COLLECTION HISTOIRE COURTE. Super soirée découverte de notre couple (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2021 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Super soirée découverte de notre couple (1/1)
• Dis-moi que tu acceptes que j’aille au restaurant avec Hélène ma copine d’enfance ?
Elle est revenue des USA après avoir reçu son diplôme dans une grande école du pays.
• C’est avec elle que tu es déjà sortie samedi dernier !
• Oui, et c’est elle qui a payé.
Cette semaine, je lui rends l’invitation, après on ira boire un dernier verre chez elle, comme samedi dernier.
• Un dernier verre, ma cochonne, tu te souviens le premier soir où je t’ai rencontré, tu étais montée ici et nous avions fait l’amour comme des bêtes.
• Salopard, tu m’avais bourré, je me suis réveillée dans ton lit au matin, avec une gueule de bois.
• Ce qui est vrai, c’est que nous avions baisé de toutes les manières possible et imaginable pour un couple en pleine possession de leurs moyens.
Si tu te gouines avec ta copine Hélène, je voudrais participer et vous prendre l’une après l’autre !
Invite là, ici, la semaine prochaine, je te laisse, je vais prendre ma douche et me mettre au lit.
Sonia vient vers moi, je l’embrasse avant de la voir se diriger vers la porte.
• Soit sans crainte, je serais de retour vers deux ou trois heures cette nuit.
Il est hors de question que nous nous gouinions, mais elle veut me faire voir des films qu’elle a tournés là-bas aux États-Unis.
Elle a filmé le grand canyon et plusieurs réserves indiennes.
Une fois ma femme partie, je récupère mon portable, j’appelle Steve mon copain de travail depuis peu, il vient d’être embauché.
La semaine dernière pendant que je le formais et que nous mangions à la brasserie au coin de mes bureaux, il m’a parlé de deux belles salopes.
Il les avait rencontrés dans un bar à vin où les femmes viennent draguer et que toutes les deux, il les avait baisés, à couilles rabattues
• C’est bon Steve, ma femme vient de partir retrouver sa copine.
Elle est sortie jusqu’à deux trois heures, tu me promets si je viens qu’avant son retour je serais rentré !
• Sans problème, mes deux putes doivent être là à 21 heures 30, nous aurons largement le temps de nous vider les couilles et de les faire grimper aux rideaux.
• Des putes, il faut les payer.
• Non, c’est façon de parler, deux salopes si tu veux, la différence avec la semaine dernière, c’est qu’à deux, nous arriverons plus facilement à éteindre le feu qu’elles ont au cul.
Pour être sûr, je mets mes deux réveils à une heure, ils sonneront et éviteront les surprises, tu seras de retour chez toi sans problème.
• Je m’habile et j’arrive.
Si je baise ce soir, ce sera la première fois que je tromperais Sonia.
À ce qu’il m’a expliqué, ce sont des pompeuses de premières.
Il a même sodomisé la blonde, l’autre refusant.
J’ai une femme blonde, elle aussi refuse que je la sodomise, je vais me régaler.
Il faut dire que de sodomiser une femme fait partie de mes fantasmes que j’avais mis dans ma poche avec mon mouchoir par-dessus en épousant Sonia, vu son refus.
• Salut Robert, un whisky avant qu’elles arrivent.
• Ça va nous mettre en pleine forme, tu peux doubler les doses.
J’ai bu la moitié de mon verre, quand la sonnette de la porte se déclenche.
• Je vais les chercher, tu vas voir, de vraie beauté.
Mavea, Ruby, je vous présente Robert, mon copain.
• Merci Steve.
Je me lève, pour accueillir ces femmes, il a raison, la blonde est canon et la brune est splendide.
• Un whisky ?
• Non, une vodka comme la semaine dernière.
Il les sert, nous trinquons.
• À notre folle nuit d’amour.
C’est la blonde qui a parlé, elle me regarde fixement.
J’ai mon but en tête qui est de la sodomiser, il est trop tôt aussi, je me rapproche de miss gros nichons.
• À la tienne, Ruby, tu me permets de te tutoyer !
• Oui, cher ami, on t’a déjà que tu étais bel homme.
• Et toi une jolie rousse, Steve avait oublié de me signaler cette particularité de ta personne.
• Je te vois venir, tu vas me demander si ma chatte à l’odeur des rousses, j’ai ma toison contrairement à Maeva qui est épilée.
De sacrer sauteuse sur le paf, car sans plus de fioriture, elle me donne sa bouche que je m’empresse de récupérer.
