COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une première, pour mon petit-fils (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une première, pour mon petit-fils (1/1)
• Gilles, qu’est-ce que tu veux ?
• Je peux venir dormir chez toi ce week-end, mamy !
• Que t’arrive-t-il, tu t’es encore embrouillé avec ton père, tu sais ce que je pense de ce rustre qui a épousé ma fille !
• C’est un peu ça et chez toi je vais pouvoir respirer un peu.
• Viens quand tu veux, ma porte est grande ouverte.
Gilles, mon petit-fils et Alan son père, tout un poème.
Même caractère, prompt à s’enflammer, le feu et le feu, c’est impossible à laisser dans une même maison, la baraque est sûre de finir en cendres.
Vingt ans plus tôt, j’avais prévenu Lia des risques qu’elle prenait à épouser un tel homme, prêt à s’emporter et à créer des conflits avec tout le monde.
Heureusement, que j’ai fait faire de bonne étude à Lia, elle travaille dans un cabinet de radiologie et gagne très largement sa vie, car c’est elle qui fait vivre Alan.
Si elle m’avait écouté, ce gros con serait SDF et se retrouverait sous les ponts de Paris.
Gille, c’est moi qui lui ai fait faire ses études, jusqu’à son bac qu’il a eu avec mention.
Cette année, il est en fac de droit et doit se débrouiller seul, je suis plutôt portée sur les math, étant moi-même à soixante ans, à la retraite.
Le samedi Gilles arrive, avec son sac à dos.
• Inutile de me dire ce qui s’est passé avec ton père, tu as dû attaquer sur la politique et avec ses idées d’extrême droite, se plaignant de tous ces fainéants en France, tu as pété les plombs.
J’espère que tu lui as rappelé qu’il fait partie de ces fainéants qui vive aux crochets des autres !
• Mamy, pour une fois, tu as tout faux, nous avons parlé des femmes et j’ai eu le malheur de lui dire que j’étais puceau.
• C’est dingue de quoi se mêle-t-il, tu as le temps de trouver, comme on dit, chaussures à ton pied.
La conversation en est restée là, c’était l’heure de Fort Boyard, émission que j’aime regarder pendant l’été.
J’ai un seul point de regret, même de rejet, c’est la disparition des tigres à cause de ces écolos bobos.
Gilles a retrouvé la place qu’il prenait étant petit, un coussin à mes pieds et sa tête sur mes genoux, je lui caressais tendrement la tête.
L’argent gagné par l’association de Coluche, nous décidons d’aller au lit, alors que je lui proposais de prendre ma voiture pour faire un tour en boîte.
Son permis, c’était mon cadeau s’il avait son bac avec mention assez bien, j’avais visé trop bas, il a eu bien.
Attention, vu mon âge, lorsque je dis que je suis prête à lui prêter ma voiture, c’est pour qu’il sorte seul.
Les jeunes avec les jeunes, les vieux ou vieilles au dodo.
• Non, je préfère rester non loin de toi, mamy.
Je l’entends prendre sa douche après moi, j’aime l’hygiène, ce qui est loin d’être le cas pour son père qui sous couvert d’économie d’énergie prend une seule douche chaque semaine.
Combien de temps, lorsque je sens que l’on se glisse dans mon lit ?
J’étais en phase d’assoupissement.
Je passe ma main derrière moi et je sens une verge tendue.
On pourrait croire qu’un serpent m’a mordu, je sors du lit et j’allume ma lampe de chevet.
• Gilles, tu es fou, je suis ta grand-mère !
• Oui, mais tu es aussi une femme et tu aurais pu m’aider à perdre mon pucelage, ça me donnerait de l’assurance si tu m’enlevais ce poids qui me pèse.
• Chenapans, dépêche de retourner dans ta chambre avant que je me fâche.
Tape-toi une branlette, je te promets de faire ce qu’il faut pour toi demain.
Chose promise, chose due, le lendemain alors que Gilles dort encore.
• Allo Jessica ?
• Oui, Manuela, j’ai reconnu ta voix !
• Tapines-tu toujours ?
• Un peu moins, à quarante ans, tu sais ce que sais, il est plus difficile de trouver des clients !
• Oui, la crise de la quarantaine, c’est à cet âge moi aussi que j’ai quitté le métier.
• Serais-tu libre à midi pour venir déjeuner avec moi et mon petit-fils ?
