COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (10/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (10/10)
Je reprends le RER et je retourne retrouver Malaurie.
Les choses s’accélèrent, j’ai regardé discrètement les billets que j’ai touchés pour mes prestations sexuelles.
Sans dire ce que j’ai en poche, sachant combien mon père gagne en un mois en travaillant une semaine sur trois la nuit, en une journée j’ai touché plus que lui.
Lorsque j’ouvre la porte de l’appartement un bruit suspect arrive à mes oreilles.
Une femme jouit et son cri m’est familier.
Malaurie est nue, les seins posés sur la table les jambes écartées et baisés certainement par la chatte par la bite de Samy.
Ma copine vient de prendre son plaisir et l’homme la libère.
Voyant que je suis là, elle vient se blottir dans mes bras.
• Je t’ai trompé mon cœur !
• Soit sans crainte, la jalousie m’est inconnue, surtout que ce mat matin je suis allé chez toi Samy et nous avons très bien baisé avec Ophélie.
Elle m’a trouvé du travail sur les Champs Élysée dans une boutique de vêtements chez « CHRISTINE ».
• Oh ! tu arrêtes le collège, tu me laisses seule avec cette bande de demeurés !
• Oui définitivement, mais je viendrais toujours chez toi après mon travail !
Sam s’habille et nous quitte.
Malaurie part vers la salle de bain, je viens lui laver le dos et lui caresser la chatte avec le gant.
Son regard s’éclaire, je vois des larmes dans ses yeux.
Les gestes que je lui prodigue prouvent que je lui pardonne son écart.
Je la sèche, sitôt fini elle me saute au cou et m’embrasse avec une fougue qui me fait relever la queue.
• Non, chérie, pas maintenant, mon père part à son travail pour son poste de nuit et je veux aller l’affronter juste avant qu’il ne parte et ainsi limiter le temps de la dispute inévitable.
Viens-tu avec moi ?
Non, je voudrais bien, même si je perds un élève, j’en ai bien d’autres qui attendent leurs résultats, je vais corriger des copies !
Je l’embrasse et je pars vers mes affrontements familiaux.
Dès que j’arrive, mes parents finissent de manger.
• As-tu mangé ?
• Oui, avec Malaurie !
La tension entre nous monte de plus en plus.
Comment attaquer le sujet sans prendre une assiette dans la figure !
• Papa, je voudrais te dire !
• Je me doute, tu vas contre ma volonté et tu arrêtes l’école !
La manière qu’il a de me dire ces mots très calmement m’étonne, à quel moment va-t-il exploser ?
Je suis sur mes gardes mais le calme reste plat.
• Tu sais, je pense que maman t’a dit que je vis chez ma professeur d’anglais. J’arrête pour ne pas la mettre en porte-à-faux avec ses collègues et ses élèves qui sont mes copains.
• Tu as raison, j’attendais de te voir pour te dire de le faire, lorsque nous avons parlé avec ta mère, je lui ai promis de t’en parler.
• Merci, j’ai trouvé un travail sur les Champs Élysée jusqu’en Mars, si vous voulez, je peux vous aider financièrement.
• Évite de me provoquer, ici, il est sûr que mon fils sera toujours le bienvenu sans pour autant me donner un sous comme tu dis pour nous aider, c’est une insulte à ma fonction de chef de famille.
Il se lève de table et part se préparer, dix minutes et sans un mot de plus, il est parti.
Pendant tout ce temps ma mère elle aussi s’est tue !
Je la regarde et son sourire en coin en dit long sur son implication dans le calme que mon père a affiché ce soir.
• Christophe, tu as compris, il y a deux jours j’ai eu une discussion assez musclée avec ton père sur ta situation.
• Et si c’était musclé, ça a dégénéré !
• Plutôt regarde les rideaux neufs !
• Qu’est-ce qu’ils ont à voir ?
• Je me suis énervée, la seule chose que j’avais dans les mains s’était la bouteille d’huile que je venais d’ouvrir.
Sans me rendre compte de ce que je faisais, je lui ai envoyé au visage.
Il l’a dévié de la main et elle est venue s’éclater sur la fenêtre.
• C’est malin !
• Oui nous avons mis deux heures à tout nettoyer et nous n’avons pas pu dîner, mais ma colère l’avait calmé !
• Vous étiez trop fatigué !
