COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (12/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (12/15)
Il est temps de présenter Malaurie à maîtresse Chantal.
J’en ai fait assez ma soumise pour la conduire Boulevard de Strasbourg.
Malaurie m’embrasse et part se préparer.
Je récupère son collier que je vais lui mettre, sans lui dire, je mets sa laisse dans ma poche.
Elle me tend sa bouche que j’ai plaisir à dévorer.
Cinq minutes après elle arrive dans la salle aussi belle dans sa tenue.
Il fait froid aujourd’hui elle met sa fourrure.
Nous prenons le RER, dès que les portes automatiques sont refermées, je sors la laisse et lui demande de me présenter son cou.
J’ai attendu d’être dans le RER pour éviter de croiser des personnes que Malaurie pourrait connaitre au collège ou dans son quartier.
Hommes et femmes admirent ma compagne, mais sont fortement étonnés de voir qu’au collier de chien qu’elle porte, j’attache au mousqueton une laisse de même couleur.
« C’est un bizutage pour l’entrée dans une grande école !!! »
Moi le cancre, entendre parler de grandes écoles, ça me fait doucement bander, bien que ce soit la vision de la soumission de mon amie qui a le plaisir de faire démarrer ma verge.
Il y a aussi en 1967 des féministes dans ces RER, elles sont deux et doivent avoir plus de soixante ans.
« Comment une femme peut accepter d’être traitée comme un objet, mais que fait la police ? »
Un couple, assis près de nous, l’homme la quarantaine fait une suggestion à sa femme.
« Chérie, aimerais-tu que je t’en offre un en bleu ta couleur préférée ? »
« Tu fais ça et je te coupe les couilles, obsédé ! »
Malaurie me parle à l’oreille.
• Tu ne peux pas savoir comme je mouille à voir ces hommes baver devant moi. J’espère que nous allons bien nous amuser avec ta copine.
Je rigole intérieurement, j’ai une légère idée de ce qui va lui arriver.
Nous arrivons et je la fais monter par la partie professionnelle, comme Chantal me l’a suggérée.
Lorsque je sonne deux minutes et Chantal m’ouvre en tenue de travail, fouet d’écuyère en main.
Je regarde Malaurie qui semble subjuguée par Chantal.
• Bonjour Christophe, voilà ta soumise ?
• Chantal, prend la laisse de Malaurie, elle a pris le métro avec son collier et sa laisse pour te montrer qu’elle est une parfaite soumise.
Si tu es d’accord et si tu as le temps, Malaurie est à toi jusqu’à dimanche en fin d’après-midi !
Pas de problème, je suis sûr que l’on va bien s’entendre ta petite chienne et moi, pas vrai ma beauté.
Cette phrase s’accompagne d’un petit coup de fouet sur ses fesses peut protéger et en plus en lui tirant sur la laisse, pour lui montrer qui à partir de ce moment est sa nouvelle maîtresse.
• Christophe, pourquoi m’abandonnes-tu jusqu’à dimanche, tu vas me manquer ?
Un petit coup sur la laisse.
• Tu as raison, je serais avec ton amie, mais c’est dur de te voir me quitter
• Viens, à partir de maintenant moi seule est droit de vie ou de mort sur toi petite chienne.
Je n’ai pas le temps de l’embrassé qu’elle la fait entrer dans une cabine avant sa salle de travail.
En ressortant, je me dirige vers les Champs-Élysées en me baladant et en sifflotant.
Je rejoins la boutique de Christine qui lorsqu’elle me voit, me montre son enchantement que je sois passé la voir.
Je reste avec les deux filles jusqu’à la fermeture.
• Toujours d’accord pour vendredi ?
• Oui, dès neuf heures, mes parents m’ont appris la ponctualité !
J’aimerais avoir des nouvelles de Malaurie, je passe plusieurs fois devant l’immeuble mais n’ose entrer de peur de gêner Chantal.
Je mange un morceau et je repars vers chez mes parents.
Lorsque j’arrive, aucune lumière, les volets sont fermés, j’entre avec mes clefs, à cette heure, mon père est parti à son travail.
Je me doute où ma mère peut se trouver, sur la table une feuille « je te quitte, nos avocats se mettront en contact. »
Je ressors voulant éviter d’être là lorsqu’il rentrera demain.
Je vais chez Malaurie seul endroit où un lit peut me recevoir.
J’aurais bien la solution Fatou, mais je pense que le couple a besoin de moments d’intimité pour découvrir leurs nouveaux jeux sexuels.
