COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (1,2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (1,2)
Depuis mon rencard avec ma jeune prof d’anglais, ma nuit est remplie d’images de sa chatte, de ses seins.
Sans oublier, de bureaux de salle de classe ou mon sexe devenu autonome par rapport au reste de mon corps m’incite à la masturbation.
La peur d’être déficient pour assumer me retient de me toucher.
Au matin ma mère me trouve un air fatigué, nous sommes très complices entre nous-mêmes sur le sexe.
• Arrête de tirer sur ton élastique, regarde la tête que cela te fait ce matin.
Maman, pour une fois, je ne peux rien te dire bien que l’envie soit grande de te raconter l’exploit réussit en levant ma professeur d’anglais.
Prudent tant que je n’ai pas concrétisé ce début de liaison, je me tais.
Arrivés au collège, certains veulent savoir pourquoi notre prof m’a retenu.
Je biaise en leur expliquant qu’elle devait remplir des papiers pour l’administration en vue de mon départ.
Comme elle est notre professeur principale, il lui fallait certains renseignements qu’elle n’avait pas !
• As-tu essayé de la baiser ?
• Oh, notre professeure principale !
Ces mots suffisent à les calmer.
La cloche sonne et nous appelle à entrer en cours.
Math pendant une heure, je rêvasse en regardant dans la cour par la fenêtre.
Tous mes potes sont loin de me reconnaitre tellement je suis sage.
À la cloche, je suis le premier à sortir et à m’isoler pour cacher la trique qui gonfle mon jean.
La cloche tinte, il faut y aller.
En classe, elle est déjà assise sur son estrade, je passe sans lui adresser un regard.
Je suis arrivé à faire descendre ma turgescence sans me toucher et je veux éviter que ma bite ne reparte à la hausse.
Pendant les trois quarts du cours, nous nous ignorons.
• Christophe apportez-moi votre cahier de correspondance, je dois mettre un mot à vos parents, il me manque des renseignements.
Je me lève pour lui apporter, je le dépose et rapidement je reprends ma place, mon sexe, au moment où nos yeux se sont croisés, est reparti à la hausse et risque de me poser des problèmes.
Pendant l’exercice écrit, sur lequel mes collègues planchent, se poursuit.
Pour une des rares fois depuis que je la connais, elle descend et tout en contrôlant certains devoirs de potes, passe vers moi et dépose mon cahier à mon côté.
Elle passe au fond de la classe et en redescendant distraitement elle me pose la main sur l’épaule.
Comme tous les cancres, je suis fidèle au radiateur et au dernier rang.
C’est reparti, cette main me fait bander.
Il me faut fournir des efforts désespérés pour que tout rentre en ordre, dans mon futal avant la fin du cours.
Cahier rangé, je file dans les toilettes pour constater si elle a bien respecté et m’a donné son adresse.
« Christophe, je t’attends en début d’après-midi au 3 de place de la gare de Champigny-sur-Marne près du R.E.R.
Tu entres et tu montes jusqu’au 2e étage, porte C. »
À la simple évocation de son adresse, ma tige se redresse.
Une fois de plus, il me faut fournir un effort de concentration pour la faire retomber.
Un collège tape à la porte.
• Qu’est-ce que tu fais, arrête de te masturber ?
J’évite de répondre, la cloche de reprise vient me sauver.
Je ne retourne pas en cours et discrètement je quitte le collège, le cours de français on verra cela plus tard.
Place de la mairie, je vais consulter le plan de la ville, je sais où se trouve le R.E.R ainsi la place doit se trouver là.
Je file vers la gare afin de bien situé où elle habite.
Impeccable, la maison est face à la gare dans un immeuble ancien de cinq étages.
En me plaçant à la terrasse du café, j’ai une vue parfaite sur son entrée.
La chaleur bien que nous soyons au mois de décembre me permet de rester à l’extérieur.
Je sais qu’elle a cours avec les cinquièmes jusqu’à midi.
Que l’attente est longue, surtout que depuis mon dépucelage, je suis privé de sexe féminin, malgré de nombreuses tentatives avec des filles emballées à Joinville-le-pont au petit Robinson, mais toujours sans lendemain !
Il est 12 heures 15 lorsque je la vois arriver, elle marche rapidement et entre sans attendre dans son immeuble.
