COLLECTION HOMME FEMME. Abandon (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Abandon (2/2)
Je m’appelle Gaëlle, je suis une jeune femme enceinte.
Mon compagnon chez qui je résidais a pris peur et est parti au Canada profitant d’une opportunité pour lui mais pas pour moi.
Je suis à la rue car j’habitais chez lui alors qu’il avait toujours refusé de m’épouser.
Au cours d’accouchements sans douleur où j’ai appris sa fuite juste au moment d’y rentrer, je fais la connaissance de deux hommes bien mis qui sont là avec une jeune femme complètement hors de leur milieu.
Elle pue la fille de banlieue opportuniste qui a accepté d’être mère porteuse pour ces hommes homosexuels en mal d’enfant.
Vulgaire, mal attifé, fumant et certainement buvant de l’alcool ce que j’ai appris à éviter de faire quand on est enceinte.
La clope, je dois dire que j’ai la chance depuis ma jeunesse d’avoir refusé toutes les sollicitations.
Pierre m’aide après l’abandon de mon compagnon et les deux garçons m’offrent l'hospitalité car en partant sans se préoccuper de moi, me jetant à la rue dans mon état.
Je suis dans leur salon dans leur immeuble très haut de gamme quand ils me proposent cette solution et quand ils viennent vers moi.
J’accepte qu’il m’embrasse de manière autre que par amitié.
Je leur saute au cou.
C’est Pierre qui le premier m’embrasse, pas comme un copain, comme un homme aimant les femmes.
Suivi de Paul pendant que Pierre ouvre ma robe de grossesses.
Nous sommes dans un magnifique salon meublé très moderne.
- Oui Pierre, là, mon clito, il me brûle.
- On va l’éteindre ma chère pour mieux le rallumer l’instant suivant.
Pierre me conduit jusqu’au canapé et me mange la chatte.
C’est divin, je coule, ma cyprine dégouline, mes glandes exacerbées par l’augmentation de ma libido.
Paul s’occupe de mes seins, ils sont un peu développés à mon sixième mois de grossesse.
Les aréoles sont bien noires et les tétons bien développés moi qui les as plutôt rentrés en temps normal, hors grossesse.
Il les prend dans sa bouche et les tètes comme mon bébé, dont j’ai refusé de savoir le sexe, le fera quand il verra le jour.
Paul nous rejoint et me présente sa bite, je l’accueille avec envie.
J’ai beaucoup aimé sucer le fumier qui s’est tiré manger des cranberrys.
- Attends Pierre, je vais me mettre à quatre pattes ce sera plus facile pour me prendre, sinon mon gros ventre se développant risque de te gêner.
Merci, tu peux y aller, Paul redonne-moi ta bite j’adore te sucer.
Faire l’amour avec deux mecs, au plus loin que ma mémoire peut remonter, deux mecs en même temps, mon cerveau refuse de me dire s’il y a déjà pensé.
Deux mecs, deux homos qui me baisent bien, même mieux que des hétéros.
C’est surprenant mais c’est si bon pour calmer mon corps en surchauffe que je prends un pied hors de mes habitudes.
Je finis par m’écrouler la bouche et la chatte remplie de sperme pour mon plus grand plaisir.
- Eh, vous remettez ça, Gaëlle, tu es une gourmande, quelle heure est-il ?
- Trois heures, je me suis réveillée et j’ai vu la verge de Paul à ma disposition, regarde comme on baise bien.
- Tu aimes être au-dessus, regarde, je bande, si tu veux y retourner.
- Pierre attend ton tour où sinon la bouche de notre amie t'est disponible comme elle l’a été pour moi tout à l’heure.
Quand il y en a pour un avec cette jolie salope il y en a pour deux.
Si tu veux que ce soit moi qui te suce.
- Tu sais que ta bite m’est précieuse quand je te masturbe et te suce, mais ça peut gêner notre amie.
- Arrête de te poser des questions, il y a longtemps qu’elle a compris que nous vivons en couple hors de notre travail.
Donne-moi ta verge.
C’est comme ça qu’au milieu de la nuit, je monte et je descends sur le pieu qui bande en moi.
Dans le même temps dans la pénombre de la chambre où nous nous sommes déplacés après la première fois où ils ont été mes amants, je vois la verge de Pierre entrer dans la bouche de son copain et sa main le masturber.
