COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (14/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (14/15)
Dîner aux chandelles, nu, ma maîtresse elle aussi nue, est surprenante dans les circonstances que je vis dès que j’ai fait savoir ma décision de porter le pompon.
Surprenant au début je m’y fais rapidement.
Nous mangeons avec envie, il est vrai que de baiser d’une façon aussi intense ça ouvre l’appétit
Tous est très fin, ça doit venir d’une grande charcuterie.
Le vin porte toute l’attention de Christine.
Elle m’en sert dans un verre très évasé et elle m’apprend à le faire tourner pour l’aérer un peu plus et faire monter les arômes avant de le sentir en approchant son nez sans toucher le verre.
Elle le fait passer devant la flamme d’une bougie.
• Un vin se mire pour regarder sa robe, tu pourras voir des couleurs différentes suivant les cépages.
• Ma chère, j’ignore certains mots que tu emploies, comme un « cépage » !
• C’est le nom des différents types de pieds de vigne cultivés en France pour faire du vin.
• Comment connais-tu tout cela ?
• Mon grand-père avait une exploitation viticole dans le bordelais et j’y ai passé ma jeunesse, c’est lui qui m’a initié, avec lui, j’ai beaucoup appris.
Mais ce nectar des dieux est si vaste, que même les meilleurs sommeliers doivent se former de façon continue.
• Vous avez toujours les vignes de ton grand-père !
• Comment crois-tu que j’ai pu me payer mon magasin sur les champs à Paris
Mon père a refusé de reprendre l’exploitation et nous avons été obligés de la vendre.
Ma chance est qu’il était assez doué pour les affaires et à leurs décès, il m’est resté un joli paquet que j’essaye de faire fructifier.
• Toi aussi tu es douée, avoir une boutique aux Champs c’est énorme.
• Assez de pommades mon chéri, goûte ce vin maintenant, il est prêt à être un velours dans ta bouche !
Je le sens, le mir et j’en prends une gorgée, sans bien comprendre tout ce que je fais, j’ai trop peur de la décevoir et de perdre ce que j’ai acquis grâce à ma queue.
• Laisse-le, s’épanouir dans ta bouche avant de l’avaler.
Je fais ce qu’elle me dit, ce que j’aime c’est le goût fort qui reste dans ma bouche.
C’est tout à fait différent du vin d’Algérie, surtout que je faisais moitié vin et moitié eau.
• Je te ferais apprécier d’autres cépages, j’ai encore quelques bouteilles de mon grand-père dans la cave de cette maison.
Pendant qu’elle débarrasse, je m’installe sur le canapé et allongé, je reprends ma lecture.
Lorsqu’elle a fini, elle vient s’allonger dans mon bras ses seins sur le côté de mon corps.
Je la prends dans mon bras, je continue à lire pendant qu’elle me regarde le visage levé vers moi.
Je commence à bien connaître ce regard de femme amoureuse.
La belle ne reste pas longtemps inactive, sa main vient entourer ma verge et s’amuse avec sans franchement la saisir. Je feins l’indifférent concentré sur ma lecture.
La garce elle a décidé que je m’étais assez cultivé et se détachant de moi elle approche sa bouche de mon sceptre.
J’ai déjà vu des pieds de vigne, c’est un peu bizarre, c’était à Montmartre un jour’ ou avec mes parents nous étions allées visiter le Sacré cœur.
Autant que je m’en souvienne, les pieds étaient noueux, alors que ma jeune verge est très droite.
• Tu es aussi bon que le chou à la crème que nous avons mangé tout à l’heure.
Les lignes se mélangent, mais je veux voir jusqu’à ou elle va aller.
Quand elle décide qu’elle a assez sucé son dessert elle se relève et face à moi elle s’empale sur ma banane !
Oui, une banane est recourbée alors que je viens de dire que ma bite est rectiligne !
Il est vrai qu’elle a tendance à avoir une certaine courbe.
