vie, l’autre est devenu curé, il officie non loin d’ici dans une autre ville.
Merde, le père Charles-Antoine originaire d’ici serait-il ce garçon que certains dans cette vieille cité de notre région accusaient d’avoir eu des mœurs déviantes.
• De mon côté, j’ai donné et j’ai reçu mon premier baiser.
Baiser seul ce soir-là suivi de nombreux autres.
Je me rends compte que j’emploie des mots choquant pour une jeune fille de ton âge ma petite Marie.
• Grand-mère nous avons terminé le 20e siècle pour entamer le 21e, tu sais, j’ai Internet, je connais tous, comment se font les bébés et comment je dois faire pour me masturber.
• Tu me rassures ma chérie, moi aussi je me masturbe malgré mon âge conséquent, j’avais peur d’aller au purgatoire.
J’aime le tour que prend la conversation, à quel moment aurais-je pu penser que ma grand-mère se caressait le clito, comme moi depuis la découverte de mon corps.
Un jour ma mère m’a pris la main dans ma culotte, elle m’a dit que comme pour les garçons, ça rendait sourde.
Grand-mère est impotente, mais entant admirablement.
• Et Cyprien ?
• Je suppose que lui aussi !
• Ça, je m’en doute, quand as-tu craqué, parce que je suis sûr que tu as craqué.
• Je te dis que tu devrais écrire ma chérie.
Je sortais en me cachant de mon père, car je savais qu’il avait des vues sur une autre famille qui pouvait augmenter les biens de notre propre famille.
J’étais prête à fuguer avec l’amour de ma vie et un soir, je me suis offerte à lui.
Il a été surpris, mais comme tous les garçons de notre âge, il espérait ce moment.
Je savais que j’allais souffrir, mais je m’en fichais.
Ça s’est passé près de la rivière à la fin de l’été, là où nous avions fait le feu de notre rencontre.
Nous l’avons fait régulièrement et c’est lui qui m’a appris bien des choses.
• Tu lui faisais des fellations !
• Alors, toi, je voulais te dire avoir fauté mais oui, fellations et...
• Il t’a pris en levrette, grand-mère, tu étais tombée sur un amant d’exception.
• Oui, ma chérie, une vraie bête de sexe.
• Mais cela a mal fini.
• Encore perspicace Marie, un jour, j’ai dit à ma mère que j’avais des douleurs au ventre et elle m’a amené chez son gynéco que j’avais déjà vu trois à quatre fois.
Ça a tourné au vinaigre quand elle m’a demandé si je préférais un garçon ou une fille.
Vinaigre, chez elle et vinaigre à la maison quand mon père l’a appris.
C’est là que nous avons failli perdre la vie avec ta maman, car c’est à coups de ceinturon qu’il m’a fait comprendre son courroux.
• Dis-moi que ton père t’a fait épouser grand-père en urgence.
• J’avais un peu plus de seize ans et dans ces années-là, nous étions majeurs à vingt et un.
Il me fallait son autorisation pour me marier avec Cyprien ce qu’il me refusait.
Par contre, il voulait éviter le déshonneur de notre famille et était d’accord pour signer pour que j’épouse ton grand-père
Adolphe est entré dans ma vie.
Sais-tu pourquoi il s’appelait Adolphe ?
• J’ai entendu des bruits que sa famille au moment de la guerre avait fait sa fortune sur le dos de certaines réquisitions !
• Exact, nous s’était à la révolution eux c’était en 40, mais avec les mêmes procédés.
Adolphe, car comme celle qui devenait ma belle-mère était amoureuse du chef de guerre autrichien, elle l’a appelé comme lui.
De plus, elle était fière que son fils épouse la plus grosse fortune de la région, tout c’est fait sans plus de question.
• Ils ont tout gobé !
• Mon père en bon stratège m’a demandé de fauter rapidement avec Adolphe et qu’il devrait reconnaitre sa paternité.
• C’est ce que tu as fait, rapidement !
• Trois jours après nos fiançailles, je vais être vulgaire, j’ai écarté mes cuisses et c’est moi qui après l’avoir masturbé, me le suis introduit.
Deux convulsions et il a déchargé, l’honneur de la famille était sauf.
• Comment ça s’est passé avec mon vrai grand-père, car c’est là ton lourd secret, mamy, j’ai compris que mon grand-père est réellement cyprien ?
• Tu veux voir sa photo, tu vas être surprise.
Conduis-moi dans ma chambre, je vais te la montrer.
Je pousse son fauteuil jusqu’à sa chambre où elle ouvre son armoire.
Entre deux piles de draps, elle récupère un cliché commençant à passer.
Il était là devant moi, mon portrait tout craché, à s’y méprendre, sauf que j’ai des cheveux de femme.
• Tu vois depuis que tu es toute petite pourquoi tu es ma préférée.
Chaque fois que je te vois, je reviens au bord de la rivière.
• Grand-mère, merci de m’avoir dit la vérité sur mes origines, j’aimais grand-père avant qu’il nous quitte, mais je viens d’apprendre qu’il y avait mieux sur terre.
Je viens te revoir demain, nous regarderons sa photo ensemble.
Je quitte grand-mère et comme je lui ai promis le lendemain, je suis là.
Trois mois, chaque jour, jusqu’à aujourd’hui.
• Grand-mère, je t’emmène faire un tour au bord de la rivière afin de profiter du beau temps.
Nous sommes à l’endroit ou par tradition, le feu de la saint Jean a lieu.
Des jeunes sont en train de le préparer, c’est demain le grand jour.
• Marie, merci de m’amener ici, tu es formidable, tu as compris qu’avant de quitter cette terre, j’ai plaisir à me remémorer ces merveilleux moments de ma vie.
• Pourquoi vouloir quitter cette terre avant d’avoir vécu les bons moments que je peux encore t’apporter ?
• Marie, qu’as-tu fait ?
Un détective privé, j’ai engagé un détective privé pour qu’il retrouve Cyprien.
Par chance, il venait en France avec le fils qu’il avait eu aux États-Unis avec la fille d’un riche propriétaire texan.
Nous avons préparé avec Christian son petit-fils, leurs retrouvailles au bord de la rivière.
Je la vois partir vers son destin.
Quand Cyprien lui a parlé en prenant à ma place son fauteuil, elle est restée droite, stoïque comme elle l’a toujours été.
Ils se parlent, mais les mots sont rapidement inaudibles à cause du bruit de l’eau qui coule comme a glissé leur vie.
• Marie et si demain, nous venions sauter ensemble ce feu de la saint Jean.
Mon grand-père m’en a si souvent parlé.
Qui demandait à sa grand-mère si le coup de foudre existait ?
Nous avons sauté sans prendre la fille de droite ou celle de gauche.
Le baiser que nous échangeons chavire mon cœur, je viens de comprendre qu’il vient de m’atteindre.
Je sais, notre grand-père est commun.
Nous le savons et nous nous en foutons, même si la ressemblance entre nous pouvait faire croire que nous sommes frère et soeur.
Qui saura notre lien de parenté en France où au Texas où nous partons avec grand-mère quelques semaines plus tard.
Maman, elle sera absente lors de notre mariage, mais ma grand-mère sera mon témoin,
Cyprien celui de Christian comme nous le serons pour eux.
Attention, vous mes lecteurs, vous êtes tous les seuls dans la confidence comme je l’ai été pour ma mamy, je compte sur vous pour garder le silence.
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Il n'y a rien à dire, c'est toujours beau l'amour, quel que soit l'âge.