Une chatte, une bouche même masculine, deux verges, quand nous jouissons nous retombons dans les bras les uns des autres notre plaisir pris sans pour le moment que cela me pose plus de questions.
- Bonjours petit bouchon, bébé va bien, à oui il est sage, il a permis à sa maman de passer une bonne nuit.
- Ajoutez vos verges, à vous deux vous avez éteint le feu qui brûlait en moi.
Mais dite, comme tu l’as dit cette nuit, dès le début j’ai compris que vous formiez un couple, pourquoi moi, je suis votre première femme ?
Ils éclatent de rire tous les deux.
- Gaëlle, on était mariés tous les deux juste après nous être associés dans le travail.
Nous avons divorcéNous sommes ce que les biens pensant appel des bisexuelles.
Nous aimons les femmes autant que nous-mêmes.
Nous avons beaucoup aimée te baiser petite fille, comme on te l’a proposé au lieu de la chambre d’amis, c’est notre grand lit que nous te proposons.
Pour leur faire voir mon accord, je me mets à masturber la bite droite Paul et la bite gauche Pierre.
Quand ils bandent à mort, j’ai un grand plaisir à voir leur sperme gicler sur mes mains.
Poivre, sels, épices d’orient douceur de nos jardins, quand je me lèche les mains toutes ces saveurs se mélangent.
- Paul il faut y aller, appelle Babette pour lui demander si elle a passé une bonne nuit.
Paul prend son portable et appel, personne pour décrocher.
- Ça m’inquiète, ça fait trois jours qu’il est impossible de l’avoir au bout du fil, ça sent l’embrouille.
Ça fait moi aussi trois jours que je me fais sauter par les deux garçons toutes les nuits et souvent le matin avant qu’ils descendent dans leur hôtel particulier dans leurs études démêler des affaires trop compliquées pour moi.
Attention, on me dit instruite car j’ai mon bac, mais l’amour pour celui que je refuse de me souvenir de son nom m’a fait tout stopper.
- Tu verras, demain elle sera là, je t’avais dit qu’il fallait exiger d’avoir un point de chute en cas de problème pour les uns et pour les autres.
Donner la moitié de la somme contant, ça a dû être trop tentant pour elle de garder le fric et notre enfant.
- Rappel-toi, après plusieurs rencontres infructueuses, c’était la seule qui a accepté de prendre des risques pour que nous ayons notre enfant.
Elle avait cinq filles qu’elle avait du mal à élever tu la vois avec une sixième !
La nuit, mes envies sont satisfaites une nouvelle fois, à tour de rôle ou bien ensemble, chacun d’eux me donne du plaisir.
Cette nuit quand je me suis réveillée au grognement bien caractéristique d’hommes prenant du plaisir, j’ai vu grâce au radio-réveil donnant une lumière bleue, Pierre le mâle dominant de leur couple sodomiser Paul qui en redemandait.
Deux hommes qui s’aiment c’est aussi fort que nous quand ils m’aiment.
Nous commençons à former un très beau trio.
- Paul, tu emmènes Gaëlle au cours d’accouchement, j’essaye de rappeler Babette.
Je vous rejoins.
Nous sommes en plein exercice quand nous le voyons arriver.
Il a l’air contrarié.
Susy la prof a eu l’air surprise quand je suis arrivée avec Paul.
Elle ouvre des yeux immenses ainsi que certains participants aux cours déjà la première semaine, comprenant qu’en cours de route j’avais trouvé deux magnifiques mâles pour venir s’occuper de mon futur accouchement.
Enfin Susy nous libère.
- Poussez, madame poussez, je vois la tête, monsieur encouragez votre femme.
- Elle va vous donner un beau bébé.
La voilà c’est une fille, lors de nos visites, je crois que vous avez déjà un garçon.
Quelle chance d’avoir le choix du roi.
Quand je pense à tous les couples cherchant désespérément un garçon et qui accumule les filles.
Je sais, vous vous dites que s'est-il passé avec leur premier enfant !
Babette leur a donné un garçon et a empêché son dû.
Non, Louis, c’est mon fils né dans la douleur mais l’amour de leurs pères ayant coupé le cordon.
Ils ont tiré au sort et c'est Paul qui l’a reconnu évitant que je sois fille-mère.
Nous avons installé notre fils dans la chambre d'amis transformée en nursery et chambre de la nurse anglaise que nous avons embauchés pour me soulager.
Dès que mon retour de couches, c'est fait.