Je ne peux plus lire le moindre mot tellement je suis obligé de me concentrer pour ne pas envoyer la crème que mes couilles fabriquent au fond de sa vulve.
Elle se pénètre de plus en plus fort et de plus en plus vite sur la verge qui la cloue.
J’ai beau avoir de la résistance une fois de plus, je calle et je l’inonde simultanément à son énorme jouissance.
Elle s’écroule sur mon ventre et ma poitrine, je peux reprendre ma lecture et finir le deuxième chapitre.
Je repose le livre sur le dossier du canapé, j’aimerais me dégager car la nature à ses besoins, elle doit le sentir en se redressant.
• Je vais me doucher et me coucher demain 7 heures debout, j’ai une patronne intransigeante sur les horaires, si tu la connaissais, tu éviterais tout retard.
• Je te suis, moi aussi je suis morte et la mienne est aussi chiante que la tienne.
Nous nous séparons en rigolant, je me douche seul craignant des remakes de la scène du canapé.
Lorsqu’elle me rejoint, une femme ayant besoin de la salle de bains plus longtemps, je suis déjà endormi.
Elle se couche le long de mon corps faisant attention d’éviter de me réveiller.
Le lendemain matin, c’est une bonne odeur de café que je sens lorsque le réveil que Christine a mis, se déclenche.
Comme elle se réveille comme moi, c’est une tierce personne qui doit avoir tout préparé.
Je récupère un slip dans un des paquets et je descends jusqu’à la salle, Christine se dirigeant vers la salle d’eau.
• Bonjour madame Madeleine, vous êtes déjà au travail.
• Oui et je vous remercie d’être venu avec ma patronne, ma sœur a été contente de me voir, nous avons passé la fin d’après-midi ensemble.
Café ou thé, madame c’est un thé.
Le thé, beurk, de l’eau chaude que ma grand-mère nous faisait boire les dimanches alors que nous venions regarder le sport dimanche à la télé.
Roger Couderc, « allée les petits, » phrase qui je le pense restera célèbre.
Raymond Marcillac et d’autres, dont j’ai oublié les noms, c’était un moment divin moi qui le reste de mon temps comme je l’ai dit, j’étais un cancre.
• Monsieur, vous pouvez prendre des croissants avec votre café, je les achète à la boulangerie sur mon chemin, ils sont tout chauds.
• Madame Madeleine, vous me gênez avec votre « monsieur, » appelé moi Christophe, c’est le nom que ma maman m’a donné.
Des croissants, chaud, je rentre de plain-pied dans le monde de l’opulence.
Attention à la maison, je manque de rien, mais au petit déjeuner, c’est un bol de lait sucré avec deux tartines de pain rassit.
Le pain, c’est moi qui vais le chercher à la boulangerie, il m’en fait acheter quatre, des gros pains, afin que lorsque nous les mangeons avec maman ils soient durs car nous en mangeons moins.
Une fois près, Christine arrive coiffée et maquillée, nous sortons et nous arrivons à la boutique dans le taxi qui vient chercher Christine tous les matins et la ramener le soir.
Un mot résonne dans ma tête « mignonne, » c’est le mot que Christine m’a dit lorsqu’elle m’a demandé d’être là ce matin.
À partir de 9 heures, je guette la porte, un taxi s’arrête et une jeune femme récupère un fauteuil roulant dans lequel elle se glisse à la force de ses bras.
Elle fait rouler le siège jusqu’à la boutique où Christine lui ouvre la porte.
Amélie arrive aussi et les deux femmes embrassent la nouvelle venue.
La poupée, car c’est une vraie poupée que j’ai devant les yeux faits avancer le fauteuil afin de dégager la porte.
• Marraine, tu m’as demandé de venir voir ta nouvelle collection ce matin.
J’espère qu’elle va me plaire, car j’ai déplacé un rendez-vous important pour venir la voir.
• Je m’excuse si j’ai bouleversé ton planning.
