COLLECTION HOMME – FEMME. Amour fusionnel. Fin de la saison I (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Amour fusionnel. Fin de la saison I (3/3)
J’ai été invité par un homme appelé Philippe, Phil pour nous leurs intimes, à mettre en forme leur histoire avec Iris.
Naissance, vie de jeunes identique à beaucoup d’autres, études dans le même lieu, avec une grande différence, ils ont décidé de rester chaste jusqu’à leur mariage alors qu’ils habitent ensemble en colocation.
Dois-je dire, lui famille riche, elle un peu moins ses parents étant au service des premiers.
Un peu moins, mais sans barrière sociale, tous mangeaient à la même table.
Étude ensemble et enfin le mariage pour le plus grand plaisir de leur famille.
Lorsque arrive la nuit de noces.
Je sais qu’Iris comme moi a su trouver sur Internet la méthode pour satisfaire son époux, comme moi j’ai su le faire.
Certes, les recommandations des profs de sciences d’éviter de reproduire des scènes de films pornos directement sur une jeune fille au risque de la traumatiser sont fortement ancrées en moi.
Mais de là à tomber en panne sèche, il y a un écart qu’il aurait mieux valu éviter.
Hélas, c’est ce qui m’arrive.
Deux sentiments, la peur de plonger dans l’inconnu et de mal faire, ou une maladie congénitale faisant que si je bande en tend normal, devant celle que j’ai tant attendue, je baisserai toujours pavillon.
Un peu de repos et c’est Iris, qui me réveille en pratiquant une fellation qui me prouve, que ma machine est en état de fonctionner.
Les petits coups de langue qu’elle me met montrent qu’elle aussi a du mal à franchir le pas, d’une fellation intégrale.
J’écarte la fourche de mes cuisses.
Elle se déplace et j’ai la chance de voir ses grands yeux me regarder avant qu’elle ouvre sa bouche.
Je plonge jusqu’à ce que dans mes films ou mes textes écrits, on appelle une gorge profonde.
L’instant est si intense que je suis à deux doigts de lui faire partir ma semence.
C’est déjà bien qu’elle sache me faire une fellation, mais de là à ce qu’elle aime le goût de mon sperme, il y a une barrière que j’hésite à franchir.
Je vais attendre que ce soit elle qui me le demande si elle le désire.
Elle a pris la première initiative, je prends la deuxième.
• Iris, la sucette que tu viens de me faire, m’a redonné goût à la vie.
Veux-tu être ma femme ?
Reprendre les mots que j’ai prononcés tout à l’heure au maire et au curé faisant d’elle mon épouse, semble-la toucher, car ses yeux s’embuent.
Ce qui peut paraître un détail prend de l’importance au moment où son regard chavire.
Quand je l’ai eu dénudé, elle a voulu éteindre la lumière.
Dépuceler ma femme dans la nuit complète, je sentais que j’allais perdre une grande partie du plaisir de notre nuit de noces alors j’ai rallumé, à ce moment elle a compris que j’étais le dominant.
Par peur, le lion dominant s’est transformé en gazelle jusqu’à ce moment où elle me réveille.
• Oui, prends-moi, je suis tienne.
Ces mots sont bien ceux d’une lionne se rendant afin d’accepter la saillie.
Ces mots et aussi ses gestes, quittant ma bite et ma fourche pour se placer sur le dos les jambes écartées acceptant ma domination.
Les films X montrent bien la domination de l’homme sur la femme dans cette position du missionnaire.
Je m’ouvre, je me donne.
La levrette, je me prosterne devant la bite de mon seigneur.
Mais à chaque fois que je regardais des femmes s’empaler sur leur mâle, ces femmes me montraient leur domination.
Je suis sûr qu’Alex, semblant aimer être dominé doit plus souvent être dessous que dessus.
Lui bouffer la chatte.
J’allais foncer à bride rabattue, mon sexe en avant pour la déflorer quand il me souvient que les femmes adorent se faire brouter, j’avance ma tête.
Iris la saisit et c’est elle qui me plaque le visage dessus.
Ma langue sait ce qu’elle doit faire, trouver son clito.
Il est drôle de connaître une jeune femme depuis si longtemps et de me poser la question si elle est clitoridienne ou vaginale.
Si je lui avais posé la question avant à part ses doigts qui l’ont caressé, elle aurait été dans l’incapacité de me répondre sur la deuxième partie.
Je vais le découvrir.
Je dirais même mieux, nous allons le découvrir.
• Continu, Phil, tu sais magnifiquement me...
Ces mots s’arrêtent là, un frisson la traverse et sa chatte s’humidifie sans pour autant en faire une femme fontaine.
Il est extraordinaire pour nous les jeunes d’avoir une source inépuisable de renseignements sur le sexe.
Un jour où un oncle me demandait comme j’allais.