Du coin de l’œil, je vois Steve prendre Maeva dans ses bras et l’embrasser aussi fougueusement que j’embrasse sa copine.
J’ai toujours eu envie de baiser Sonia dans mon fauteuil, au lieu de notre lit.
Invariablement quand je commence à la chauffer, elle m’entraîne dans notre chambre et se donne dans un classique missionnaire.
Je défais ma ceinture, baisse mon pantalon avant de m’assoir les bras posés sur les accoudoirs.
Elle s’agenouille me donnant une vue plongeante sur son décolleté, ils sont plus impressionnants vus du dessus.
Elle tire sur mon pantalon pour mieux attraper mon paf.
Elle fait une chose inédite pour moi, elle dégraphe son corsage faisant sauter ses obus devant mes yeux.
Elle me prend la bite et la place au centre de ses seins.
Steve avait raison, de vraies salopes.
Ruby me fait une branlette espagnole, c’est bien doux entre ses seins, mais le plus surprenant c’est de voir mon sgeg apparaître et disparaître dans le grand canyon formé.
J’entends un bruit de succion, je tourne la tête.
Maeva a la bite de Steve dans sa bouche, alors qu’il est allongé sur le canapé.
Un de ses bras lui permettant de voir ce qu’il subit, son autre main tirant sur les cheveux de la chaudasse pour rythmer la fellation.
Fellation que je subis, quand ma bite délaissant ses nichons, Ruby avance sa bouche pour m’engamer.
Je me souviens de mon but, la rondelle de celle qui monte et qui descend sur la tige de mon pote après que je la vois l’enjamber.
J’ai le temps de voir sa chatte épilée, je veux voir celle de ma rousse aussi je me relève.
Elle m’aide à la désapper me permettant de passer mes doigts dans sa toison et de les porter à mon nez.
• Ça sent bon la salope, cette jolie fente, tu vas aimer que je l’enfile, place-toi à genoux sur le fauteuil, oui comme cela tes gros obus pausés sur le dossier.
Une fois dans la bonne position, je lui écarte légèrement les cuisses et ma bouche arrive sur son abricot roux.
Ma langue l’écarte, mon nez reçoit comme un délice, les effluves que la dame m’envoie.
• Lèche-moi bien, oui ta langue bien profonde, sens comme mon clito est à la fête.
Ruby, la semaine dernière, nous nous sommes éclatées avec Steve.
Il a bien fait de te faire venir Robert, maintenant enfile-moi, j’adore cette position et surtout mes genoux sont sur du doux.
Je me redresse, le visage couvert de cyprine, j’enlève ma chemise, je place ma verge, avec ma main, je la fais bouger pour qu’elle écarte ses grandes lèvres et d’un coup je suis au fond de son vagin.
Combien de temps, je la lime, je suis dans l’incapacité de le dire, ce que je sais c’est qu’elle a deux orgasmes manquant de me désarçonner, mais je la tiens fermement par les hanches.
Steve lui aussi fait grimper, comme prévu sa chienne aux rideaux.
J’ai rarement vu du temps où je niquais tout ce qui bougeait, une femme aussi déchaînée.
Je finis par décharger simultanément avec Steve au fond de sa chatte.
Un temps de repos et Steve se redresse flamberge au vent.
• Allez les filles, prenons une petite collation, j’ai une bouteille de champagne au frais.
À la fin de la bouteille nous rigolons, l’effet du champagne.
• Après cette petite introduction, mesdames, je suis sûr que Robert aimerait bien vous voir vous déchaîner l’une l’autre !
Aller zou, dans ma chambre, j’ai deux fauteuils nous attendant pendant que vous nous montrerez ce dont vous êtes capable de faire entre filles.
Nous nous installons comme au spectacle, les filles s’embrassent, la blonde me regarde.
Je sens qu’en plus de sa copine elle veut ma queue, je les laisse se déchainer, deux femmes se suçant, j’apprécie.
Je me souviens de mon but, Maeva est au-dessus de Ruby, je vais pouvoir m’occuper de son cul comme Steve me l’a promis.
Je monte sur le lit, je bande deux fois plus, elle lève la tête la tournant vers moi, dans ses yeux je vois son acceptation.
C’est fait, je l’ai pénétré par l’anus sans sentir de résistance.
Cette salope doit se faire enculer régulièrement.
Quand mes couilles touchent ses fesses, elle lève sa tête en arrière et hurle de plaisir.