• Non j’étais en manque d’huile et pour le repas il m’en fallait !
Nous avons éclaté de rire.
• Et comment est-il arrivé à ce changement d’avis ?
• Comme d’habitude après deux jours sans nous parler, il est revenu et m’a présenté les choses comme c’était lui qui en avait eu l’idée.
C’est bien pour toi, mais moi je suis à la limite de la rupture.
J’attends un signe du destin pour le quitter.
• Par moments je te comprends, c’est dur de vivre avec un hypernerveux qui s’enflamme pour un rien.
• Et toi où en es-tu, tu as parlé d’un travail ?
Je lui explique le changement sans lui dire que je dois accompagner des dames chez elles et plus si affinités.
Elle est enchantée de cette évolution.
• As-tu su qu’Isis était en train de divorcer ?
• Isis la femme du joaillier ?
• Oui.
Isis est une femme magnifique d’une quarantaine d’années qui a un fils prénommé Amon de mon âge et qui habite à deux cents mètres sur les bords de marne.
Contrairement à moi, c’est une tronche et il fait des études en fac pour être chirurgien.
• Pourquoi, elle semblait aimer son mari et financièrement elle était tranquille ?
• Les situations dans les familles sont loin d’être ceux qui nous sont montrés.
Un jour qu’Amon rentrait chez ses parents rejoindre sa fiancée, lorsqu’il est entré dans la salle, son père la baisait sur la table de la salle à manger.
Ils en sont venus aux mains.
La jeune fille a pris peur et a appelé la police.
Ils sont intervenus et à la suite de ce scandale Iris a demandé le divorcé.
Grand seigneur, son mari a pris tous à sa charge et lui laisse une pension lui permettant de vivre sans aucun problème avec en prime le pavillon.
• Là vois-tu toujours ?
• Tous les jours en l’absence de ton père, je vais chez elle lorsqu’il dort, inutile de te faire un dessin !
• Soyez heureuse.
Ma mère en est restée là dans ses confidences sur sa vie avec Isis.
Un jour où comme c’était fréquent avec mon père sans en arriver à faire éclater une bouteille d’huile, je l’avais entendu parler de sa relation avec une femme avant son mariage.
Maman aime les femmes ce qui lui ouvre des perspectives sur son avenir avec Isis.
Je l’embrasse et je retourne retrouver Malaurie.
Lorsque j’arrive, c’est le drame, mon amie est en pleurs.
• Qu’est-ce qui t’arrive ma petite chérie ?
Elle est dans l’impossibilité de parler.
• Dit-moi mon cœur, je peux tout entendre !
• Je suis muté à Dijon.
• Sans ton accord ?
• Si, avant de te connaître, j’avais demandé ma mutation pour me rapprocher de ma famille
• Si cela a marché, c’est parfait pour toi.
• Oui mais toi ?
• Depuis le début tu sais que je te quitterais pour partir dans la marine, je suis triste de perdre ces trois mois avec toi mais je te promets de venir te voir lors d’une de mes permissions.
Si là-bas, tu rencontres un garçon ayant les mêmes valeurs que toi, je serais content de savoir que tu as trouvé l’amour.
Après nous être préparé pour la nuit, nous nous couchons dans les bras l’un de l’autre, quelle journée de fou, je tombe dans les limbes en quelques secondes.
Dans la nuit je l’entends pleurer, je l’embrasse et je lui ai fait l’amour gentiment.
Elle a eu une petite jouissance et pour la première fois j’ai pu passer la nuit au sec, sa chatte a évité de nous arroser.
Au matin elle est partie, j’ai fait semblant de dormir ne voulant pas qu’elle parte les yeux mouillés.
Aussitôt je suis debout. Ce matin j’ai donné rendez-vous à Fatou et je tiens à honorer ma promesse...
Voilà, le chapitre X est prêt à être diffusé chez HDS.
La suite est déjà écrite, il faut simplement que je la remette en forme.
Christophe, Malaurie, Chantal et Christine ma nouvelle patronne vont revenir bien vite.
Bonne lecture sur votre site favori.
Les choses s’accélèrent, j’ai regardé discrètement les billets que j’ai touchés pour mes prestations sexuelles.
Sans dire ce que j’ai en poche, sachant combien mon père gagne en un mois en travaillant une semaine sur trois la nuit, en une journée j’ai touché plus que lui.
