COLLECTION HISTOIRE COURTE. Sucer dans dunes au pied d’un pin pins est-ce trompé ? (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2025 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Sucer dans dunes au pied d’un pin pins est-ce trompé ? (1/1)
Dire que j’ai trente-cinq ans et que je commence à ressentir le poids des années, pas d’âge, mais de mariage.
Lorsque Lionel m’a annoncé avoir réservé une villa presque les pieds dans l’eau sur la plage de la grande côte en Charente-Maritime, je me voyais déjà revenue à mes dix-huit ans.
C’est l’année où nous nous sommes mariés et où nous sommes allées vers une plage, mais au bord de la Méditerranée.
Dix-sept ans de mariage et je déchante vite, monsieur est le roi de la sieste.
Dès le premier jour, je me vois obligé d’aller à la plage à quelques mètres du portail nous permettant d’y accéder directement.
Monsieur a trop chaud à l’extérieur et souhaite profiter de la clim présente dans cette villa.
C’est d’ailleurs pour elle qu’il a réservée.
Chaque matin, je prends mon vélo, ça évite de prendre la voiture et je vais au marché le long du bord de mer.
Principalement des fruits de mer, des légumes et des fruits, les melons charentais étant pour mon homme l’un d’eux.
Je lui ramène aussi l’équipe, c’est le seul journal qu’il daigne lire pendant ses vacances, la politique, comme on dit vulgairement pendant ces moments de détente, il s’en bas la queue.
C’est lui qui le dit, maman m’ayant appris à avoir un langage plus châtié.
Il faut dire qu’il est journaliste passant à la télé, car il travaille sur l’une de ses chaînes d’info répétant inlassablement les mêmes sujets toutes la journée.
Je le regardais au début, il y a deux ans lorsqu’il a été recruté, mais j’ai vite déchanté.
Surtout que tard le soir il rentrait crevé, il voulait me servir les mêmes salades qu’à la télé.
Lorsque je pédale cheveux au vent et dans mon mini short sur la grève puis le long des commerçants, j’ai de fréquents coups de sifflet d’admirateurs surtout qu’aimant être en toute décontraction, je suis en débardeur.
Mes seins sont mis en valeur et je dois dire, que depuis quelque temps je mouille ma petite culotte en étant provocante, c’est ma façon de compenser l’indifférence de Lionel.
Un point de détail, dix-sept ans de mariage sans enfants.
Je sais, c’est mal, un jour Lionel sera à la retraite et ce seront les enfants des autres qui nous ferons vivre, largement, car son boulot est très bien rémunéré.
Deux jours que nous sommes là et faisant des UV tout l’hiver, dans ma salle de soins de beauté, j’évite ainsi les coups de soleil.
Sur ma serviette, je bronze topless, lorsque je fais des UV, je suis en nue intégrale, mais j’ai une certaine pudeur à enlever le bas sur une plage où il y a de temps en temps des enfants qui passent.
Ce qu’y va m’arrivé ce jour, c’est la faute de Lionel si j’ai un moment de faiblesse.
Je bois beaucoup d’eau dans la journée en boîte le soir après un restaurant, je sais, c’est contradictoire avec le fait de me plaindre que Lionel passe son temps à dormir.
Nous sortons, mais dès qu’il rentre, il se douche et oubli que nous sommes un couple et le temps que moi je me douche, il dort lorsque je rejoins notre couche.
Hier, donc, j’ai eu une envie d’uriner, je suis entrée pour rejoindre les waters.
Lorsque je suis rentrée en fin d’après-midi, il venait de se lever et m’a enguirlandé car je l’avais réveillé en tirant la chasse d’eau.
Il faut dire que les toilettes dans cette villa, sont juste derrière la cloison où il a sa tête.
Aujourd’hui, même résultat une envie d’uriner me prend et je veux éviter de déranger monsieur.
La dune, les pins, voilà un endroit ou je vais pouvoir descendre la culotte de mon maillot pour me soulager.
Je sais, c’est mal, pisser dans la nature est peu écolo, mais pisser dans sa petite culotte l’est tout autant.
