COLLECTION HOMME - FEMME. L’interview impossible ou la chance du débutant (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME - FEMME. L’interview impossible ou la chance du débutant (2/3)
En terminant mon service militaire à la base des sous-marins de Toulon, je décide de rester sur la Côte d’Azur et d’y trouver du travail.
Bon en français, rédaction et orthographe, je décide de tenter ma chane dans le journalisme.
Je me présente à Var-Matin, le rédacteur en chef promet de m’embaucher si j’écris cinquante lignes sur Raya, la jeune chanteuse à la mode ayant déjà sorti deux singles lui ayant rapporté deux disques d’or.
Ces disques d’or, j’ai eu le temps de les remarquer dans son salon chaque fois que je levais la tête pour respirer pendant que je lui faisais un cunnilingus l’amenant jusqu’à l’orgasme.
Au matin, c’est le soleil entrant dans la chambre toute blanche qui me réveille.
Non, en plus Raya est penché sur ma bite qu’elle a prise en main.
Elle semble hésiter et commence à me pomper.
Je passe ma main le long de son corps trouvant sa chatte humide de nos rapports et de mon sperme.
Quand j’ai déchargé, nous étions tellement crevés, que nous nous sommes écroulés comme une masse.
À mon âge, je bande rapidement.
- Bonjour gentil marin.
Prononçant ces mots, elle se met sur moi ma hampe trouvant son chemin toute seule.
Sa bouche est douce malgré nos turpitudes de la nuit.
Une fois que je l’ai encore fait jouir, nous allons prendre un bain, préparée par Marta cette femme qui nous a servis hier au soir.
Petit déjeuner dans la salle, j’ai rarement eu un plateau aussi bien garni, ça change du jus de chaussette de l’armée.
- Je vais te quitter, il faut que je retourne à Canne m’occuper de ma voiture en panne.
- Donne-moi tes clefs, l’un de mes gardes va s’en charger, si tu as du temps, nous pouvons encore en profiter d’un peu.
Je m’ennuie ici, pour une fois que je trouve un garçon qui s’occupe de moi sans aucun parti pris ou intérêt.
Il va falloir que je file, bien que j’aie un pincement au cœur, Raya s’est donné à moi sans aucun calcul que l’envie de faire l’amour.
J’ai peur de faire un imper bien que j’aie de moins en moins envie de parler de ce grain de beauté en forme de cœur qui pour ceux qui le connaissent sera la preuve de la vérité de mon article.
Je crois que je vais revenir vers la forteresse imprenable que je voulais exploiter quand ma voiture est tombée en panne devant la boîte où Raya se cachait sous sa perruque afin de trouver un homme à sa mesure.
- J’y vais moi-même, je tiens à cette voiture comme a la prunelle de mes yeux, de plus, il faut que je sois à la base avant midi.
- Je comprends, dommage.
En prononçant ces mots, elle me prend dans ses bras nos bouches se soudant.
J’ai déjà mis mon pantalon à pont blanc et ma chemisette.
Je prends ma vareuse, mon portefeuille tombe un morceau de plastique s’échappant.
Raya se penche et le ramasse.
Malgré la chaleur, un vent glacial passe dans mon dos.
- Tu es marin ou journaliste stagiaire comme il est marqué sur ce bristol !
Impossible de répondre, j’ai une boule dans la bouche.
- Dégage, va écrire un article sur la salope qui drague dans les bars de nuit pour se taper des mecs.
- Attends, laisse-moi m’expliquer.
- À quoi ça sert, je te croyais différent tu es comme tous les autres hommes à la merci de la moindre faiblesse de la part d’une jeune femme comme moi ayant eu du succès.
- Cet article, tu verras, il tournera en ta faveur, je m’y engage.
Mieux, on va l’écrire ensemble, la marine à midi, c’était du pipo et je m’en excuse, savoir que je te trompais par la pensée m’était devenu insupportable.
Tu sais dans notre nuit de folie, un moment nos yeux se sont croisés et j’ai eu un coup de foudre pour toi, comment te faire du mal.
- Je me souviens de ce moment, moi aussi j’ai eu le même coup de foudre dommage.
De toute manière, mon succès va s’arrêter maintenant que j’ai édité mes deux morceaux, mes idées sont sèches.
- Dit-moi, parlons calmement, je t’ai caché qui j’étais, mais toi aussi.
- Je le conçois !
- Je vois cette guitare, c’est la tienne !
