COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (11/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (11/15)
Chapitres 11 à 15, ils sont prêts et je vous les confis, bonne lecture.
Rappelons un peu où j’en suis dans ma jeune vie.
Un copain est venu chez mes parents avec un pompon sur la tête, il s’engageait dans la marine.
Cancre à l’école, sauf l’anglais, langue pour laquelle j’avais de l’affection et où je brillais.
Est-ce pour ça que je décidais de porter, moi aussi, un pompon en m’engageant à mon tour dans la marine nationale.
À la limite d’âge le plus bas pour m’engager en septembre, les bureaux parisiens de la marine m’ont fait savoir que je serais pris au mois de mars.
Aux apprentis mécaniciens de Toulon il y avait deux entrées tous les six mois.
Étant un jeune coq, je rentrais fréquemment en conflit avec le coq principal de notre basse-cour familiale, ce qui fut le cas, car le coq a voulu que je reste au collège jusqu’à quelques jours de prendre mon envol.
Il m’a rendu un seul service, je séduis ma prof d’anglais jeune femme de vingt-six ans étant vierge à son âge.
J’avais eu la chance de me faire dépuceler par Chantal lors de vacances dans le Doubs ce qui me donnait un avantage sur le reste des jeunes puceaux de mon collège.
Je sais collège, je suis un cancre donc e retard ayant redoublé.
Chantal, je retrouve même la jeune femme dans un immeuble de Paris, elle se fait appeler maîtresse Chantal gérant de main de maître des personnalités aimant être dominé.
Pour passer un grand moment avec Malaurie, je sèche les cours et je me fais mettre à pied pour trois jours.
Décision conne du proviseur, je sèche et il me met à pied pour mon plus grand plaisir ce qui me permet de rencontrer Fatou à qui je donne rendez-vous aujourd’hui.
Je suis dans le bus qui me conduit près de chez Fatou.
Lorsque j’arrive, la porte est ouverte, j’entre avec un peu d’inquiétude.
Rien à craindre, elle est dans la salle, c’est l’heure de la tétée.
Sa fille pompe goulûment pour boire le lait maternel.
Je m’approche et lui tends mes lèvres, elle les accepte.
Sa fille me regarde avec ses gros yeux de bébé, mais sans arrêter de téter.
• Attends, je termine avec bébé et je suis à toi !
J’espère bien qu’elle soit à moi, je n’ai pas fait tout ce chemin pour rien.
Elle lui fait faire son rot et elle couche la petite dans son lit.
• Viens dans la chambre, j’ai bien aimé faire cela dans notre lit la dernière fois.
• Fatou, tu es là, c’est que cela a marché avec ton mari, il a accepté de t’honorer !
• Oui il a été étonné quand il a ouvert la porte et qu’il m’a vu dans la position où tu m’avais ordonnée de me mettre, nous avons baisé toute la soirée.
Je la pousse sur le lit, en tombant, elle enlève le voile noué autour de ses formes généreuses.
• Bouffe-moi la chatte, j’aime comme tu me la suce.
Il ne faut pas me le dire deux fois, ma bouche est sur sa fente et je lape cette faille tellement elle est longue et large.
Je la broute depuis quelques secondes lorsque je sens un doigt sur ma rosette.
Je me relève d’un coup et tombe sur mon séant pour me protéger.
Derrière moi, est entré un immense monsieur aussi noir que Fatou.
• Christophe je crois que c’est comme cela que vous vous appelez !
Tremblant me demandant ce qui allait m’arriver, je bredouille une réponse.
• Ouiii, monsieur !
Ce n’est pas un ouiii de jouissance, mais un ouiii de peur.
• Je vois que vous tremblez, n’ayez pas peur, vous ne craignez rien.
J’ai seulement voulu te faire un peu peur, je suis là pour te remercier !
• Pourquoi ?
• J’aurais dû me rendre compte de la chance d’avoir une femme comme Fatou qui était partante pour que notre couple évolue dans tous les sens du terme.
• Que veux-tu ?
Je me détends un peu, la façon de me tutoyer apaise un peu la tension qui s’était faite lorsque cet homme m’a touché l’anus.
• Je veux que nous fassions l’amour tous les deux à ma femme.
J’ai ce fantasme depuis que je la connais mais je n’ai pas trouvé de partenaire qui méritait de réalisé ce phantasme avec moi.