Ma bouche leur a servi à ce que je les fasse bander car nous voulions que ma chatte dès mes premières ovulations rencontre leurs spermatozoïdes qu’ils mettaient en moi.
Nous voulions que l’enfant que Pierre reconnaîtra, soit de tous les deux sans aucune frustration de celui qui aurait perdu la course.
Laure est dans leurs bras et va rejoindre son frère qui commence à se lever pour l’accueillir à notre retour.
Ça jase au début, mais tout le monde prend l’habitude que nous nous promenons tous les cinq, chaque père poussant à tour de rôle le landau ou tenant la main de notre fils.
Voilà mon histoire, notre histoire.
Ah oui, Babette, que s'est-il passé avec elle ?
Quand Pierre est remonté aux cours, il avait enfin réussi à ce que Babette réponde.
Alors qu’il était prévu qu’aux échographies, à aucun moment ils voulaient savoir le sexe du bébé, avec son mari le père de ses cinq filles a voulu savoir.
Quand il a su que sa femme attendait un sixième en mère porteuse, il l’a forcé à voir.
Un fils, une aubaine pour lui-même s’il est blanc alors que lui est chocolat.
Il voulait rendre l’argent mais grands seigneurs, mes hommes ayant eu aussi un fils leur ont laissé l’argent.
Mon fils aurait dû vivre dans une famille petite bourgeoisie que nous formions avec celui dont j’ai perdu la trace.
Il va vivre dans un grand luxe entouré de ses deux pères.
Le fils de Paul et de Pierre, quant à lui, va vivre dans une HLM de banlieue sans savoir où, entouré de cinq sœurs qui si elles ont le QI de leur mère lui pourriront la vie, lui qui sera super-intelligent comme l’est Laure.
Je vous quitte, je dois retrouver mes hommes en rentrant de mon salon de beauté où je vais toutes les semaines.
Mes hommes aiment tellement ma libido qu’ils aiment éteindre quand je suis enceinte que nous essayons de donner un frère ou une sœur à Louis et Laure.
Quand j’entre dans notre chambre les aînés partis se promener au square avec l’anglaise, Paul caresse Pierre et Pierre, Paul.
Ils bandent tous les deux en ce samedi qui pour moi va une nouvelle fois être un samedi de fête.
Mon compagnon chez qui je résidais a pris peur et est parti au Canada profitant d’une opportunité pour lui mais pas pour moi.
Je suis à la rue car j’habitais chez lui alors qu’il avait toujours refusé de m’épouser.
Au cours d’accouchements sans douleur où j’ai appris sa fuite juste au moment d’y rentrer, je fais la connaissance de deux hommes bien mis qui sont là avec une jeune femme complètement hors de leur milieu.
Elle pue la fille de banlieue opportuniste qui a accepté d’être mère porteuse pour ces hommes homosexuels en mal d’enfant.
Vulgaire, mal attifé, fumant et certainement buvant de l’alcool ce que j’ai appris à éviter de faire quand on est enceinte.
La clope, je dois dire que j’ai la chance depuis ma jeunesse d’avoir refusé toutes les sollicitations.
Pierre m’aide après l’abandon de mon compagnon et les deux garçons m’offrent l'hospitalité car en partant sans se préoccuper de moi, me jetant à la rue dans mon état.
Je suis dans leur salon dans leur immeuble très haut de gamme quand ils me proposent cette solution et quand ils viennent vers moi.
J’accepte qu’il m’embrasse de manière autre que par amitié.
Je leur saute au cou.
C’est Pierre qui le premier m’embrasse, pas comme un copain, comme un homme aimant les femmes.
Suivi de Paul pendant que Pierre ouvre ma robe de grossesses.
Nous sommes dans un magnifique salon meublé très moderne.
- Oui Pierre, là, mon clito, il me brûle.
- On va l’éteindre ma chère pour mieux le rallumer l’instant suivant.
Pierre me conduit jusqu’au canapé et me mange la chatte.
C’est divin, je coule, ma cyprine dégouline, mes glandes exacerbées par l’augmentation de ma libido.
Paul s’occupe de mes seins, ils sont un peu développés à mon sixième mois de grossesse.
Les aréoles sont bien noires et les tétons bien développés moi qui les as plutôt rentrés en temps normal, hors grossesse.
Il les prend dans sa bouche et les tètes comme mon bébé, dont j’ai refusé de savoir le sexe, le fera quand il verra le jour.
