COLLECTION HOMME FEMME. Histoire d’une vie (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Histoire d’une vie (2/2)
Comme quelques fois, ça m’est arrivé, Jean-Jacques préférant être appelé JJ, ma contacté pour écrire l’histoire de sa vie avec Jeanne, son épouse depuis 45 ans.
JJ me donne des pistes, c’est l’histoire de cet homme et de sa femme Jeanne, bien sûr, j’ai changé leurs noms.
C’est à l’hôpital où Jeanne a été admise pour des problèmes rénaux que l’idée folle de réveiller sa femme sexuellement lui vient.
Elle va mieux et va sortir, la voir couchée avec sa chemise de nuit, lui donne un éclair de lucidité.
Lui qui toute sa vie, avec elle, s’est montré respectueux de ses envies, peu actif pour elle, il faut le reconnaître, il ose.
Des doigts dans sa chatte, couverts de yaourt et sa bite forçant sa bouche.
Judith, la jeune infirmière de service de jour est entrée.
• Pardon.
Elle a refermé vite fait, mais ça avait boosté l’explosion de mon plaisir.
JJ a juste eux le temps de sortir sa verge giclant sur les seins de Jeanne qui en même temps a eu un orgasme.
• Pauvre con, j’en ai partout.
• Je te paye la chambre seule grâce à ma mutuelle, va as la douche.
Reconnaît que tu as aimé.
Elle s’est levée sans rien dire acceptant sa défaite d’une manière tacite.
Le lendemain elle sortait, elle se préparait dans la salle d’eau, JJ entendait couler l’eau.
Il l’avait suivi dans le réduit et lui ayant présenté sa queue.
Là où hier il avait déchargé sur ses seins, c’est ses amygdales qu’il a arrosées.
Revenu dans la chambre, Judith a frappé et comme la veille est entrée.
• Ça c’est pour vous.
• Monsieur Jean-Jacques, inutile, je sais me taire.
• J’en suis certain, prenez ce billet, votre entré a décuplé ma jouissance, j’ai joui deux fois plus fort.
• Merci, j’espère être aussi active à l’âge du vôtre avec mon mari.
Il était fier d’avoir contribué à prouver à des jeunes qu’il y avait une vie sexuelle dans la vieillesse, comme l’avait fait ses grands-parents quand il les avait entendu faire l’amour dans leur chambre.
Avec bien du retard pour lui et son couple.
Ils sont rentrés, JJ voulait garder l’avantage gagné à l’hôpital.
Il se doutait que de la baiser sur leur matelas s’était presque impossible et pour lui et pour elle.
Il savait que l’âge était là.
La levrette leur était interdite, appuyer sur ses genoux, impensable pour elle.
La prendre couchée sur elle, son embonpoint les en empêchait.
Quelques jours plus tard c’était l’anniversaire de Jeanne.
Par Cdiscount, son fils était contre la plateforme Amazon, il a commandé un gode vibrant, tournant lumineux avec doigts pour le clito qu’il lui a offert.
• Tu es vraiment malade, tu me vois me mettre ça dans la chatte !
Revenu du garage, il a vu, deux jours plus tard, Jeanne dans la salle, les cuisses écartées se godant et se faisant du bien au clito.
Elle l’a vu, mais proche de jouir, elle a continué.
Il a sorti sa queue et une nouvelle fois sans qu’elle se refuse, elle lui a fait une magnifique fellation.
Il a éjaculé en même temps qu’elle jouissait.
Nous arrivons au bout de son récit, une dernière petite histoire qui a eu lieu qu’il m’a confié.
Le mardi, pour son anniversaire, il lui a offert le restaurant.
Elle avait toujours son gros cul et a refusé de mettre une robe.
Après manger, il l’a emmené voir un film comique de Dany Boon.
À cette heure, seul un jeune couple se trouvait trois rangs plus haut dans cette petite salle pour le dernier jour à l’affiche.
Le film commençant, il avait glissé sa main dans le pantalon de Jeanne, la faisant râler.
• Chut, les vieux, écoutez !
C’était la jeune femme qui se plaignait du bruit qu’ils faisaient en parlant même en faisant attention.
Mais quand les doigts de JJ sont entrés dans sa chatte, elle était dégoulinante.
Elle a sorti sa bite en ouvrant son Zip et l’a masturbée.
Une nouvelle fois, ils ont joui, lui arrosant la moquette.
Le film terminé, la lumière revenue, il s’est rajusté.
Les jeunes sont venus derrière eux.
La jeune femme qui s’était plainte étant sur leurs talons, les a félicités de rester jeunes.