Je devais avoir 15 ou 16 ans, il m’a expliqué qu’il avait loupé sa jeunesse et sa vie amoureuse, car de son temps, tout était caché, tout était tabou.
La pilule commençait à apparaitre, les MST étaient toutes soignables par de la pénicilline arrivant dans la pharmacopée.
Alors sans la bague, impossible de baiser autre part qu’en allant voir les putes.
À mon époque, à notre époque même le sida, s’il est toujours trop actif à presque terminé de tuer les gens grâce aux tris thérapies.
Mais revenons à ma nuit de noces et à Iris qui se laisse lécher le clito ainsi que ça fente ou ma langue va finir par se perdre.
Première fois, à mon âge et dans cette nuit combien de fois dirais-je « premières fois ».
Première où je goûte à ce jus féminin et surtout de voir mon aimer se tortiller sous cette langue que je fais entrer le plus loin possible.
Clitoridienne, car je suis peu fière d’arriver à lui arracher un orgasme.
Pas de chance, vite arrêtée quand ma bouche collée à sa bouche intime a besoin de respirer et que j’aspire trop fortement lui arrachant un petit cri.
• Pardon.
• Laisse, j’ai été surprise, mais c’était divin, mieux qu’avec mes doigts.
Viens, je suis prête à te prouver que je suis ta femme.
Tel le brave montant au combat final de sa tranché vers la ligne ennemie, je me redresse évitant de lui faire le moindre coincement de jambes ou de hanches.
Je me place à l’entrée et c’est elle qui me positionne en me faisant aller et venir entre ses lèvres pour que je trouve l’entrée de la grotte.
Enfin, le grand jour est arrivé, je glisse le plus doucement possible.
Ça résiste, mais tel un glaive entrant dans le ventre avec la résistance de la peau, celle-ci franchie, je donne un coup un peu trop grand à mon goût, mais m’arrêtant avant le fond de son utérus.
• Oui, j’ai bien senti, reste quelques secondes sans bouger.
Une nouvelle fois, elle frissonne.
Il m’est arrivé de frisonner quand en bricolant, je me suis fait mal.
La douleur, le frisson qui s’estompe avec un peu de temps.
La différence, c’est que lorsque cela m’arrivait, je soufflais sur mon doigt.
Là je me vois mal retourner lui souffler dans la chatte pour que ça s’atténue.
• Bouge, j’ai un peu mal, mais c’est supportable.
Maintenant, je suis entièrement tienne.
Les chevaux sont lâchés, je rentre et je sors de ma lionne qui se donne avec entrain.
Je veux faire durée le plaisir et que tous soient bien gravés dans ma tête.
Il faut dire que d’être sur mes bras tendus trop longtemps je tétanise.
Je me laisse basculer, me retrouvant sous elle.
Quel con d’avoir dit que dans cette position la femelle domine son mâle.
Qu’il est bon de se sentir dominer lorsque c’est elle qui monte et qui descend sur ma tige en parfaite santé.
C’est ainsi qu’elle a dès la première fois un orgasme au moment où de longs jets de sperme fusent en elle.
Nous sommes crevés, mais je débande moyennement quand elle se lève me montrant sa chatte ou des gouttes de sang perlent et qu’elle saute du lit.
Quand je dis qu’Iris est une féline, qui pourtrait en douter.
Comme je suis placé, je la vois s’accroupir et passer son bras sous le lit.
• Je vais aux toilettes et je cherche mes mules.
J’en ai trouvé une l’autre, nous avons dû la taper et je la cherche.
Elle change de position et c’est l’arrondie de ses fesses musclées qu’elle me montre.
• Je vais t’aider.
À mon tour je saute du lit, mais lorsque je suis derrière elle, sa fente me tend les bras.
Plutôt la queue.
Je m’abaisse pour être à bonne hauteur et sans sa permission je la perfore.
C’est un Oh ! de surprise qui sort de sa bouche dans un premier temps.
• Sadique, mais c’est bon continu.
Clitoridienne lorsque je lui faisais un cunnilingus, mais aussi vaginale quand elle hurle de plaisir.
Je me vide les couilles une nouvelle fois.
Qui pouvait penser que j’étais devenu impuissant.
Elle ressort sa main de dessous le lit avec sa mule.
Je la prends dans mes bras et je l’emmène dans la salle de bains.
Nous allons finir notre nuit de noces dans l’eau rafraichissante pour nous deux.
Voilà Chris71 a finis de relater notre vie jusqu’à notre mariage et notre nuit de noces dans cette saison I.
Nous sommes le 21 janvier 2021 et nous lui avons demandé d’attendre que nous puissions lire notre histoire en même temps que vous, lecteurs de notre site préféré HDS.
