COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une famille formidable (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une famille formidable (1/1)
- Laurent, j’ai un problème, attends-moi devant l’entrée de chez mes parents, ma voiture est difficile à diriger.
Mince, j’ai…
Le téléphone de Viviane, Vivi pour l’intime que je suis, comme je suis Lolo pour elle, a coupé avant qu’elle ait le temps d’en dire plus.
J’essaye de la rappeler, je suis au volant de ma voiture en direction de Marmogne près d’Orléans ou ses parents ont une villa sur parc avec vue sur la Loire.
Attention, au volant en kit mains libres, mais la sécurité même si cet important n’est pas mon propos.
Vivi est ma petite amie, elle est en fac à Orléans pour devenir médecin.
Elle a 24 ans moi 38.
Je sais, nous avons un grand écart d’âge, mais quand Vivi est venue faire son stage dans mon cabinet, j’ai flaché sur cette jolie blonde.
Le stage s'est passé sans encombre, Vivi est déjà très professionnelle.
Le dernier jour avant qu’elle retourne à temps complet à ses cours, je l’ai invité à dîner au restaurant pour la remercier.
Nous étions en juin fin de son année, il faisait chaud, elle avait une jolie robe vichy avec des soquettes et des baskets.
Le devant de sa robe était assez ouvert et pour la première fois chaque fois qu’elle se penchait, je découvrais qu’elle avait de magnifiques roberts mots que j’ai pris l’habitude d’employer dans ma tête chaque fois qu’une patiente se dénude professionnellement devant moi.
J’en vois de toutes formes, de toutes grosseurs, des juvéniles commençants par des bourgeons jusqu’aux poitrines de juments ou oreilles de cockers.
Aucun depuis que j’ai passé mes derniers examens ne m’a fait bander.
Jeunes internes, les seins, les chattes étaient pour nous des motifs de plaisanteries.
Vivi m’a avoué qu’il en était de même à notre époque et que rien n’avait changé dans les études médicales.
Nous parlions de cela ce soir-là et nous pouffions de rire aux évocations des jeunes cons que nous étions et qu’ils sont aujourd’hui.
C’est là qu’en se penchant, je voyais qu’elle avait des burgers fort appétissants.
Employer le terme burgers pour les seins de Vivi c’est pour la forme et surtout car ce soir-là pour faire jeune, je l’avais emmené dans un resto classe mais faisant ce genre de plat sur assiette que d’autres mangent avec leurs doigts.
Quand je l’ai raccompagné, j’ai senti que le moment était propice à ce que je l’embrasse, elle a répondu à mon appel.
Ce fut la seule privauté que je nous ai octroyée, je n’ai pas envie de me prendre un râteau, je sais que de nombreuses jeunes femmes n’aiment pas coucher le premier soir.
Mieux même, certaines pensent que vous êtes un vieux vicieux à vouloir fourrer une jeune femme dès la première soirée.
C’est elle qui est venue chez moi alors que je ne l’attendais pas.
Je venais de finir ma journée de travail et venais de monter dans mes appartements.
Quand j’ai voulu m’installer, reprenant la clientèle d’un médecin habitant deux maisons plus hauts, ce local en sous-sol avec quatre pièces était exactement ce dont j’avais besoin.
- Laurent, je sens que si je ne prends pas les choses en mains, nous serons au même point dans des semaines.
Tu me plais, je te plais, j’ignore ce que sera notre vie dans quelques mois, en attendant embrasse-moi.
Je suis un peu surpris, mais j’ai encore dans l’œil les seins qui aujourd’hui sont tout autant à ma disposition que la veille au soir.
Je l’enlace et c’est l’un des plus profonds baisés qu’elle me donne.
Elle a dû prendre un bonbon mentholé avant de sonner chez moi car sa bouche a la fraîcheur de cette plante.
Ma main se porte sur son lobe, qui tient exactement à l’intérieur.
Je sens la pointe de son mamelon réagir, il est plus gros que je ne le pensais au premier abord.
Je fais glisser ma main, pour contrôler la symétrie des deux.
Je ne suis pas déçu, parfaitement le même.
J’ai vu des clientes enlevant leur soutien-gorge qui était difforme de ces côtés-là.
Une mémé qui avait élevé plusieurs enfants en avait un bandant encore alors que l’autre pendait lamentablement.
Je lui ai conseillé de poser une prothèse mammaire, elle se trouvait bien ainsi.