J’ai à peine le temps d’entrer et sortir deux à trois fois avant d’éjaculer, hurlant moi-même à mon tour.
• Eh bien, mon salopard, pour une jouissance, c’est une jouissance.
Un réveil sonne près de nous.
• Mesdames, mon ami Robert va nous quitter, comme, lorsqu’il était enfant, il a la permission d’une heure du matin avant que maman vienne lui poser des questions.
J’espère que vous avez apprécié sa présence.
• Merci Steve, Sonia, veux-tu rester encore quelque temps à admirer le grand canyon ou les réserves indiennes.
• Non, Robert, je rentre avec toi.
Hélène et Steve me regarde comme si j’étais devenu fou.
• Robert, je me rhabille et nous rentrons.
• Souviens-toi de ce que je t’ai dit avant que tu retrouves ta copine.
• Quand tu m’as parlé de gouine ?
• Exact, je t’ai dit que j’aimerais bien participer.
Hélène, Steve, je vous invite la semaine prochaine chez ma femme et moi-même, nous reprendrons nos ébats.
Hélène, j’aime que tu aies fait connaître à ma femme, les plaisirs de l’adultère.
Steve j’espère que tu as aimé sauter mon épouse, Sonia, c’est son vrai nom, comme Hélène se fait appeler Ruby.
Je me rhabille, Sonia se rhabille et nous quittons nos amis.
Nous arrivons chez nous, mon fauteuil nous tend les bras.
• Enlève ta robe chérie et place-toi à genoux, j’ai encore une petite envie de ton joli petit cul.
Sonia m’a peut-être cocufiée, quand elle est arrivée chez Steve et qu’elle m’a vue.
Elle a compris qu’il était impossible de nier qu’elle était une salope, comme il était inutile que j’essaye de me défendre d’être chez mon copain pour niquer deux putes.
Je pense que notre réaction a été la bonne, faisant ceux s’ignorant.
Au moment où mon sexe entre une deuxième fois dans son anus, je sais que nos vies on prit un chemin bien différent à celle d’avant et j’adore.
Elle est revenue des USA après avoir reçu son diplôme dans une grande école du pays.
• C’est avec elle que tu es déjà sortie samedi dernier !
• Oui, et c’est elle qui a payé.
Cette semaine, je lui rends l’invitation, après on ira boire un dernier verre chez elle, comme samedi dernier.
• Un dernier verre, ma cochonne, tu te souviens le premier soir où je t’ai rencontré, tu étais montée ici et nous avions fait l’amour comme des bêtes.
• Salopard, tu m’avais bourré, je me suis réveillée dans ton lit au matin, avec une gueule de bois.
• Ce qui est vrai, c’est que nous avions baisé de toutes les manières possible et imaginable pour un couple en pleine possession de leurs moyens.
Si tu te gouines avec ta copine Hélène, je voudrais participer et vous prendre l’une après l’autre !
Invite là, ici, la semaine prochaine, je te laisse, je vais prendre ma douche et me mettre au lit.
Sonia vient vers moi, je l’embrasse avant de la voir se diriger vers la porte.
• Soit sans crainte, je serais de retour vers deux ou trois heures cette nuit.
Il est hors de question que nous nous gouinions, mais elle veut me faire voir des films qu’elle a tournés là-bas aux États-Unis.
Elle a filmé le grand canyon et plusieurs réserves indiennes.
Une fois ma femme partie, je récupère mon portable, j’appelle Steve mon copain de travail depuis peu, il vient d’être embauché.
La semaine dernière pendant que je le formais et que nous mangions à la brasserie au coin de mes bureaux, il m’a parlé de deux belles salopes.
Il les avait rencontrés dans un bar à vin où les femmes viennent draguer et que toutes les deux, il les avait baisés, à couilles rabattues
• C’est bon Steve, ma femme vient de partir retrouver sa copine.
Elle est sortie jusqu’à deux trois heures, tu me promets si je viens qu’avant son retour je serais rentré !
• Sans problème, mes deux putes doivent être là à 21 heures 30, nous aurons largement le temps de nous vider les couilles et de les faire grimper aux rideaux.
• Des putes, il faut les payer.
• Non, c’est façon de parler, deux salopes si tu veux, la différence avec la semaine dernière, c’est qu’à deux, nous arriverons plus facilement à éteindre le feu qu’elles ont au cul.