- Oui, c’est avec elle que je compose.
- Pendant mon année d’armée, j’ai composé, moi aussi des mélodies à l’aide de ma guitare qui est restée dans ma 4 L en panne.
Je sais qu’un instrument, c’est personnel, peux-tu me la prêter, je vais te donner un aperçu de mon travail.
- Ok, montre-moi !
Je teste l’instrument, je règle certaines cordes et je joue le morceau que je sais être le plus abouti.
- Là, là, là, là.
Excusé l’auteur, il a une voix de casserole, mais Raya sait reconnaître la valeur de ce morceau.
- Si majeur.
- Pardon ?
- Tu as plaqué un si mineur alors que ce serait plus mélodieux avec un si majeur.
- Je recommence, tu as raison.
- Non, je vais essayer avec ma voix, si tu sembles être un bon compositeur, tu es un exécrable chanteur.
Elle se met à chanter, mettant en valeur ce que j’ai écrit.
Quelques phrases, ça fonctionne avec elle.
- Serais-tu prêt à me vendre ces morceaux et même de m’en composer d’autres ?
- Sans aucun problème, comme je te l’ai dit, j’ai eu un coup de foudre pour toi.
- Banco, tape là !
Nous nous tapons dans la main, mais c’est elle qui vient dans mes bras.
- J’ai envie d’aller sur la promenade des Anglais et d’arrêter de me cacher comme je l’ai fait hier.
Avant j’appelle mon agent qu’il établisse les contrats.
Maintenant que je sais que tu me mentais, mais je te pardonne, passe-moi tes clefs, mes employés vont s’occuper de ta voiture.
- J’aimerais récupérer ma guitare.
- Ils te l’apporteront.
C’est dans sa piscine où je me mets nu que je l’entends téléphoner avec son agent qui veut rapidement me rencontrer.
Terminée, elle raccroche et vient me rejoindre dans sa très belle nudité.
Je la reçois dans mes bras et ma queue, s’étant tendu simplement en la regardant, entre en elle sans la moindre difficulté.
Une nouvelle fois nous nous embrassons fougueusement.
Je voulais faire ma vie sur la côte dans le journalisme, ce sera dans la composition musicale.
- Prépare-toi, on va aller faire quelques courses, je veux que mon homme fasse baver les filles quand tu seras à mon bras surtout avec ta musculature, en plus ton bronzage va y contribuer.
- Je peux téléphoner !...
Bon en français, rédaction et orthographe, je décide de tenter ma chane dans le journalisme.
Je me présente à Var-Matin, le rédacteur en chef promet de m’embaucher si j’écris cinquante lignes sur Raya, la jeune chanteuse à la mode ayant déjà sorti deux singles lui ayant rapporté deux disques d’or.
Ces disques d’or, j’ai eu le temps de les remarquer dans son salon chaque fois que je levais la tête pour respirer pendant que je lui faisais un cunnilingus l’amenant jusqu’à l’orgasme.
Au matin, c’est le soleil entrant dans la chambre toute blanche qui me réveille.
Non, en plus Raya est penché sur ma bite qu’elle a prise en main.
Elle semble hésiter et commence à me pomper.
Je passe ma main le long de son corps trouvant sa chatte humide de nos rapports et de mon sperme.
Quand j’ai déchargé, nous étions tellement crevés, que nous nous sommes écroulés comme une masse.
À mon âge, je bande rapidement.
- Bonjour gentil marin.
Prononçant ces mots, elle se met sur moi ma hampe trouvant son chemin toute seule.
Sa bouche est douce malgré nos turpitudes de la nuit.
Une fois que je l’ai encore fait jouir, nous allons prendre un bain, préparée par Marta cette femme qui nous a servis hier au soir.
Petit déjeuner dans la salle, j’ai rarement eu un plateau aussi bien garni, ça change du jus de chaussette de l’armée.
- Je vais te quitter, il faut que je retourne à Canne m’occuper de ma voiture en panne.
- Donne-moi tes clefs, l’un de mes gardes va s’en charger, si tu as du temps, nous pouvons encore en profiter d’un peu.
Je m’ennuie ici, pour une fois que je trouve un garçon qui s’occupe de moi sans aucun parti pris ou intérêt.
Il va falloir que je file, bien que j’aie un pincement au cœur, Raya s’est donné à moi sans aucun calcul que l’envie de faire l’amour.
