COLLECTION HISTOIRE COURTE. Un grand moment de liberté (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Un grand moment de liberté (1/1)
• Fleur, après avoir déposé les enfants à leur école pourrais-tu déposer le chèque que j’ai mis sur la table du salon à la banque de la société ?
Il est important, il faut que notre banquier le valide le plus vite possible.
J’ai moi-même un rendez-vous à l’autre bout de la ville.
• Compte sur moi, je serais malheureuse si tu avais des problèmes.
Fleur, trente-deux ans, petite taille, de beaux cheveux blonds avec des yeux bleus.
Mariée avec Olive depuis trois ans et ensemble depuis dix ans Mes enfants, Narcisse notre fils cinq ans et Magnolia et Violette, nos jumelles de quatre ans.
Nous voulions des enfants tard et rapproché.
Avec les jumelles nous avons été servies.
• Au revoir les enfants, Narcisse peux-tu faire attention à tes sœurs lors de la récréation !
• Vous savez bien que dans notre école, vos filles sont en sécurité.
Est-ce vous qui les récupérez à 17 heures ?
• Oui, à part un chèque à mettre à la banque pour mon mari, le ménage m’attend et surtout ranger les chambres des enfants.
Tous les jours, il faut ranger les chambres des enfants après une soirée où ils ont joué.
• C’est là le lot des femmes ayant des enfants en bas âge.
C’est pourquoi je m’occupe des enfants des autres et que le reste du temps je suis libre pour m’occuper de moi.
Demain, c’est vendredi et je serais libre de tous ces garnements jusqu’à lundi.
Clémentine, c’est la maîtresse de mes deux dernières, je lui souris et je remonte en voiture.
Je démarre et je prends la nationale menant nulle part du moins pour moi, la banque étant à l’opposer.
Je roule, je roule, je roule sans savoir pourquoi je le fais et surtout pourquoi.
Un jeune auto-stoppeur me fait signe, une pancarte à la main.
Je m’arrête me foutant complètement de l’endroit où il se rend.
Il dépose son sac à dos sur le siège arrière et monte à mon côté.
Je roule, je roule et je constate qu’il reluque mes jambes gainées de soie.
Je pose mon regard vers son centre d’intérêt, on voit que je porte des jarretelles qui tiennent mes bas.
Une forêt, nous traversons une forêt, un chemin de terre, je tourne malgré l’étonnement du jeune homme.
Je pose ma main sur sa braguette et je sors sa queue sans qu’il émette la moindre remarque.
Je l’ai dans la bouche, chose que je fais pour la première fois à un homme.
Olive est mon premier et seul homme qui est connu ma petite fleur et qui m’a toujours comblé.
Je suis épanoui avec lui depuis que je l’ai rencontré et pour finir par m’offrir les trois petits anges que pour un moment j’oublie.
• Viens me prendre sur la banquette arrière comme une chienne.
Je descends, il descend, contourne la voiture, m’ouvre la portière arrière afin que je me mette à quatre pattes, les genoux au bord du siège à cause de son sac à dos.
Grâce à bouche il est tendu au maximum.
J’ai aimé le sucer et lorsqu’il soulève ma jupe de femmes mariées sérieuses, je sens la fraîcheur sur mes fesses.
Sa main écarte ma petite culotte, et d’un seul coup bien centré étant resté lui-même debout, il me plante, là où ça fait du bien.
Ça fait toujours du bien depuis le jour où Olive m’a dépucelé.
On peut dire que les enfants ont été conçus dans le plaisir, je dirais même dans l’orgasme.
Ce coup de bite que je prends dans cette forêt est de ceux-là et après avoir gueulé mon plaisir au sac à dos ma joue posé dessus, il me remplit et surtout d’extase.
Je sens ma joue libérée quand le jeune ouvre la portière opposée, et qu’il enlève son sac, je me retrouve la tête sur ma banquette lorsqu’il claque la portière.
Combien de temps suis-je resté dans cette position, le cul en l’air à la merci du moindre ramasseur de champignons, je l’ignore.
Lorsque je récupère, mon cerveau remplit du plaisir que j’ai pris, je me redresse et m’assayant j’ôte ma culotte.
Je m’essuie avant de la jeter devant moi et de reprendre ma route vers l’inconnu.
L’inconnu qui vient de me baiser, je le croise un peu plus loin.
Il me fait un signe comme un merci, moi je continue ma route droit devant moi.
Je suis dans une ville et je vois l’enseigne d’un hôtel.