• Si Fatou est d’accord je veux bien le réaliser.
• Alors si Fatou est d’accord elle aussi, je pourrais être partant !
Je les sens emprunter, je prends les choses en main.
• Ta proposition est tentante, j’ignore ton nom mon camarade !
• Adama.
• Dis-moi lequel côté de ta femme veux-tu pénétrer devant ou derrière ?
• J’ai tellement attendu, tu dois penser ce que je veux, hier à mon retour ça a été la première fois.
• Alors déshabille-toi, couche-toi sur le lit.
Il s’exécute, lorsque je vois le gourdin d’Adama, je comprends que sa femme a hésité à le recevoir dans son séant, il s’allonge.
• Fatou rigidifie lui sa queue, suce le.
• Merci Christophe, de me demander mon avis, mais là, je dois dire mon accord, j’ai trop souffert d’être une quantité négligeable dans notre couple, hélas, comme trop souvent dans les couples africains.
• Fatou, tu connais notre éducation dans notre pays, il est difficile de gommer des siècles de domination masculine.
Après cet échange, sa compagne s’exécute.
• Fatou, met toi à cheval au-dessus de lui.
Je guide le couple et je vais même jusqu'à saisir le membre d’Adama pour le placer sur la rosette de Fatou.
• Ma grande, il est en place, descends doucement jusqu'à ce que tu sentes que le pieu de ton mari est bien enfoncé.
Comme demandé, elle fait glisser la tige en elle.
Il reste une grande partie à faire entrer qu’elle couine déjà.
Lorsque je l’ai conseillé de se faire enculer, j’ignorais qu’Adama était aussi bien monté.
Dans sa position son vagin est exceptionnellement ouvert et va me permettre de la prendre sans risque d’avoir du mal à la pénétrer.
Je me place et comme je le pensais, je suis au fond de cette magnifique femelle noire.
Tout le long de la pénétration, je sens la verge d’Adama à travers la fine paroi qui nous sépare.
La dame apprécie le traitement et nous le dit, je devrais dire elle nous le chante.
• Adama, je t’aime, merci, merci, sama jalla, sama yalla !
Avant de s’écrouler dans les bras d’Adama qui lui remplit entièrement son fondement, je le sais car je sens les giclées au travers de cette paroi qui me semble si fine et dont j’ignore si elle a un nom ?
Une fois de plus, je suis sauvé par le bébé qui pleure sa mère.
Je vais dans la salle de bain et je prends une douche.
Je salue mes amis et je me retrouve dans le bus.
J’ai besoin de me moucher, je mets ma main à ma poche, un papier s’y trouve que je sors.
Au stylo une main a écrit « merci por ma salope. »
Adama a dû l’écrire très vite pendant que je me douchais, car le « por » qui devrait être un « pour. »
Quelle ironie, moi le cancre en orthographe, jamais plus que « 0 » à chaque dictée tout au long de ma scolarité, je trouve les erreurs d’écriture d’un homme parlant à peine le Français.
Je retourne chez Malaurie et je fais une sieste pour récupérer, je suis très étonné d’entendre la porte s’ouvrir, ma belle salope, encore une autre, me saute dessus.
• Tu es resté là à m’attendre mon chéri.
J’ai une bonne nouvelle, dès ce matin mon remplaçant est arrivé.
Je n’ai pas besoin d’aller au collège avant mon départ mardi matin, je suis toute à toi.
Vendredi j’ai promis à Christine de venir, j’ai une idée.
• Puis-je me servir de ton téléphone ?
• Inutile de me demander, il est là à ta disposition.
Je compose le numéro de Chantal qui décroche.
• Chantal c’est Christophe !
• …………….
• Je t’ai parlé de mon amie !
• …………….
• Oui, s’est-elle.
• ……………..
• Tu peux nous recevoir cette après-midi, je vais te la présenter !
• ……………
• À tout à l’heure, le temps de venir, bises Chantal !
Mon cœur, habile toi comme l’autre jour lorsque Samy t’a fait tapiner au bois de Vincennes.
Je vais te présenter Chantal, la jeune femme qui m’a dépucelé et que grâce à qui, je t’ai fait très bien l’amour.
Tu vas impressionner ma copine dans cette tenue, elle nous attend et tu vas être surprise.
Si tout se passe comme je le pressens, surtout lorsque je vois le collier autour de son cou, elle risque d’avoir une grande surprise...
