COLLECTION HISTOIRE COURTE. Trop bonne la mariée, trop con le marié ! (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Trop bonne la mariée, trop con le marié ! (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Trop bonne la mariée, trop con le marié ! (1/1)
Je m’appelle Christophe, trente-deux ans, toutes mes dents bien blanches, j’en prends soin.
Mon sourire carnassier et mon torse préparé grâce aux salles de sport que je visite régulièrement les soirs dans les villes où je séjourne sont mes principaux atouts pour tomber la gent féminine.

J’officie comme représentant de commerce dans les sous-vêtements féminins.
Bodys, brassières, bustiers, déshabillés, parures de dentelles, simples strings, bref tout ce qui peut être offert à une femme par un homme, j’en fais la promotion.
J’en ai un plein coffre dans ma Peugeot break et je visite les diverses boutiques vendant ce genre de sous-vêtements féminin.
Le nombre de femmes tenant une boutique et qui me fait venir directement chez elles pour essayer mes nouveautés toutes droites sorties de l’usine pour laquelle je travaille est très important.

Julien, mon patron connaît mon penchant pour les femmes.
Il sait qu’il est rare que je reste seule le soir d’étape, aussi avant de partir, connaissant les goûts et surtout les tailles de mes maîtresses, il me prépare une valise spéciale où je puise pour aller biquer.
Il perd un modèle, mais comme ces dames espèrent revoir rapidement ma bite dont je joue en maestro, les commandes que je lui rapporte comble bien, le coût de ce modèle offert.
Janine, la femme tenant la boutique dans la galerie marchande d’un centre commercial d’Orléans a cru pouvoir avoir un petit modèle coquin gratuitement pensant que j’étais amoureux de sa chatte.
Elle vendait, une grande quantité de modèles, mais je savais qu’elle commandait la plus grande partie de ce qu’elle avait dans sa boutique à la concurrence.
Nous avions nos numéros, aussi je l’ai fait poireauter pendant deux semaines avant d’arriver avec mes valises.
Je voulais en faire ma soumise, je l’aurais pu, mais les femmes pour moi doivent participer activement à nos rapports aussi je me suis gardé d’aller trop loin.
J’ai fini par l’appeler prenant rendez-vous le jeudi suivant, j’ai ouvert mes valises, j’ai fait l’article, je suis très fort au baratin dans mes moments intimes ou dans mes ventes.

• Christophe, es-tu libre ce soir, je t’invite à la maison, tu sais que tu m’as manqué.
• Et Laurent, le représentant qui est mon concurrent, il t’a bien baisée, les trois quarts des modèles que tu as dans ta boutique viennent de l’usine de fabrication pour laquelle il travaille.
• Tu te trompes, il a soixante-et-un, l’an prochain c’est la retraite.
Tu es le seul homme qui vient chez moi, mais reconnaît que ses modèles sont plus beaux que les vôtres, c’est plus soigné.
Regarde ces dentelles bien plus belles que celles que tu me proposes.
• Je conçois que chacun doit faire son chiffre et moi je dois faire le mien, équilibre tes commandes cinquante, cinquante, je veux bien venir chez toi après que tu m’aies rempli mon carnet de commandes.
Regarde cette parure, elle est aussi belle que celle que tu as en vitrine, mais surtout les couleurs sont plus chatoyantes.
Fais un essai, mets-la en place, je repasse ce soir, si tu en as vendu deux, je viens chez toi.
• Je relève ton pari, tu as raison, cet ensemble est très beau.

Je pars à l’autre bout de la ville, dans le centre opposé.
Lucette, la patronne, a été ma maîtresse, mais ses vieux rhumatismes l’ont rattrapée.
Elle va bientôt vendre à une jeune femme dont les parents sont friqués.
Ce sont eux qui vont lui offrir la boutique.
Le soir je reçois un coup de fil de Janine.

• Tu connais l’adresse, 21 heures chez moi, j’en ai vendu trois modèles par chance dans les trois tailles que tu m’avais laissées, viens, tu seras content, je vais te signer soixante modèles pour ta société.
• Tu fais un bel effort, j’arriverai à l’heure, je monterai mes valises, je t'aiderai à choisir un modèle pour toi.