Je m’arrête et je prends une chambre.
20 heures, je descends au restaurant, j’ai une faim d’ogresse, mais je me contente d’une salade aux truffes.
À deux tables de moi, un homme élégant me regarde avec envie.
Je dois mouiller mon fauteuil en velours, vu que je suis sans culotte et encore avec la même robe, étant donné que je suis parti sur un coup de tête sans le moindre bagage.
Il finit son repas et se lève le temps que je finisse mon café.
Je sors de la salle, il y a un bar donnant sur le couloir menant à nos chambres.
Je vois l’homme au bar.
J’entre et je viens m’assoir sur le tabouret à son côté.
« Vous habitez chez vos parents ! »
Bien sûr, ces mots, cela fait dix ans que je les ai entendus dans la bouche d’Olive à la fête du village où il m’a rencontré pendant les vacances.
Non, j’étais chez ma grand-mère, mais c’est dans le foin dans une grange voisine qu’il m’a dépucelée et envoyée au septième ciel dès la première fois.
• Vous êtes à l’hôtel !
• Évitons les questions personnelles.
• Je vois, ma chambre ou la tienne !
• Qu’importe la première trouvée.
La première, c’est la mienne, nous entrons et dès le vestibule il attaque.
Il me plaque sur la porte à peine refermée et alors que je l’embrasse à pleine bouche, ivre de luxure, il passe sa main sous ma jupe.
• Salope, tu te balades sans culotte.
• Arrête de parler, saute-moi, donne-moi ta queue.
Je suis chaude comme la braise, je sens ma mouille couler le long de mes jambes.
Est-ce lui ou moi qui sors sa queue et ce sont mes pieds plus hauts que le sol, que je me sens empaler.
Peu de temps après, si d’autres clients croisent dans le couloir, ils doivent entendre cette mère de famille véritable salope criant son plaisir sous les assauts de mon baiseur.
J’ai l’habitude, d’une pénétration lente, d’un orgasme avant qu’Olive se tourne et me remercie de ce bon moment.
Dans nos premiers mois, j’avais droit à la cigarette qu’il allait fumer avant de revenir se coucher.
Je lui ai dit de choisir, j’ai gagné.
Là, c’est sans toucher terre qu’il me porte jusqu’à mon lit et où il me jette sans ménagement.
Il veut me prendre en levrette, j’ai mieux, je me place devant lui et je lève une jambe.
D’où me vient cette envie de cette position ?
Quand sa bite entre en moi ma chatte le reçoit avec un grand plaisir.
Ma jupe est tire-bouchonnée sur mes hanches.
Je me soulève et j’ôte mon soutien-gorge.
Il y a une glace qui me monte avec mes bas, mon porte-jarretelles, c’est la première fois que je vois un sexe au fond de ma grotte, ça amplifie ma jouissance.
Dans la première phase derrière la porte, j’y ai laissé blazer et chemisier.
Culotte, ça s’était dans la forêt.
Je connais ma chatte blonde, taillée dans le meilleur institut de beauté de la ville, mais c’est la première fois que je la voie lorsque je me fais pénétrer.
Pour faire comme les autres fois avec Olive et le jeune homme dans ma voiture, je démarre ma jouissance jusqu’à voler à haute altitude.
Dans la nuit, il me prend encore une fois, dans la baignoire avant de finir moi à quatre pattes les seins sur le lit.
Il les empoigne les tirants à m’en faire mal, mais avec délice.
Il aurait voulu m’enculer, je me serais laissé faire, mais c’est ma chatte qu’il attaque de nouveau.
Comment suis-je couchée seule dans mon lit, lorsque j’émerge, ma chatte repue de son putain de sexe.
Je m’habille, ayant repris un bain et je descends dans le petit salon où ils servent le petit déjeuner.
La jeune femme qui m’apporte le café me donne une petite enveloppe.
• De la part d’un monsieur qui est parti depuis une demi-heure.
J’attends qu’elle soit partie et je l’ouvre.
« Merci pour ce divin moment, j’ai vu ton alliance, de la façon dont tu t’es donnée, je pense que tu as eu l’envie d’une coupure dans ta vie et que tu vas retrouver ta petite famille.
Bonne continuation, je te le répète, merci pour ce divin moment. »
Pas un mot de plus, même son nom je l’ignore comme il ignore le mien.
Le rappel à ma famille me remet la tête en place alors que je me rends compte que c’est de mer dont j’avais envie.