Je pourrais aller me baigner, mais j’ai horreur du sel collant à ma peau.
Un pin, je baisse ma culotte, écarte mes jambes, je me baisse et que c’est bon de sentir, la pisse sortir de mon corps.
• Ça fait du bien, il faut savoir se soulager, lorsque sa vessie a atteint le trop-plein.
Je me redresse prestement sans laisser tomber la petite goutte, finale qui vient mouiller ma culotte.
Quel âge, un peu plus vieux que Lionel ou est-ce ses tempes grisonnantes qui lui donnent cet air de beau gosse.
J’aime les hommes comme lui, ce qui va altéré la clairvoyance que je devrais avoir lorsqu’il s’approche de moi.
Il pose sa main sur le pin près duquel je me suis soulagée et avec sa basket, il recouvre mon urine de sable.
C’est con, mais c’est érotique.
• Tu sais que tu es bandante, voudrais-tu me sucer ?
N’importe quelle femme dans cette situation aurait rembarré ce vieux beau.
Mais j’ai dit que j’étais en manque de sexe et est-ce moi ou lui qui sortant sa queue, m’appuie sur mon épaule pour me faire descendre d’un étage.
Je suce Lionel, je l’ai fait dès le premier soir, j’étais vierge, mais en cachette j’avais regardé des pornos, ayant trouvé ou mon père les rangeait.
Pour moi, masturber un homme et lui sucer la queue était une chose normale, combien de jeune fille de ma génération suce sans savoir si c’est bien ou mal.
• Tu as raison, masturbe-moi avec tes mains en me suçant, tu es une fieffée salope, avale.
Avaler, ça c’est la première fois et certainement la dernière lorsqu’il me libère, bien qu’à aucun moment je me suis sentie contrainte, je déglutis trouvant le goût un peu fade.
• Demain, même heure, je vois que tu aimes la queue, je vais m’occuper de toi.
Je quitte la dune et ses pins, un peu honteuse de ce que j’ai fait à cet homme.
La phrase classique, est-ce que sucer c’est trompé, me permet de me blanchir dans mon comportement.
« Demain même heure, » il peut toujours courir, demain, il sera facile de rester soit dans la villa, soit sur la plage sans aller dans les pins.
Hourra, ce matin, crachin de mer, impossible d’aller sur la plage et encore moins dans les pins.
• Il fait moins chaud, je t’emmène à Marennes Oléron, manger un plateau de fruits de mer.
Crachin du matin, soleil de l’après-midi, la marée ayant chassé les nuages.
Nous mangeons au soleil, mais sous un parasol et lorsque nous entrons, c’est moi qui vais me doucher et qui me donne à mon homme, car cette fois, c’est moi qui passe la première.
Lionel, me présente sa queue, comme je l’ai dit, je le suce régulièrement en le masturbant pour qu’il soit en forme maximum.
Avec en plus une prise en levrette qui m’évite les spermatozoïdes dans les dents comme hier où j’ai foncé dans la salle d’eau de peur de le croiser et qu’il daigne m’embrasser.
Hourra hier, hélas aujourd’hui, car même si Lionel m’a rassasié hier, je suis assise entre deux chaises, allée dans les pins pendant qu’il dort ou rester sur la plage un peu, beaucoup frustrée.
Pourquoi joué, au j’y vais, je n’y vais pas ?
Suis-je une salope ou pas, à vous de vous faire une opinion ?
Vous voyez de quelques côtés penchent la balance, surtout que si je vais sucer, pour certains ce n’est pas tromper.
• On savait qu’aujourd’hui tu serais là, je parie que tu as hésité, mais le plateau de la balance a penché pour que tu nous rejoignes.
Comment un homme peut-il être entré dans mon cerveau, pour lire mes pensées les plus intimes ?
• J’ai parlé de toi à deux copains, tu vas pouvoir en sucer trois aujourd’hui.
Oui, il est là, mais avec deux autres hommes, tous en maillots, je pense qu’ils viennent du camping de l’autre côté de notre villa et sont en chasse de salopes comme moi dans ces dunes.