Dès cet instant je suis allé droit au but glissant ma main dans son jean.
La grotte déjà visitée par divers amants ruisselait d’envie.
Les amants, c’est plus tard qu’elle me l’a dit.
À mon âge inutile de lui faire la même confidence.
Ayant fait médecine et les internats, les petites infirmières, je n’en loupais pas une.
Viviane n’a pas fait exception à la règle, une fois nue, elle a commencé d’une manière très classique à notre époque en me suçant la bite.
J’étais très proche de ma maman avant que la vie ne me l’enlève.
Notre complicité allait même jusqu’à parler de sexe avec moi.
Elle aimait que je lui raconte mes conquêtes et c’est là que lui parlant de la fellation que les filles faisaient systématiquement, elle ne l’avait jamais fait même avec mon père.
Ça ne se pratiquait pas à son époque.
Cette époque où l’on baisait utile pour avoir des enfants.
Je préfère la nôtre et sans problème j’adore que Vivi me taille une bonne pipeLa levrette ça papa et maman le faisait, j'adore.
Bref quelques jours après elle apportait ses affaires et quelques mois plus tard comme un con je mettais un genou en terre et je lui offrais une bague qu’elle s’est empressée d’accepter.
Vivi avait une pratique que je trouvais fort sympathique, dès qu’elle avait franchi la porte de notre nid d’amours, elle allait dans notre chambre et se dénudait.
Tout le temps où nous sommes chez nous, comme nous n’avions pas de vis-à-vis, elle se promenait nue.
C’était pratique pour baiser, je suis devenu accro au sexe, à son sexe.
Cuisine, salle de bains, notre lit bien sûr, je la prenais là où je la saisissais.
J’avais moi aussi pris l’habitude de vivre nu comme elle.
Plusieurs fois après que je l’ai demandé en mariage, elle a semblé vouloir me dire quelque chose, mais ça semblait la gêner.
Un moment, j’ai failli lui demander si cette gêne s’était parce qu’elle voulait que je la sodomise et qu’elle n’osait pas me le demander.
Une demande j’en ai eu une, mais pour me rendre chez ses parents ce samedi pour une petite Garden partie entre amis avec barbeuc.
C’est pour cela que je l’attends devant cette belle résidence.
Le temps passe et j’ai dû savoir vivre, il est idiot d’arriver en retard chez ses futurs beaux-parents surtout qu’il fait chaud dans cette voiture alors que je pourrais être un verre de boisson fraîche en main.
Des couples, rien que des couples, jeunes et moins jeunes.
Une vingtaine de personnes viennent sonner à la porte de la grille.
Un gardien vient ouvrir et je vois les gens remonter l’allée.
Je quitte ma voiture et je viens sonner.
- Vous êtes monsieur Laurent, mademoiselle Viviane n’est pas avec vous !
- Ça pose un problème.
- Non, madame mère m’avait dit que le fiancé de sa fille arriverait avec elle.
Entrer et remonter l’allée, madame va vous recevoir.
Je le fais, jusqu’au perron où je sonne.
J’attends quelques secondes, la porte s’ouvre.
Une femme nue est devant moi.
Le sosie de Vivi en un peu plus vieille.
Madame mère, Alice à ce que l’en m’a dit ma future est nue devant moi la chatte épilée.
- Laurent, permettez que d’entrée je vous appelle Laurent, Vivi m’a prévenu il y a une minute qu’elle avait crevé.
Ça n’arrive jamais, il a fallu que ça arrive aujourd’hui.
Alice me prend dans ses bras et ses seins se trouvent sur ma poitrine recouverte de ma chemisette.
- Venez, Viviane ne m’a pas dit et j’ai oublié de lui demander, elle vous a bien dit que nous étions naturistes, les vêtements et nous ça fait deux.
J’ai l’habitude des corps nus, mais franchissant la salle à manger, l’arrière de la maison donne sur un parc.
Par la baie ouverte, je vois la plupart des gens que j’ai vu sonner chez le gardien qui la bite à l’air, qui la chatte rasée ou non, dans le plus simple appareil.
- Je vais vous montrer la chambre de notre fille, vous pourrez poser vos affaires et nous rejoindre.
Excusez, on sonne, ce doit être Jennifer et Nicolas.
Jennifer c’est ma sœur, la marraine de Viviane, ce sont toujours les derniers, ma sœur a toujours été longue à se préparer, pourtant elle sait que nous nous mettons nus dès que nous sommes ensemble.
