COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une journée extraordinaire (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2020 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une journée extraordinaire (1/1)
10 heures, il est temps de finir de tondre cette fichue pelouse.
2 heures que je suis perché sur ce tracteur.
Petit tracteur pour particuliers que Luc a achetés pour tondre les 4 000 mètres carrés de terrain de la maison où nous sommes venues habiter à trente minutes en voiture de Paris.
Un jour Luc rentre de son travail me disant, Lucie va préparer nos affaires, nous allons visiter le rêve de notre vie.
C’est vrai que depuis quelques mois, la campagne, c’est notre truc.
Il rêve même de poules, canards et lapins.
Et ce samedi à quelques kilomètres de Courtenay nous avons arrêté l’achat de cette vieille ferme qui va concrétiser nos rêves.
Ce qui m’intéressait c’étaient les animaux et non la pelouse même si je suis en train de la tondre en moyenne tous les quinze jours.
En eau, malgré le maillot de bain que je porte 90 % de mon temps.
À 32 ans sans grossesse je suis encore présentable surtout brune comme je le suis et noir à tondre ou rénover la maison avec ce soleil.
J’oublie le jardin potager que j’entretiens et que Luc magnanime arrose à 21 heures après sa journée de boulot dans la banque qui l’emploie.
Ces allées et retours vers Paris le fatiguent et après il dîne, se douche et se couche.
Sans être une Marie couche-toi là, l’amour.
Pas celui du cœur.
Même si j’aime énormément Luc, parler gras m’est insupportable.
Mais une bonne bite dans ma chatte, c’est de plus en plus rare.
C’est le cas ce matin, hier ça été la même musique et les trépidations du tracteur sur ce champ plutôt qu'une pelouse me chamboule les ovaires.
Encore une demi-heure et sous la douche en dirigeant le jet là où ça fait du bien, je ressentirais une toute petite décharge.
C’est un palliatif, mais à la guerre comme à la guerre.
- Bonjour madame.
J’ai dit bonjour madame.
Je passe le long de la clôture en fil de fer barbelé notre pelouse comme je l’ai dit un champ où les vaches paissaient avant que le fermier habitant cette merveille accepte de toute urgence de nous vendre la ferme de nos rêves.
- Oui, madame, on est là.
Coupez votre moteur nous avons quelque chose à vous demander.
Je coupe le moteur, à trois mettre de moi, deux jeunes hommes en short débardeurs et chaussure de marches avec deux grands sacs à dos sur le dos.
- Nous descendons à Nice à pied et nous aimerions boire un verre d’eau.
Nous sommes partis à la fraîche, mais avec cette chaleur nous aimerions remplir nos gourdes qui sont vides.
Comment refuser de l’eau à son prochain, sans être bigote, j’ai appris à croire ?
Mais la vie m’a surtout appris à croire.
Moins de 20 ans, ils pourraient être les fils que la nature me refuse, mais je suis loin de désespérer, nous avons rendez-vous le mois prochain à Paris chez un grand spécialiste qui va cerner le problème.
- Venez, nous allons aller dans ma cuisine, j’ai de l’eau fraîche dans mon frigo.
- Je m’appelle Soren, maman est suédoise et papa était niçois.
Mon copain s’appelle Alex.
Alex est brun autant que Soren est blond.
Ils sont mignons tous les deux quand ils posent leur sac à la porte de ma cuisine.
En remontant l’allée jusqu’à la maison je sentais leurs regards regarder mon cul.
Cul d’une femme de 32 ans, bien conservés grâce à tout ce que je fais et qui préalablement aurait dû être fait par Luc.
- On peut vous demander votre nom.
- Bien sûr, c’est plus sympa de savoir à qui l’on parle.
Moi c’est Lucie, asseyez-vous, je vous donne la bouteille d’eau.
Voici deux verres, je vais aller me doucher, j’ai de l’herbe partout.
Ça colle avec la sueur, je reviens.
Je vais dans notre chambre et je passe dans la salle de bains.
C’est le seul endroit propre de cette grande maison.
Le vieux qui est décédé avait fait refaire cette pièce pour sa femme.
Il y avait fait mettre une baignoire et une douche assez grande avec un bac placée dans le sol.
J’aime me prélasser dans un bon bain, mais là le temps me presse devant rejoindre mes invités s’étant invité.
Rapidement, juste deux ficelles a détaché et je suis nue mes petits morceaux de tissu tombant au sol.
J’ouvre l’eau presque froide.
C’est divin, je me savonne, me rince, encore deux minutes de ces jets frais sur mon corps.
Je sens une présence derrière moi et dans la fraction de seconde un corps se collant au mien.
