COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (13/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (13/15)
J’ai pour habitude d’essayer de couper mes chapitres à un moment de rebondissement !
Quelquefois c’est impossible, surtout lorsque je parle d’une vieille dame qui contrairement à d'autres est loin d'être des salopes.
Un escalier permet de monter vers les étages, c’est de là que descend cette dame d’un certain âge qui doit être la gouvernante.
Christine me la présente.
• Madeleine, voici Christophe qui rejoint mon équipe au magasin.
Je vais lui faire visiter, si vous voulez profiter de votre après-midi allé y, nous resterons ici !
• Merci madame, je vais aller faire la surprise à ma sœur.
Elle prend ses affaires et nous quitte.
• Viens Christophe, suis-moi, comme je viens de le dire à Madeleine, je vais te faire visiter.
Nous montons dans les chambres, la sienne est une vraie bonbonnière.
Dans la deuxième, je retrouve une partie des paquets avec mes vêtements qui entre temps ont été livrés et ont été réceptionnés par madame Madeleine.
D’un sac, je sors un pantalon qui dans la boutique me plaisait bien dès que je l’ai vu, il a fallu que je l’achète.
Coupe moderne des années 60 à 70, bien qu’il reste encore trois ans, couleur un peu visible dans les roses fuchsia, mais lorsque l’on aime et que c’est offert contre nature il va de soi pourquoi hésiter.
La vendeuse était bien moins bandante qu’Amélie que nous avons laissé s’occuper de la boutique sur les champs, m’ont fait des compliments sur le style, nouvelle vague du produit.
Je le pose sur le lit et j’ôte ma chemise et mon jean.
C’est en boxer que je subis l’attaque de dame Christine.
Elle se met à genoux devant moi et lèche mon sexe au travers du boxer.
Elle se sert de ses dents pour tirer le rempart qui protège mon beau morceau convoité.
En prononçant les mots « beau morceau, » j’ai l’impression de me vanter, quoi que, toutes les femmes qui s’en sont occupé ont été loin de se plaindre.
Elle tire vers le bas au risque de tout déchirer et fait sortir ma tige.
Ma verge apprécie l’attaque et se présente fièrement prête à honorer la dame.
En vieille salope qu’elle m’a déjà montré être dans le petit salon du Fouquet’s, elle cherche à gagner la guerre en l’avalant entièrement et goulument.
Elle arrive à mettre la main dessus et à me masturber pensant l’arracher à un imaginaire ennemi, qui lui ne se laisse pas faire !
Il relève la dame et la fait battre retraite jusqu’au lit.
La guerre fait rage et le chemisier cède aux sollicitations de mes mains.
Le soutien-gorge craque et meurt au champ d’honneur, il sera inutile à jamais.
Est-ce grave, la boutique lui en fournira un autre comme elle en fournira à mon Anglaise obligée de refaire une partie de sa garde-robe.
Un moment le combat est incertain et peut tourner en faveur de cette dame.
C’est l’attaque de sa jupe qui est à deux doigts de me faire perdre ma guerre.
Ouf, a-t-elle envie de la gagner ?
J’en doute, quand elle se soulève pour que l’assaillant la tire vers le bas.
Il reste un obstacle avant la reddition, la petite culotte !
Un preu chevalier peut-il perdre face à un si petit rempart ?
Impossible !
Arrivé au cœur de la forteresse, il ne me reste plus qu’à planter mon étendard au fond de la belle que je viens de conquérir de haute lutte, qui succombe et se rend sans la moindre condition
Christophe 1er, triomphe une nouvelle fois grâce à sa dague qui va et vient dans cette chatte, dite imprenable et qui chante les louanges de son conquérant.
Lorsqu’une guerre se termine, il n’y a ni vainqueur ni vaincu, juste des combattants dégoulinant de sueur, la chambre étant certainement bien chauffée dans ces vieux immeubles.
C’est par le grand banquet des sens que tous se terminent et les chants qui sortent de nos bouches remplissent la chambre.
Pas de pitié pour ce sexe qui a fait semblant de résister et finissant par aimer se donner.
Plus il est malmené, plus il mouille et plus j’adore les cris poussés par Christine.
Ma patronne et maitresse a bien fait de donner son après-midi à Madeleine, les cris de la dame l’auraient certainement obligée d’appeler la marrer chaussée pour assassinat de sa patronne.
Mieux, elle aurait pu croire que j’égorgeais un goret avant d’en faire du pâté Hénaff, le pâté du mataf.
J’ai vu une pub de ces boîtes à la télé me rappelant que je vais rapidement en devenir un.
Mataf et non pâté.
Au moment de la jouissance que nous atteignons en même temps je reçois la médaille du vainqueur sous la forme d’un baiser à nous couper le souffle.