• Christine, tu me connais, j’aime en rajouter, j’avais rendez-vous avec un patron de galerie qui souhaite m’exposer.
Je suis loin d’être aux abois financièrement et j’aime les faire attendre.
Ils sont trop contents lorsque j’accepte de signer leurs contrats, ils ont l’impression d’avoir bien bossé.
• Tu vois Christophe, Patou est la fille de mon frère qui est décédé suite à un accident de la route.
Patou est un artiste peintre qui a déjà une petite renommée, c’est l’artiste féminin qui vend le plus de toile sur le marché de l’art parisien depuis ces dernières années.
Au fait Patou, je ne t’ai pas présenté, Christophe mon nouveau commissionnaire qui remplace William.
• Il t’a quitté où tu t’es décidé à le virer ?
• Non, il part au service militaire !
• Je n’en dirais rien, je serais désagréable.
Elle me plait la petite, elle semble ne pas avoir froid aux yeux.
Pourquoi n’aimait-elle pas William ?
• Christophe venez m’aider à circuler avec mon fauteuil.
Marraine, je t’ai déjà dit que ta boutique devrait être mieux adapté à une personne à mobilité réduite circulante en fauteuil.
• Oui Patou, je vais vous conduire, excusez-moi, permettez-vous que je vous appelle Patou !
• C’est Patricia, tout le monde me dit, « Patou » alors fait pareil.
Nous semblons être relativement du même âge, je le pense et pendant que l’on y est, tutoie-moi, Christophe.
• Patou, où veux-tu que je te conduise.
• Vers les petites culottes je les collectionne.
Je suis au service de madame, je la dirige et assiste au choix d’une femme pour ses sous-vêtements.
Elle me présente deux modèles.
• Christophe, cette rose avec le petit nœud ou la bleue avec les cerises, laquelle des deux voudrais-tu me voir la porter ?
Avec cette jeune femme, certes handicapée, mais avec un esprit pétillant, je sens que je viens de rencontrer une fille pleine d’à-propos, dommage qu’elle soit en fauteuil...
Surprenant au début je m’y fais rapidement.
Nous mangeons avec envie, il est vrai que de baiser d’une façon aussi intense ça ouvre l’appétit
Tous est très fin, ça doit venir d’une grande charcuterie.
Le vin porte toute l’attention de Christine.
Elle m’en sert dans un verre très évasé et elle m’apprend à le faire tourner pour l’aérer un peu plus et faire monter les arômes avant de le sentir en approchant son nez sans toucher le verre.
Elle le fait passer devant la flamme d’une bougie.
• Un vin se mire pour regarder sa robe, tu pourras voir des couleurs différentes suivant les cépages.
• Ma chère, j’ignore certains mots que tu emploies, comme un « cépage » !
• C’est le nom des différents types de pieds de vigne cultivés en France pour faire du vin.
• Comment connais-tu tout cela ?
• Mon grand-père avait une exploitation viticole dans le bordelais et j’y ai passé ma jeunesse, c’est lui qui m’a initié, avec lui, j’ai beaucoup appris.
Mais ce nectar des dieux est si vaste, que même les meilleurs sommeliers doivent se former de façon continue.
• Vous avez toujours les vignes de ton grand-père !
• Comment crois-tu que j’ai pu me payer mon magasin sur les champs à Paris
Mon père a refusé de reprendre l’exploitation et nous avons été obligés de la vendre.
Ma chance est qu’il était assez doué pour les affaires et à leurs décès, il m’est resté un joli paquet que j’essaye de faire fructifier.
• Toi aussi tu es douée, avoir une boutique aux Champs c’est énorme.
• Assez de pommades mon chéri, goûte ce vin maintenant, il est prêt à être un velours dans ta bouche !
Je le sens, le mir et j’en prends une gorgée, sans bien comprendre tout ce que je fais, j’ai trop peur de la décevoir et de perdre ce que j’ai acquis grâce à ma queue.