Rappelons un peu où j’en suis dans ma jeune vie.
Un copain est venu chez mes parents avec un pompon sur la tête, il s’engageait dans la marine.
Cancre à l’école, sauf l’anglais, langue pour laquelle j’avais de l’affection et où je brillais.
Est-ce pour ça que je décidais de porter, moi aussi, un pompon en m’engageant à mon tour dans la marine nationale.
À la limite d’âge le plus bas pour m’engager en septembre, les bureaux parisiens de la marine m’ont fait savoir que je serais pris au mois de mars.
Aux apprentis mécaniciens de Toulon il y avait deux entrées tous les six mois.
Étant un jeune coq, je rentrais fréquemment en conflit avec le coq principal de notre basse-cour familiale, ce qui fut le cas, car le coq a voulu que je reste au collège jusqu’à quelques jours de prendre mon envol.
Il m’a rendu un seul service, je séduis ma prof d’anglais jeune femme de vingt-six ans étant vierge à son âge.
J’avais eu la chance de me faire dépuceler par Chantal lors de vacances dans le Doubs ce qui me donnait un avantage sur le reste des jeunes puceaux de mon collège.
Je sais collège, je suis un cancre donc e retard ayant redoublé.
Chantal, je retrouve même la jeune femme dans un immeuble de Paris, elle se fait appeler maîtresse Chantal gérant de main de maître des personnalités aimant être dominé.
Pour passer un grand moment avec Malaurie, je sèche les cours et je me fais mettre à pied pour trois jours.
Décision conne du proviseur, je sèche et il me met à pied pour mon plus grand plaisir ce qui me permet de rencontrer Fatou à qui je donne rendez-vous aujourd’hui.
Je suis dans le bus qui me conduit près de chez Fatou.
Lorsque j’arrive, la porte est ouverte, j’entre avec un peu d’inquiétude.
Rien à craindre, elle est dans la salle, c’est l’heure de la tétée.
Sa fille pompe goulûment pour boire le lait maternel.
Je m’approche et lui tends mes lèvres, elle les accepte.
Sa fille me regarde avec ses gros yeux de bébé, mais sans arrêter de téter.
• Attends, je termine avec bébé et je suis à toi !
J’espère bien qu’elle soit à moi, je n’ai pas fait tout ce chemin pour rien.
Elle lui fait faire son rot et elle couche la petite dans son lit.
• Viens dans la chambre, j’ai bien aimé faire cela dans notre lit la dernière fois.
• Fatou, tu es là, c’est que cela a marché avec ton mari, il a accepté de t’honorer !
• Oui il a été étonné quand il a ouvert la porte et qu’il m’a vu dans la position où tu m’avais ordonnée de me mettre, nous avons baisé toute la soirée.
Je la pousse sur le lit, en tombant, elle enlève le voile noué autour de ses formes généreuses.
• Bouffe-moi la chatte, j’aime comme tu me la suce.
Il ne faut pas me le dire deux fois, ma bouche est sur sa fente et je lape cette faille tellement elle est longue et large.
Je la broute depuis quelques secondes lorsque je sens un doigt sur ma rosette.
Je me relève d’un coup et tombe sur mon séant pour me protéger.
Derrière moi, est entré un immense monsieur aussi noir que Fatou.
• Christophe je crois que c’est comme cela que vous vous appelez !
Tremblant me demandant ce qui allait m’arriver, je bredouille une réponse.
• Ouiii, monsieur !
Ce n’est pas un ouiii de jouissance, mais un ouiii de peur.
• Je vois que vous tremblez, n’ayez pas peur, vous ne craignez rien.
J’ai seulement voulu te faire un peu peur, je suis là pour te remercier !
• Pourquoi ?
• J’aurais dû me rendre compte de la chance d’avoir une femme comme Fatou qui était partante pour que notre couple évolue dans tous les sens du terme.
• Que veux-tu ?
Je me détends un peu, la façon de me tutoyer apaise un peu la tension qui s’était faite lorsque cet homme m’a touché l’anus.
• Je veux que nous fassions l’amour tous les deux à ma femme.
J’ai ce fantasme depuis que je la connais mais je n’ai pas trouvé de partenaire qui méritait de réalisé ce phantasme avec moi.
• Si Fatou est d’accord je veux bien le réaliser.
