COLLECTION HISTOIRE COURTE. Supérieur hiérarchique (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Supérieur hiérarchique (1/1)
• Gardes à vous !
Présentez armes !
Attentions pour les couleurs !
Prêt !
Envoyez !
Le clairon sonne « au drapeau ».
Le drapeau monte lentement le long du mât dans ma caserne du 2e régiment d’infanterie de Castres.
La sonnerie se finit.
• Reposez, armes !
• Repos !
• Rompez les rangs.
Je vais pour regagner mon bureau, je suis sergent-chef responsable des munitions dans cette caserne depuis presque deux ans.
• Chef Robert, vous passerez à mon bureau à 9 heures afin que nous fassions un point sur nos caisses de munitions.
• Oui, mon commandant, mon rapport est prêt.
Je salue le commandant et je me dépêche d’aller imprimer mon travail d’hier.
Une cartouche, deux cartouches, trois.
Une boîte, deux boîtes, trois.
Une caisse, deux caisses, trois.
Mon rapport est prêt.
Je frappe à 9 heures précise, montre en main.
• Entrez !
J’ouvre, le commandant est derrière son bureau.
Je salue de nouveau.
• Repos chef, venez vers moi.
J’avance, le commandant recule son fauteuil à roulettes.
• Chef bouffez-moi la chatte, c’est un ordre.
• Oui, mon commandant, à vos ordres.
Le commandant comme on le voit est une femme.
Depuis le premier jour de notre arrivée, chaque matin après la montée des couleurs, elle me fait venir dans son bureau et je suis ses ordres pour la satisfaire sexuellement.
Aujourd’hui, elle veut que je la fasse jouir avec ma langue.
Je m’agenouille, j’écarte sa chatte épilée et je lui passe un léger coup de langue.
Elle commence à onduler.
J’aime lorsqu’elle ondule du croupion.
Son clito vient sous ma langue, je sais comment la faire partir.
Je tends le bras pour la museler, je sais qu’elle risque de hurler de plaisir.
C’est le cas et lorsque j’arrive à lui donner son plaisir, je me relève.
• Merci, chef.
Rompez !
Je salue, je quitte le bureau du commandant repartant à mes comptes des cartouches, de boîte de cartouches et des caisses.
Mais aujourd’hui, c’est mercredi et demain, à 9 heures, je vais retrouver le commandant pour faire le point sur les pistolets-mitrailleurs.
Il est 17 heures quand je sors retrouver ma femme.
À la porte de la caserne, je m’arrête pour laisser passer la voiture du commandant conduit par son chauffeur.
Je me remets au « garde-à-vous » et je salue.
J’arrive chez moi, ma femme est là.
• Bonjour mon amour, as-tu passé une bonne journée.
• La routine, j’ai compté les fusils-mitrailleurs.
Que me prépares-tu de bon mon amour.
• Des endives au gratin.
Les endives et le jambon sont dans le plat allant au four, je fais la béchamel, je gratine et nous pourrons manger.
Arrête mon cœur, je vais louper ma sauce et tu seras déçu de moi.
J’adore quand je rentre chez moi, retrouvez ma femme, seulement vêtu de son tablier de cuisine.
J’adore ses fesses de sportives, nous courons trois fois par semaines 25 kilomètres chaque fois.
Je passe ma main entre ses cuisses, je sens qu’elle mouille.
Elle a fini de battre sa béchamel et au moment où elle écarte légèrement ses cuisses, je la pointe sans autre forme de procès.
• C’est bon, Robert, je me rends.
Va nous servir un whisky, je mets au four et j’arrive.
Je quitte la chatte de ma femme avec regret, je sers les verres et je m’installe la bite à l’air dans mon fauteuil.
Comme je l’ai dit, j’aime voir ses seins sous son tablier qui déborde à droite ainsi qu’à gauche.
Elle s’agenouille entre mes cuisses et après avoir enfourné les endives, c’est ma verge qu’elle enfourne dans sa bouche.
J’aime beaucoup son titillement de langue sur mon méat.
Je sens que je vais lâcher ma semence.
Je la relève et c’est elle qui vient caler ses jambes musclées de chaque côté de mon corps.
Elle s’empale, rapidement et l’un et l’autre nous jouissons.
Après une bonne douche et les endives au gratin qui me revigore, nous allons nous coucher.