JJ les a invités à prendre un verre, ils ont accepté.
Il était assis à côté d’Alice, Jeanne de Pierre.
Comme eux, il y a 45 ans, ils s’étaient mariés par amour, mais JJ a senti la cuisse d’Aline s’appuyer à la sienne, sans l’avoir fait de façon préméditée.
JJ m’a expliqué la suite avant que je l’arrête.
Au début, il a voulu me faire croire qu’ils avaient emmené les deux jeunes au garage sous couvert de regarder un problème à la voiture de Pierre.
Ils avaient fini dans le salon, JJ pilonnant Alice pendant que Pierre baisait Jeanne.
Mais bien vite j’ai compris que le début de ce récit coulait de sa bouche sans aucune difficulté alors que j’ai eu l’impression qu’il se faisait un film.
• JJ arrête, tu affabules, que s’est-il réellement passé avec ses jeunes.
• C’est vrai, Chris, j’ai voulu me faire aussi gros que le bœuf.
Dans les films pornos que j’ai vus, des vieux baisaient avec des jeunes.
Je me serais bien vu dans la chatte de cette petite salope et j’ai voulu inventer.
Tu vois pourquoi je te demande d’écrire mon histoire, je serais bien incapable d’écrire un texte cohérent.
Avec la perspicacité des lecteurs et lectrices, ils verraient très vite que j’invente, je brode alors que la réalité est tout autre.
• Expose-la-moi !
JJ a repris son récit, avec des accents de sincérité me prouvant sa véracité.
JJ aurait bien invité les jeunes à venir chez eux, mais un couple comme le leur, fait partie de ceux qui veulent sans jamais le faire.
Je vais dans la marine, mais pendant deux ans je reste dans l’arsenal.
Je veux baiser Jeanne en levrette, mais c’est dans la position traditionnelle du missionnaire que je lui fais trois gosses.
• J’ai merdé pour les jeunes, mais j’en ai tiré deux bénéfices.
Le cinéma ou Jeanne m’a masturbé pendant que je la doigtais.
Et le retour à la maison.
La maison, JJ est si enthousiaste à me donner des renseignements que je le crois à cent pour cent.
Pendant le trajet de retour, il a posé sa main sur sa cuisse prenant le risque d’un accident sans qu’elle lui enlève.
Comme elle l’aurait certainement fait en d’autres temps pas si vieux.
Dans la cuisine, il l’a embrassé lui collant son gros ventre contre son gros ventre.
Elle s’est laissé défaire son pantalon pendant qu’il lui ôtait le sien.
Le seul endroit possible, était la table de cuisine.
Combien de fois, là encore, il fantasmait, qu’il la prenait comme un bête dessus ?
Combien de fois, sa verge la labourait et qu’elle en redemandait.
Elle l’a aidé à s’asseoir sur la table alors que s’il avait fait ça bien plus tôt s’est tout en souplesse qu’elle y aurait grimpée.
Ses pieds dans le vide protégeant sa prothèse, sa chatte qu’il voyait lorsqu’il s’est penché pour lui pratiquer, là encore, l’un de ses fantasmes de cunnilingus, des sécrétions en coulaient.
Il les a léchés, mais en pensant que ça aurait pu être Aline qui s’offrait ainsi à lui.
Ça l’aidait à bander, bien que malgré son âge, tout ce qu’il avait déclenché dans cette chambre d’hôpital lui donnait du plaisir.
Quand il est entré en elle, il a vu dans ses yeux tout l’amour qu’elle avait pour lui et après l’avoir fait jouir, il est tombé en panne.
C’est loin d’être anormal, après tous les excès la dernière fois au cinéma.
Ce qui est loin d’être banal, c’est la fin de son récit.
Jeanne ayant repris goût au sexe est sortie.
JJ me montre la lettre qu’il a retrouvée sur la table de la cuisine et qui lui a donné l’envie de sortir.
« Jean-Jacques. »
Ça commençait mal pour lui, Jean-Jacques, chaque fois qu’elle l’appelait Jean-Jacques s’était quand ils s’engueulaient.
« Je te quitte, j’ai rencontré un homme légèrement plus jeune que toi et qui sait faire vibrer mon corps.
Tu pourras retrouver le bureau du garage et regarder tes pornos.
Mon avocat te contactera.
Adieu »
La lettre se terminait par ce simple « adieu ».
JJ pensait récupérer vingt ans de vie de sexe, il va récupérer vingt ans de branlette ou de putes s’il arrive à en contacter une.
Sans oublier le ménage et sa lessive que Jeanne faisait sans jamais lui poser de questions !
