COLLECTION HISTOIRE COURTE. Un zour, ze t’épouzerais et ze te ferait des zenfants (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Un zour, ze t’épouzerais et ze te ferait des zenfants (1/1)
C’est par cette phrase et un baiser sur son nez que j’ai demandé Anabella notre petite voisine en mariage.
C’était le jour de la fête des voisins persuadé de lui avoir fait un bébé en l’embrassant sur le bout de son joli petit nez.
Nous avions 5 ans.
Au fil du temps, je réitérais ma demande avec un sérieux problème.
Elle devenait papillons aux mille couleurs, je restais papillon de nuit sans éclat et sans le sens de ce que je devenais.
C’est le moment où maman m’a fait prendre des cours d’orthophonie gommant mon zozotement.
Sa peau devenait rayonnante, la mienne couverte d’acné que ma mère essayait désespérément de contenir avec de multiples lotions.
Pour arranger les choses, elle avait une toison rousse luxuriante et moi à 18 ans un début de calvitie.
16 ans, début de nos sorties avec les quelques amis de notre voisinage.
C’est là que j’ai vu le papillon se transformer et rapidement s’éloigner de mon rêve.
J’avais l’impression qu’elle me faisait souffrir me refusant ses lèvres alors que d’autres les goûtaient chaque fois qu’ils s’approchaient d’elles.
Un jour, c’est vrai, c’était le jour des résultats du bac.
Elle l'a eu grâce au rattrapage et encore car elle avait tapé dans l’œil de l’examinateur alors que j’avais eu une mention très bien par mon travail.
En y repensant, idem pour notre permis, je l'ai loupé deux fois, alors que je conduis à la perfection et elle quand je l’ai vu dans l’ensemble la faisant ressembler à une pute elle l’a eu du premier coup.
Un coup, c’est lors de la fameuse sortie du bac, qu’elle m’a fait participer à son dépucelage.
Nous étions chez Cyril l’un de nos autres voisins et elle est venue vers moi me regardant comme si elle avait déjà dit oui.
- Christian, tu vois le beau brun là-bas, c’est le cousin de Cyril, je viens de discuter avec lui et il souhaite que nous montions à l’étage dans une chambre libre.
- Que vas-tu faire dans cette chambre ?
- T’es con Christian, je suis majeure et je veux finir la nuit ayant perdu mon pucelage.
Je sais, tu veux m’épouser, mais tu peux te mettre le doigt dans l’œil jusqu’au coude.
La seule chose que je t’accorde, c’est d’assister à ce moment de ma vie importante pour une jeune fille.
Oui, oui, mille fois oui, alors que je continue à être persuadé que c’est à moi qu’elle dira oui.
- Bob, t’as vu ce puceau, il veut voir comment tu baises les meufs.
- Si c’est un mateur, je m’en fiche c’est ton petit cul qui m’intéresse.
C’est comme ça refusant de lui dire non comme j’aurais dû le faire que je suis assis dans un fauteuil et qu’Anabella après avoir été déshabillée a commencé par lécher et avaler la bite de ce bellâtre.
C’est en levrette qu’elle s’est fait enfiler me regardant dans les yeux.
Ce fut le premier suivi de nombreux autres qu’elle ramenait chez elle.
Un mur de ma chambre était mitoyen avec la sienne.
Chaque fois ses cris et ses propos orduriers emplissaient mes oreilles au point que je me suis acheté des boules m’isolant du monde chaque fois qu’elle avait décidé des soirées orgiaques.
Elle était folle du cul et ces débordements étaient de plus en plus fréquents.
En kilomètres de bites dans son vagin, anus, bouche et entre ses seins quand elle leur faisait des branlettes espagnoles grâce à ses seins magnifiques, elle devait être proche du kilométrage maximum mondial.
J'étais pugnace je savais que mon heure serait proche.
Cette heure est venue un jour où mes parents sont allés avec les siens voir Obispo au zénith de la ville voisine avec celle que je savais être mienne malgré tous ses débordements.