Il m’est impossible d’ignorer que celui des deux garçons qui a eu le culot de se dévêtir et venir prendre sa douche avec moi, bande.
Je tourne la tête, malgré l’eau coulant sur nos visages, je vois des boucles blondes.
C’est Soren qui est collé à moi, mais derrière lui, Alex est là aussi nu, si la douche est grande, il est difficile de m’approcher.
De toute ma vie, j’ai eu des amants mais deux en même temps, jamais.
Mais surtout depuis mon mariage avec Luc, je lui suis fidèle malgré qu’il oublie par fatigue de s’occuper de moi.
De toute façon au village, les rares fois où j’y vais faire mes courses, l’âge des habitants retraiter Parisien venu à la campagne passer des jours heureux sont loin de m’émoustiller.
Je me retourne, ça bouche trouve ma bouche, ma main trouve sa verge bien tendue.
Je suis folle mais quelle douce folie, surtout quand une main ferme l’eau arrêtant ce déluge sur nos crânes.
Cette main vient prendre mon sein faisant bander la fraise qui en temps normal est caché attendant de sortir.
Soren me fait bouger et quitte ma bouche vite remplacée par celle d’Alex embrassant aussi bien que son copain.
Comme ils sont placés à la sortie de la paroi de verre évitant à l’eau d’inonder la pièce, je peux saisir l’autre verge.
Autant Soren est grand, autant Alex tient facilement dans ma main.
- J’ai vu que tu étais étonnée Lucie.
- Alex est bien moins membré que moi.
On le sait, mais tu vas voir, il sait s’en servir.
Les garçons sont-ils homos, à ce moment impossible de le dire, mais quand je me baisse pour les prendre l’un après l’autre dans ma bouche, ce sont deux bites que j’ai à ma disposition pour les satisfaire.
- Arrête Lucie, je vais décharger et nous voulons te faire l’amour.
Tu es une vraiment belle femme, on a de la chance de t’avoir rencontré.
Et moi donc, deux jeunes hommes deux bites une grande une petite qui va me donner ce que mon mari oublie trop fréquemment ces temps
- Allons dans ta chambre, on serra mieux pour nous occuper de toi.
Tu en veux ma salope.
Oh oui, Oh ! j’en veux, votre belle salope, j’allais dire votre grosse salope inutile de se mettre des kilos superflus.
Votre belle salope veut de là queue, encore de la queue, toujours de la queue.
Il va sans dire qu’avec mon éducation, ces propos restent dans ma tête, mais je prends une serviette et je nous frotte l’un après l’autre.
Soren se penche et prend mon sein dans sa bouche permettant à ma fraise de grossir encore.
- Tout doux cheval fougueux, on a le temps, vous êtes mes premiers amants et je veux pouvoir m’en souvenir longtemps.
- Amant, tu es mariée pourtant ton doigt est dépourvu d’alliance.
- Le premier jour où je suis venue, dans la grange ma bague a crocheté un clou manquant de m’arracher le doigt.
Elle est là dans le tiroir de ma table de nuit.
- Soren vient, on va laisser Lucie, si elle est mariée.
- Vous êtes fous les gars.
Je prends une douche, vous venez m’allumer et après quelques coups de langue sur vos bites, vous me laissez en carafe avec l’envie que vous avez déclenchée en moi.
Venez.
Je les reprends en main par leur bite bien bandée et je les emmène de force vers le lit conjugal où nous roulons.
Grande, petite, une bite entre en moi me faisant sortir de la gorge un cri rauque de plaisir.
Un cri vite étouffé par une petite bite me montrant que celle dans mon vagin appartient à la chevelure blonde.
Soren, aux cheveux longs, sous certains aspects, il fait fille, mais sans seins et avec une belle bite.
Je m’écarte au maximum que je peux pour qu’il entre, entre encore.
Dans ma bouche, elle entre, entre et entre encore.
D’un coup ma bouche et ma chatte se retrouvent vides avant qu’ils me fassent mettre en levrette.
Ils sont jeunes, mais semblent savoir s’occuper d’une femme en vieux briscard.
J’ai mis des mois à sucer Luc et plus encore à ce qu’il me prenne en levrette ou à la cuillère.
Moins longue que sa précédente mais tout aussi efficace.
Mes hanches sont saisies presque crocheter et ma bouche a du mal à faire une gorge profonde à celle de Soren.
Une fraction de seconde, je pense que s'ils étaient vraiment vicelards, ils me prendraient les deux en même temps.
Ça aurait été une faute, car j’en veux beaucoup dans le sexe mais mon anus est un coin secret que je garde pour moi.