• Laisse-le, s’épanouir dans ta bouche avant de l’avaler.
Je fais ce qu’elle me dit, ce que j’aime c’est le goût fort qui reste dans ma bouche.
C’est tout à fait différent du vin d’Algérie, surtout que je faisais moitié vin et moitié eau.
• Je te ferais apprécier d’autres cépages, j’ai encore quelques bouteilles de mon grand-père dans la cave de cette maison.
Pendant qu’elle débarrasse, je m’installe sur le canapé et allongé, je reprends ma lecture.
Lorsqu’elle a fini, elle vient s’allonger dans mon bras ses seins sur le côté de mon corps.
Je la prends dans mon bras, je continue à lire pendant qu’elle me regarde le visage levé vers moi.
Je commence à bien connaître ce regard de femme amoureuse.
La belle ne reste pas longtemps inactive, sa main vient entourer ma verge et s’amuse avec sans franchement la saisir. Je feins l’indifférent concentré sur ma lecture.
La garce elle a décidé que je m’étais assez cultivé et se détachant de moi elle approche sa bouche de mon sceptre.
J’ai déjà vu des pieds de vigne, c’est un peu bizarre, c’était à Montmartre un jour’ ou avec mes parents nous étions allées visiter le Sacré cœur.
Autant que je m’en souvienne, les pieds étaient noueux, alors que ma jeune verge est très droite.
• Tu es aussi bon que le chou à la crème que nous avons mangé tout à l’heure.
Les lignes se mélangent, mais je veux voir jusqu’à ou elle va aller.
Quand elle décide qu’elle a assez sucé son dessert elle se relève et face à moi elle s’empale sur ma banane !
Oui, une banane est recourbée alors que je viens de dire que ma bite est rectiligne !
Il est vrai qu’elle a tendance à avoir une certaine courbe.
Je ne peux plus lire le moindre mot tellement je suis obligé de me concentrer pour ne pas envoyer la crème que mes couilles fabriquent au fond de sa vulve.
Elle se pénètre de plus en plus fort et de plus en plus vite sur la verge qui la cloue.
J’ai beau avoir de la résistance une fois de plus, je calle et je l’inonde simultanément à son énorme jouissance.
Elle s’écroule sur mon ventre et ma poitrine, je peux reprendre ma lecture et finir le deuxième chapitre.
Je repose le livre sur le dossier du canapé, j’aimerais me dégager car la nature à ses besoins, elle doit le sentir en se redressant.
• Je vais me doucher et me coucher demain 7 heures debout, j’ai une patronne intransigeante sur les horaires, si tu la connaissais, tu éviterais tout retard.
• Je te suis, moi aussi je suis morte et la mienne est aussi chiante que la tienne.
Nous nous séparons en rigolant, je me douche seul craignant des remakes de la scène du canapé.
Lorsqu’elle me rejoint, une femme ayant besoin de la salle de bains plus longtemps, je suis déjà endormi.
Elle se couche le long de mon corps faisant attention d’éviter de me réveiller.
Le lendemain matin, c’est une bonne odeur de café que je sens lorsque le réveil que Christine a mis, se déclenche.
Comme elle se réveille comme moi, c’est une tierce personne qui doit avoir tout préparé.
Je récupère un slip dans un des paquets et je descends jusqu’à la salle, Christine se dirigeant vers la salle d’eau.
• Bonjour madame Madeleine, vous êtes déjà au travail.
• Oui et je vous remercie d’être venu avec ma patronne, ma sœur a été contente de me voir, nous avons passé la fin d’après-midi ensemble.
Café ou thé, madame c’est un thé.
Le thé, beurk, de l’eau chaude que ma grand-mère nous faisait boire les dimanches alors que nous venions regarder le sport dimanche à la télé.
Roger Couderc, « allée les petits, » phrase qui je le pense restera célèbre.