• J’avais un client à 14 heures, mais je vais le refiler à Olga, elle est fauchée en ce moment et une passe de plus sera la bienvenue.
Que devrais-je faire, mon amie ?
Je lui raconte que mon petit-fils est venu dans mon lit et qu’il voulait me sauter, sa verge tendue.
• Il sait que sa grand-mère s’est prostituée pendant vingt ans !
• Non, vingt ans, tu exagères un peu, j’ai tapiné à Toulon pendant dix-sept ans, 6 mois et 9 jours.
Un jour, j’ai calculé le nombre de fois ou j’ai monté les marches de l’hôtel ou mon julot me louait ma chambre, ça fait environ 32 000 passes avant de décrocher.
Ce que je voudrais c’est que tu te fasses passer pour mon amie.
Avec ces téléphones modernes, je vais me faire appeler et je vous quitterais le temps nécessaire pour que tu déniaises mon petit-fils.
Inutile de te dire que tout cela doit se faire sans apprendre que sa grand-mère était une fille de joie et que tu es encore une pute en activité.
• Soit sans crainte, je vais te faire ça aux petits oignons !
Tout se passe comme prévu, je quitte mon petit-fils et je vais me promener au bord de la Seine.
Lorsque je reviens, Jessica et Giles regarde la télé côte à côte sans avoir l’air de rien.
• Mamy, ta voiture, tu es toujours partante pour me la prêter, j’aimerais sortir !
• Voilà les clefs, amuse-toi bien.
Il nous quitte.
• Alors comment ça c’est passé ?
• Tu veux que je te dise les positions qu’il m’a fait prendre !
On voit qu’il devait se pignoler devant des films pornographiques, bref, je lui ai enlevé son pucelage et il était ravi d’avoir séduit une femme comme moi.
• Combien, je te dois pour ce gros service ?
• Mais rien du tout !
Si tu as vu sa verge, il est plutôt bien monté.
Il m’a fait jouir trois fois avant qu’il se vide dans sa capote et tu sais ce que l’on dit de la chance pour une pute de dénaiser un puceau.
Jessica m’a quitté, à partir de ce jour, mon petit-fils a sauté tout ce qui bouge, sauf moi, il va de soi.
• Je peux venir dormir chez toi ce week-end, mamy !
• Que t’arrive-t-il, tu t’es encore embrouillé avec ton père, tu sais ce que je pense de ce rustre qui a épousé ma fille !
• C’est un peu ça et chez toi je vais pouvoir respirer un peu.
• Viens quand tu veux, ma porte est grande ouverte.
Gilles, mon petit-fils et Alan son père, tout un poème.
Même caractère, prompt à s’enflammer, le feu et le feu, c’est impossible à laisser dans une même maison, la baraque est sûre de finir en cendres.
Vingt ans plus tôt, j’avais prévenu Lia des risques qu’elle prenait à épouser un tel homme, prêt à s’emporter et à créer des conflits avec tout le monde.
Heureusement, que j’ai fait faire de bonne étude à Lia, elle travaille dans un cabinet de radiologie et gagne très largement sa vie, car c’est elle qui fait vivre Alan.
Si elle m’avait écouté, ce gros con serait SDF et se retrouverait sous les ponts de Paris.
Gille, c’est moi qui lui ai fait faire ses études, jusqu’à son bac qu’il a eu avec mention.
Cette année, il est en fac de droit et doit se débrouiller seul, je suis plutôt portée sur les math, étant moi-même à soixante ans, à la retraite.
Le samedi Gilles arrive, avec son sac à dos.
• Inutile de me dire ce qui s’est passé avec ton père, tu as dû attaquer sur la politique et avec ses idées d’extrême droite, se plaignant de tous ces fainéants en France, tu as pété les plombs.
J’espère que tu lui as rappelé qu’il fait partie de ces fainéants qui vive aux crochets des autres !
• Mamy, pour une fois, tu as tout faux, nous avons parlé des femmes et j’ai eu le malheur de lui dire que j’étais puceau.
• C’est dingue de quoi se mêle-t-il, tu as le temps de trouver, comme on dit, chaussures à ton pied.
La conversation en est restée là, c’était l’heure de Fort Boyard, émission que j’aime regarder pendant l’été.
J’ai un seul point de regret, même de rejet, c’est la disparition des tigres à cause de ces écolos bobos.