Lorsque je récupère ma voiture, je vois un panneau « Honfleur plage 5-Km. »Je vais sur cette plage, il pleut, je suis gelée, mon brushing est ravagé, mais je cours dans tous les sens seule sur cette plage comme une folle que je suis.
Je finis par m’effondrer en pleurant à chaudes larmes.
Je finis par émerger et je reprends le chemin de mon foyer bien décidé de taire à Olive le pourquoi du comment.
• Et ton travail, pourquoi es-tu à la maison?
• Je viens de conduire les enfants à l’école et je suis revenu faire les lits et ranger les chambres.
Tu es trempé, tu vas attraper la mort, veux-tu que je te fasse couler un bain.
Me proposant cela, il monte à l’étage et j’entends l’eau coulée.
Je me dénude dans l’escalier et alors qu’il prend la panière de linge salle dont les petites culottes que j’avais mises aux enfants avant de partir à l’école, il descend dans la buanderie démarrer une machine.
J’ai l’impression de me voir faire ce que je fais tous les jours.
Lorsque je reviens dans notre chambre, il est assis sur le lit à m’attendre.
J’ai envie de lui sucer la queue, mais j’ai peur qu’il me prenne pour une pute ayant appris cette pratique pendant mon escapade.
Il me prend avec tendresse dans toute l’acception du terme.
Comme habituellement il me fait jouir sans plus me poser de questions.
Ayant pris mon plaisir et lui aussi, je suis dans ses bras et je suis une nouvelle fois en pleurs.
• Que t’arrive-t-il mon amour, pourquoi, pleurs-tu ?
Il aurait pu me poser des questions, ou, quoi, comment, mais surtout pourquoi !
« Pourquoi, pleurs-tu, » me désarçonnent surtout après ce que je m’entends lui dire ?
• Bébé, j’ai oublié de mettre ton chèque.
• Sèche tes larmes mon amour, hier le client est revenu et nous a doublé sa commande, la société est sauvée et il m’a refait un chèque, met celui que je t’ai donné à la poubelle.
Chérie, si nous faisions un autre bébé ????
Il est 17 heures, papa et maman reçoivent nos trois enfants dans nos bras.
• Les enfants et si nous emmenions, pour le week-end, maman jouée sur la plage.
Vous verrez la mer pour la première fois.
Il est important, il faut que notre banquier le valide le plus vite possible.
J’ai moi-même un rendez-vous à l’autre bout de la ville.
• Compte sur moi, je serais malheureuse si tu avais des problèmes.
Fleur, trente-deux ans, petite taille, de beaux cheveux blonds avec des yeux bleus.
Mariée avec Olive depuis trois ans et ensemble depuis dix ans Mes enfants, Narcisse notre fils cinq ans et Magnolia et Violette, nos jumelles de quatre ans.
Nous voulions des enfants tard et rapproché.
Avec les jumelles nous avons été servies.
• Au revoir les enfants, Narcisse peux-tu faire attention à tes sœurs lors de la récréation !
• Vous savez bien que dans notre école, vos filles sont en sécurité.
Est-ce vous qui les récupérez à 17 heures ?
• Oui, à part un chèque à mettre à la banque pour mon mari, le ménage m’attend et surtout ranger les chambres des enfants.
Tous les jours, il faut ranger les chambres des enfants après une soirée où ils ont joué.
• C’est là le lot des femmes ayant des enfants en bas âge.
C’est pourquoi je m’occupe des enfants des autres et que le reste du temps je suis libre pour m’occuper de moi.
Demain, c’est vendredi et je serais libre de tous ces garnements jusqu’à lundi.
Clémentine, c’est la maîtresse de mes deux dernières, je lui souris et je remonte en voiture.
Je démarre et je prends la nationale menant nulle part du moins pour moi, la banque étant à l’opposer.
Je roule, je roule, je roule sans savoir pourquoi je le fais et surtout pourquoi.
Un jeune auto-stoppeur me fait signe, une pancarte à la main.
Je m’arrête me foutant complètement de l’endroit où il se rend.
Il dépose son sac à dos sur le siège arrière et monte à mon côté.
Je roule, je roule et je constate qu’il reluque mes jambes gainées de soie.
Je pose mon regard vers son centre d’intérêt, on voit que je porte des jarretelles qui tiennent mes bas.
Une forêt, nous traversons une forêt, un chemin de terre, je tourne malgré l’étonnement du jeune homme.
Je pose ma main sur sa braguette et je sors sa queue sans qu’il émette la moindre remarque.
