COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (1,3) - histoire érotique

En pleine action, Malaurie m’avoue qu’elle est vierge malgré ses vingt-six ans.
Elle fait tomber sa jupe emportant par là même son string assorti à son soutien-gorge.

• Laisse ton porte-jarretelle, mais enlève tes bas.

J’aime soumettre à mon bon vouloir celle qui y a encore quelques heures était ma prof principale au lycée !
Elle se laisse tomber en arrière m’attirant sur son corps.
Elle saisit ma verge et s’applique à la présenter à sa petite chatte que je sens, sans encore, l’avoir vue.

• Attends !

Son regard marque du dépit, pourquoi je refuse de la prendre ?
Rapidement je glisse vers le bas de son corps, en passant, je suce un à un ses tétons qui recommencent à bander.
J’aime le chant qui sort de sa gorge.
Je les dépasse et m’attarde sur son petit trou qui la reliait à sa maman.
J’y insinue ma langue, l’effet est immédiat, son chant s’amplifie.
Je continue, mon déplacement et j’atteins sa féminité, je peux enfin admirer son abricot brun, j’écarte ses grandes lèvres pour trouver sa petite excroissance.
J’ai peu d’expérience avec les femmes, mais mon dépucelage dans le Doubs, c’est fait avec une jeune fille, future grande salope qui m’a montré les points des filles que je devrais particulièrement honorer pour les rendre heureuses.
Son clitoris en fait principalement partie, je l’aspire sur ma langue et le fais rouler, son chant me prouve que je réussis ce que je suis venu chercher avant de la pénétrer.
J’ai appris avec ma jeune copine qu’une femme que l’on fait jouir, même une seule fois, vous est acquise pour longtemps.
J’ose un geste qui peut me donner la victoire, son clitoris est assez gros pour que je le saisisse avec mes dents délicatement.
Je fais rouler mes dents dessus sans pour cela risquer de lui faire mal.
Des petites giclées de liquide sont envoyées dans ma bouche, son corps se raidit et je reçois sa jouissance que j’espérais tant lui apporter.

Elle sert ses mains sur ma tête sans se rendre compte qu’elle me fait légèrement mal. Son plaisir prime sur ma douleur et je remonte vers sa bouche en respectant les étapes faites à la descente.
Au moment où mon corps épouse son corps et que je sens son bas-ventre cherché à être pénétré par ma verge, un peu sadiquement, je m’écarte d’elle.

• Mon cœur, je veux que tu sois mienne, déflore-toi, toi-même sur ma verge !
• Comment ?

Je m’installe au centre du lit appuyé aux oreillers.
Ma verge au sommet de sa tension se dresse vers le ciel, elle se retourne et sa bouche ne peut s’empêcher de l’aspirer.

• Arrête, tu boiras mon foutre plus tard, il est l’heure de devenir une femme ma jolie salope.

Est-ce le faite de la traiter de salope me donne plus de pouvoir sur elle qui a ce moment est toujours une jeune fille ?
Je l’ignore, mais me pompant comme jamais, elle me regarde et relâchant son sucre d’orge me dit.

• Oui mon amour, je suis ta salope, tant que tu voudras de moi, je serais ta salope.
Ce mot est vilain dans la bouche d’une jeune fille comme moi, mais quel plaisir de le dire, salope, salope, salope, je suis une belle salope !
Comment veux-tu que je fasse pour te montrer la salope que je suis ou que j’aspire à le devenir ?
• C’est facile, place tes jambes repliées de chaque côté de mes hanches.
Oui comme ça, je suis le prof, tu es l’élève, on inverse les rôles par rapport au lycée, prend ma hampe dans ta main et présente là à ta minette.
C’est très bien, minette, voilà la verge qui va te pénétrer, mon pieu, voilà le trou que tu devras remplir jusqu’à ce qu’il sache bien jouir.
• Ma minette te sens, tu es gros, oh ! tu écartes ma chatte, que c’est bon de savoir ce que pour la première fois l’on va subir, mais retarder le moment de le faire.
Christophe, tu es diabolique, même de dire « chatte » c’est difficile pour moi, mais quel joli mot lui aussi.
Tu vas me prendre pour une jeune fille ringarde, mais j’ai tout à apprendre, je suis sûr qu’avec un professeur comme toi, je vais devenir une grosse salope !

Un coq, même les pieds dans la merde, l’emblème des Français est là au bout de ma verge, il est grandement temps de passer à la dernière phase de son processus de dépucelage.

• Si tu es prête, il te suffit de me faire glisser au fond de toi, à la vitesse que tu souhaites.

Elle est bien positionnée, elle va chercher ma verge avec sa main et se l’introduit entre ses lèvres vaginales.
Bien dans l’axe, je la vois hésitée à descendre sur le pieu qui va la clouer et déchirer son hymen.

• Oui mon bouchon, descend !
• Je suis comme toi tout à l’heure, j’aime faire durer notre plaisir, je porte ma virginité depuis vingt-six ans et c’est le jour de mon anniversaire que tu vas me déflorer !
• Mon bébé, je n’y tiens plus, tu vas me faire mourir.
• J’y vais, je me lance, je t’aime !