Pour être sûr, je mets mes deux réveils à une heure, ils sonneront et éviteront les surprises, tu seras de retour chez toi sans problème.
• Je m’habile et j’arrive.
Si je baise ce soir, ce sera la première fois que je tromperais Sonia.
À ce qu’il m’a expliqué, ce sont des pompeuses de premières.
Il a même sodomisé la blonde, l’autre refusant.
J’ai une femme blonde, elle aussi refuse que je la sodomise, je vais me régaler.
Il faut dire que de sodomiser une femme fait partie de mes fantasmes que j’avais mis dans ma poche avec mon mouchoir par-dessus en épousant Sonia, vu son refus.
• Salut Robert, un whisky avant qu’elles arrivent.
• Ça va nous mettre en pleine forme, tu peux doubler les doses.
J’ai bu la moitié de mon verre, quand la sonnette de la porte se déclenche.
• Je vais les chercher, tu vas voir, de vraie beauté.
Mavea, Ruby, je vous présente Robert, mon copain.
• Merci Steve.
Je me lève, pour accueillir ces femmes, il a raison, la blonde est canon et la brune est splendide.
• Un whisky ?
• Non, une vodka comme la semaine dernière.
Il les sert, nous trinquons.
• À notre folle nuit d’amour.
C’est la blonde qui a parlé, elle me regarde fixement.
J’ai mon but en tête qui est de la sodomiser, il est trop tôt aussi, je me rapproche de miss gros nichons.
• À la tienne, Ruby, tu me permets de te tutoyer !
• Oui, cher ami, on t’a déjà que tu étais bel homme.
• Et toi une jolie rousse, Steve avait oublié de me signaler cette particularité de ta personne.
• Je te vois venir, tu vas me demander si ma chatte à l’odeur des rousses, j’ai ma toison contrairement à Maeva qui est épilée.
De sacrer sauteuse sur le paf, car sans plus de fioriture, elle me donne sa bouche que je m’empresse de récupérer.
Du coin de l’œil, je vois Steve prendre Maeva dans ses bras et l’embrasser aussi fougueusement que j’embrasse sa copine.
J’ai toujours eu envie de baiser Sonia dans mon fauteuil, au lieu de notre lit.
Invariablement quand je commence à la chauffer, elle m’entraîne dans notre chambre et se donne dans un classique missionnaire.
Je défais ma ceinture, baisse mon pantalon avant de m’assoir les bras posés sur les accoudoirs.
Elle s’agenouille me donnant une vue plongeante sur son décolleté, ils sont plus impressionnants vus du dessus.
Elle tire sur mon pantalon pour mieux attraper mon paf.
Elle fait une chose inédite pour moi, elle dégraphe son corsage faisant sauter ses obus devant mes yeux.
Elle me prend la bite et la place au centre de ses seins.
Steve avait raison, de vraies salopes.
Ruby me fait une branlette espagnole, c’est bien doux entre ses seins, mais le plus surprenant c’est de voir mon sgeg apparaître et disparaître dans le grand canyon formé.
J’entends un bruit de succion, je tourne la tête.
Maeva a la bite de Steve dans sa bouche, alors qu’il est allongé sur le canapé.
Un de ses bras lui permettant de voir ce qu’il subit, son autre main tirant sur les cheveux de la chaudasse pour rythmer la fellation.
Fellation que je subis, quand ma bite délaissant ses nichons, Ruby avance sa bouche pour m’engamer.
Je me souviens de mon but, la rondelle de celle qui monte et qui descend sur la tige de mon pote après que je la vois l’enjamber.
J’ai le temps de voir sa chatte épilée, je veux voir celle de ma rousse aussi je me relève.
Elle m’aide à la désapper me permettant de passer mes doigts dans sa toison et de les porter à mon nez.
• Ça sent bon la salope, cette jolie fente, tu vas aimer que je l’enfile, place-toi à genoux sur le fauteuil, oui comme cela tes gros obus pausés sur le dossier.
Une fois dans la bonne position, je lui écarte légèrement les cuisses et ma bouche arrive sur son abricot roux.
Ma langue l’écarte, mon nez reçoit comme un délice, les effluves que la dame m’envoie.
• Lèche-moi bien, oui ta langue bien profonde, sens comme mon clito est à la fête.
Ruby, la semaine dernière, nous nous sommes éclatées avec Steve.
Il a bien fait de te faire venir Robert, maintenant enfile-moi, j’adore cette position et surtout mes genoux sont sur du doux.