De plus, ils habitent sur le plateau et le coin est plutôt mal famé pour un garçon comme moi.
Vers neuf heures, ayant peu dormi, j’ai pensé au sévice que ma petite maîtresse doit subir sous la spatule des cravaches de maîtresse Chantal.
Je remonte les bords de marne et lorsque je passe devant le pavillon d’Isis, ma mère monte dans la voiture de son amie après avoir fermé le portail en fer.
Me voyant, elle en ressort et me prend dans ses bras.
• J’ai quitté ton père, avec Isis nous allons chez son avocat qui va s’occuper de mon divorce !
• Je le sais, je suis passé hier soir et j’ai vu ton mot.
• Tu as couché chez nous !
• Pas fou je ne souhaitais pas être là quand il rentrerait.
Isis derrière son volant me regarde, elle ouvre sa fenêtre.
• Ma chérie, dépêche-toi, nous allons louper notre rendez-vous et nous serions en retard pour partir dans ma maison en Camargue.
Nous voulons éviter que ton père ne nous trouve, il sait qu’il y a quelque chose entre nous et il débarquera immédiatement chez moi.
• Vous avez raison, filé vite et soyez heureuse, je vais assumer lorsqu’il se sera calmé après le moment de colère qu’inévitablement il va avoir.
Maman me prend dans ses bras, ça fait chaud au cœur de sentir, son bonheur, elle qui ces derniers temps était si malheureuse.
• Isis, donne à mon fils ton numéro de téléphone en Camargue qu’il puisse m’appeler !
Le papier dans la poche, je les regarde partir, je me dépêche de m’éloigner.
Je retourne vers Paris et je retourne chez Christine, seul havre de paix dans ce monde rempli de brut.
• J’aimerais acheter des vêtements avec l’argent que tu m’as déjà fait gagner pour être nickel demain.
Christine appelle Amélie pour lui dire de tenir la boutique avant de la fermer et que nous nous absentons jusqu’au lendemain matin.
Nous prenons un taxi qui nous conduit dans le marais.
Christine me fait connaître des boutiques branchées dont certaines sont tenues par des hommes qui ont tendance à me frôler d’assez près.
Ce qu’il y a d’agréable avec eux c’est que dès qu’ils comprennent que vous êtes loin d’être intéressé, vous devenez les meilleurs amis au monde.
Chaque fois nous sortons des boutiques les mains dans les poches.
Christine se fait livrer avant ce soir, sa gouvernante les recevra.
Dans aucune des boutiques, elle me propose de sortir mon argent.
À midi nous mangeons dans un bouchon, assez nombreux dans ce quartier.
J’ai vu un reportage sur ceux de Lyon, très célèbres avec leurs œufs en meurette et leur saucisson de Lyon.
J’aime beaucoup ce petit bistrot avec peu de tables mais un cadre et un patron haut en couleur.
• Tu vois Christophe, je t’ai emmené au Fouquet’s l’autre jour, pour tester ton savoir-vivre et un peu plus tu dois en convenir.
J’y vais de temps en temps surtout dans le cadre de mon travail.
Ma condition modeste au départ du à ma naissance me pousse plutôt vers ces petits coins pittoresques.
Je croyais les bouchons lyonnais !
Je fais mon intéressant, le mec qui sait, mais heureusement qu’il y a la télé, nationale 7 qui part de Paris à Sète, merci monsieur Trenet.
• Oui à la base, mais des restaurants comme celui-ci tout en longueur et peu large, portent ce nom qui est descendu dans le vocabulaire commun.
• J’ai l’impression que tu aimes ce quartier et que tu y aies connu !
Elle éclate de rire, qui en passant, elle a très joli.
• Je rigole, car j’y habite, je suis un peu chez moi dans ce dédale de petites rues.
Viens, je vais te faire connaître mon univers.
Nous partons à pied et dans une petite rue elle me fait entrer dans un immeuble de trois étages, mais peu large comme les bouchons.
Dès que l’on entre, je comprends pourquoi mon amie habite là !
La pièce qui est devant moi couvre toute la largeur et débouche sur une verrière et un jardin merveilleusement.
De l’extérieur, rien de tout ça n’est visible, même envisageable que cela existe.
Dans un coin le long d’un mur, une fontaine avec son angelot ne déverse pas d’eau, elle est isolée pour l’hiver.
Dans la pièce centrale, un coin cuisine.
Un escalier permet de monter vers les étages, c’est de là que descend une dame d’un certain âge qui doit être la gouvernante...