Elle commence à descendre et je vois ma verge entrer millimètre par millimètre au fond de son corps, d’un coup elle se laisse tomber en poussant un léger cri.

• Tu m’as défloré, mon beau mâle, toute ma vie je penserais à toi.
• Fais-moi une promesse, tu sais que je vais partir, vie dans le présent avec d’autres verges, évite la nostalgie de ta première fois.

En même temps qu’elle se penche pour saisir ma bouche je récolte son plaisir sur mes lèvres par un râle qui monte en intensité même lorsqu’elle se soulève et s’empale de nouveau.
Alfred le prof d’histoire, nous a parlé de l’inquisition, omettant de nous parler du supplice du pal.
J’ai aimé cette période de l’histoire et à la bibliothèque, j’ai pu lire un livre parant de cette méthode pour faire avouer les gens.
La grande différence, hors la jouissance de Malaurie, ma verge est trop courte pour ressortir par sa bouche comme pour ceux qui étaient suppliciés.
Dans le même temps sa chatte déverse sur mon bas-ventre des petits jets de liquide. Ils sortent de sa foune augmentant son plaisir et me font moi aussi lui envoyer mes jets de sperme au fond de son corps.
La décharge est si forte pour les deux que nous restons dans cette position de longues minutes à récupérer.
Elle bascule sur le côté et me sert dans ses bras.

• J’ai bien fait d’attendre aussi longtemps pour rencontrer un amant comme toi, tu continueras à venir me faire l’amour jusqu'à ton départ !
• Comme aujourd’hui, tous les jeudis je sécherais et nous nous aimerons.
• Soit sans crainte, je reste ta prof principale j’oublierais de signaler tes absences à tes parents, j’intercepterais tout.

Pendant que nous récupérons, je vois bien qu'elle se pose des questions.

• Tu sembles confuse, aurais-je manqué une étape et tu serais insatisfaite !
• Oh ! que non, peut-être que tu m’as fait un enfant dès notre première fois, !
Soi sans crainte, hier en sortant de la boutique où je suis allée acheter mes sous-vêtements que je voulais parfait pour toi, je suis entré dans la pharmacie voisine et j’ai retiré ma première plaquette de pilules.
Ce matin en partant au lycée avec mon petit déjeuner, j’ai pris la première, regarde la boîte est sur la table de nuit.
Si un accident un jour arrive, soit sans crainte, j’assumerais seule le fruit de notre amour, tu pourras naviguer sur les mers du globe, sans avoir le poids de cette paternité.
Mais dit-moi, qu’est-il arrivé lorsque nous avons joui tous les deux ensemble, j’ai eu l’impression que de grandes quantités de liquide sortaient de mon corps.
Ai-je uriné sans m’en rendre compte ?
• Tu sais, depuis que j’ai connu le sexe en vacances, je n’ai pas eu d’autres contacts physiques avec des jeunes filles.
J’arrive à en embrasser, jamais à les emmener à s’occuper de mon sexe.
La plupart n’acceptent que si nous leur promettons la bague au doigt, je me suis plus souvent masturbé que j’ai baisé.
Dès qu’une fille me demande « tu viens chez mes parents, » je pars en courant.

Elle me sert dans ses bras et nous échangeons un baiser que je pourrais presque dire d’amour bien que je sache que Malaurie est une étape dans ma vie de jeune garçon.
À mon âge, pourquoi se priver de liberté en se mettant une corde au cou.

Malaurie se lève et se dirige vers le couloir, elle m’appelle pour me faire constater que je l’ai bien défloré.

• Regarde, toutes les traces de mon sang, avec l’eau qui me rafraichit, on voit bien mon sang couler.
Viens avec moi dans ma baignoire.

J’enjambe à mon tour sa baignoire alors qu’elle s’est agenouillée, elle semble avoir récupéré et d’un seul mouvement gobe ma virilité ses mains l’entourant.

• Tu as vu comme je suis une bonne suceuse, tu bandes déjà.
Viens m’enfiler, tu ne peux pas savoir comme j’aime dire des mots orduriers, pines, couilles, chattes.
Je crois que tu as réussi à faire de moi une salope, une belle salope, la plus grande des belles salopes.
• Si tu es ma salope Malaurie, prouve-le-moi ?
• Je suis à toi autant que tu le voudras.
• La jeune qui m'a dépucelé m’a appris quelques positions.

La position du missionnaire, la plus simple la femme est dessous et les cuisses écartées, elle reçoit l’homme.
À cette évocation les images de ma copulation avec Chantal me reviennent devant les yeux et je bande de plus belle.
Quelle chance d’avoir connu une fille comme elle, moi le grand dadais qui à ce moment de ma vie était loin de penser pouvoir baiser une fille, je me contentais de cartes postales la nuit dans mon lit.
Grâce à elle, je peux me considérer comme un mâle dominant, le taureau le plus gros d’une kyrielle de chatte que j’espère dominer à travers le monde, lorsque j’aurais rejoint Toulon...