Demain, je pars à la caserne pour compter les grenades défensives.
Le lendemain, après avoir embrassé ma femme, j’arrive à la caserne au même moment que notre commandant, je me mets au garde-à-vous et je salue.
Je suis prêt pour la montée de drapeau.
Le chef de service nous libère.
Le commandant vient vers moi.
• Chef, c’est l’heure de notre hébertisme, dans dix minutes à la barrière de la caserne, nous irons faire notre parcours habituel dans la campagne et la forêt.
• Bien mon commandant, je serais à l’heure.
J’aime aller courir avec le commandant, je suis derrière et j’adore son joli cul se balançant de droite à gauche.
Toujours derrière, supérieure hiérarchique, oblige.
Nous sommes dans la forêt et une barrière de rondin de bois interdit l’entrée d’une allée aux voitures.
Elle place l’une de ses longues jambes dessus et fait des étirements.
Nous faisons toujours des étirements à cet endroit bien tranquille au fond de cette forêt.
Je passe derrière elle et ma verge en pleine forme vient lui faire sentir mon envie.
Elle change de jambe, ma main vient dans sa fourche.
Son collant est mouillé comme chaque fois que nous nous arrêtons à cette barrière.
Elle repose sa jambe au sol, j’en profite pour la dénuder.
Elle replace son autre jambe et sans le moindre effort je l’encule.
En peu de temps, un cerf et une biche font entendre aux autres animaux de cette forêt que baiser pour nous c’est fait pour notre plaisir.
De retour à la caserne après avoir parcouru 25 kilomètres, je vais me doucher dans la chambre qui m’est attribuée.
Après manger, je fais ma sieste lorsque le téléphone sonne.
• Oui, mon commandant, j’arrive.
Je suis étonné, c’est la première que le commandant m’appelle un après-midi.
J’ai un souci, il me reste de nombreuses caisses de grenades offensives à compter.
Je rejoins le bureau un peu péteux.
• Sergent-chef, j’ai le plaisir de vous dire que vous êtes promu au grade d’adjudant à compter du 1er mai.
De plus, notre régiment sera l’un de ceux qui auront l’honneur de défiler sur les champs le 14 juillet.
Je défilerais à sa tête et je vous ai choisi pour entrainer les hommes qui feront partie de ce défilé.
• Merci mon commandant, je serais à la hauteur de la tâche que vous me confiez.
Une dernière chose, vous êtes muté au 1er régiment d’infanterie de La Rochelle.
Vous rejoindrez votre nouvelle affectation le 1er septembre.
Nous nous y retrouverons, je suis moi-même mutée afin de prendre le commandement de ce régiment.
Rompez et encore félicitation pour votre promotion.
Je salue et je sors du bureau.
À 17 heures, je quitte la caserne saluant une nouvelle fois le commandant dans sa voiture.
Arrivé chez moi, Jeanne ma chère et tendre m’attend entièrement nue sans son tablier.
• Mon cœur, j’ai réservé un restaurant pour ce soir.
• Ça tombe bien, j’ai quelque chose à t’annoncer.
• Je sais tout, papa m’a appelé.
Je vais faire nos paquets, nous partons pour La Rochelle et il m’a dit pour ton grade.
Oui, il faut que je vous dise, il y a quatre ans en entrant dans l’infanterie à Metz, j’avais comme supérieure hiérarchique Jeanne au grade de lieutenant.
Nous avons eu le coup de foudre et son papa général fraichement retraité de l’armée de terre l’a conduit jusqu’à moi dans son costume d’officier supérieur.
Le plus emmerdant ce fut l’épée à son côté, j’ai manqué de me prendre les pieds en sortant de la mairie.
De suite, nous sommes tombés entièrement d’accord.
À la caserne, supérieur hiérarchique, oblige, je respect nos grades.
À la maison, nous sommes un couple normal à égalité bien que !
• Chérie, les lecteurs du site HDS veulent savoir pourquoi nous baisons à la caserne ou lors de notre service !
• Tu peux mon chéri, nous nous sommes juré de tout nous dire.
Oui, je sais, même à la maison, comme toutes les femmes de la terre, elle commande aussi.
Si nous baisons dans son bureau, c’est que j’ai constaté qu’elle jouissait nettement plus dans ces lieux qu’à la maison.