Quand j’arrive, elle m’ouvre la porte de son appartement situé à quelques encablures du centre où elle tient boutique.
Elle est en petite tenue, mon modèle, le soutien-gorge pigeonnant faisant ressortir ses grosses mamelles.
95 C, je lui en avais donné un exemplaire dans les quatre vendus.

• Christophe, tu as raison, je commande deux séries de ce modèle, si je vends certaines tailles plus vite que d’autres combien pour réachalander.
Moins de 24 heures, mon patron a développé un service de livraison rapide à vos boutiques pour concurrencer Internet, tu l’appelles, en moyenne, en douze heures après ta commande seras là.
Demande à Laurent d’en faire autant, je te promets d’être ton esclave sexuel pendant une semaine.

Avant de rejoindre la table que je vois dans sa salle avec chandelles et musique douce, j’ouvre mes valises, aujourd’hui je fais le chiffre le plus important depuis des mois.
Bien sûr, après avoir mangé, je la prends dans mes bras et je la fais danser, moi dans mon costume, elle presque à poil.
Je sais ce qu’elle aime, se faire prendre sur la peau de bête placée devant la fausse cheminée ou des flammes artificielles brûlent.
Je la prends dans toutes les positions possibles vues son gabarit.
Il est vingt-trois heures quand je la quitte, ma liste de modèles bien signés, depuis, elle tient parole, dans sa devanture, quatre modèles, trois sont de notre société.

Cette semaine, je reste sur ce secteur.
Je dois voir un de mes gros clients, la boutique où je me présente est tenue par un couple.
J’ai baisé Viviane, une seule fois dans l’arrière-boutique la porte exceptionnellement fermée.
Lulu, son mari, était au tribunal pour un très grand excès de vitesse.
Ce jour-là, il a tout gagné.
Un retrait de permis, une forte amende et un cocufiage en règle, madame se faisant prendre sur un tas de cartons pliés pour être mis en décharge.
Comme on dit vulgairement, elle m’a littéralement sauté au paf, elle a commencé par une gorge profonde me montrant une grande pratique des fellations.
Elle savait que je venais, comme chaque fois, j’avais appelé pour savoir s’ils pouvaient me recevoir.
Elle savait être seule, quand j’ai soulevé sa jupe, aucun sous-vêtement, sa chatte dégoulinante semblant m’attendre.
Quand j’ai déchargé tout mon sperme, elle hurlait presque au viol, mais de plaisir.
Lulu revenant, il nous a trouvé sagement face à face près de la caisse, les valises ouvertes et nous a aidé à choisir les modèles.
Un coup de queue et une grosse commande, il faut dire que je leur avais présenté la nouvelle collection en bon professionnel.

C’est la seule fois, ayant sympathisé avec Lulu que le samedi soir, me sachant seul, devant me rendre dans la ville voisine le lundi, j’ai dîner chez eux.
Regard d’envie de Viviane, mais rien de plus, aucune ouverture, je les quitte vers trois heures du matin, Lulu ayant refait le monde.

J’arrive à l’hôtel, j’ai le code de nuit.
J’arrive à l'ascenseur, je vois qu’il est en train de monter.
J’attends qu’il redescende, d’autres traînes savates doivent monter devant moi.
Il arrive et enfin je monte au troisième.
Les portes s’ouvrent et je vois une jeune femme en robe blanche tirant par les bras sans grand succès un garçon semblant être en mauvais état.

• Puis-je vous aider ?
• Je veux bien, nous étions dans la salle des fêtes voisine, nous nous sommes mariés aujourd’hui.
Il a picolé avec ses témoins, nous avons quitté la famille, tout semblait bien aller.
C’est en sortant de l’ascenseur qu’il est tombé, j’essaye de le tirer jusqu’à notre chambre, regardez, il ronfle, vous parlez d’une nuit de noces.

Jolie blonde, la position qu’elle a pour tirer son mari, poitrine en avant, font que je vois plus des trois quarts de ses jolis seins.
Il y a même un de ces mamelons pointant hors du plastron, ce modèle se portant sans soutien-gorge.
Je bande, le tableau étant si surprenant.

• Je vais vous aider, allez ouvrir votre porte.

Elle s’exécute, me cachant ses jolis seins au détriment de ma verge.
Le garçon est assez lourd, mais j’ai dit être sportif.
Je le tire sans ménagement, avoir un aussi joli petit lot à mettre dans son lit, se pinter le soir de ses noces, c’est du gâchis et je suis contre toute forme de gâchis.