Après ce fait d’armes, Christine s’écroule sur son lit pour récupérer.
La sonnette de la porte d’entrer se fait entendre, elle fait un mouvement pour se lever.
• Laisse, j’y vais !
Aussitôt je récupère mon boxer et je dévale l’escalier, lorsque j’ouvre la porte je ne m’attends pas à me trouver devant une aussi jeune fille que celle que j’ai devant moi.
• Je viens livrer des affaires pour madame Christine, est-elle là ?
• Oui, vous pouvez entrer !
• Non, monsieur, je suis pressée.
D’un coup je prends conscience de ma semi-nudité et de l’émoi que je dois produire sur cette jeune fille qui ne doit pas être loin d’être une oie blanche.
Je lui prends ses paquets et je la vois détaler sans demander son reste.
Je dépose les quatre sacs de marque près d’un canapé où je m’assoie pour essayer deux trois affaires.
J’enlève mon slip pour en essayer un nouveau dont les motifs mon intéressé.
Le téléphone me rappelle que j’ai lâchement laissé Malaurie chez Chantal pour me libérer de son amour envahissant.
Je récupère le numéro dans mon manteau posé en entrant.
• Chantal, c’est Christophe. Comment va Malaurie ?
• En pleine forme, soit sans crainte, vient dimanche pour 17 heures à mon appartement, tu auras une surprise.
Je te laisse, j’ai un client sur le feu, je pense qu’il est à point, je te laisse, bises.
Elle raccroche, je reste le combiné en main complètement interpellée par ce que ma copine vient de me dire.
Mes yeux se portent sur un livre posé sur un petit guéridon.
Un bandeau rouge m’intrigue.
« Prix Goncourt 1966.
Madame Edmonde Charles-Roux.
Oublier Palerme. »
Il faut reconnaître que de ma vie, je n’ai jamais ouvert un vrai livre.
Je suis le roi de la bande dessinée.
« Tintin au Congo » que je suis capable de réciter par cœur.
« Bicot et les Rantanplan » « Zig et puce » bande dessinée de 1929 hérité de mon père.
Alors le Goncourt est loin de mes lectures habituelles.
Je le prends en main et en fait tomber un morceau de carton.
J’espère que Christine se souvient du chapitre où elle en était, car c’est le marqueur de page qui est tombé.
Instinctivement je lis les premières lignes et rapidement je suis captivé parce que je lis.
Rapidement je finis le premier chapitre.
Je vais attaquer le second lorsque Christine descend m’apparaissant nue.
• Christophe, tu lis le Goncourt !
• Oui, j’ai commencé le début et j’ai été captivé.
• C’est bien de te cultiver, ça te suivra toute ta vie.
Pouvoir soutenir une conversation sur ce livre vendu en grande quantité, fera de toi une personne érudite.
À la vue de son corps ma tige se redresse.
Calme-toi Christophe, la nuit va être longue et demain il faut être en forme pour accompagner les clientes avides de sensations extra conjugales.
• J’ai faim, regardons ce que Madeleine nous a préparé.
Foie gras, demi-langouste et choux à la crème.
Le tout arrosé par une bouteille de bourgogne Mercurey de 1960.
• Aimes-tu le vin ?
• Oui, le gros rouge d’Algérie principalement !
• Oh ! Quelle horreur !
• Chez mon père, dans notre milieu dès l’âge de quatorze ans, j’ai eu droit à moitié vin, moitié eau.
Il m’envoie souvent au super marché chercher six bouteilles dans un cassier en métal.
• Aimes-tu ?
• Il y a 6 mois que je ne bois plus que de l’eau en mangeant.
• Je vais te faire connaître les vins, cela doit faire partie de la culture d’un jeune ayant ton avenir.
J’ouvre la bouteille pendant qu’elle dresse la table.
Sur un meuble je remarque deux chandeliers, je vais en chercher un et le place sur notre table.
Christine ouvre un placard et sort une bouteille avec une drôle de forme, elle verse le bourgogne dedans.
• Je vois tes yeux étonnés, cette bouteille avec une drôle de forme, c’est une bouteille de décantation.
Elle va permettre au vin de s’aérer et donner sa plénitude au vin en faisant ressortir les bouquets.
J’allume les chandelles et j’éteins la lumière.
Nous nous installons, je n’oublie pas de venir avancer sa chaise.
Lorsque je retourne vers la mienne, sa main caresse ma fesse.
Dîner aux chandelles, nu, c’est la première fois que je le fais.
Il est vrai que je me vois mal faire de même chez mes parents et surtout en présence de mes oncles et tantes.
À oui, une exception, Dany ma cousine, elle est plus vieille que moi de deux ans et je me verrai bien m’occuper de ses petits seins tout mignons que j’adore admirer dès qu’elle se penche vers moi...