J’espère que vous me comprendrez.
Présentez armes !
Attentions pour les couleurs !
Prêt !
Envoyez !
Le clairon sonne « au drapeau ».
Le drapeau monte lentement le long du mât dans ma caserne du 2e régiment d’infanterie de Castres.
La sonnerie se finit.
• Reposez, armes !
• Repos !
• Rompez les rangs.
Je vais pour regagner mon bureau, je suis sergent-chef responsable des munitions dans cette caserne depuis presque deux ans.
• Chef Robert, vous passerez à mon bureau à 9 heures afin que nous fassions un point sur nos caisses de munitions.
• Oui, mon commandant, mon rapport est prêt.
Je salue le commandant et je me dépêche d’aller imprimer mon travail d’hier.
Une cartouche, deux cartouches, trois.
Une boîte, deux boîtes, trois.
Une caisse, deux caisses, trois.
Mon rapport est prêt.
Je frappe à 9 heures précise, montre en main.
• Entrez !
J’ouvre, le commandant est derrière son bureau.
Je salue de nouveau.
• Repos chef, venez vers moi.
J’avance, le commandant recule son fauteuil à roulettes.
• Chef bouffez-moi la chatte, c’est un ordre.
• Oui, mon commandant, à vos ordres.
Le commandant comme on le voit est une femme.
Depuis le premier jour de notre arrivée, chaque matin après la montée des couleurs, elle me fait venir dans son bureau et je suis ses ordres pour la satisfaire sexuellement.
Aujourd’hui, elle veut que je la fasse jouir avec ma langue.
Je m’agenouille, j’écarte sa chatte épilée et je lui passe un léger coup de langue.
Elle commence à onduler.
J’aime lorsqu’elle ondule du croupion.
Son clito vient sous ma langue, je sais comment la faire partir.
Je tends le bras pour la museler, je sais qu’elle risque de hurler de plaisir.
C’est le cas et lorsque j’arrive à lui donner son plaisir, je me relève.
• Merci, chef.
Rompez !
Je salue, je quitte le bureau du commandant repartant à mes comptes des cartouches, de boîte de cartouches et des caisses.
Mais aujourd’hui, c’est mercredi et demain, à 9 heures, je vais retrouver le commandant pour faire le point sur les pistolets-mitrailleurs.
Il est 17 heures quand je sors retrouver ma femme.
À la porte de la caserne, je m’arrête pour laisser passer la voiture du commandant conduit par son chauffeur.
Je me remets au « garde-à-vous » et je salue.
J’arrive chez moi, ma femme est là.
• Bonjour mon amour, as-tu passé une bonne journée.
• La routine, j’ai compté les fusils-mitrailleurs.
Que me prépares-tu de bon mon amour.
• Des endives au gratin.
Les endives et le jambon sont dans le plat allant au four, je fais la béchamel, je gratine et nous pourrons manger.
Arrête mon cœur, je vais louper ma sauce et tu seras déçu de moi.
J’adore quand je rentre chez moi, retrouvez ma femme, seulement vêtu de son tablier de cuisine.
J’adore ses fesses de sportives, nous courons trois fois par semaines 25 kilomètres chaque fois.
Je passe ma main entre ses cuisses, je sens qu’elle mouille.
Elle a fini de battre sa béchamel et au moment où elle écarte légèrement ses cuisses, je la pointe sans autre forme de procès.
• C’est bon, Robert, je me rends.
Va nous servir un whisky, je mets au four et j’arrive.
Je quitte la chatte de ma femme avec regret, je sers les verres et je m’installe la bite à l’air dans mon fauteuil.
Comme je l’ai dit, j’aime voir ses seins sous son tablier qui déborde à droite ainsi qu’à gauche.
Elle s’agenouille entre mes cuisses et après avoir enfourné les endives, c’est ma verge qu’elle enfourne dans sa bouche.
J’aime beaucoup son titillement de langue sur mon méat.
Je sens que je vais lâcher ma semence.
Je la relève et c’est elle qui vient caler ses jambes musclées de chaque côté de mon corps.
Elle s’empale, rapidement et l’un et l’autre nous jouissons.
Après une bonne douche et les endives au gratin qui me revigore, nous allons nous coucher.
Demain, je pars à la caserne pour compter les grenades défensives.