Lorsque j’ouvre la porte de l’appartement un bruit suspect arrive à mes oreilles.
Une femme jouit et son cri m’est familier.
Malaurie est nue, les seins posés sur la table les jambes écartées et baisés certainement par la chatte par la bite de Samy.
Ma copine vient de prendre son plaisir et l’homme la libère.
Voyant que je suis là, elle vient se blottir dans mes bras.
• Je t’ai trompé mon cœur !
• Soit sans crainte, la jalousie m’est inconnue, surtout que ce mat matin je suis allé chez toi Samy et nous avons très bien baisé avec Ophélie.
Elle m’a trouvé du travail sur les Champs Élysée dans une boutique de vêtements chez « CHRISTINE ».
• Oh ! tu arrêtes le collège, tu me laisses seule avec cette bande de demeurés !
• Oui définitivement, mais je viendrais toujours chez toi après mon travail !
Sam s’habille et nous quitte.
Malaurie part vers la salle de bain, je viens lui laver le dos et lui caresser la chatte avec le gant.
Son regard s’éclaire, je vois des larmes dans ses yeux.
Les gestes que je lui prodigue prouvent que je lui pardonne son écart.
Je la sèche, sitôt fini elle me saute au cou et m’embrasse avec une fougue qui me fait relever la queue.
• Non, chérie, pas maintenant, mon père part à son travail pour son poste de nuit et je veux aller l’affronter juste avant qu’il ne parte et ainsi limiter le temps de la dispute inévitable.
Viens-tu avec moi ?
Non, je voudrais bien, même si je perds un élève, j’en ai bien d’autres qui attendent leurs résultats, je vais corriger des copies !
Je l’embrasse et je pars vers mes affrontements familiaux.
Dès que j’arrive, mes parents finissent de manger.
• As-tu mangé ?
• Oui, avec Malaurie !
La tension entre nous monte de plus en plus.
Comment attaquer le sujet sans prendre une assiette dans la figure !
• Papa, je voudrais te dire !
• Je me doute, tu vas contre ma volonté et tu arrêtes l’école !
La manière qu’il a de me dire ces mots très calmement m’étonne, à quel moment va-t-il exploser ?
Je suis sur mes gardes mais le calme reste plat.
• Tu sais, je pense que maman t’a dit que je vis chez ma professeur d’anglais. J’arrête pour ne pas la mettre en porte-à-faux avec ses collègues et ses élèves qui sont mes copains.
• Tu as raison, j’attendais de te voir pour te dire de le faire, lorsque nous avons parlé avec ta mère, je lui ai promis de t’en parler.
• Merci, j’ai trouvé un travail sur les Champs Élysée jusqu’en Mars, si vous voulez, je peux vous aider financièrement.
• Évite de me provoquer, ici, il est sûr que mon fils sera toujours le bienvenu sans pour autant me donner un sous comme tu dis pour nous aider, c’est une insulte à ma fonction de chef de famille.
Il se lève de table et part se préparer, dix minutes et sans un mot de plus, il est parti.
Pendant tout ce temps ma mère elle aussi s’est tue !
Je la regarde et son sourire en coin en dit long sur son implication dans le calme que mon père a affiché ce soir.
• Christophe, tu as compris, il y a deux jours j’ai eu une discussion assez musclée avec ton père sur ta situation.
• Et si c’était musclé, ça a dégénéré !
• Plutôt regarde les rideaux neufs !
• Qu’est-ce qu’ils ont à voir ?
• Je me suis énervée, la seule chose que j’avais dans les mains s’était la bouteille d’huile que je venais d’ouvrir.
Sans me rendre compte de ce que je faisais, je lui ai envoyé au visage.
Il l’a dévié de la main et elle est venue s’éclater sur la fenêtre.
• C’est malin !
• Oui nous avons mis deux heures à tout nettoyer et nous n’avons pas pu dîner, mais ma colère l’avait calmé !
• Vous étiez trop fatigué !
• Non j’étais en manque d’huile et pour le repas il m’en fallait !
Nous avons éclaté de rire.
• Et comment est-il arrivé à ce changement d’avis ?
• Comme d’habitude après deux jours sans nous parler, il est revenu et m’a présenté les choses comme c’était lui qui en avait eu l’idée.
C’est bien pour toi, mais moi je suis à la limite de la rupture.