Quelquefois c’est impossible, surtout lorsque je parle d’une vieille dame qui contrairement à d'autres est loin d'être des salopes.
Un escalier permet de monter vers les étages, c’est de là que descend cette dame d’un certain âge qui doit être la gouvernante.
Christine me la présente.
• Madeleine, voici Christophe qui rejoint mon équipe au magasin.
Je vais lui faire visiter, si vous voulez profiter de votre après-midi allé y, nous resterons ici !
• Merci madame, je vais aller faire la surprise à ma sœur.
Elle prend ses affaires et nous quitte.
• Viens Christophe, suis-moi, comme je viens de le dire à Madeleine, je vais te faire visiter.
Nous montons dans les chambres, la sienne est une vraie bonbonnière.
Dans la deuxième, je retrouve une partie des paquets avec mes vêtements qui entre temps ont été livrés et ont été réceptionnés par madame Madeleine.
D’un sac, je sors un pantalon qui dans la boutique me plaisait bien dès que je l’ai vu, il a fallu que je l’achète.
Coupe moderne des années 60 à 70, bien qu’il reste encore trois ans, couleur un peu visible dans les roses fuchsia, mais lorsque l’on aime et que c’est offert contre nature il va de soi pourquoi hésiter.
La vendeuse était bien moins bandante qu’Amélie que nous avons laissé s’occuper de la boutique sur les champs, m’ont fait des compliments sur le style, nouvelle vague du produit.
Je le pose sur le lit et j’ôte ma chemise et mon jean.
C’est en boxer que je subis l’attaque de dame Christine.
Elle se met à genoux devant moi et lèche mon sexe au travers du boxer.
Elle se sert de ses dents pour tirer le rempart qui protège mon beau morceau convoité.
En prononçant les mots « beau morceau, » j’ai l’impression de me vanter, quoi que, toutes les femmes qui s’en sont occupé ont été loin de se plaindre.
Elle tire vers le bas au risque de tout déchirer et fait sortir ma tige.
Ma verge apprécie l’attaque et se présente fièrement prête à honorer la dame.
En vieille salope qu’elle m’a déjà montré être dans le petit salon du Fouquet’s, elle cherche à gagner la guerre en l’avalant entièrement et goulument.
Elle arrive à mettre la main dessus et à me masturber pensant l’arracher à un imaginaire ennemi, qui lui ne se laisse pas faire !
Il relève la dame et la fait battre retraite jusqu’au lit.
La guerre fait rage et le chemisier cède aux sollicitations de mes mains.
Le soutien-gorge craque et meurt au champ d’honneur, il sera inutile à jamais.
Est-ce grave, la boutique lui en fournira un autre comme elle en fournira à mon Anglaise obligée de refaire une partie de sa garde-robe.
Un moment le combat est incertain et peut tourner en faveur de cette dame.
C’est l’attaque de sa jupe qui est à deux doigts de me faire perdre ma guerre.
Ouf, a-t-elle envie de la gagner ?
J’en doute, quand elle se soulève pour que l’assaillant la tire vers le bas.
Il reste un obstacle avant la reddition, la petite culotte !
Un preu chevalier peut-il perdre face à un si petit rempart ?
Impossible !
Arrivé au cœur de la forteresse, il ne me reste plus qu’à planter mon étendard au fond de la belle que je viens de conquérir de haute lutte, qui succombe et se rend sans la moindre condition
Christophe 1er, triomphe une nouvelle fois grâce à sa dague qui va et vient dans cette chatte, dite imprenable et qui chante les louanges de son conquérant.
Lorsqu’une guerre se termine, il n’y a ni vainqueur ni vaincu, juste des combattants dégoulinant de sueur, la chambre étant certainement bien chauffée dans ces vieux immeubles.
C’est par le grand banquet des sens que tous se terminent et les chants qui sortent de nos bouches remplissent la chambre.
Pas de pitié pour ce sexe qui a fait semblant de résister et finissant par aimer se donner.
Plus il est malmené, plus il mouille et plus j’adore les cris poussés par Christine.
Ma patronne et maitresse a bien fait de donner son après-midi à Madeleine, les cris de la dame l’auraient certainement obligée d’appeler la marrer chaussée pour assassinat de sa patronne.
Mieux, elle aurait pu croire que j’égorgeais un goret avant d’en faire du pâté Hénaff, le pâté du mataf.
J’ai vu une pub de ces boîtes à la télé me rappelant que je vais rapidement en devenir un.
Mataf et non pâté.
Au moment de la jouissance que nous atteignons en même temps je reçois la médaille du vainqueur sous la forme d’un baiser à nous couper le souffle.
Après ce fait d’armes, Christine s’écroule sur son lit pour récupérer.