Le lendemain, après avoir embrassé ma femme, j’arrive à la caserne au même moment que notre commandant, je me mets au garde-à-vous et je salue.
Je suis prêt pour la montée de drapeau.
Le chef de service nous libère.
Le commandant vient vers moi.
• Chef, c’est l’heure de notre hébertisme, dans dix minutes à la barrière de la caserne, nous irons faire notre parcours habituel dans la campagne et la forêt.
• Bien mon commandant, je serais à l’heure.
J’aime aller courir avec le commandant, je suis derrière et j’adore son joli cul se balançant de droite à gauche.
Toujours derrière, supérieure hiérarchique, oblige.
Nous sommes dans la forêt et une barrière de rondin de bois interdit l’entrée d’une allée aux voitures.
Elle place l’une de ses longues jambes dessus et fait des étirements.
Nous faisons toujours des étirements à cet endroit bien tranquille au fond de cette forêt.
Je passe derrière elle et ma verge en pleine forme vient lui faire sentir mon envie.
Elle change de jambe, ma main vient dans sa fourche.
Son collant est mouillé comme chaque fois que nous nous arrêtons à cette barrière.
Elle repose sa jambe au sol, j’en profite pour la dénuder.
Elle replace son autre jambe et sans le moindre effort je l’encule.
En peu de temps, un cerf et une biche font entendre aux autres animaux de cette forêt que baiser pour nous c’est fait pour notre plaisir.
De retour à la caserne après avoir parcouru 25 kilomètres, je vais me doucher dans la chambre qui m’est attribuée.
Après manger, je fais ma sieste lorsque le téléphone sonne.
• Oui, mon commandant, j’arrive.
Je suis étonné, c’est la première que le commandant m’appelle un après-midi.
J’ai un souci, il me reste de nombreuses caisses de grenades offensives à compter.
Je rejoins le bureau un peu péteux.
• Sergent-chef, j’ai le plaisir de vous dire que vous êtes promu au grade d’adjudant à compter du 1er mai.
De plus, notre régiment sera l’un de ceux qui auront l’honneur de défiler sur les champs le 14 juillet.
Je défilerais à sa tête et je vous ai choisi pour entrainer les hommes qui feront partie de ce défilé.
• Merci mon commandant, je serais à la hauteur de la tâche que vous me confiez.
Une dernière chose, vous êtes muté au 1er régiment d’infanterie de La Rochelle.
Vous rejoindrez votre nouvelle affectation le 1er septembre.
Nous nous y retrouverons, je suis moi-même mutée afin de prendre le commandement de ce régiment.
Rompez et encore félicitation pour votre promotion.
Je salue et je sors du bureau.
À 17 heures, je quitte la caserne saluant une nouvelle fois le commandant dans sa voiture.
Arrivé chez moi, Jeanne ma chère et tendre m’attend entièrement nue sans son tablier.
• Mon cœur, j’ai réservé un restaurant pour ce soir.
• Ça tombe bien, j’ai quelque chose à t’annoncer.
• Je sais tout, papa m’a appelé.
Je vais faire nos paquets, nous partons pour La Rochelle et il m’a dit pour ton grade.
Oui, il faut que je vous dise, il y a quatre ans en entrant dans l’infanterie à Metz, j’avais comme supérieure hiérarchique Jeanne au grade de lieutenant.
Nous avons eu le coup de foudre et son papa général fraichement retraité de l’armée de terre l’a conduit jusqu’à moi dans son costume d’officier supérieur.
Le plus emmerdant ce fut l’épée à son côté, j’ai manqué de me prendre les pieds en sortant de la mairie.
De suite, nous sommes tombés entièrement d’accord.
À la caserne, supérieur hiérarchique, oblige, je respect nos grades.
À la maison, nous sommes un couple normal à égalité bien que !
• Chérie, les lecteurs du site HDS veulent savoir pourquoi nous baisons à la caserne ou lors de notre service !
• Tu peux mon chéri, nous nous sommes juré de tout nous dire.
Oui, je sais, même à la maison, comme toutes les femmes de la terre, elle commande aussi.
Si nous baisons dans son bureau, c’est que j’ai constaté qu’elle jouissait nettement plus dans ces lieux qu’à la maison.
J’espère que vous me comprendrez.
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