Il a fini là ces confidences, peut-être qu’un jour il me contactera pour m’expliquer la suite de sa vie.
JJ me donne des pistes, c’est l’histoire de cet homme et de sa femme Jeanne, bien sûr, j’ai changé leurs noms.
C’est à l’hôpital où Jeanne a été admise pour des problèmes rénaux que l’idée folle de réveiller sa femme sexuellement lui vient.
Elle va mieux et va sortir, la voir couchée avec sa chemise de nuit, lui donne un éclair de lucidité.
Lui qui toute sa vie, avec elle, s’est montré respectueux de ses envies, peu actif pour elle, il faut le reconnaître, il ose.
Des doigts dans sa chatte, couverts de yaourt et sa bite forçant sa bouche.
Judith, la jeune infirmière de service de jour est entrée.
• Pardon.
Elle a refermé vite fait, mais ça avait boosté l’explosion de mon plaisir.
JJ a juste eux le temps de sortir sa verge giclant sur les seins de Jeanne qui en même temps a eu un orgasme.
• Pauvre con, j’en ai partout.
• Je te paye la chambre seule grâce à ma mutuelle, va as la douche.
Reconnaît que tu as aimé.
Elle s’est levée sans rien dire acceptant sa défaite d’une manière tacite.
Le lendemain elle sortait, elle se préparait dans la salle d’eau, JJ entendait couler l’eau.
Il l’avait suivi dans le réduit et lui ayant présenté sa queue.
Là où hier il avait déchargé sur ses seins, c’est ses amygdales qu’il a arrosées.
Revenu dans la chambre, Judith a frappé et comme la veille est entrée.
• Ça c’est pour vous.
• Monsieur Jean-Jacques, inutile, je sais me taire.
• J’en suis certain, prenez ce billet, votre entré a décuplé ma jouissance, j’ai joui deux fois plus fort.
• Merci, j’espère être aussi active à l’âge du vôtre avec mon mari.
Il était fier d’avoir contribué à prouver à des jeunes qu’il y avait une vie sexuelle dans la vieillesse, comme l’avait fait ses grands-parents quand il les avait entendu faire l’amour dans leur chambre.
Avec bien du retard pour lui et son couple.
Ils sont rentrés, JJ voulait garder l’avantage gagné à l’hôpital.
Il se doutait que de la baiser sur leur matelas s’était presque impossible et pour lui et pour elle.
Il savait que l’âge était là.
La levrette leur était interdite, appuyer sur ses genoux, impensable pour elle.
La prendre couchée sur elle, son embonpoint les en empêchait.
Quelques jours plus tard c’était l’anniversaire de Jeanne.
Par Cdiscount, son fils était contre la plateforme Amazon, il a commandé un gode vibrant, tournant lumineux avec doigts pour le clito qu’il lui a offert.
• Tu es vraiment malade, tu me vois me mettre ça dans la chatte !
Revenu du garage, il a vu, deux jours plus tard, Jeanne dans la salle, les cuisses écartées se godant et se faisant du bien au clito.
Elle l’a vu, mais proche de jouir, elle a continué.
Il a sorti sa queue et une nouvelle fois sans qu’elle se refuse, elle lui a fait une magnifique fellation.
Il a éjaculé en même temps qu’elle jouissait.
Nous arrivons au bout de son récit, une dernière petite histoire qui a eu lieu qu’il m’a confié.
Le mardi, pour son anniversaire, il lui a offert le restaurant.
Elle avait toujours son gros cul et a refusé de mettre une robe.
Après manger, il l’a emmené voir un film comique de Dany Boon.
À cette heure, seul un jeune couple se trouvait trois rangs plus haut dans cette petite salle pour le dernier jour à l’affiche.
Le film commençant, il avait glissé sa main dans le pantalon de Jeanne, la faisant râler.
• Chut, les vieux, écoutez !
C’était la jeune femme qui se plaignait du bruit qu’ils faisaient en parlant même en faisant attention.
Mais quand les doigts de JJ sont entrés dans sa chatte, elle était dégoulinante.
Elle a sorti sa bite en ouvrant son Zip et l’a masturbée.
Une nouvelle fois, ils ont joui, lui arrosant la moquette.
Le film terminé, la lumière revenue, il s’est rajusté.
Les jeunes sont venus derrière eux.
La jeune femme qui s’était plainte étant sur leurs talons, les a félicités de rester jeunes.
JJ les a invités à prendre un verre, ils ont accepté.
Il était assis à côté d’Alice, Jeanne de Pierre.