Chacun décharge me faisant hurler de plaisir.
La ferme est bien pour ça, isolé de tout sauf un chemin où des randonneurs passent de temps en temps, comme Soren et Alex.
Deux, trois, quatre fois, je sens leur sperme dans ma bouche et ma chatte avant de tomber d’épuisement.
- Chérie, que se passe-t-il ici.
Je rentre, le tracteur est dehors sous la pluie la pelouse à moitié tondue.
Dans la cuisine pas de repas et toi je te trouve vautrée dans notre lit.
- Je tondais, j’ai eu un coup de chaleur, je suis venue prendre une douche et je me suis écroulée sur notre lit.
Je dormais sans voir le temps passer.
- Ma pauvre biche, je t’en demande trop, demain je finirais la tonte, l’eau vient de s’arrêter.
Où son Soren et Alex ?
Ce qui manque de me faire rire, c’est Luc qui se déshabille, me prend dans ses bras et me sert contre moi.
Lui aussi il bande et quelques minutes après sans que je le suce, il entre en moi baignant dans le sperme des deux garçons.
- Tu es trempée BB, ta chatte dégouline, je te promets de te faire l’amour plus souvent.
Épilogue :
Plus d’un mois s’est passé depuis cette journée merveilleuse.
Nous avons pris le train pour Paris.
Nous sommes au restaurant avec Luc à boire du champagne.
Nous venons de sortir de chez le médecin avec lequel nous avons parlé de notre propension d’avoir un enfant ensemble.
Il m’a examiné me demandant si je me foutais de sa gueule.
Avec des mots plus châtiés.
Le jour ou trois hommes m’ont aidé à concevoir notre enfant a été une journée merveilleuse.
Celle où j’apprends qu’il va être là dans un peu plus de sept mois l’est toute autant.
Brun et peut-être blond, qu’importe jusqu’à la fin de ma vie, chaque fois que je regardais mon fils, j’aurais trois noms à la bouche.
Alex, Luc et Soren classé par ordre alphabétique.
Grâce aux garçons nuls nécessités de dire à mon mari qu’il est impuissant ses spermatos étant incapables de me féconder.
- Et si nous faisions une fille mon amour.
C’est la phrase qui restera dans sa bouche, je l’espère, m’obligeant à ruser si l’origine de certains spermatos se découvrait.
Quoique si je vivais de nouveau une journée extraordinaire.
2 heures que je suis perché sur ce tracteur.
Petit tracteur pour particuliers que Luc a achetés pour tondre les 4 000 mètres carrés de terrain de la maison où nous sommes venues habiter à trente minutes en voiture de Paris.
Un jour Luc rentre de son travail me disant, Lucie va préparer nos affaires, nous allons visiter le rêve de notre vie.
C’est vrai que depuis quelques mois, la campagne, c’est notre truc.
Il rêve même de poules, canards et lapins.
Et ce samedi à quelques kilomètres de Courtenay nous avons arrêté l’achat de cette vieille ferme qui va concrétiser nos rêves.
Ce qui m’intéressait c’étaient les animaux et non la pelouse même si je suis en train de la tondre en moyenne tous les quinze jours.
En eau, malgré le maillot de bain que je porte 90 % de mon temps.
À 32 ans sans grossesse je suis encore présentable surtout brune comme je le suis et noir à tondre ou rénover la maison avec ce soleil.
J’oublie le jardin potager que j’entretiens et que Luc magnanime arrose à 21 heures après sa journée de boulot dans la banque qui l’emploie.
Ces allées et retours vers Paris le fatiguent et après il dîne, se douche et se couche.
Sans être une Marie couche-toi là, l’amour.
Pas celui du cœur.
Même si j’aime énormément Luc, parler gras m’est insupportable.
Mais une bonne bite dans ma chatte, c’est de plus en plus rare.
C’est le cas ce matin, hier ça été la même musique et les trépidations du tracteur sur ce champ plutôt qu'une pelouse me chamboule les ovaires.
Encore une demi-heure et sous la douche en dirigeant le jet là où ça fait du bien, je ressentirais une toute petite décharge.
C’est un palliatif, mais à la guerre comme à la guerre.
- Bonjour madame.
J’ai dit bonjour madame.
Je passe le long de la clôture en fil de fer barbelé notre pelouse comme je l’ai dit un champ où les vaches paissaient avant que le fermier habitant cette merveille accepte de toute urgence de nous vendre la ferme de nos rêves.
- Oui, madame, on est là.
Coupez votre moteur nous avons quelque chose à vous demander.