Comme vous nous, nous attendrons la mi-mars, car Chris a déjà écrit des textes couvrant tous les jours avant cette date.
Dans la saison II c’est de notre voyage de noces qu’il parlera.
Naissance, vie de jeunes identique à beaucoup d’autres, études dans le même lieu, avec une grande différence, ils ont décidé de rester chaste jusqu’à leur mariage alors qu’ils habitent ensemble en colocation.
Dois-je dire, lui famille riche, elle un peu moins ses parents étant au service des premiers.
Un peu moins, mais sans barrière sociale, tous mangeaient à la même table.
Étude ensemble et enfin le mariage pour le plus grand plaisir de leur famille.
Lorsque arrive la nuit de noces.
Je sais qu’Iris comme moi a su trouver sur Internet la méthode pour satisfaire son époux, comme moi j’ai su le faire.
Certes, les recommandations des profs de sciences d’éviter de reproduire des scènes de films pornos directement sur une jeune fille au risque de la traumatiser sont fortement ancrées en moi.
Mais de là à tomber en panne sèche, il y a un écart qu’il aurait mieux valu éviter.
Hélas, c’est ce qui m’arrive.
Deux sentiments, la peur de plonger dans l’inconnu et de mal faire, ou une maladie congénitale faisant que si je bande en tend normal, devant celle que j’ai tant attendue, je baisserai toujours pavillon.
Un peu de repos et c’est Iris, qui me réveille en pratiquant une fellation qui me prouve, que ma machine est en état de fonctionner.
Les petits coups de langue qu’elle me met montrent qu’elle aussi a du mal à franchir le pas, d’une fellation intégrale.
J’écarte la fourche de mes cuisses.
Elle se déplace et j’ai la chance de voir ses grands yeux me regarder avant qu’elle ouvre sa bouche.
Je plonge jusqu’à ce que dans mes films ou mes textes écrits, on appelle une gorge profonde.
L’instant est si intense que je suis à deux doigts de lui faire partir ma semence.
C’est déjà bien qu’elle sache me faire une fellation, mais de là à ce qu’elle aime le goût de mon sperme, il y a une barrière que j’hésite à franchir.
Je vais attendre que ce soit elle qui me le demande si elle le désire.
Elle a pris la première initiative, je prends la deuxième.
• Iris, la sucette que tu viens de me faire, m’a redonné goût à la vie.
Veux-tu être ma femme ?
Reprendre les mots que j’ai prononcés tout à l’heure au maire et au curé faisant d’elle mon épouse, semble-la toucher, car ses yeux s’embuent.
Ce qui peut paraître un détail prend de l’importance au moment où son regard chavire.
Quand je l’ai eu dénudé, elle a voulu éteindre la lumière.
Dépuceler ma femme dans la nuit complète, je sentais que j’allais perdre une grande partie du plaisir de notre nuit de noces alors j’ai rallumé, à ce moment elle a compris que j’étais le dominant.
Par peur, le lion dominant s’est transformé en gazelle jusqu’à ce moment où elle me réveille.
• Oui, prends-moi, je suis tienne.
Ces mots sont bien ceux d’une lionne se rendant afin d’accepter la saillie.
Ces mots et aussi ses gestes, quittant ma bite et ma fourche pour se placer sur le dos les jambes écartées acceptant ma domination.
Les films X montrent bien la domination de l’homme sur la femme dans cette position du missionnaire.
Je m’ouvre, je me donne.
La levrette, je me prosterne devant la bite de mon seigneur.
Mais à chaque fois que je regardais des femmes s’empaler sur leur mâle, ces femmes me montraient leur domination.
Je suis sûr qu’Alex, semblant aimer être dominé doit plus souvent être dessous que dessus.
Lui bouffer la chatte.
J’allais foncer à bride rabattue, mon sexe en avant pour la déflorer quand il me souvient que les femmes adorent se faire brouter, j’avance ma tête.
Iris la saisit et c’est elle qui me plaque le visage dessus.
Ma langue sait ce qu’elle doit faire, trouver son clito.
Il est drôle de connaître une jeune femme depuis si longtemps et de me poser la question si elle est clitoridienne ou vaginale.
Si je lui avais posé la question avant à part ses doigts qui l’ont caressé, elle aurait été dans l’incapacité de me répondre sur la deuxième partie.
Je vais le découvrir.
Je dirais même mieux, nous allons le découvrir.
• Continu, Phil, tu sais magnifiquement me...
Ces mots s’arrêtent là, un frisson la traverse et sa chatte s’humidifie sans pour autant en faire une femme fontaine.
Il est extraordinaire pour nous les jeunes d’avoir une source inépuisable de renseignements sur le sexe.
Un jour où un oncle me demandait comme j’allais.
Je devais avoir 15 ou 16 ans, il m’a expliqué qu’il avait loupé sa jeunesse et sa vie amoureuse, car de son temps, tout était caché, tout était tabou.