Je me redresse, le visage couvert de cyprine, j’enlève ma chemise, je place ma verge, avec ma main, je la fais bouger pour qu’elle écarte ses grandes lèvres et d’un coup je suis au fond de son vagin.
Combien de temps, je la lime, je suis dans l’incapacité de le dire, ce que je sais c’est qu’elle a deux orgasmes manquant de me désarçonner, mais je la tiens fermement par les hanches.
Steve lui aussi fait grimper, comme prévu sa chienne aux rideaux.
J’ai rarement vu du temps où je niquais tout ce qui bougeait, une femme aussi déchaînée.
Je finis par décharger simultanément avec Steve au fond de sa chatte.
Un temps de repos et Steve se redresse flamberge au vent.
• Allez les filles, prenons une petite collation, j’ai une bouteille de champagne au frais.
À la fin de la bouteille nous rigolons, l’effet du champagne.
• Après cette petite introduction, mesdames, je suis sûr que Robert aimerait bien vous voir vous déchaîner l’une l’autre !
Aller zou, dans ma chambre, j’ai deux fauteuils nous attendant pendant que vous nous montrerez ce dont vous êtes capable de faire entre filles.
Nous nous installons comme au spectacle, les filles s’embrassent, la blonde me regarde.
Je sens qu’en plus de sa copine elle veut ma queue, je les laisse se déchainer, deux femmes se suçant, j’apprécie.
Je me souviens de mon but, Maeva est au-dessus de Ruby, je vais pouvoir m’occuper de son cul comme Steve me l’a promis.
Je monte sur le lit, je bande deux fois plus, elle lève la tête la tournant vers moi, dans ses yeux je vois son acceptation.
C’est fait, je l’ai pénétré par l’anus sans sentir de résistance.
Cette salope doit se faire enculer régulièrement.
Quand mes couilles touchent ses fesses, elle lève sa tête en arrière et hurle de plaisir.
J’ai à peine le temps d’entrer et sortir deux à trois fois avant d’éjaculer, hurlant moi-même à mon tour.
• Eh bien, mon salopard, pour une jouissance, c’est une jouissance.
Un réveil sonne près de nous.
• Mesdames, mon ami Robert va nous quitter, comme, lorsqu’il était enfant, il a la permission d’une heure du matin avant que maman vienne lui poser des questions.
J’espère que vous avez apprécié sa présence.
• Merci Steve, Sonia, veux-tu rester encore quelque temps à admirer le grand canyon ou les réserves indiennes.
• Non, Robert, je rentre avec toi.
Hélène et Steve me regarde comme si j’étais devenu fou.
• Robert, je me rhabille et nous rentrons.
• Souviens-toi de ce que je t’ai dit avant que tu retrouves ta copine.
• Quand tu m’as parlé de gouine ?
• Exact, je t’ai dit que j’aimerais bien participer.
Hélène, Steve, je vous invite la semaine prochaine chez ma femme et moi-même, nous reprendrons nos ébats.
Hélène, j’aime que tu aies fait connaître à ma femme, les plaisirs de l’adultère.
Steve j’espère que tu as aimé sauter mon épouse, Sonia, c’est son vrai nom, comme Hélène se fait appeler Ruby.
Je me rhabille, Sonia se rhabille et nous quittons nos amis.
Nous arrivons chez nous, mon fauteuil nous tend les bras.
• Enlève ta robe chérie et place-toi à genoux, j’ai encore une petite envie de ton joli petit cul.
Sonia m’a peut-être cocufiée, quand elle est arrivée chez Steve et qu’elle m’a vue.
Elle a compris qu’il était impossible de nier qu’elle était une salope, comme il était inutile que j’essaye de me défendre d’être chez mon copain pour niquer deux putes.
Je pense que notre réaction a été la bonne, faisant ceux s’ignorant.
Au moment où mon sexe entre une deuxième fois dans son anus, je sais que nos vies on prit un chemin bien différent à celle d’avant et j’adore.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Heureusement cher lecteur ça a plu à d'autres...
Un peu nulle cette histoire de tromperie … idem quant a leurs réactions respectives… s’aimaient ils vraiment ou ils aimaient seulement baiser ensemble ???
Encore une histoire caudaliste comme tant d’autres… heureusement que c est bien écrit sinon …
Merci d'avoir aimé
Hum! Très excitant, j'ignore pourtant la réaction que chacun aurait, différence entre
complicité et mis devant le fait accompli.
complicité et mis devant le fait accompli.