Ce sont mes parents qui nous ont initiés nous passions nos vacances dans des camps naturistes.
Elle me quitte, je comprends pourquoi Vivi voulait que je l’attende, elle savait les pratiques de sa famille sans oser me l’avouer.
Quand j’ai fini et que je quitte la chambre de jeune fille de mon aimée, je me demande comment ma queue va se comporter.
Déjà entre l’entrée et sa chambre, le petit cul de ma future belle-mère qu’elle balançait devant mes yeux avait tendance à me faire bander.
Je passe devant une chambre la porte légèrement ouverte, un couple se désape, certainement la marraine, troisième petit cul sur le même modèle, Vivi, Alice et Jennifer.
J’évite de m’arrêter.
Je suis toubib, comme je l’ai dit, la nudité je connais, mais c’est médical.
L’escalier descendu, je repasse par la salle, ils sont tous autour de la piscine.
J’ai envie de sauter dedans n’en ayant pas le temps.
- Laurent serré m’en cinq, je vois que vous avez un petit souci, ne vous sentez pas gêné, ça nous arrive à toutes les premières fois.
Si je voulais ne pas être trop direct, ma fille a fait un bon choix, elle doit bien s’amuser avec un bel engin comme le vôtre.
C’est comme ça que je fais la connaissance de Jean mon beau-père.
- Si on se tutoyait, ça serait plus sympa, suis-moi, je vais te présenter tous nos amis.
Voilà Alain mon associé et Véronique sa femme.
- Bonjour.
- On s’embrasse.
Véronique blonde comme les blés se plaque elle aussi contre moi ayant tendance à amplifier mon mal.
- Radia et son mari Christian, c’est le cousin de Viviane.
Christian a connu Radia à la fac de Paris.
- Sa famille habite à Meknès.
Radia, mignonne, je suis pour le rapprochement des peuples quand ils ont un aussi joli cul et paire de Roberts.
- Chéri excuse-moi du retard, j’ai crevé et ma batterie de portable était à plat.
Tu dois m’en vouloir de t’avoir caché la particularité de ma famille, j’avais peur de te perdre, je t’aime tant.
Vivi vient dans mes bras, son corps contre le mien, je bande comme un taureau.
Beau-papa m’a dit que ça allait passer, je viens de trouver une famille formidable.
Mince, j’ai…
Le téléphone de Viviane, Vivi pour l’intime que je suis, comme je suis Lolo pour elle, a coupé avant qu’elle ait le temps d’en dire plus.
J’essaye de la rappeler, je suis au volant de ma voiture en direction de Marmogne près d’Orléans ou ses parents ont une villa sur parc avec vue sur la Loire.
Attention, au volant en kit mains libres, mais la sécurité même si cet important n’est pas mon propos.
Vivi est ma petite amie, elle est en fac à Orléans pour devenir médecin.
Elle a 24 ans moi 38.
Je sais, nous avons un grand écart d’âge, mais quand Vivi est venue faire son stage dans mon cabinet, j’ai flaché sur cette jolie blonde.
Le stage s'est passé sans encombre, Vivi est déjà très professionnelle.
Le dernier jour avant qu’elle retourne à temps complet à ses cours, je l’ai invité à dîner au restaurant pour la remercier.
Nous étions en juin fin de son année, il faisait chaud, elle avait une jolie robe vichy avec des soquettes et des baskets.
Le devant de sa robe était assez ouvert et pour la première fois chaque fois qu’elle se penchait, je découvrais qu’elle avait de magnifiques roberts mots que j’ai pris l’habitude d’employer dans ma tête chaque fois qu’une patiente se dénude professionnellement devant moi.
J’en vois de toutes formes, de toutes grosseurs, des juvéniles commençants par des bourgeons jusqu’aux poitrines de juments ou oreilles de cockers.
Aucun depuis que j’ai passé mes derniers examens ne m’a fait bander.
Jeunes internes, les seins, les chattes étaient pour nous des motifs de plaisanteries.
Vivi m’a avoué qu’il en était de même à notre époque et que rien n’avait changé dans les études médicales.
Nous parlions de cela ce soir-là et nous pouffions de rire aux évocations des jeunes cons que nous étions et qu’ils sont aujourd’hui.
C’est là qu’en se penchant, je voyais qu’elle avait des burgers fort appétissants.