Raymond Marcillac et d’autres, dont j’ai oublié les noms, c’était un moment divin moi qui le reste de mon temps comme je l’ai dit, j’étais un cancre.
• Monsieur, vous pouvez prendre des croissants avec votre café, je les achète à la boulangerie sur mon chemin, ils sont tout chauds.
• Madame Madeleine, vous me gênez avec votre « monsieur, » appelé moi Christophe, c’est le nom que ma maman m’a donné.
Des croissants, chaud, je rentre de plain-pied dans le monde de l’opulence.
Attention à la maison, je manque de rien, mais au petit déjeuner, c’est un bol de lait sucré avec deux tartines de pain rassit.
Le pain, c’est moi qui vais le chercher à la boulangerie, il m’en fait acheter quatre, des gros pains, afin que lorsque nous les mangeons avec maman ils soient durs car nous en mangeons moins.
Une fois près, Christine arrive coiffée et maquillée, nous sortons et nous arrivons à la boutique dans le taxi qui vient chercher Christine tous les matins et la ramener le soir.
Un mot résonne dans ma tête « mignonne, » c’est le mot que Christine m’a dit lorsqu’elle m’a demandé d’être là ce matin.
À partir de 9 heures, je guette la porte, un taxi s’arrête et une jeune femme récupère un fauteuil roulant dans lequel elle se glisse à la force de ses bras.
Elle fait rouler le siège jusqu’à la boutique où Christine lui ouvre la porte.
Amélie arrive aussi et les deux femmes embrassent la nouvelle venue.
La poupée, car c’est une vraie poupée que j’ai devant les yeux faits avancer le fauteuil afin de dégager la porte.
• Marraine, tu m’as demandé de venir voir ta nouvelle collection ce matin.
J’espère qu’elle va me plaire, car j’ai déplacé un rendez-vous important pour venir la voir.
• Je m’excuse si j’ai bouleversé ton planning.
• Christine, tu me connais, j’aime en rajouter, j’avais rendez-vous avec un patron de galerie qui souhaite m’exposer.
Je suis loin d’être aux abois financièrement et j’aime les faire attendre.
Ils sont trop contents lorsque j’accepte de signer leurs contrats, ils ont l’impression d’avoir bien bossé.
• Tu vois Christophe, Patou est la fille de mon frère qui est décédé suite à un accident de la route.
Patou est un artiste peintre qui a déjà une petite renommée, c’est l’artiste féminin qui vend le plus de toile sur le marché de l’art parisien depuis ces dernières années.
Au fait Patou, je ne t’ai pas présenté, Christophe mon nouveau commissionnaire qui remplace William.
• Il t’a quitté où tu t’es décidé à le virer ?
• Non, il part au service militaire !
• Je n’en dirais rien, je serais désagréable.
Elle me plait la petite, elle semble ne pas avoir froid aux yeux.
Pourquoi n’aimait-elle pas William ?
• Christophe venez m’aider à circuler avec mon fauteuil.
Marraine, je t’ai déjà dit que ta boutique devrait être mieux adapté à une personne à mobilité réduite circulante en fauteuil.
• Oui Patou, je vais vous conduire, excusez-moi, permettez-vous que je vous appelle Patou !
• C’est Patricia, tout le monde me dit, « Patou » alors fait pareil.
Nous semblons être relativement du même âge, je le pense et pendant que l’on y est, tutoie-moi, Christophe.
• Patou, où veux-tu que je te conduise.
• Vers les petites culottes je les collectionne.
Je suis au service de madame, je la dirige et assiste au choix d’une femme pour ses sous-vêtements.
Elle me présente deux modèles.
• Christophe, cette rose avec le petit nœud ou la bleue avec les cerises, laquelle des deux voudrais-tu me voir la porter ?
Avec cette jeune femme, certes handicapée, mais avec un esprit pétillant, je sens que je viens de rencontrer une fille pleine d’à-propos, dommage qu’elle soit en fauteuil...
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