La sonnette de la porte d’entrer se fait entendre, elle fait un mouvement pour se lever.
• Laisse, j’y vais !
Aussitôt je récupère mon boxer et je dévale l’escalier, lorsque j’ouvre la porte je ne m’attends pas à me trouver devant une aussi jeune fille que celle que j’ai devant moi.
• Je viens livrer des affaires pour madame Christine, est-elle là ?
• Oui, vous pouvez entrer !
• Non, monsieur, je suis pressée.
D’un coup je prends conscience de ma semi-nudité et de l’émoi que je dois produire sur cette jeune fille qui ne doit pas être loin d’être une oie blanche.
Je lui prends ses paquets et je la vois détaler sans demander son reste.
Je dépose les quatre sacs de marque près d’un canapé où je m’assoie pour essayer deux trois affaires.
J’enlève mon slip pour en essayer un nouveau dont les motifs mon intéressé.
Le téléphone me rappelle que j’ai lâchement laissé Malaurie chez Chantal pour me libérer de son amour envahissant.
Je récupère le numéro dans mon manteau posé en entrant.
• Chantal, c’est Christophe. Comment va Malaurie ?
• En pleine forme, soit sans crainte, vient dimanche pour 17 heures à mon appartement, tu auras une surprise.
Je te laisse, j’ai un client sur le feu, je pense qu’il est à point, je te laisse, bises.
Elle raccroche, je reste le combiné en main complètement interpellée par ce que ma copine vient de me dire.
Mes yeux se portent sur un livre posé sur un petit guéridon.
Un bandeau rouge m’intrigue.
« Prix Goncourt 1966.
Madame Edmonde Charles-Roux.
Oublier Palerme. »
Il faut reconnaître que de ma vie, je n’ai jamais ouvert un vrai livre.
Je suis le roi de la bande dessinée.
« Tintin au Congo » que je suis capable de réciter par cœur.
« Bicot et les Rantanplan » « Zig et puce » bande dessinée de 1929 hérité de mon père.
Alors le Goncourt est loin de mes lectures habituelles.
Je le prends en main et en fait tomber un morceau de carton.
J’espère que Christine se souvient du chapitre où elle en était, car c’est le marqueur de page qui est tombé.
Instinctivement je lis les premières lignes et rapidement je suis captivé parce que je lis.
Rapidement je finis le premier chapitre.
Je vais attaquer le second lorsque Christine descend m’apparaissant nue.
• Christophe, tu lis le Goncourt !
• Oui, j’ai commencé le début et j’ai été captivé.
• C’est bien de te cultiver, ça te suivra toute ta vie.
Pouvoir soutenir une conversation sur ce livre vendu en grande quantité, fera de toi une personne érudite.
À la vue de son corps ma tige se redresse.
Calme-toi Christophe, la nuit va être longue et demain il faut être en forme pour accompagner les clientes avides de sensations extra conjugales.
• J’ai faim, regardons ce que Madeleine nous a préparé.
Foie gras, demi-langouste et choux à la crème.
Le tout arrosé par une bouteille de bourgogne Mercurey de 1960.
• Aimes-tu le vin ?
• Oui, le gros rouge d’Algérie principalement !
• Oh ! Quelle horreur !
• Chez mon père, dans notre milieu dès l’âge de quatorze ans, j’ai eu droit à moitié vin, moitié eau.
Il m’envoie souvent au super marché chercher six bouteilles dans un cassier en métal.
• Aimes-tu ?
• Il y a 6 mois que je ne bois plus que de l’eau en mangeant.
• Je vais te faire connaître les vins, cela doit faire partie de la culture d’un jeune ayant ton avenir.
J’ouvre la bouteille pendant qu’elle dresse la table.
Sur un meuble je remarque deux chandeliers, je vais en chercher un et le place sur notre table.
Christine ouvre un placard et sort une bouteille avec une drôle de forme, elle verse le bourgogne dedans.
• Je vois tes yeux étonnés, cette bouteille avec une drôle de forme, c’est une bouteille de décantation.
Elle va permettre au vin de s’aérer et donner sa plénitude au vin en faisant ressortir les bouquets.
J’allume les chandelles et j’éteins la lumière.
Nous nous installons, je n’oublie pas de venir avancer sa chaise.
Lorsque je retourne vers la mienne, sa main caresse ma fesse.
Dîner aux chandelles, nu, c’est la première fois que je le fais.
Il est vrai que je me vois mal faire de même chez mes parents et surtout en présence de mes oncles et tantes.
À oui, une exception, Dany ma cousine, elle est plus vieille que moi de deux ans et je me verrai bien m’occuper de ses petits seins tout mignons que j’adore admirer dès qu’elle se penche vers moi...
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