Quelques minutes, une porte-fenêtre s’ouvre au deuxième étage.
J’ai le temps de l’apercevoir secouer un coussin.
J’attends encore cinq minutes, je traverse la rue et monte au deuxième.
Je n’ai pas le temps de frapper, la porte s’ouvre, elle me tend la main et m’attire à l’intérieur.
Immédiatement elle me plaque sur ses seins.
Son personnage est bien fabriqué, car il est impossible de remarquer les deux obus qu’elle a dans son corsage.
Je la prends dans mon bras le temps que nos bouches se trouvent.
Je dégraphe, un par un, les boutons de son chemisier pour mettre à jour ses seins que je sens magnifiques.
Je suis loin d’être déçue, aucune des filles plottées seul privilège qu’elles me concédaient ne m’en ont montré d’aussi beau.
Son soutien-gorge à balconnets demi-seins me laisse voir ses mamelons au centre de ses aréoles ressemblant à des poires, ils attendent ma bouche qui est loin de les ignorer.
Je les gobe un à un, ils réagissent et Malaurie émet des gémissements prouvant que mon traitement leur fait de l’effet.
• Tu aimes mon soutien-gorge, je suis allé l’acheter pour toi hier au soir !
• Il est magnifique, il met très bien tes bombes en valeur.
• Mes bombes ?
• Oui, tes seins sont des obus que je veux faire éclater en appuyant là !
Je joins le geste à la parole et j’appuie sur le premier bouton que trouvent mes doigts.
• Oh ! J’ai senti du courant passé par ton doigt !
• Et l’autre ?
• Il est moins sensible, mais il aime !
Je lui reprends les lèvres et ayant repéré le couloir de sa chambre derrière elle, je la guide sans la lâcher vers ce lit qui nous tend les bras.
Avant de la coucher pour m’occuper de sa chatte, je défais son chignon, ses magnifiques cheveux tombent en cascade sur ses épaules.
• Malaurie, c’est un scandale de nous cacher ses merveilles, tes cheveux sont si beaux !
Ce compliment lui plaît, car elle aspire ma bouche et me fait passer des frissons jusqu’au bas de mon dos.
Je ne vous dis pas dans quel état se trouve ma bite, mon jean a du mal à la contenir.
Elle me défait la ceinture et sort ma verge dont je suis peu fière, car son diamètre pour un homme jeune comme moi n’a rien à envier avec des mâles plus mûrs.
Elle se baisse et la prend en bouche, sa position me permet de voir ses seins étant en surplomb.
J’ai le temps de lui remplir la cavité buccale.
J’espère qu’elle sera ma petite femelle jusqu’à mon départ fin février.
J’aurais donc tout le temps de lui déverser des litres de spermes sur la glotte.
Sentant que ma sève monte, je lui enlève sa sucette qu’elle nettoyait consciencieusement.
• Me l’enlèves-tu ?
En disant cela, je la relève et en reprenant sa bouche dans un souffle.
• C’est pour mieux te baiser ma petite caille !
• Oui, viens me baiser, mais faite attention je suis vierge.
• Es-tu pucelle à ton âge ?
• Oui j’ai tellement voulu avoir mes diplômes pour pouvoir quitter Dijon, que je me suis refusé à prendre du bon temps.
• Je vais faire attention à être patient et te déflorer tout en douceur, tu seras ma première.
Là, c’est facile à part la petite dans le Doubs avec toutes les autres, comme je l’ai dit, j’ai pris des râteaux.
• J’espère être un bon amant et te faire jouir dès ta première fois.
Elle m’embrasse une nouvelle fois.
• Je t’aime mon amour !
Son amour, je suis un vrai coq, lorsqu’elle est relevée, je lui enlève son chemisier. Elle passe ses mains dans son dos pour enlever son soutien-gorge. Je l’arrête d’un geste de la main.
• Non laisse-le !
Tes demi-balconnets les mettant en valeur et tu es très bandante pour mes yeux.
De plaisir, elle attrape mes lèvres, sa langue me fait comprendre toutes les envies qui doivent la tarauder.
• Depuis des mois que je rêve de trouver un amant qui saura me déniaiser, j’étais loin d’imaginer que ce soit un jeune homme comme toi, qui en plus est un de mes élèves ?