Comme eux, il y a 45 ans, ils s’étaient mariés par amour, mais JJ a senti la cuisse d’Aline s’appuyer à la sienne, sans l’avoir fait de façon préméditée.
JJ m’a expliqué la suite avant que je l’arrête.
Au début, il a voulu me faire croire qu’ils avaient emmené les deux jeunes au garage sous couvert de regarder un problème à la voiture de Pierre.
Ils avaient fini dans le salon, JJ pilonnant Alice pendant que Pierre baisait Jeanne.
Mais bien vite j’ai compris que le début de ce récit coulait de sa bouche sans aucune difficulté alors que j’ai eu l’impression qu’il se faisait un film.
• JJ arrête, tu affabules, que s’est-il réellement passé avec ses jeunes.
• C’est vrai, Chris, j’ai voulu me faire aussi gros que le bœuf.
Dans les films pornos que j’ai vus, des vieux baisaient avec des jeunes.
Je me serais bien vu dans la chatte de cette petite salope et j’ai voulu inventer.
Tu vois pourquoi je te demande d’écrire mon histoire, je serais bien incapable d’écrire un texte cohérent.
Avec la perspicacité des lecteurs et lectrices, ils verraient très vite que j’invente, je brode alors que la réalité est tout autre.
• Expose-la-moi !
JJ a repris son récit, avec des accents de sincérité me prouvant sa véracité.
JJ aurait bien invité les jeunes à venir chez eux, mais un couple comme le leur, fait partie de ceux qui veulent sans jamais le faire.
Je vais dans la marine, mais pendant deux ans je reste dans l’arsenal.
Je veux baiser Jeanne en levrette, mais c’est dans la position traditionnelle du missionnaire que je lui fais trois gosses.
• J’ai merdé pour les jeunes, mais j’en ai tiré deux bénéfices.
Le cinéma ou Jeanne m’a masturbé pendant que je la doigtais.
Et le retour à la maison.
La maison, JJ est si enthousiaste à me donner des renseignements que je le crois à cent pour cent.
Pendant le trajet de retour, il a posé sa main sur sa cuisse prenant le risque d’un accident sans qu’elle lui enlève.
Comme elle l’aurait certainement fait en d’autres temps pas si vieux.
Dans la cuisine, il l’a embrassé lui collant son gros ventre contre son gros ventre.
Elle s’est laissé défaire son pantalon pendant qu’il lui ôtait le sien.
Le seul endroit possible, était la table de cuisine.
Combien de fois, là encore, il fantasmait, qu’il la prenait comme un bête dessus ?
Combien de fois, sa verge la labourait et qu’elle en redemandait.
Elle l’a aidé à s’asseoir sur la table alors que s’il avait fait ça bien plus tôt s’est tout en souplesse qu’elle y aurait grimpée.
Ses pieds dans le vide protégeant sa prothèse, sa chatte qu’il voyait lorsqu’il s’est penché pour lui pratiquer, là encore, l’un de ses fantasmes de cunnilingus, des sécrétions en coulaient.
Il les a léchés, mais en pensant que ça aurait pu être Aline qui s’offrait ainsi à lui.
Ça l’aidait à bander, bien que malgré son âge, tout ce qu’il avait déclenché dans cette chambre d’hôpital lui donnait du plaisir.
Quand il est entré en elle, il a vu dans ses yeux tout l’amour qu’elle avait pour lui et après l’avoir fait jouir, il est tombé en panne.
C’est loin d’être anormal, après tous les excès la dernière fois au cinéma.
Ce qui est loin d’être banal, c’est la fin de son récit.
Jeanne ayant repris goût au sexe est sortie.
JJ me montre la lettre qu’il a retrouvée sur la table de la cuisine et qui lui a donné l’envie de sortir.
« Jean-Jacques. »
Ça commençait mal pour lui, Jean-Jacques, chaque fois qu’elle l’appelait Jean-Jacques s’était quand ils s’engueulaient.
« Je te quitte, j’ai rencontré un homme légèrement plus jeune que toi et qui sait faire vibrer mon corps.
Tu pourras retrouver le bureau du garage et regarder tes pornos.
Mon avocat te contactera.
Adieu »
La lettre se terminait par ce simple « adieu ».
JJ pensait récupérer vingt ans de vie de sexe, il va récupérer vingt ans de branlette ou de putes s’il arrive à en contacter une.
Sans oublier le ménage et sa lessive que Jeanne faisait sans jamais lui poser de questions !
Il a fini là ces confidences, peut-être qu’un jour il me contactera pour m’expliquer la suite de sa vie.
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