La pilule commençait à apparaitre, les MST étaient toutes soignables par de la pénicilline arrivant dans la pharmacopée.
Alors sans la bague, impossible de baiser autre part qu’en allant voir les putes.
À mon époque, à notre époque même le sida, s’il est toujours trop actif à presque terminé de tuer les gens grâce aux tris thérapies.
Mais revenons à ma nuit de noces et à Iris qui se laisse lécher le clito ainsi que ça fente ou ma langue va finir par se perdre.
Première fois, à mon âge et dans cette nuit combien de fois dirais-je « premières fois ».
Première où je goûte à ce jus féminin et surtout de voir mon aimer se tortiller sous cette langue que je fais entrer le plus loin possible.
Clitoridienne, car je suis peu fière d’arriver à lui arracher un orgasme.
Pas de chance, vite arrêtée quand ma bouche collée à sa bouche intime a besoin de respirer et que j’aspire trop fortement lui arrachant un petit cri.
• Pardon.
• Laisse, j’ai été surprise, mais c’était divin, mieux qu’avec mes doigts.
Viens, je suis prête à te prouver que je suis ta femme.
Tel le brave montant au combat final de sa tranché vers la ligne ennemie, je me redresse évitant de lui faire le moindre coincement de jambes ou de hanches.
Je me place à l’entrée et c’est elle qui me positionne en me faisant aller et venir entre ses lèvres pour que je trouve l’entrée de la grotte.
Enfin, le grand jour est arrivé, je glisse le plus doucement possible.
Ça résiste, mais tel un glaive entrant dans le ventre avec la résistance de la peau, celle-ci franchie, je donne un coup un peu trop grand à mon goût, mais m’arrêtant avant le fond de son utérus.
• Oui, j’ai bien senti, reste quelques secondes sans bouger.
Une nouvelle fois, elle frissonne.
Il m’est arrivé de frisonner quand en bricolant, je me suis fait mal.
La douleur, le frisson qui s’estompe avec un peu de temps.
La différence, c’est que lorsque cela m’arrivait, je soufflais sur mon doigt.
Là je me vois mal retourner lui souffler dans la chatte pour que ça s’atténue.
• Bouge, j’ai un peu mal, mais c’est supportable.
Maintenant, je suis entièrement tienne.
Les chevaux sont lâchés, je rentre et je sors de ma lionne qui se donne avec entrain.
Je veux faire durée le plaisir et que tous soient bien gravés dans ma tête.
Il faut dire que d’être sur mes bras tendus trop longtemps je tétanise.
Je me laisse basculer, me retrouvant sous elle.
Quel con d’avoir dit que dans cette position la femelle domine son mâle.
Qu’il est bon de se sentir dominer lorsque c’est elle qui monte et qui descend sur ma tige en parfaite santé.
C’est ainsi qu’elle a dès la première fois un orgasme au moment où de longs jets de sperme fusent en elle.
Nous sommes crevés, mais je débande moyennement quand elle se lève me montrant sa chatte ou des gouttes de sang perlent et qu’elle saute du lit.
Quand je dis qu’Iris est une féline, qui pourtrait en douter.
Comme je suis placé, je la vois s’accroupir et passer son bras sous le lit.
• Je vais aux toilettes et je cherche mes mules.
J’en ai trouvé une l’autre, nous avons dû la taper et je la cherche.
Elle change de position et c’est l’arrondie de ses fesses musclées qu’elle me montre.
• Je vais t’aider.
À mon tour je saute du lit, mais lorsque je suis derrière elle, sa fente me tend les bras.
Plutôt la queue.
Je m’abaisse pour être à bonne hauteur et sans sa permission je la perfore.
C’est un Oh ! de surprise qui sort de sa bouche dans un premier temps.
• Sadique, mais c’est bon continu.
Clitoridienne lorsque je lui faisais un cunnilingus, mais aussi vaginale quand elle hurle de plaisir.
Je me vide les couilles une nouvelle fois.
Qui pouvait penser que j’étais devenu impuissant.
Elle ressort sa main de dessous le lit avec sa mule.
Je la prends dans mes bras et je l’emmène dans la salle de bains.
Nous allons finir notre nuit de noces dans l’eau rafraichissante pour nous deux.
Voilà Chris71 a finis de relater notre vie jusqu’à notre mariage et notre nuit de noces dans cette saison I.
Nous sommes le 21 janvier 2021 et nous lui avons demandé d’attendre que nous puissions lire notre histoire en même temps que vous, lecteurs de notre site préféré HDS.
Comme vous nous, nous attendrons la mi-mars, car Chris a déjà écrit des textes couvrant tous les jours avant cette date.
Dans la saison II c’est de notre voyage de noces qu’il parlera.
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