J’en ai fait assez ma soumise pour la conduire Boulevard de Strasbourg.
Malaurie m’embrasse et part se préparer.
Je récupère son collier que je vais lui mettre, sans lui dire, je mets sa laisse dans ma poche.
Elle me tend sa bouche que j’ai plaisir à dévorer.
Cinq minutes après elle arrive dans la salle aussi belle dans sa tenue.
Il fait froid aujourd’hui elle met sa fourrure.
Nous prenons le RER, dès que les portes automatiques sont refermées, je sors la laisse et lui demande de me présenter son cou.
J’ai attendu d’être dans le RER pour éviter de croiser des personnes que Malaurie pourrait connaitre au collège ou dans son quartier.
Hommes et femmes admirent ma compagne, mais sont fortement étonnés de voir qu’au collier de chien qu’elle porte, j’attache au mousqueton une laisse de même couleur.
« C’est un bizutage pour l’entrée dans une grande école !!! »
Moi le cancre, entendre parler de grandes écoles, ça me fait doucement bander, bien que ce soit la vision de la soumission de mon amie qui a le plaisir de faire démarrer ma verge.
Il y a aussi en 1967 des féministes dans ces RER, elles sont deux et doivent avoir plus de soixante ans.
« Comment une femme peut accepter d’être traitée comme un objet, mais que fait la police ? »
Un couple, assis près de nous, l’homme la quarantaine fait une suggestion à sa femme.
« Chérie, aimerais-tu que je t’en offre un en bleu ta couleur préférée ? »
« Tu fais ça et je te coupe les couilles, obsédé ! »
Malaurie me parle à l’oreille.
• Tu ne peux pas savoir comme je mouille à voir ces hommes baver devant moi. J’espère que nous allons bien nous amuser avec ta copine.
Je rigole intérieurement, j’ai une légère idée de ce qui va lui arriver.
Nous arrivons et je la fais monter par la partie professionnelle, comme Chantal me l’a suggérée.
Lorsque je sonne deux minutes et Chantal m’ouvre en tenue de travail, fouet d’écuyère en main.
Je regarde Malaurie qui semble subjuguée par Chantal.
• Bonjour Christophe, voilà ta soumise ?
• Chantal, prend la laisse de Malaurie, elle a pris le métro avec son collier et sa laisse pour te montrer qu’elle est une parfaite soumise.
Si tu es d’accord et si tu as le temps, Malaurie est à toi jusqu’à dimanche en fin d’après-midi !
Pas de problème, je suis sûr que l’on va bien s’entendre ta petite chienne et moi, pas vrai ma beauté.
Cette phrase s’accompagne d’un petit coup de fouet sur ses fesses peut protéger et en plus en lui tirant sur la laisse, pour lui montrer qui à partir de ce moment est sa nouvelle maîtresse.
• Christophe, pourquoi m’abandonnes-tu jusqu’à dimanche, tu vas me manquer ?
Un petit coup sur la laisse.
• Tu as raison, je serais avec ton amie, mais c’est dur de te voir me quitter
• Viens, à partir de maintenant moi seule est droit de vie ou de mort sur toi petite chienne.
Je n’ai pas le temps de l’embrassé qu’elle la fait entrer dans une cabine avant sa salle de travail.
En ressortant, je me dirige vers les Champs-Élysées en me baladant et en sifflotant.
Je rejoins la boutique de Christine qui lorsqu’elle me voit, me montre son enchantement que je sois passé la voir.
Je reste avec les deux filles jusqu’à la fermeture.
• Toujours d’accord pour vendredi ?
• Oui, dès neuf heures, mes parents m’ont appris la ponctualité !
J’aimerais avoir des nouvelles de Malaurie, je passe plusieurs fois devant l’immeuble mais n’ose entrer de peur de gêner Chantal.
Je mange un morceau et je repars vers chez mes parents.
Lorsque j’arrive, aucune lumière, les volets sont fermés, j’entre avec mes clefs, à cette heure, mon père est parti à son travail.
Je me doute où ma mère peut se trouver, sur la table une feuille « je te quitte, nos avocats se mettront en contact. »
Je ressors voulant éviter d’être là lorsqu’il rentrera demain.
Je vais chez Malaurie seul endroit où un lit peut me recevoir.
J’aurais bien la solution Fatou, mais je pense que le couple a besoin de moments d’intimité pour découvrir leurs nouveaux jeux sexuels.