Employer le terme burgers pour les seins de Vivi c’est pour la forme et surtout car ce soir-là pour faire jeune, je l’avais emmené dans un resto classe mais faisant ce genre de plat sur assiette que d’autres mangent avec leurs doigts.
Quand je l’ai raccompagné, j’ai senti que le moment était propice à ce que je l’embrasse, elle a répondu à mon appel.
Ce fut la seule privauté que je nous ai octroyée, je n’ai pas envie de me prendre un râteau, je sais que de nombreuses jeunes femmes n’aiment pas coucher le premier soir.
Mieux même, certaines pensent que vous êtes un vieux vicieux à vouloir fourrer une jeune femme dès la première soirée.
C’est elle qui est venue chez moi alors que je ne l’attendais pas.
Je venais de finir ma journée de travail et venais de monter dans mes appartements.
Quand j’ai voulu m’installer, reprenant la clientèle d’un médecin habitant deux maisons plus hauts, ce local en sous-sol avec quatre pièces était exactement ce dont j’avais besoin.
- Laurent, je sens que si je ne prends pas les choses en mains, nous serons au même point dans des semaines.
Tu me plais, je te plais, j’ignore ce que sera notre vie dans quelques mois, en attendant embrasse-moi.
Je suis un peu surpris, mais j’ai encore dans l’œil les seins qui aujourd’hui sont tout autant à ma disposition que la veille au soir.
Je l’enlace et c’est l’un des plus profonds baisés qu’elle me donne.
Elle a dû prendre un bonbon mentholé avant de sonner chez moi car sa bouche a la fraîcheur de cette plante.
Ma main se porte sur son lobe, qui tient exactement à l’intérieur.
Je sens la pointe de son mamelon réagir, il est plus gros que je ne le pensais au premier abord.
Je fais glisser ma main, pour contrôler la symétrie des deux.
Je ne suis pas déçu, parfaitement le même.
J’ai vu des clientes enlevant leur soutien-gorge qui était difforme de ces côtés-là.
Une mémé qui avait élevé plusieurs enfants en avait un bandant encore alors que l’autre pendait lamentablement.
Je lui ai conseillé de poser une prothèse mammaire, elle se trouvait bien ainsi.
Dès cet instant je suis allé droit au but glissant ma main dans son jean.
La grotte déjà visitée par divers amants ruisselait d’envie.
Les amants, c’est plus tard qu’elle me l’a dit.
À mon âge inutile de lui faire la même confidence.
Ayant fait médecine et les internats, les petites infirmières, je n’en loupais pas une.
Viviane n’a pas fait exception à la règle, une fois nue, elle a commencé d’une manière très classique à notre époque en me suçant la bite.
J’étais très proche de ma maman avant que la vie ne me l’enlève.
Notre complicité allait même jusqu’à parler de sexe avec moi.
Elle aimait que je lui raconte mes conquêtes et c’est là que lui parlant de la fellation que les filles faisaient systématiquement, elle ne l’avait jamais fait même avec mon père.
Ça ne se pratiquait pas à son époque.
Cette époque où l’on baisait utile pour avoir des enfants.
Je préfère la nôtre et sans problème j’adore que Vivi me taille une bonne pipeLa levrette ça papa et maman le faisait, j'adore.
Bref quelques jours après elle apportait ses affaires et quelques mois plus tard comme un con je mettais un genou en terre et je lui offrais une bague qu’elle s’est empressée d’accepter.
Vivi avait une pratique que je trouvais fort sympathique, dès qu’elle avait franchi la porte de notre nid d’amours, elle allait dans notre chambre et se dénudait.
Tout le temps où nous sommes chez nous, comme nous n’avions pas de vis-à-vis, elle se promenait nue.
C’était pratique pour baiser, je suis devenu accro au sexe, à son sexe.
Cuisine, salle de bains, notre lit bien sûr, je la prenais là où je la saisissais.
J’avais moi aussi pris l’habitude de vivre nu comme elle.
Plusieurs fois après que je l’ai demandé en mariage, elle a semblé vouloir me dire quelque chose, mais ça semblait la gêner.
Un moment, j’ai failli lui demander si cette gêne s’était parce qu’elle voulait que je la sodomise et qu’elle n’osait pas me le demander.
Une demande j’en ai eu une, mais pour me rendre chez ses parents ce samedi pour une petite Garden partie entre amis avec barbeuc.
C’est pour cela que je l’attends devant cette belle résidence.