Je coupe le moteur, à trois mettre de moi, deux jeunes hommes en short débardeurs et chaussure de marches avec deux grands sacs à dos sur le dos.
- Nous descendons à Nice à pied et nous aimerions boire un verre d’eau.
Nous sommes partis à la fraîche, mais avec cette chaleur nous aimerions remplir nos gourdes qui sont vides.
Comment refuser de l’eau à son prochain, sans être bigote, j’ai appris à croire ?
Mais la vie m’a surtout appris à croire.
Moins de 20 ans, ils pourraient être les fils que la nature me refuse, mais je suis loin de désespérer, nous avons rendez-vous le mois prochain à Paris chez un grand spécialiste qui va cerner le problème.
- Venez, nous allons aller dans ma cuisine, j’ai de l’eau fraîche dans mon frigo.
- Je m’appelle Soren, maman est suédoise et papa était niçois.
Mon copain s’appelle Alex.
Alex est brun autant que Soren est blond.
Ils sont mignons tous les deux quand ils posent leur sac à la porte de ma cuisine.
En remontant l’allée jusqu’à la maison je sentais leurs regards regarder mon cul.
Cul d’une femme de 32 ans, bien conservés grâce à tout ce que je fais et qui préalablement aurait dû être fait par Luc.
- On peut vous demander votre nom.
- Bien sûr, c’est plus sympa de savoir à qui l’on parle.
Moi c’est Lucie, asseyez-vous, je vous donne la bouteille d’eau.
Voici deux verres, je vais aller me doucher, j’ai de l’herbe partout.
Ça colle avec la sueur, je reviens.
Je vais dans notre chambre et je passe dans la salle de bains.
C’est le seul endroit propre de cette grande maison.
Le vieux qui est décédé avait fait refaire cette pièce pour sa femme.
Il y avait fait mettre une baignoire et une douche assez grande avec un bac placée dans le sol.
J’aime me prélasser dans un bon bain, mais là le temps me presse devant rejoindre mes invités s’étant invité.
Rapidement, juste deux ficelles a détaché et je suis nue mes petits morceaux de tissu tombant au sol.
J’ouvre l’eau presque froide.
C’est divin, je me savonne, me rince, encore deux minutes de ces jets frais sur mon corps.
Je sens une présence derrière moi et dans la fraction de seconde un corps se collant au mien.
Il m’est impossible d’ignorer que celui des deux garçons qui a eu le culot de se dévêtir et venir prendre sa douche avec moi, bande.
Je tourne la tête, malgré l’eau coulant sur nos visages, je vois des boucles blondes.
C’est Soren qui est collé à moi, mais derrière lui, Alex est là aussi nu, si la douche est grande, il est difficile de m’approcher.
De toute ma vie, j’ai eu des amants mais deux en même temps, jamais.
Mais surtout depuis mon mariage avec Luc, je lui suis fidèle malgré qu’il oublie par fatigue de s’occuper de moi.
De toute façon au village, les rares fois où j’y vais faire mes courses, l’âge des habitants retraiter Parisien venu à la campagne passer des jours heureux sont loin de m’émoustiller.
Je me retourne, ça bouche trouve ma bouche, ma main trouve sa verge bien tendue.
Je suis folle mais quelle douce folie, surtout quand une main ferme l’eau arrêtant ce déluge sur nos crânes.
Cette main vient prendre mon sein faisant bander la fraise qui en temps normal est caché attendant de sortir.
Soren me fait bouger et quitte ma bouche vite remplacée par celle d’Alex embrassant aussi bien que son copain.
Comme ils sont placés à la sortie de la paroi de verre évitant à l’eau d’inonder la pièce, je peux saisir l’autre verge.
Autant Soren est grand, autant Alex tient facilement dans ma main.
- J’ai vu que tu étais étonnée Lucie.
- Alex est bien moins membré que moi.
On le sait, mais tu vas voir, il sait s’en servir.
Les garçons sont-ils homos, à ce moment impossible de le dire, mais quand je me baisse pour les prendre l’un après l’autre dans ma bouche, ce sont deux bites que j’ai à ma disposition pour les satisfaire.
- Arrête Lucie, je vais décharger et nous voulons te faire l’amour.
Tu es une vraiment belle femme, on a de la chance de t’avoir rencontré.
Et moi donc, deux jeunes hommes deux bites une grande une petite qui va me donner ce que mon mari oublie trop fréquemment ces temps
- Allons dans ta chambre, on serra mieux pour nous occuper de toi.
Tu en veux ma salope.
Oh oui, Oh ! j’en veux, votre belle salope, j’allais dire votre grosse salope inutile de se mettre des kilos superflus.