De plus, ils habitent sur le plateau et le coin est plutôt mal famé pour un garçon comme moi.
Vers neuf heures, ayant peu dormi, j’ai pensé au sévice que ma petite maîtresse doit subir sous la spatule des cravaches de maîtresse Chantal.
Je remonte les bords de marne et lorsque je passe devant le pavillon d’Isis, ma mère monte dans la voiture de son amie après avoir fermé le portail en fer.
Me voyant, elle en ressort et me prend dans ses bras.
• J’ai quitté ton père, avec Isis nous allons chez son avocat qui va s’occuper de mon divorce !
• Je le sais, je suis passé hier soir et j’ai vu ton mot.
• Tu as couché chez nous !
• Pas fou je ne souhaitais pas être là quand il rentrerait.
Isis derrière son volant me regarde, elle ouvre sa fenêtre.
• Ma chérie, dépêche-toi, nous allons louper notre rendez-vous et nous serions en retard pour partir dans ma maison en Camargue.
Nous voulons éviter que ton père ne nous trouve, il sait qu’il y a quelque chose entre nous et il débarquera immédiatement chez moi.
• Vous avez raison, filé vite et soyez heureuse, je vais assumer lorsqu’il se sera calmé après le moment de colère qu’inévitablement il va avoir.
Maman me prend dans ses bras, ça fait chaud au cœur de sentir, son bonheur, elle qui ces derniers temps était si malheureuse.
• Isis, donne à mon fils ton numéro de téléphone en Camargue qu’il puisse m’appeler !
Le papier dans la poche, je les regarde partir, je me dépêche de m’éloigner.
Je retourne vers Paris et je retourne chez Christine, seul havre de paix dans ce monde rempli de brut.
• J’aimerais acheter des vêtements avec l’argent que tu m’as déjà fait gagner pour être nickel demain.
Christine appelle Amélie pour lui dire de tenir la boutique avant de la fermer et que nous nous absentons jusqu’au lendemain matin.
Nous prenons un taxi qui nous conduit dans le marais.
Christine me fait connaître des boutiques branchées dont certaines sont tenues par des hommes qui ont tendance à me frôler d’assez près.
Ce qu’il y a d’agréable avec eux c’est que dès qu’ils comprennent que vous êtes loin d’être intéressé, vous devenez les meilleurs amis au monde.
Chaque fois nous sortons des boutiques les mains dans les poches.
Christine se fait livrer avant ce soir, sa gouvernante les recevra.
Dans aucune des boutiques, elle me propose de sortir mon argent.
À midi nous mangeons dans un bouchon, assez nombreux dans ce quartier.
J’ai vu un reportage sur ceux de Lyon, très célèbres avec leurs œufs en meurette et leur saucisson de Lyon.
J’aime beaucoup ce petit bistrot avec peu de tables mais un cadre et un patron haut en couleur.
• Tu vois Christophe, je t’ai emmené au Fouquet’s l’autre jour, pour tester ton savoir-vivre et un peu plus tu dois en convenir.
J’y vais de temps en temps surtout dans le cadre de mon travail.
Ma condition modeste au départ du à ma naissance me pousse plutôt vers ces petits coins pittoresques.
Je croyais les bouchons lyonnais !
Je fais mon intéressant, le mec qui sait, mais heureusement qu’il y a la télé, nationale 7 qui part de Paris à Sète, merci monsieur Trenet.
• Oui à la base, mais des restaurants comme celui-ci tout en longueur et peu large, portent ce nom qui est descendu dans le vocabulaire commun.
• J’ai l’impression que tu aimes ce quartier et que tu y aies connu !
Elle éclate de rire, qui en passant, elle a très joli.
• Je rigole, car j’y habite, je suis un peu chez moi dans ce dédale de petites rues.
Viens, je vais te faire connaître mon univers.
Nous partons à pied et dans une petite rue elle me fait entrer dans un immeuble de trois étages, mais peu large comme les bouchons.
Dès que l’on entre, je comprends pourquoi mon amie habite là !
La pièce qui est devant moi couvre toute la largeur et débouche sur une verrière et un jardin merveilleusement.
De l’extérieur, rien de tout ça n’est visible, même envisageable que cela existe.
Dans un coin le long d’un mur, une fontaine avec son angelot ne déverse pas d’eau, elle est isolée pour l’hiver.
Dans la pièce centrale, un coin cuisine.
Un escalier permet de monter vers les étages, c’est de là que descend une dame d’un certain âge qui doit être la gouvernante...
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