Le temps passe et j’ai dû savoir vivre, il est idiot d’arriver en retard chez ses futurs beaux-parents surtout qu’il fait chaud dans cette voiture alors que je pourrais être un verre de boisson fraîche en main.
Des couples, rien que des couples, jeunes et moins jeunes.
Une vingtaine de personnes viennent sonner à la porte de la grille.
Un gardien vient ouvrir et je vois les gens remonter l’allée.
Je quitte ma voiture et je viens sonner.
- Vous êtes monsieur Laurent, mademoiselle Viviane n’est pas avec vous !
- Ça pose un problème.
- Non, madame mère m’avait dit que le fiancé de sa fille arriverait avec elle.
Entrer et remonter l’allée, madame va vous recevoir.
Je le fais, jusqu’au perron où je sonne.
J’attends quelques secondes, la porte s’ouvre.
Une femme nue est devant moi.
Le sosie de Vivi en un peu plus vieille.
Madame mère, Alice à ce que l’en m’a dit ma future est nue devant moi la chatte épilée.
- Laurent, permettez que d’entrée je vous appelle Laurent, Vivi m’a prévenu il y a une minute qu’elle avait crevé.
Ça n’arrive jamais, il a fallu que ça arrive aujourd’hui.
Alice me prend dans ses bras et ses seins se trouvent sur ma poitrine recouverte de ma chemisette.
- Venez, Viviane ne m’a pas dit et j’ai oublié de lui demander, elle vous a bien dit que nous étions naturistes, les vêtements et nous ça fait deux.
J’ai l’habitude des corps nus, mais franchissant la salle à manger, l’arrière de la maison donne sur un parc.
Par la baie ouverte, je vois la plupart des gens que j’ai vu sonner chez le gardien qui la bite à l’air, qui la chatte rasée ou non, dans le plus simple appareil.
- Je vais vous montrer la chambre de notre fille, vous pourrez poser vos affaires et nous rejoindre.
Excusez, on sonne, ce doit être Jennifer et Nicolas.
Jennifer c’est ma sœur, la marraine de Viviane, ce sont toujours les derniers, ma sœur a toujours été longue à se préparer, pourtant elle sait que nous nous mettons nus dès que nous sommes ensemble.
Ce sont mes parents qui nous ont initiés nous passions nos vacances dans des camps naturistes.
Elle me quitte, je comprends pourquoi Vivi voulait que je l’attende, elle savait les pratiques de sa famille sans oser me l’avouer.
Quand j’ai fini et que je quitte la chambre de jeune fille de mon aimée, je me demande comment ma queue va se comporter.
Déjà entre l’entrée et sa chambre, le petit cul de ma future belle-mère qu’elle balançait devant mes yeux avait tendance à me faire bander.
Je passe devant une chambre la porte légèrement ouverte, un couple se désape, certainement la marraine, troisième petit cul sur le même modèle, Vivi, Alice et Jennifer.
J’évite de m’arrêter.
Je suis toubib, comme je l’ai dit, la nudité je connais, mais c’est médical.
L’escalier descendu, je repasse par la salle, ils sont tous autour de la piscine.
J’ai envie de sauter dedans n’en ayant pas le temps.
- Laurent serré m’en cinq, je vois que vous avez un petit souci, ne vous sentez pas gêné, ça nous arrive à toutes les premières fois.
Si je voulais ne pas être trop direct, ma fille a fait un bon choix, elle doit bien s’amuser avec un bel engin comme le vôtre.
C’est comme ça que je fais la connaissance de Jean mon beau-père.
- Si on se tutoyait, ça serait plus sympa, suis-moi, je vais te présenter tous nos amis.
Voilà Alain mon associé et Véronique sa femme.
- Bonjour.
- On s’embrasse.
Véronique blonde comme les blés se plaque elle aussi contre moi ayant tendance à amplifier mon mal.
- Radia et son mari Christian, c’est le cousin de Viviane.
Christian a connu Radia à la fac de Paris.
- Sa famille habite à Meknès.
Radia, mignonne, je suis pour le rapprochement des peuples quand ils ont un aussi joli cul et paire de Roberts.
- Chéri excuse-moi du retard, j’ai crevé et ma batterie de portable était à plat.
Tu dois m’en vouloir de t’avoir caché la particularité de ma famille, j’avais peur de te perdre, je t’aime tant.
Vivi vient dans mes bras, son corps contre le mien, je bande comme un taureau.
Beau-papa m’a dit que ça allait passer, je viens de trouver une famille formidable.
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