• Putain que t’est bonne, tu vois, je te l’avais bien dit, une suceuse de ce calibre, c’est rare, profitons-en.
Pour en profiter, ils en profitent, l’un d’eux me plaque le long d’un pin et cherche ma bouche, je lui refuse.
• Non simplement vous sucer, pas d’acte sexuel !
Je suis dans la logique de sucer et c’est non trompé, un, deux trois, dans ma bouche, quatre car celui du premier jour, remet le couvert deux fois.
Quatre grandes rasades de sperme qui coulent dans mon estomac et sur ma figure, car la dernière fois, le sexe sort de ma bouche pour asperger mon visage.
Une nouvelle fois, j’entends, car j’ai un œil fermé, « à demain même heure. »
À ce troisième jour, vous allez me dire que c’est impossible de rejoindre ce qui pourrait ressembler à un troupeau de vaches attendant de se faire traire par ma bouche.
Pourtant ils sont là, encore plus nombreux.
Je me mets au travail, si sucé en est un, deux trois, celle-là avec sa grosse veine, je suis sûr qu’elle est déjà passée.
Bref, je satisfais une grande partie du camping, ils doivent se donner le mot qu’une pipeuse rassasie leur bite dans les dunes près d’un pin.
Je suis poisseuse recouverte de sperme.
Je suce, je suce encore, j’avale, j’avale encore, un œil clos, le deuxième suit.
Malgré l’ombre de mon pin, le sperme tire ma peau, inutile d’aller faire un masque dans mon institut, ici j’en fais un gratuitement.
Je sens que j’arrive au bout de mon assouvissement de bite et de sperme.
• Que se passe-t-il ici, pourquoi tant d’hommes leur queue en main ?
• Une salope qui suce, attend ton tour, tant qu’elle en a à sucer, elle en suce.
• Mais vous êtes fous, c’est ma femme, que fait-elle dans les dunes au pied de ce pin.
Et toi mon chéri, que fais-tu là dans ces dunes au pied de mon pin, toi aussi tu cherches une salope, pour te faire sucer !
• Tu sais mon amour, je t’aime, sucer ce n’est pas tromper !
Lorsque Lionel m’a annoncé avoir réservé une villa presque les pieds dans l’eau sur la plage de la grande côte en Charente-Maritime, je me voyais déjà revenue à mes dix-huit ans.
C’est l’année où nous nous sommes mariés et où nous sommes allées vers une plage, mais au bord de la Méditerranée.
Dix-sept ans de mariage et je déchante vite, monsieur est le roi de la sieste.
Dès le premier jour, je me vois obligé d’aller à la plage à quelques mètres du portail nous permettant d’y accéder directement.
Monsieur a trop chaud à l’extérieur et souhaite profiter de la clim présente dans cette villa.
C’est d’ailleurs pour elle qu’il a réservée.
Chaque matin, je prends mon vélo, ça évite de prendre la voiture et je vais au marché le long du bord de mer.
Principalement des fruits de mer, des légumes et des fruits, les melons charentais étant pour mon homme l’un d’eux.
Je lui ramène aussi l’équipe, c’est le seul journal qu’il daigne lire pendant ses vacances, la politique, comme on dit vulgairement pendant ces moments de détente, il s’en bas la queue.
C’est lui qui le dit, maman m’ayant appris à avoir un langage plus châtié.
Il faut dire qu’il est journaliste passant à la télé, car il travaille sur l’une de ses chaînes d’info répétant inlassablement les mêmes sujets toutes la journée.
Je le regardais au début, il y a deux ans lorsqu’il a été recruté, mais j’ai vite déchanté.
Surtout que tard le soir il rentrait crevé, il voulait me servir les mêmes salades qu’à la télé.
Lorsque je pédale cheveux au vent et dans mon mini short sur la grève puis le long des commerçants, j’ai de fréquents coups de sifflet d’admirateurs surtout qu’aimant être en toute décontraction, je suis en débardeur.