Dans la chambre, tout est près, pétales de rose, bouteille de champagne dans un saladier avec glace pour qu’elle soit à bonne température.
Je réussis à le mettre sur son lit, j’ai fait du secourisme, je le place en latéral de sécurité.
Inutile en plus d’une grosse déception que la petite soit veuve la nuit de ses noces.

• On va le laisser dormir, je t’offre un jus d’orange dans ma chambre, c’est celle voisine.
Ça m’a donné soif, mais moi ce sera sans alcool, tu as pu voir que je suis assez sportif.
Si tu le souhaites, emmenons ce champagne et je t’en servirai quelques coupes.
• Non, moi aussi, mais maman a mis une bouteille de jus de fruits dans le frigo, je vais l’emporter.
Tu as raison, laissons-le dormir.

Arrivée dans la chambre, elle voit mes valises dont l’une est ouverte.

• C’est joli, tu es fétichiste, tu aimes mettre des sous-vêtements de femmes !
• Tu veux essayer, j’ai ta taille, tu as une ligne mannequin.
Attends, je vais t’aider à détacher ta robe !

Je la détache, elle est en string, dommage ces produits sont fabriqués dans d’autres usines que là notre, mais j’ai mieux à faire.

• Et si je te faisais passer ta nuit de noces, au lieu de l’autre con, je serais ton souvenir !
Une minute, je vais aller chercher des pétales de roses !
• Inutile, j’ai attendu ce moment toute la journée, tu as raison, c’est toi qui vas en profiter.

Je la saute toute la nuit, je la fais jouir un nombre maximum de fois.
C’est une élève douée et surtout elle a déjà connu le loup.
J’avais peur de tomber sur une vierge, qui aurait crié, maman, j’ai mal dès que je l’aurais déchiré.
Je pourrais lui demander si l’autre cuvant dans les pétales de roses, c’est lui qui l’a défloré, mais je m’en contrefous.
Je la baise une dernière fois en levrette avant de la voir partir, nue sa robe à la main.
Je passe mon dimanche à récupérer, lorsque Sofia est partie, j’ai écouté s’il y avait du grabuge, mais rien.
Le lundi, je vais pour descendre en salle prendre un petit déjeuner copieux, car à jeun depuis le samedi.
Les femmes de ménage nettoient la chambre de celle qui a passé sa nuit de noces avec moi, adieu, belle Sofia, que l’avenir te donne un mari moins con que celui que j’ai couché pour qu’il décuite.

Il y a plus d’un mois que j’ai sauté Sofia, je suis à deux doigts de l’avoir oublié.
J’arrive chez Viviane, celle qui vend sa boutique.
De dos rangeant dans les rayons des petites culottes, je vois une tête blonde.

• Christophe, je te présente Sofia, la jeune femme qui a acheté ma boutique.
Je suis à la retraite dès ce soir.
• Bonjours madame, votre mari va bien, a-t-il bien récupéré ?
• Quel mari Christophe, dès le matin, j’ai pris mes affaires et j’ai été voir mes parents qui ont fait le nécessaire pour que mon mariage soit annulé.
Je cherche un vendeur spécialisé en sous-vêtements féminins, le poste t’intéresse.

Vendeur en boutique de lingerie, fini les kilomètres et les hôtels.
Vendeur et patron, car j’épouse Sofia à qui je fais passer une nuit de noces idylliques dans les pétales de roses.

• Christophe, j’ai su que tu t’étais marié et que tu étais le vendeur de ta femme, je peux te proposer des articles, on a une gamme de tout premiers choix.
• Laurent, tu vois la porte derrière toi, ton insinuation à dire que je suis le « vendeur de ma femme, » tu peux te la carrer.

Pour réachalander notre boutique de lingerie, je vais directement avec ma chérie à l’usine de Julien, mon ancien patron qui est toujours satisfait de nous voir.
Nous avons doublé le chiffre d’affaires de Viviane.
À la porte de notre magasin, j’ai placé un écriteau.

« Interdit aux colporteurs. »

Moi aussi j’ai une réserve et un tas de cartons à détruire…
Ha, oui une dernière chose, Julien a pris en compte ma demande et nous lui achetons de nombreux strings que j’adore arracher avec mes dents lorsque j’honore madame justement sur les tas de cartons.

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