Votre belle salope veut de là queue, encore de la queue, toujours de la queue.
Il va sans dire qu’avec mon éducation, ces propos restent dans ma tête, mais je prends une serviette et je nous frotte l’un après l’autre.
Soren se penche et prend mon sein dans sa bouche permettant à ma fraise de grossir encore.
- Tout doux cheval fougueux, on a le temps, vous êtes mes premiers amants et je veux pouvoir m’en souvenir longtemps.
- Amant, tu es mariée pourtant ton doigt est dépourvu d’alliance.
- Le premier jour où je suis venue, dans la grange ma bague a crocheté un clou manquant de m’arracher le doigt.
Elle est là dans le tiroir de ma table de nuit.
- Soren vient, on va laisser Lucie, si elle est mariée.
- Vous êtes fous les gars.
Je prends une douche, vous venez m’allumer et après quelques coups de langue sur vos bites, vous me laissez en carafe avec l’envie que vous avez déclenchée en moi.
Venez.
Je les reprends en main par leur bite bien bandée et je les emmène de force vers le lit conjugal où nous roulons.
Grande, petite, une bite entre en moi me faisant sortir de la gorge un cri rauque de plaisir.
Un cri vite étouffé par une petite bite me montrant que celle dans mon vagin appartient à la chevelure blonde.
Soren, aux cheveux longs, sous certains aspects, il fait fille, mais sans seins et avec une belle bite.
Je m’écarte au maximum que je peux pour qu’il entre, entre encore.
Dans ma bouche, elle entre, entre et entre encore.
D’un coup ma bouche et ma chatte se retrouvent vides avant qu’ils me fassent mettre en levrette.
Ils sont jeunes, mais semblent savoir s’occuper d’une femme en vieux briscard.
J’ai mis des mois à sucer Luc et plus encore à ce qu’il me prenne en levrette ou à la cuillère.
Moins longue que sa précédente mais tout aussi efficace.
Mes hanches sont saisies presque crocheter et ma bouche a du mal à faire une gorge profonde à celle de Soren.
Une fraction de seconde, je pense que s'ils étaient vraiment vicelards, ils me prendraient les deux en même temps.
Ça aurait été une faute, car j’en veux beaucoup dans le sexe mais mon anus est un coin secret que je garde pour moi.
Chacun décharge me faisant hurler de plaisir.
La ferme est bien pour ça, isolé de tout sauf un chemin où des randonneurs passent de temps en temps, comme Soren et Alex.
Deux, trois, quatre fois, je sens leur sperme dans ma bouche et ma chatte avant de tomber d’épuisement.
- Chérie, que se passe-t-il ici.
Je rentre, le tracteur est dehors sous la pluie la pelouse à moitié tondue.
Dans la cuisine pas de repas et toi je te trouve vautrée dans notre lit.
- Je tondais, j’ai eu un coup de chaleur, je suis venue prendre une douche et je me suis écroulée sur notre lit.
Je dormais sans voir le temps passer.
- Ma pauvre biche, je t’en demande trop, demain je finirais la tonte, l’eau vient de s’arrêter.
Où son Soren et Alex ?
Ce qui manque de me faire rire, c’est Luc qui se déshabille, me prend dans ses bras et me sert contre moi.
Lui aussi il bande et quelques minutes après sans que je le suce, il entre en moi baignant dans le sperme des deux garçons.
- Tu es trempée BB, ta chatte dégouline, je te promets de te faire l’amour plus souvent.
Épilogue :
Plus d’un mois s’est passé depuis cette journée merveilleuse.
Nous avons pris le train pour Paris.
Nous sommes au restaurant avec Luc à boire du champagne.
Nous venons de sortir de chez le médecin avec lequel nous avons parlé de notre propension d’avoir un enfant ensemble.
Il m’a examiné me demandant si je me foutais de sa gueule.
Avec des mots plus châtiés.
Le jour ou trois hommes m’ont aidé à concevoir notre enfant a été une journée merveilleuse.
Celle où j’apprends qu’il va être là dans un peu plus de sept mois l’est toute autant.
Brun et peut-être blond, qu’importe jusqu’à la fin de ma vie, chaque fois que je regardais mon fils, j’aurais trois noms à la bouche.
Alex, Luc et Soren classé par ordre alphabétique.
Grâce aux garçons nuls nécessités de dire à mon mari qu’il est impuissant ses spermatos étant incapables de me féconder.
- Et si nous faisions une fille mon amour.
C’est la phrase qui restera dans sa bouche, je l’espère, m’obligeant à ruser si l’origine de certains spermatos se découvrait.
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