Un camion, un stop, un camion qui mord le stop envoyant de vie à trépas les quatre parents alors qu’Anabella se retrouvait dans un fauteuil roulant.
J’étais fière de la sortir de l’hôpital.
Elle avait perdu l’usage de la parole et de ses membres.
Les médecins avaient vu que son cerveau fonctionnait comme si elle était dans notre monde tous en étant dans le sien.
Ils ont remarqué que ses yeux étaient capables de dire oui ou non.
Ça a conditionné la suite de notre vie, de sa vie.
- Veux-tu m’épouser ?
« Oui »- Pour le meilleur ou pour le pire ?
« Oui »- Jusqu’à ce que la mort nous sépare ?
« Oui »- Moi aussi je le veux.
- Je vous déclare unis par les liens du mariage.
J’avais raison, dès l’âge de 5 ans.
Anabella est mienne pour le reste de notre temps.
J’ai poussé son fauteuil roulant après la cérémonie jusque chez nous.
Elle a hérité de ses parents et moi des miens.
C’est chez moi que je l’ai installé.
- Chérie je vais te donner ton bain si tu le désir.
« Oui »- C’est bien, excuse, il faut que je te lave la chatte.
Tu dois être propre comme un sous-neuf pour notre première nuit et nos premiers rapports !
« Oui »- Regarde comme je t’essuie bien mon cœur.
« Oui »- Je t’allonge, reste éveillé, je vais aussi me laver la queue je veux te prendre avec une queue propre !
« Non »
De retour de la salle de bains, la queue fièrement dressée simplement en la regardant, je monte sur le lit en me plaçant entre ses jambes.
- Excuse de les écarter, ce sera plus facile pour te pénétrer.
C’est fait bébé, tu es à moi, je t’avais bien dit quand nous étions petits.
« Un zour, ze t’épouzerais et ze te ferait des zenfants »
- Le docteur t’as dit que tu pourrais en avoir.
J’y crois tellement ze t’aime.
« Oui »- Ze t’aime chérie.
C’est drôle mon zozotement revient lorsque je suis zému.
C’était le jour de la fête des voisins persuadé de lui avoir fait un bébé en l’embrassant sur le bout de son joli petit nez.
Nous avions 5 ans.
Au fil du temps, je réitérais ma demande avec un sérieux problème.
Elle devenait papillons aux mille couleurs, je restais papillon de nuit sans éclat et sans le sens de ce que je devenais.
C’est le moment où maman m’a fait prendre des cours d’orthophonie gommant mon zozotement.
Sa peau devenait rayonnante, la mienne couverte d’acné que ma mère essayait désespérément de contenir avec de multiples lotions.
Pour arranger les choses, elle avait une toison rousse luxuriante et moi à 18 ans un début de calvitie.
16 ans, début de nos sorties avec les quelques amis de notre voisinage.
C’est là que j’ai vu le papillon se transformer et rapidement s’éloigner de mon rêve.
J’avais l’impression qu’elle me faisait souffrir me refusant ses lèvres alors que d’autres les goûtaient chaque fois qu’ils s’approchaient d’elles.
Un jour, c’est vrai, c’était le jour des résultats du bac.
Elle l'a eu grâce au rattrapage et encore car elle avait tapé dans l’œil de l’examinateur alors que j’avais eu une mention très bien par mon travail.
En y repensant, idem pour notre permis, je l'ai loupé deux fois, alors que je conduis à la perfection et elle quand je l’ai vu dans l’ensemble la faisant ressembler à une pute elle l’a eu du premier coup.
Un coup, c’est lors de la fameuse sortie du bac, qu’elle m’a fait participer à son dépucelage.
Nous étions chez Cyril l’un de nos autres voisins et elle est venue vers moi me regardant comme si elle avait déjà dit oui.
- Christian, tu vois le beau brun là-bas, c’est le cousin de Cyril, je viens de discuter avec lui et il souhaite que nous montions à l’étage dans une chambre libre.