Mes seins sont mis en valeur et je dois dire, que depuis quelque temps je mouille ma petite culotte en étant provocante, c’est ma façon de compenser l’indifférence de Lionel.
Un point de détail, dix-sept ans de mariage sans enfants.
Je sais, c’est mal, un jour Lionel sera à la retraite et ce seront les enfants des autres qui nous ferons vivre, largement, car son boulot est très bien rémunéré.
Deux jours que nous sommes là et faisant des UV tout l’hiver, dans ma salle de soins de beauté, j’évite ainsi les coups de soleil.
Sur ma serviette, je bronze topless, lorsque je fais des UV, je suis en nue intégrale, mais j’ai une certaine pudeur à enlever le bas sur une plage où il y a de temps en temps des enfants qui passent.
Ce qu’y va m’arrivé ce jour, c’est la faute de Lionel si j’ai un moment de faiblesse.
Je bois beaucoup d’eau dans la journée en boîte le soir après un restaurant, je sais, c’est contradictoire avec le fait de me plaindre que Lionel passe son temps à dormir.
Nous sortons, mais dès qu’il rentre, il se douche et oubli que nous sommes un couple et le temps que moi je me douche, il dort lorsque je rejoins notre couche.
Hier, donc, j’ai eu une envie d’uriner, je suis entrée pour rejoindre les waters.
Lorsque je suis rentrée en fin d’après-midi, il venait de se lever et m’a enguirlandé car je l’avais réveillé en tirant la chasse d’eau.
Il faut dire que les toilettes dans cette villa, sont juste derrière la cloison où il a sa tête.
Aujourd’hui, même résultat une envie d’uriner me prend et je veux éviter de déranger monsieur.
La dune, les pins, voilà un endroit ou je vais pouvoir descendre la culotte de mon maillot pour me soulager.
Je sais, c’est mal, pisser dans la nature est peu écolo, mais pisser dans sa petite culotte l’est tout autant.
Je pourrais aller me baigner, mais j’ai horreur du sel collant à ma peau.
Un pin, je baisse ma culotte, écarte mes jambes, je me baisse et que c’est bon de sentir, la pisse sortir de mon corps.
• Ça fait du bien, il faut savoir se soulager, lorsque sa vessie a atteint le trop-plein.
Je me redresse prestement sans laisser tomber la petite goutte, finale qui vient mouiller ma culotte.
Quel âge, un peu plus vieux que Lionel ou est-ce ses tempes grisonnantes qui lui donnent cet air de beau gosse.
J’aime les hommes comme lui, ce qui va altéré la clairvoyance que je devrais avoir lorsqu’il s’approche de moi.
Il pose sa main sur le pin près duquel je me suis soulagée et avec sa basket, il recouvre mon urine de sable.
C’est con, mais c’est érotique.
• Tu sais que tu es bandante, voudrais-tu me sucer ?
N’importe quelle femme dans cette situation aurait rembarré ce vieux beau.
Mais j’ai dit que j’étais en manque de sexe et est-ce moi ou lui qui sortant sa queue, m’appuie sur mon épaule pour me faire descendre d’un étage.
Je suce Lionel, je l’ai fait dès le premier soir, j’étais vierge, mais en cachette j’avais regardé des pornos, ayant trouvé ou mon père les rangeait.
Pour moi, masturber un homme et lui sucer la queue était une chose normale, combien de jeune fille de ma génération suce sans savoir si c’est bien ou mal.
• Tu as raison, masturbe-moi avec tes mains en me suçant, tu es une fieffée salope, avale.
Avaler, ça c’est la première fois et certainement la dernière lorsqu’il me libère, bien qu’à aucun moment je me suis sentie contrainte, je déglutis trouvant le goût un peu fade.
• Demain, même heure, je vois que tu aimes la queue, je vais m’occuper de toi.
Je quitte la dune et ses pins, un peu honteuse de ce que j’ai fait à cet homme.
La phrase classique, est-ce que sucer c’est trompé, me permet de me blanchir dans mon comportement.
« Demain même heure, » il peut toujours courir, demain, il sera facile de rester soit dans la villa, soit sur la plage sans aller dans les pins.