Viens mon cœur, enlève-moi mon hymen !...
Sans oublier, de bureaux de salle de classe ou mon sexe devenu autonome par rapport au reste de mon corps m’incite à la masturbation.
La peur d’être déficient pour assumer me retient de me toucher.
Au matin ma mère me trouve un air fatigué, nous sommes très complices entre nous-mêmes sur le sexe.
• Arrête de tirer sur ton élastique, regarde la tête que cela te fait ce matin.
Maman, pour une fois, je ne peux rien te dire bien que l’envie soit grande de te raconter l’exploit réussit en levant ma professeur d’anglais.
Prudent tant que je n’ai pas concrétisé ce début de liaison, je me tais.
Arrivés au collège, certains veulent savoir pourquoi notre prof m’a retenu.
Je biaise en leur expliquant qu’elle devait remplir des papiers pour l’administration en vue de mon départ.
Comme elle est notre professeur principale, il lui fallait certains renseignements qu’elle n’avait pas !
• As-tu essayé de la baiser ?
• Oh, notre professeure principale !
Ces mots suffisent à les calmer.
La cloche sonne et nous appelle à entrer en cours.
Math pendant une heure, je rêvasse en regardant dans la cour par la fenêtre.
Tous mes potes sont loin de me reconnaitre tellement je suis sage.
À la cloche, je suis le premier à sortir et à m’isoler pour cacher la trique qui gonfle mon jean.
La cloche tinte, il faut y aller.
En classe, elle est déjà assise sur son estrade, je passe sans lui adresser un regard.
Je suis arrivé à faire descendre ma turgescence sans me toucher et je veux éviter que ma bite ne reparte à la hausse.
Pendant les trois quarts du cours, nous nous ignorons.
• Christophe apportez-moi votre cahier de correspondance, je dois mettre un mot à vos parents, il me manque des renseignements.
Je me lève pour lui apporter, je le dépose et rapidement je reprends ma place, mon sexe, au moment où nos yeux se sont croisés, est reparti à la hausse et risque de me poser des problèmes.
Pendant l’exercice écrit, sur lequel mes collègues planchent, se poursuit.
Pour une des rares fois depuis que je la connais, elle descend et tout en contrôlant certains devoirs de potes, passe vers moi et dépose mon cahier à mon côté.
Elle passe au fond de la classe et en redescendant distraitement elle me pose la main sur l’épaule.
Comme tous les cancres, je suis fidèle au radiateur et au dernier rang.
C’est reparti, cette main me fait bander.
Il me faut fournir des efforts désespérés pour que tout rentre en ordre, dans mon futal avant la fin du cours.
Cahier rangé, je file dans les toilettes pour constater si elle a bien respecté et m’a donné son adresse.
« Christophe, je t’attends en début d’après-midi au 3 de place de la gare de Champigny-sur-Marne près du R.E.R.
Tu entres et tu montes jusqu’au 2e étage, porte C. »
À la simple évocation de son adresse, ma tige se redresse.
Une fois de plus, il me faut fournir un effort de concentration pour la faire retomber.
Un collège tape à la porte.
• Qu’est-ce que tu fais, arrête de te masturber ?
J’évite de répondre, la cloche de reprise vient me sauver.
Je ne retourne pas en cours et discrètement je quitte le collège, le cours de français on verra cela plus tard.
Place de la mairie, je vais consulter le plan de la ville, je sais où se trouve le R.E.R ainsi la place doit se trouver là.
Je file vers la gare afin de bien situé où elle habite.
Impeccable, la maison est face à la gare dans un immeuble ancien de cinq étages.
En me plaçant à la terrasse du café, j’ai une vue parfaite sur son entrée.
La chaleur bien que nous soyons au mois de décembre me permet de rester à l’extérieur.
Je sais qu’elle a cours avec les cinquièmes jusqu’à midi.
Que l’attente est longue, surtout que depuis mon dépucelage, je suis privé de sexe féminin, malgré de nombreuses tentatives avec des filles emballées à Joinville-le-pont au petit Robinson, mais toujours sans lendemain !
Il est 12 heures 15 lorsque je la vois arriver, elle marche rapidement et entre sans attendre dans son immeuble.