Gilles a retrouvé la place qu’il prenait étant petit, un coussin à mes pieds et sa tête sur mes genoux, je lui caressais tendrement la tête.
L’argent gagné par l’association de Coluche, nous décidons d’aller au lit, alors que je lui proposais de prendre ma voiture pour faire un tour en boîte.
Son permis, c’était mon cadeau s’il avait son bac avec mention assez bien, j’avais visé trop bas, il a eu bien.
Attention, vu mon âge, lorsque je dis que je suis prête à lui prêter ma voiture, c’est pour qu’il sorte seul.
Les jeunes avec les jeunes, les vieux ou vieilles au dodo.
• Non, je préfère rester non loin de toi, mamy.
Je l’entends prendre sa douche après moi, j’aime l’hygiène, ce qui est loin d’être le cas pour son père qui sous couvert d’économie d’énergie prend une seule douche chaque semaine.
Combien de temps, lorsque je sens que l’on se glisse dans mon lit ?
J’étais en phase d’assoupissement.
Je passe ma main derrière moi et je sens une verge tendue.
On pourrait croire qu’un serpent m’a mordu, je sors du lit et j’allume ma lampe de chevet.
• Gilles, tu es fou, je suis ta grand-mère !
• Oui, mais tu es aussi une femme et tu aurais pu m’aider à perdre mon pucelage, ça me donnerait de l’assurance si tu m’enlevais ce poids qui me pèse.
• Chenapans, dépêche de retourner dans ta chambre avant que je me fâche.
Tape-toi une branlette, je te promets de faire ce qu’il faut pour toi demain.
Chose promise, chose due, le lendemain alors que Gilles dort encore.
• Allo Jessica ?
• Oui, Manuela, j’ai reconnu ta voix !
• Tapines-tu toujours ?
• Un peu moins, à quarante ans, tu sais ce que sais, il est plus difficile de trouver des clients !
• Oui, la crise de la quarantaine, c’est à cet âge moi aussi que j’ai quitté le métier.
• Serais-tu libre à midi pour venir déjeuner avec moi et mon petit-fils ?
• J’avais un client à 14 heures, mais je vais le refiler à Olga, elle est fauchée en ce moment et une passe de plus sera la bienvenue.
Que devrais-je faire, mon amie ?
Je lui raconte que mon petit-fils est venu dans mon lit et qu’il voulait me sauter, sa verge tendue.
• Il sait que sa grand-mère s’est prostituée pendant vingt ans !
• Non, vingt ans, tu exagères un peu, j’ai tapiné à Toulon pendant dix-sept ans, 6 mois et 9 jours.
Un jour, j’ai calculé le nombre de fois ou j’ai monté les marches de l’hôtel ou mon julot me louait ma chambre, ça fait environ 32 000 passes avant de décrocher.
Ce que je voudrais c’est que tu te fasses passer pour mon amie.
Avec ces téléphones modernes, je vais me faire appeler et je vous quitterais le temps nécessaire pour que tu déniaises mon petit-fils.
Inutile de te dire que tout cela doit se faire sans apprendre que sa grand-mère était une fille de joie et que tu es encore une pute en activité.
• Soit sans crainte, je vais te faire ça aux petits oignons !
Tout se passe comme prévu, je quitte mon petit-fils et je vais me promener au bord de la Seine.
Lorsque je reviens, Jessica et Giles regarde la télé côte à côte sans avoir l’air de rien.
• Mamy, ta voiture, tu es toujours partante pour me la prêter, j’aimerais sortir !
• Voilà les clefs, amuse-toi bien.
Il nous quitte.
• Alors comment ça c’est passé ?
• Tu veux que je te dise les positions qu’il m’a fait prendre !
On voit qu’il devait se pignoler devant des films pornographiques, bref, je lui ai enlevé son pucelage et il était ravi d’avoir séduit une femme comme moi.
• Combien, je te dois pour ce gros service ?
• Mais rien du tout !
Si tu as vu sa verge, il est plutôt bien monté.
Il m’a fait jouir trois fois avant qu’il se vide dans sa capote et tu sais ce que l’on dit de la chance pour une pute de dénaiser un puceau.
Jessica m’a quitté, à partir de ce jour, mon petit-fils a sauté tout ce qui bouge, sauf moi, il va de soi.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
superbe histoire
Belle histoire Chris