J’ai peur de faire un imper bien que j’aie de moins en moins envie de parler de ce grain de beauté en forme de cœur qui pour ceux qui le connaissent sera la preuve de la vérité de mon article.
Je crois que je vais revenir vers la forteresse imprenable que je voulais exploiter quand ma voiture est tombée en panne devant la boîte où Raya se cachait sous sa perruque afin de trouver un homme à sa mesure.
- J’y vais moi-même, je tiens à cette voiture comme a la prunelle de mes yeux, de plus, il faut que je sois à la base avant midi.
- Je comprends, dommage.
En prononçant ces mots, elle me prend dans ses bras nos bouches se soudant.
J’ai déjà mis mon pantalon à pont blanc et ma chemisette.
Je prends ma vareuse, mon portefeuille tombe un morceau de plastique s’échappant.
Raya se penche et le ramasse.
Malgré la chaleur, un vent glacial passe dans mon dos.
- Tu es marin ou journaliste stagiaire comme il est marqué sur ce bristol !
Impossible de répondre, j’ai une boule dans la bouche.
- Dégage, va écrire un article sur la salope qui drague dans les bars de nuit pour se taper des mecs.
- Attends, laisse-moi m’expliquer.
- À quoi ça sert, je te croyais différent tu es comme tous les autres hommes à la merci de la moindre faiblesse de la part d’une jeune femme comme moi ayant eu du succès.
- Cet article, tu verras, il tournera en ta faveur, je m’y engage.
Mieux, on va l’écrire ensemble, la marine à midi, c’était du pipo et je m’en excuse, savoir que je te trompais par la pensée m’était devenu insupportable.
Tu sais dans notre nuit de folie, un moment nos yeux se sont croisés et j’ai eu un coup de foudre pour toi, comment te faire du mal.
- Je me souviens de ce moment, moi aussi j’ai eu le même coup de foudre dommage.
De toute manière, mon succès va s’arrêter maintenant que j’ai édité mes deux morceaux, mes idées sont sèches.
- Dit-moi, parlons calmement, je t’ai caché qui j’étais, mais toi aussi.
- Je le conçois !
- Je vois cette guitare, c’est la tienne !
- Oui, c’est avec elle que je compose.
- Pendant mon année d’armée, j’ai composé, moi aussi des mélodies à l’aide de ma guitare qui est restée dans ma 4 L en panne.
Je sais qu’un instrument, c’est personnel, peux-tu me la prêter, je vais te donner un aperçu de mon travail.
- Ok, montre-moi !
Je teste l’instrument, je règle certaines cordes et je joue le morceau que je sais être le plus abouti.
- Là, là, là, là.
Excusé l’auteur, il a une voix de casserole, mais Raya sait reconnaître la valeur de ce morceau.
- Si majeur.
- Pardon ?
- Tu as plaqué un si mineur alors que ce serait plus mélodieux avec un si majeur.
- Je recommence, tu as raison.
- Non, je vais essayer avec ma voix, si tu sembles être un bon compositeur, tu es un exécrable chanteur.
Elle se met à chanter, mettant en valeur ce que j’ai écrit.
Quelques phrases, ça fonctionne avec elle.
- Serais-tu prêt à me vendre ces morceaux et même de m’en composer d’autres ?
- Sans aucun problème, comme je te l’ai dit, j’ai eu un coup de foudre pour toi.
- Banco, tape là !
Nous nous tapons dans la main, mais c’est elle qui vient dans mes bras.
- J’ai envie d’aller sur la promenade des Anglais et d’arrêter de me cacher comme je l’ai fait hier.
Avant j’appelle mon agent qu’il établisse les contrats.
Maintenant que je sais que tu me mentais, mais je te pardonne, passe-moi tes clefs, mes employés vont s’occuper de ta voiture.
- J’aimerais récupérer ma guitare.
- Ils te l’apporteront.
C’est dans sa piscine où je me mets nu que je l’entends téléphoner avec son agent qui veut rapidement me rencontrer.
Terminée, elle raccroche et vient me rejoindre dans sa très belle nudité.
Je la reçois dans mes bras et ma queue, s’étant tendu simplement en la regardant, entre en elle sans la moindre difficulté.
Une nouvelle fois nous nous embrassons fougueusement.
Je voulais faire ma vie sur la côte dans le journalisme, ce sera dans la composition musicale.
- Prépare-toi, on va aller faire quelques courses, je veux que mon homme fasse baver les filles quand tu seras à mon bras surtout avec ta musculature, en plus ton bronzage va y contribuer.
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