Quelques minutes, une porte-fenêtre s’ouvre au deuxième étage.
J’ai le temps de l’apercevoir secouer un coussin.
J’attends encore cinq minutes, je traverse la rue et monte au deuxième.
Je n’ai pas le temps de frapper, la porte s’ouvre, elle me tend la main et m’attire à l’intérieur.
Immédiatement elle me plaque sur ses seins.
Son personnage est bien fabriqué, car il est impossible de remarquer les deux obus qu’elle a dans son corsage.
Je la prends dans mon bras le temps que nos bouches se trouvent.
Je dégraphe, un par un, les boutons de son chemisier pour mettre à jour ses seins que je sens magnifiques.
Je suis loin d’être déçue, aucune des filles plottées seul privilège qu’elles me concédaient ne m’en ont montré d’aussi beau.
Son soutien-gorge à balconnets demi-seins me laisse voir ses mamelons au centre de ses aréoles ressemblant à des poires, ils attendent ma bouche qui est loin de les ignorer.
Je les gobe un à un, ils réagissent et Malaurie émet des gémissements prouvant que mon traitement leur fait de l’effet.
• Tu aimes mon soutien-gorge, je suis allé l’acheter pour toi hier au soir !
• Il est magnifique, il met très bien tes bombes en valeur.
• Mes bombes ?
• Oui, tes seins sont des obus que je veux faire éclater en appuyant là !
Je joins le geste à la parole et j’appuie sur le premier bouton que trouvent mes doigts.
• Oh ! J’ai senti du courant passé par ton doigt !
• Et l’autre ?
• Il est moins sensible, mais il aime !
Je lui reprends les lèvres et ayant repéré le couloir de sa chambre derrière elle, je la guide sans la lâcher vers ce lit qui nous tend les bras.
Avant de la coucher pour m’occuper de sa chatte, je défais son chignon, ses magnifiques cheveux tombent en cascade sur ses épaules.
• Malaurie, c’est un scandale de nous cacher ses merveilles, tes cheveux sont si beaux !
Ce compliment lui plaît, car elle aspire ma bouche et me fait passer des frissons jusqu’au bas de mon dos.
Je ne vous dis pas dans quel état se trouve ma bite, mon jean a du mal à la contenir.
Elle me défait la ceinture et sort ma verge dont je suis peu fière, car son diamètre pour un homme jeune comme moi n’a rien à envier avec des mâles plus mûrs.
Elle se baisse et la prend en bouche, sa position me permet de voir ses seins étant en surplomb.
J’ai le temps de lui remplir la cavité buccale.
J’espère qu’elle sera ma petite femelle jusqu’à mon départ fin février.
J’aurais donc tout le temps de lui déverser des litres de spermes sur la glotte.
Sentant que ma sève monte, je lui enlève sa sucette qu’elle nettoyait consciencieusement.
• Me l’enlèves-tu ?
En disant cela, je la relève et en reprenant sa bouche dans un souffle.
• C’est pour mieux te baiser ma petite caille !
• Oui, viens me baiser, mais faite attention je suis vierge.
• Es-tu pucelle à ton âge ?
• Oui j’ai tellement voulu avoir mes diplômes pour pouvoir quitter Dijon, que je me suis refusé à prendre du bon temps.
• Je vais faire attention à être patient et te déflorer tout en douceur, tu seras ma première.
Là, c’est facile à part la petite dans le Doubs avec toutes les autres, comme je l’ai dit, j’ai pris des râteaux.
• J’espère être un bon amant et te faire jouir dès ta première fois.
Elle m’embrasse une nouvelle fois.
• Je t’aime mon amour !
Son amour, je suis un vrai coq, lorsqu’elle est relevée, je lui enlève son chemisier. Elle passe ses mains dans son dos pour enlever son soutien-gorge. Je l’arrête d’un geste de la main.
• Non laisse-le !
Tes demi-balconnets les mettant en valeur et tu es très bandante pour mes yeux.
De plaisir, elle attrape mes lèvres, sa langue me fait comprendre toutes les envies qui doivent la tarauder.
• Depuis des mois que je rêve de trouver un amant qui saura me déniaiser, j’étais loin d’imaginer que ce soit un jeune homme comme toi, qui en plus est un de mes élèves ?
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