Paul nous rejoint et me présente sa bite, je l’accueille avec envie.
J’ai beaucoup aimé sucer le fumier qui s’est tiré manger des cranberrys.
- Attends Pierre, je vais me mettre à quatre pattes ce sera plus facile pour me prendre, sinon mon gros ventre se développant risque de te gêner.
Merci, tu peux y aller, Paul redonne-moi ta bite j’adore te sucer.
Faire l’amour avec deux mecs, au plus loin que ma mémoire peut remonter, deux mecs en même temps, mon cerveau refuse de me dire s’il y a déjà pensé.
Deux mecs, deux homos qui me baisent bien, même mieux que des hétéros.
C’est surprenant mais c’est si bon pour calmer mon corps en surchauffe que je prends un pied hors de mes habitudes.
Je finis par m’écrouler la bouche et la chatte remplie de sperme pour mon plus grand plaisir.
- Eh, vous remettez ça, Gaëlle, tu es une gourmande, quelle heure est-il ?
- Trois heures, je me suis réveillée et j’ai vu la verge de Paul à ma disposition, regarde comme on baise bien.
- Tu aimes être au-dessus, regarde, je bande, si tu veux y retourner.
- Pierre attend ton tour où sinon la bouche de notre amie t'est disponible comme elle l’a été pour moi tout à l’heure.
Quand il y en a pour un avec cette jolie salope il y en a pour deux.
Si tu veux que ce soit moi qui te suce.
- Tu sais que ta bite m’est précieuse quand je te masturbe et te suce, mais ça peut gêner notre amie.
- Arrête de te poser des questions, il y a longtemps qu’elle a compris que nous vivons en couple hors de notre travail.
Donne-moi ta verge.
C’est comme ça qu’au milieu de la nuit, je monte et je descends sur le pieu qui bande en moi.
Dans le même temps dans la pénombre de la chambre où nous nous sommes déplacés après la première fois où ils ont été mes amants, je vois la verge de Pierre entrer dans la bouche de son copain et sa main le masturber.
Une chatte, une bouche même masculine, deux verges, quand nous jouissons nous retombons dans les bras les uns des autres notre plaisir pris sans pour le moment que cela me pose plus de questions.
- Bonjours petit bouchon, bébé va bien, à oui il est sage, il a permis à sa maman de passer une bonne nuit.
- Ajoutez vos verges, à vous deux vous avez éteint le feu qui brûlait en moi.
Mais dite, comme tu l’as dit cette nuit, dès le début j’ai compris que vous formiez un couple, pourquoi moi, je suis votre première femme ?
Ils éclatent de rire tous les deux.
- Gaëlle, on était mariés tous les deux juste après nous être associés dans le travail.
Nous avons divorcéNous sommes ce que les biens pensant appel des bisexuelles.
Nous aimons les femmes autant que nous-mêmes.
Nous avons beaucoup aimée te baiser petite fille, comme on te l’a proposé au lieu de la chambre d’amis, c’est notre grand lit que nous te proposons.
Pour leur faire voir mon accord, je me mets à masturber la bite droite Paul et la bite gauche Pierre.
Quand ils bandent à mort, j’ai un grand plaisir à voir leur sperme gicler sur mes mains.
Poivre, sels, épices d’orient douceur de nos jardins, quand je me lèche les mains toutes ces saveurs se mélangent.
- Paul il faut y aller, appelle Babette pour lui demander si elle a passé une bonne nuit.
Paul prend son portable et appel, personne pour décrocher.
- Ça m’inquiète, ça fait trois jours qu’il est impossible de l’avoir au bout du fil, ça sent l’embrouille.
Ça fait moi aussi trois jours que je me fais sauter par les deux garçons toutes les nuits et souvent le matin avant qu’ils descendent dans leur hôtel particulier dans leurs études démêler des affaires trop compliquées pour moi.
Attention, on me dit instruite car j’ai mon bac, mais l’amour pour celui que je refuse de me souvenir de son nom m’a fait tout stopper.
- Tu verras, demain elle sera là, je t’avais dit qu’il fallait exiger d’avoir un point de chute en cas de problème pour les uns et pour les autres.
Donner la moitié de la somme contant, ça a dû être trop tentant pour elle de garder le fric et notre enfant.
- Rappel-toi, après plusieurs rencontres infructueuses, c’était la seule qui a accepté de prendre des risques pour que nous ayons notre enfant.