Hourra, ce matin, crachin de mer, impossible d’aller sur la plage et encore moins dans les pins.
• Il fait moins chaud, je t’emmène à Marennes Oléron, manger un plateau de fruits de mer.
Crachin du matin, soleil de l’après-midi, la marée ayant chassé les nuages.
Nous mangeons au soleil, mais sous un parasol et lorsque nous entrons, c’est moi qui vais me doucher et qui me donne à mon homme, car cette fois, c’est moi qui passe la première.
Lionel, me présente sa queue, comme je l’ai dit, je le suce régulièrement en le masturbant pour qu’il soit en forme maximum.
Avec en plus une prise en levrette qui m’évite les spermatozoïdes dans les dents comme hier où j’ai foncé dans la salle d’eau de peur de le croiser et qu’il daigne m’embrasser.
Hourra hier, hélas aujourd’hui, car même si Lionel m’a rassasié hier, je suis assise entre deux chaises, allée dans les pins pendant qu’il dort ou rester sur la plage un peu, beaucoup frustrée.
Pourquoi joué, au j’y vais, je n’y vais pas ?
Suis-je une salope ou pas, à vous de vous faire une opinion ?
Vous voyez de quelques côtés penchent la balance, surtout que si je vais sucer, pour certains ce n’est pas tromper.
• On savait qu’aujourd’hui tu serais là, je parie que tu as hésité, mais le plateau de la balance a penché pour que tu nous rejoignes.
Comment un homme peut-il être entré dans mon cerveau, pour lire mes pensées les plus intimes ?
• J’ai parlé de toi à deux copains, tu vas pouvoir en sucer trois aujourd’hui.
Oui, il est là, mais avec deux autres hommes, tous en maillots, je pense qu’ils viennent du camping de l’autre côté de notre villa et sont en chasse de salopes comme moi dans ces dunes.
• Putain que t’est bonne, tu vois, je te l’avais bien dit, une suceuse de ce calibre, c’est rare, profitons-en.
Pour en profiter, ils en profitent, l’un d’eux me plaque le long d’un pin et cherche ma bouche, je lui refuse.
• Non simplement vous sucer, pas d’acte sexuel !
Je suis dans la logique de sucer et c’est non trompé, un, deux trois, dans ma bouche, quatre car celui du premier jour, remet le couvert deux fois.
Quatre grandes rasades de sperme qui coulent dans mon estomac et sur ma figure, car la dernière fois, le sexe sort de ma bouche pour asperger mon visage.
Une nouvelle fois, j’entends, car j’ai un œil fermé, « à demain même heure. »
À ce troisième jour, vous allez me dire que c’est impossible de rejoindre ce qui pourrait ressembler à un troupeau de vaches attendant de se faire traire par ma bouche.
Pourtant ils sont là, encore plus nombreux.
Je me mets au travail, si sucé en est un, deux trois, celle-là avec sa grosse veine, je suis sûr qu’elle est déjà passée.
Bref, je satisfais une grande partie du camping, ils doivent se donner le mot qu’une pipeuse rassasie leur bite dans les dunes près d’un pin.
Je suis poisseuse recouverte de sperme.
Je suce, je suce encore, j’avale, j’avale encore, un œil clos, le deuxième suit.
Malgré l’ombre de mon pin, le sperme tire ma peau, inutile d’aller faire un masque dans mon institut, ici j’en fais un gratuitement.
Je sens que j’arrive au bout de mon assouvissement de bite et de sperme.
• Que se passe-t-il ici, pourquoi tant d’hommes leur queue en main ?
• Une salope qui suce, attend ton tour, tant qu’elle en a à sucer, elle en suce.
• Mais vous êtes fous, c’est ma femme, que fait-elle dans les dunes au pied de ce pin.
Et toi mon chéri, que fais-tu là dans ces dunes au pied de mon pin, toi aussi tu cherches une salope, pour te faire sucer !
• Tu sais mon amour, je t’aime, sucer ce n’est pas tromper !
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