• Alors si Fatou est d’accord elle aussi, je pourrais être partant !
Je les sens emprunter, je prends les choses en main.
• Ta proposition est tentante, j’ignore ton nom mon camarade !
• Adama.
• Dis-moi lequel côté de ta femme veux-tu pénétrer devant ou derrière ?
• J’ai tellement attendu, tu dois penser ce que je veux, hier à mon retour ça a été la première fois.
• Alors déshabille-toi, couche-toi sur le lit.
Il s’exécute, lorsque je vois le gourdin d’Adama, je comprends que sa femme a hésité à le recevoir dans son séant, il s’allonge.
• Fatou rigidifie lui sa queue, suce le.
• Merci Christophe, de me demander mon avis, mais là, je dois dire mon accord, j’ai trop souffert d’être une quantité négligeable dans notre couple, hélas, comme trop souvent dans les couples africains.
• Fatou, tu connais notre éducation dans notre pays, il est difficile de gommer des siècles de domination masculine.
Après cet échange, sa compagne s’exécute.
• Fatou, met toi à cheval au-dessus de lui.
Je guide le couple et je vais même jusqu'à saisir le membre d’Adama pour le placer sur la rosette de Fatou.
• Ma grande, il est en place, descends doucement jusqu'à ce que tu sentes que le pieu de ton mari est bien enfoncé.
Comme demandé, elle fait glisser la tige en elle.
Il reste une grande partie à faire entrer qu’elle couine déjà.
Lorsque je l’ai conseillé de se faire enculer, j’ignorais qu’Adama était aussi bien monté.
Dans sa position son vagin est exceptionnellement ouvert et va me permettre de la prendre sans risque d’avoir du mal à la pénétrer.
Je me place et comme je le pensais, je suis au fond de cette magnifique femelle noire.
Tout le long de la pénétration, je sens la verge d’Adama à travers la fine paroi qui nous sépare.
La dame apprécie le traitement et nous le dit, je devrais dire elle nous le chante.
• Adama, je t’aime, merci, merci, sama jalla, sama yalla !
Avant de s’écrouler dans les bras d’Adama qui lui remplit entièrement son fondement, je le sais car je sens les giclées au travers de cette paroi qui me semble si fine et dont j’ignore si elle a un nom ?
Une fois de plus, je suis sauvé par le bébé qui pleure sa mère.
Je vais dans la salle de bain et je prends une douche.
Je salue mes amis et je me retrouve dans le bus.
J’ai besoin de me moucher, je mets ma main à ma poche, un papier s’y trouve que je sors.
Au stylo une main a écrit « merci por ma salope. »
Adama a dû l’écrire très vite pendant que je me douchais, car le « por » qui devrait être un « pour. »
Quelle ironie, moi le cancre en orthographe, jamais plus que « 0 » à chaque dictée tout au long de ma scolarité, je trouve les erreurs d’écriture d’un homme parlant à peine le Français.
Je retourne chez Malaurie et je fais une sieste pour récupérer, je suis très étonné d’entendre la porte s’ouvrir, ma belle salope, encore une autre, me saute dessus.
• Tu es resté là à m’attendre mon chéri.
J’ai une bonne nouvelle, dès ce matin mon remplaçant est arrivé.
Je n’ai pas besoin d’aller au collège avant mon départ mardi matin, je suis toute à toi.
Vendredi j’ai promis à Christine de venir, j’ai une idée.
• Puis-je me servir de ton téléphone ?
• Inutile de me demander, il est là à ta disposition.
Je compose le numéro de Chantal qui décroche.
• Chantal c’est Christophe !
• …………….
• Je t’ai parlé de mon amie !
• …………….
• Oui, s’est-elle.
• ……………..
• Tu peux nous recevoir cette après-midi, je vais te la présenter !
• ……………
• À tout à l’heure, le temps de venir, bises Chantal !
Mon cœur, habile toi comme l’autre jour lorsque Samy t’a fait tapiner au bois de Vincennes.
Je vais te présenter Chantal, la jeune femme qui m’a dépucelé et que grâce à qui, je t’ai fait très bien l’amour.
Tu vas impressionner ma copine dans cette tenue, elle nous attend et tu vas être surprise.
Si tout se passe comme je le pressens, surtout lorsque je vois le collier autour de son cou, elle risque d’avoir une grande surprise...
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