- Que vas-tu faire dans cette chambre ?
- T’es con Christian, je suis majeure et je veux finir la nuit ayant perdu mon pucelage.
Je sais, tu veux m’épouser, mais tu peux te mettre le doigt dans l’œil jusqu’au coude.
La seule chose que je t’accorde, c’est d’assister à ce moment de ma vie importante pour une jeune fille.
Oui, oui, mille fois oui, alors que je continue à être persuadé que c’est à moi qu’elle dira oui.
- Bob, t’as vu ce puceau, il veut voir comment tu baises les meufs.
- Si c’est un mateur, je m’en fiche c’est ton petit cul qui m’intéresse.
C’est comme ça refusant de lui dire non comme j’aurais dû le faire que je suis assis dans un fauteuil et qu’Anabella après avoir été déshabillée a commencé par lécher et avaler la bite de ce bellâtre.
C’est en levrette qu’elle s’est fait enfiler me regardant dans les yeux.
Ce fut le premier suivi de nombreux autres qu’elle ramenait chez elle.
Un mur de ma chambre était mitoyen avec la sienne.
Chaque fois ses cris et ses propos orduriers emplissaient mes oreilles au point que je me suis acheté des boules m’isolant du monde chaque fois qu’elle avait décidé des soirées orgiaques.
Elle était folle du cul et ces débordements étaient de plus en plus fréquents.
En kilomètres de bites dans son vagin, anus, bouche et entre ses seins quand elle leur faisait des branlettes espagnoles grâce à ses seins magnifiques, elle devait être proche du kilométrage maximum mondial.
J'étais pugnace je savais que mon heure serait proche.
Cette heure est venue un jour où mes parents sont allés avec les siens voir Obispo au zénith de la ville voisine avec celle que je savais être mienne malgré tous ses débordements.
Un camion, un stop, un camion qui mord le stop envoyant de vie à trépas les quatre parents alors qu’Anabella se retrouvait dans un fauteuil roulant.
J’étais fière de la sortir de l’hôpital.
Elle avait perdu l’usage de la parole et de ses membres.
Les médecins avaient vu que son cerveau fonctionnait comme si elle était dans notre monde tous en étant dans le sien.
Ils ont remarqué que ses yeux étaient capables de dire oui ou non.
Ça a conditionné la suite de notre vie, de sa vie.
- Veux-tu m’épouser ?
« Oui »- Pour le meilleur ou pour le pire ?
« Oui »- Jusqu’à ce que la mort nous sépare ?
« Oui »- Moi aussi je le veux.
- Je vous déclare unis par les liens du mariage.
J’avais raison, dès l’âge de 5 ans.
Anabella est mienne pour le reste de notre temps.
J’ai poussé son fauteuil roulant après la cérémonie jusque chez nous.
Elle a hérité de ses parents et moi des miens.
C’est chez moi que je l’ai installé.
- Chérie je vais te donner ton bain si tu le désir.
« Oui »- C’est bien, excuse, il faut que je te lave la chatte.
Tu dois être propre comme un sous-neuf pour notre première nuit et nos premiers rapports !
« Oui »- Regarde comme je t’essuie bien mon cœur.
« Oui »- Je t’allonge, reste éveillé, je vais aussi me laver la queue je veux te prendre avec une queue propre !
« Non »
De retour de la salle de bains, la queue fièrement dressée simplement en la regardant, je monte sur le lit en me plaçant entre ses jambes.
- Excuse de les écarter, ce sera plus facile pour te pénétrer.
C’est fait bébé, tu es à moi, je t’avais bien dit quand nous étions petits.
« Un zour, ze t’épouzerais et ze te ferait des zenfants »
- Le docteur t’as dit que tu pourrais en avoir.
J’y crois tellement ze t’aime.
« Oui »- Ze t’aime chérie.
C’est drôle mon zozotement revient lorsque je suis zému.
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