J’attends un signe du destin pour le quitter.
• Par moments je te comprends, c’est dur de vivre avec un hypernerveux qui s’enflamme pour un rien.
• Et toi où en es-tu, tu as parlé d’un travail ?
Je lui explique le changement sans lui dire que je dois accompagner des dames chez elles et plus si affinités.
Elle est enchantée de cette évolution.
• As-tu su qu’Isis était en train de divorcer ?
• Isis la femme du joaillier ?
• Oui.
Isis est une femme magnifique d’une quarantaine d’années qui a un fils prénommé Amon de mon âge et qui habite à deux cents mètres sur les bords de marne.
Contrairement à moi, c’est une tronche et il fait des études en fac pour être chirurgien.
• Pourquoi, elle semblait aimer son mari et financièrement elle était tranquille ?
• Les situations dans les familles sont loin d’être ceux qui nous sont montrés.
Un jour qu’Amon rentrait chez ses parents rejoindre sa fiancée, lorsqu’il est entré dans la salle, son père la baisait sur la table de la salle à manger.
Ils en sont venus aux mains.
La jeune fille a pris peur et a appelé la police.
Ils sont intervenus et à la suite de ce scandale Iris a demandé le divorcé.
Grand seigneur, son mari a pris tous à sa charge et lui laisse une pension lui permettant de vivre sans aucun problème avec en prime le pavillon.
• Là vois-tu toujours ?
• Tous les jours en l’absence de ton père, je vais chez elle lorsqu’il dort, inutile de te faire un dessin !
• Soyez heureuse.
Ma mère en est restée là dans ses confidences sur sa vie avec Isis.
Un jour où comme c’était fréquent avec mon père sans en arriver à faire éclater une bouteille d’huile, je l’avais entendu parler de sa relation avec une femme avant son mariage.
Maman aime les femmes ce qui lui ouvre des perspectives sur son avenir avec Isis.
Je l’embrasse et je retourne retrouver Malaurie.
Lorsque j’arrive, c’est le drame, mon amie est en pleurs.
• Qu’est-ce qui t’arrive ma petite chérie ?
Elle est dans l’impossibilité de parler.
• Dit-moi mon cœur, je peux tout entendre !
• Je suis muté à Dijon.
• Sans ton accord ?
• Si, avant de te connaître, j’avais demandé ma mutation pour me rapprocher de ma famille
• Si cela a marché, c’est parfait pour toi.
• Oui mais toi ?
• Depuis le début tu sais que je te quitterais pour partir dans la marine, je suis triste de perdre ces trois mois avec toi mais je te promets de venir te voir lors d’une de mes permissions.
Si là-bas, tu rencontres un garçon ayant les mêmes valeurs que toi, je serais content de savoir que tu as trouvé l’amour.
Après nous être préparé pour la nuit, nous nous couchons dans les bras l’un de l’autre, quelle journée de fou, je tombe dans les limbes en quelques secondes.
Dans la nuit je l’entends pleurer, je l’embrasse et je lui ai fait l’amour gentiment.
Elle a eu une petite jouissance et pour la première fois j’ai pu passer la nuit au sec, sa chatte a évité de nous arroser.
Au matin elle est partie, j’ai fait semblant de dormir ne voulant pas qu’elle parte les yeux mouillés.
Aussitôt je suis debout. Ce matin j’ai donné rendez-vous à Fatou et je tiens à honorer ma promesse...
Voilà, le chapitre X est prêt à être diffusé chez HDS.
La suite est déjà écrite, il faut simplement que je la remette en forme.
Christophe, Malaurie, Chantal et Christine ma nouvelle patronne vont revenir bien vite.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis content que ça plaise, surtout qu'il va y avoir des rebondissements
Le chapitre suivant pour 5 chapitres le chapitre 11 sera sur écran le 14/11/2024
J'ai déjà remis en forme jusqu'au chapitre 32 ça suivra dans un même rythme.
Merci Chris71
Le chapitre suivant pour 5 chapitres le chapitre 11 sera sur écran le 14/11/2024
J'ai déjà remis en forme jusqu'au chapitre 32 ça suivra dans un même rythme.
Merci Chris71
A quand la suite
Quel plaisir de lire tes histoires mon cher Chris...
Cyrille
Cyrille
vivement la suite, c'est sympa a lire