Elle avait cinq filles qu’elle avait du mal à élever tu la vois avec une sixième !
La nuit, mes envies sont satisfaites une nouvelle fois, à tour de rôle ou bien ensemble, chacun d’eux me donne du plaisir.
Cette nuit quand je me suis réveillée au grognement bien caractéristique d’hommes prenant du plaisir, j’ai vu grâce au radio-réveil donnant une lumière bleue, Pierre le mâle dominant de leur couple sodomiser Paul qui en redemandait.
Deux hommes qui s’aiment c’est aussi fort que nous quand ils m’aiment.
Nous commençons à former un très beau trio.
- Paul, tu emmènes Gaëlle au cours d’accouchement, j’essaye de rappeler Babette.
Je vous rejoins.
Nous sommes en plein exercice quand nous le voyons arriver.
Il a l’air contrarié.
Susy la prof a eu l’air surprise quand je suis arrivée avec Paul.
Elle ouvre des yeux immenses ainsi que certains participants aux cours déjà la première semaine, comprenant qu’en cours de route j’avais trouvé deux magnifiques mâles pour venir s’occuper de mon futur accouchement.
Enfin Susy nous libère.
- Poussez, madame poussez, je vois la tête, monsieur encouragez votre femme.
- Elle va vous donner un beau bébé.
La voilà c’est une fille, lors de nos visites, je crois que vous avez déjà un garçon.
Quelle chance d’avoir le choix du roi.
Quand je pense à tous les couples cherchant désespérément un garçon et qui accumule les filles.
Je sais, vous vous dites que s'est-il passé avec leur premier enfant !
Babette leur a donné un garçon et a empêché son dû.
Non, Louis, c’est mon fils né dans la douleur mais l’amour de leurs pères ayant coupé le cordon.
Ils ont tiré au sort et c'est Paul qui l’a reconnu évitant que je sois fille-mère.
Nous avons installé notre fils dans la chambre d'amis transformée en nursery et chambre de la nurse anglaise que nous avons embauchés pour me soulager.
Dès que mon retour de couches, c'est fait.
Ma bouche leur a servi à ce que je les fasse bander car nous voulions que ma chatte dès mes premières ovulations rencontre leurs spermatozoïdes qu’ils mettaient en moi.
Nous voulions que l’enfant que Pierre reconnaîtra, soit de tous les deux sans aucune frustration de celui qui aurait perdu la course.
Laure est dans leurs bras et va rejoindre son frère qui commence à se lever pour l’accueillir à notre retour.
Ça jase au début, mais tout le monde prend l’habitude que nous nous promenons tous les cinq, chaque père poussant à tour de rôle le landau ou tenant la main de notre fils.
Voilà mon histoire, notre histoire.
Ah oui, Babette, que s'est-il passé avec elle ?
Quand Pierre est remonté aux cours, il avait enfin réussi à ce que Babette réponde.
Alors qu’il était prévu qu’aux échographies, à aucun moment ils voulaient savoir le sexe du bébé, avec son mari le père de ses cinq filles a voulu savoir.
Quand il a su que sa femme attendait un sixième en mère porteuse, il l’a forcé à voir.
Un fils, une aubaine pour lui-même s’il est blanc alors que lui est chocolat.
Il voulait rendre l’argent mais grands seigneurs, mes hommes ayant eu aussi un fils leur ont laissé l’argent.
Mon fils aurait dû vivre dans une famille petite bourgeoisie que nous formions avec celui dont j’ai perdu la trace.
Il va vivre dans un grand luxe entouré de ses deux pères.
Le fils de Paul et de Pierre, quant à lui, va vivre dans une HLM de banlieue sans savoir où, entouré de cinq sœurs qui si elles ont le QI de leur mère lui pourriront la vie, lui qui sera super-intelligent comme l’est Laure.
Je vous quitte, je dois retrouver mes hommes en rentrant de mon salon de beauté où je vais toutes les semaines.
Mes hommes aiment tellement ma libido qu’ils aiment éteindre quand je suis enceinte que nous essayons de donner un frère ou une sœur à Louis et Laure.
Quand j’entre dans notre chambre les aînés partis se promener au square avec l’anglaise, Paul caresse Pierre et Pierre, Paul.
Ils bandent tous les deux en ce samedi qui pour moi va une nouvelle fois être un samedi de fête.
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