Je l’ai dans la bouche, chose que je fais pour la première fois à un homme.
Olive est mon premier et seul homme qui est connu ma petite fleur et qui m’a toujours comblé.
Je suis épanoui avec lui depuis que je l’ai rencontré et pour finir par m’offrir les trois petits anges que pour un moment j’oublie.
• Viens me prendre sur la banquette arrière comme une chienne.
Je descends, il descend, contourne la voiture, m’ouvre la portière arrière afin que je me mette à quatre pattes, les genoux au bord du siège à cause de son sac à dos.
Grâce à bouche il est tendu au maximum.
J’ai aimé le sucer et lorsqu’il soulève ma jupe de femmes mariées sérieuses, je sens la fraîcheur sur mes fesses.
Sa main écarte ma petite culotte, et d’un seul coup bien centré étant resté lui-même debout, il me plante, là où ça fait du bien.
Ça fait toujours du bien depuis le jour où Olive m’a dépucelé.
On peut dire que les enfants ont été conçus dans le plaisir, je dirais même dans l’orgasme.
Ce coup de bite que je prends dans cette forêt est de ceux-là et après avoir gueulé mon plaisir au sac à dos ma joue posé dessus, il me remplit et surtout d’extase.
Je sens ma joue libérée quand le jeune ouvre la portière opposée, et qu’il enlève son sac, je me retrouve la tête sur ma banquette lorsqu’il claque la portière.
Combien de temps suis-je resté dans cette position, le cul en l’air à la merci du moindre ramasseur de champignons, je l’ignore.
Lorsque je récupère, mon cerveau remplit du plaisir que j’ai pris, je me redresse et m’assayant j’ôte ma culotte.
Je m’essuie avant de la jeter devant moi et de reprendre ma route vers l’inconnu.
L’inconnu qui vient de me baiser, je le croise un peu plus loin.
Il me fait un signe comme un merci, moi je continue ma route droit devant moi.
Je suis dans une ville et je vois l’enseigne d’un hôtel.
Je m’arrête et je prends une chambre.
20 heures, je descends au restaurant, j’ai une faim d’ogresse, mais je me contente d’une salade aux truffes.
À deux tables de moi, un homme élégant me regarde avec envie.
Je dois mouiller mon fauteuil en velours, vu que je suis sans culotte et encore avec la même robe, étant donné que je suis parti sur un coup de tête sans le moindre bagage.
Il finit son repas et se lève le temps que je finisse mon café.
Je sors de la salle, il y a un bar donnant sur le couloir menant à nos chambres.
Je vois l’homme au bar.
J’entre et je viens m’assoir sur le tabouret à son côté.
« Vous habitez chez vos parents ! »
Bien sûr, ces mots, cela fait dix ans que je les ai entendus dans la bouche d’Olive à la fête du village où il m’a rencontré pendant les vacances.
Non, j’étais chez ma grand-mère, mais c’est dans le foin dans une grange voisine qu’il m’a dépucelée et envoyée au septième ciel dès la première fois.
• Vous êtes à l’hôtel !
• Évitons les questions personnelles.
• Je vois, ma chambre ou la tienne !
• Qu’importe la première trouvée.
La première, c’est la mienne, nous entrons et dès le vestibule il attaque.
Il me plaque sur la porte à peine refermée et alors que je l’embrasse à pleine bouche, ivre de luxure, il passe sa main sous ma jupe.
• Salope, tu te balades sans culotte.
• Arrête de parler, saute-moi, donne-moi ta queue.
Je suis chaude comme la braise, je sens ma mouille couler le long de mes jambes.
Est-ce lui ou moi qui sors sa queue et ce sont mes pieds plus hauts que le sol, que je me sens empaler.
Peu de temps après, si d’autres clients croisent dans le couloir, ils doivent entendre cette mère de famille véritable salope criant son plaisir sous les assauts de mon baiseur.
J’ai l’habitude, d’une pénétration lente, d’un orgasme avant qu’Olive se tourne et me remercie de ce bon moment.
Dans nos premiers mois, j’avais droit à la cigarette qu’il allait fumer avant de revenir se coucher.
Je lui ai dit de choisir, j’ai gagné.
Là, c’est sans toucher terre qu’il me porte jusqu’à mon lit et où il me jette sans ménagement.
Il veut me prendre en levrette, j’ai mieux, je me place devant lui et je lève une jambe.
D’où me vient cette envie de cette position ?
Quand sa bite entre en moi ma chatte le reçoit avec un grand plaisir.
Ma jupe est tire-bouchonnée sur mes hanches.
Je me soulève et j’ôte mon soutien-gorge.
Il y a une glace qui me monte avec mes bas, mon porte-jarretelles, c’est la première fois que je vois un sexe au fond de ma grotte, ça amplifie ma jouissance.
Dans la première phase derrière la porte, j’y ai laissé blazer et chemisier.
Culotte, ça s’était dans la forêt.
Je connais ma chatte blonde, taillée dans le meilleur institut de beauté de la ville, mais c’est la première fois que je la voie lorsque je me fais pénétrer.
Pour faire comme les autres fois avec Olive et le jeune homme dans ma voiture, je démarre ma jouissance jusqu’à voler à haute altitude.
Dans la nuit, il me prend encore une fois, dans la baignoire avant de finir moi à quatre pattes les seins sur le lit.
Il les empoigne les tirants à m’en faire mal, mais avec délice.
Il aurait voulu m’enculer, je me serais laissé faire, mais c’est ma chatte qu’il attaque de nouveau.
Comment suis-je couchée seule dans mon lit, lorsque j’émerge, ma chatte repue de son putain de sexe.
Je m’habille, ayant repris un bain et je descends dans le petit salon où ils servent le petit déjeuner.
La jeune femme qui m’apporte le café me donne une petite enveloppe.
• De la part d’un monsieur qui est parti depuis une demi-heure.
J’attends qu’elle soit partie et je l’ouvre.
« Merci pour ce divin moment, j’ai vu ton alliance, de la façon dont tu t’es donnée, je pense que tu as eu l’envie d’une coupure dans ta vie et que tu vas retrouver ta petite famille.
Bonne continuation, je te le répète, merci pour ce divin moment. »
Pas un mot de plus, même son nom je l’ignore comme il ignore le mien.
Le rappel à ma famille me remet la tête en place alors que je me rends compte que c’est de mer dont j’avais envie.
Lorsque je récupère ma voiture, je vois un panneau « Honfleur plage 5-Km. »Je vais sur cette plage, il pleut, je suis gelée, mon brushing est ravagé, mais je cours dans tous les sens seule sur cette plage comme une folle que je suis.
Je finis par m’effondrer en pleurant à chaudes larmes.
Je finis par émerger et je reprends le chemin de mon foyer bien décidé de taire à Olive le pourquoi du comment.
• Et ton travail, pourquoi es-tu à la maison?
• Je viens de conduire les enfants à l’école et je suis revenu faire les lits et ranger les chambres.
Tu es trempé, tu vas attraper la mort, veux-tu que je te fasse couler un bain.
Me proposant cela, il monte à l’étage et j’entends l’eau coulée.
Je me dénude dans l’escalier et alors qu’il prend la panière de linge salle dont les petites culottes que j’avais mises aux enfants avant de partir à l’école, il descend dans la buanderie démarrer une machine.
J’ai l’impression de me voir faire ce que je fais tous les jours.
Lorsque je reviens dans notre chambre, il est assis sur le lit à m’attendre.
J’ai envie de lui sucer la queue, mais j’ai peur qu’il me prenne pour une pute ayant appris cette pratique pendant mon escapade.
Il me prend avec tendresse dans toute l’acception du terme.
Comme habituellement il me fait jouir sans plus me poser de questions.
Ayant pris mon plaisir et lui aussi, je suis dans ses bras et je suis une nouvelle fois en pleurs.
• Que t’arrive-t-il mon amour, pourquoi, pleurs-tu ?
Il aurait pu me poser des questions, ou, quoi, comment, mais surtout pourquoi !
« Pourquoi, pleurs-tu, » me désarçonnent surtout après ce que je m’entends lui dire ?
• Bébé, j’ai oublié de mettre ton chèque.
• Sèche tes larmes mon amour, hier le client est revenu et nous a doublé sa commande, la société est sauvée et il m’a refait un chèque, met celui que je t’ai donné à la poubelle.
Chérie, si nous faisions un autre bébé ????
Il est 17 heures, papa et maman reçoivent nos trois enfants dans nos bras.
• Les enfants et si nous emmenions, pour le week-end, maman jouée sur la plage.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un coup de blooz
Est-ce que son coup de tete de faire cocu son mari sans aucune faute de sa part en valait la peine ou le plaisir,il doit y avoir un autre probleme avec son homme ,ou alors c est grave pour son foyer ,ses enfants,et surtout pour elle ,