COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (15/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (15/15)
Premier jour de travail chez Christine une de mes maîtresses du moment, c’est drôle comme la vie a changé du jour au lendemain, lorsque j’ai décidé de me prendre en main et de dire « merde » à mon père.
Avant que je réponde, Patou éclate d’un rire franc qui me touche.
Avant que j’aie le temps de répondre, elle repose la rose.
Heureusement que je n’ai pas eu le temps de répondre, en pansant être drôle, j’allais moi aussi dire les deux.
Christine nous suit et récupère les achats.
• S’il te plait, recule Christophe !
Je m’exécute, de retour à la hauteur des petites culottes elle récupère la rose qu’elle place aussi dans le panier.
J’aurais dû oser être drôle, on laisse toujours des occasions de jouer les intéressants.
Elle choisit plusieurs soutien-gorge.
Elle place devant elle deux chemisiers et deux vestes ainsi qu’un pantalon correspondant au style de ce qu’elle porte en ce moment.
• Christophe, direction les cabines d’essayage à l’autre bout du magasin, hop, hop, hop, le temps c’est de l’argent !
Je la conduis, Christine ouvre l’un des rideaux et je pousse le fauteuil au centre.
Je vais pour sortir respectueux de l’intimité de la dame.
• Reste Christophe, j’ai besoin de toi.
Un peu surpris, je retourne vers le fauteuil.
Elle détache sa veste et l’enlève son chemisier suivant le même chemin.
Dans son soutien-gorge à balconnet ses seins, ni trop petits, ni trop gros, me narguent vue ma situation plongeante.
• Christophe prend moi sous tes bras et soulève-moi afin que Christine puisse faire glisser mon pantalon !
Je me place derrière elle, je glisse mes bras sous ses aisselles et la décolle du siège.
Mes mains ne peuvent se poser ailleurs que sur son soutien-gorge dessus ses seins qui viennent exactement les entourer.
Christine descend son pantalon, me montrant sa jolie petite culotte noire.
• Repose-moi une minute !
Que dire de ce que Patou me montre ?
Elle vient à mon secours devant avoir l’habitude à la mauvaise réaction des gens.
• Soit sans crainte, je suis en bonne santé, comme l’a dit ma marraine, j’étais dans la voiture avec mon papa.
J’avais six ans et depuis j’ai trouvé un copain à roulette qui refuse de me quitter.
Dix ans dans un fauteuil, le courage de la petite me va droit au cœur et je suis prêt à tout faire pour lui soulager cette fatalité.
• Et ton papa ?
• Il y est resté.
Christine au pied de Patou semble ravie du rapprochement qui s’opère avec sa filleule.
• Christophe, maintenant que tu as vu ma petite culotte noire et mon soutien-gorge de même couleur, je n’ai plus grand-chose à te cacher, je vais te monter mes seins qui font ma fierté.
Elle enlève son soutien-gorge et au lieu d’en essayer un autre elle me demande de la soulever pour essayer son pantalon.
Espiègle la petite par ce geste elle m’oblige à prendre ses seins en pleines mains sans aucune protection.
Je suis satisfait de les toucher car elle a raison d’en être fière et son regard me montre son acceptation.
Alors que Christine est dans l’impossibilité de me voir, attachée à lui mettre le nouveau pantalon, l’une de mes mains est placée ou il faut.
Je lui saisis le mamelon entre mes doigts, je le pince doucement.
La petite a un petit mouvement vite refréné et lève la tête en me regardant avec un sourire malicieux.
Le temps de tous ces essayages, j’ai le temps de bien voir sa petite culotte avec un mont de vénus proéminent.
Pantalon, soutien-gorge, chemisier et veste, Patou se trouve entièrement habillé.
Coquine, je pense qu’elle profite de la situation.
Malgré ce handicap, elle commence à m’intéresser.
• Christophe as-tu la force de me relever et de me tenir pour que je puisse voir l’effet que fait cet ensemble debout devant cette glace ?
• Sans problème, je t’assure que tu pèses autant qu’une plume !
À les problèmes de mon enfance pas si loin que ça.
Qu’est-ce qui pèse plus lourd, un kilo de plomb ou un kilo de plume ?
Quelle est l’idiot qui peut avoir l’idée de rassembler un kilo de plume, le temps des édredons est révolu, il en existe des biens plus chauds dans d’autres matières.
Je la reprends par les bras, la redresse sans forcer lui faisant reposer les pieds comme tout un chacun.
Je me demande si un homme là déjà mit en position de s’admirer comme vous et moi.
La manière dont elle s’abandonne contre moi, montre le plaisir que je lui fais.
• Christine fait les paquets, je prends tous !
Tous ?
Fais-je partie de ce tous ?
Qu’est-ce qui l’empêcherait ?
Nous répétons l’opération inverse et nous sommes prêts à quitter la cabine.
Christine est déjà à la caisse et prépare l’addition.
• Christine, je n’ai rien vu de plus qu’il y a 8 jours !
À oui, j’oublie, il est vrai que la présence de Christophe dans ta boutique rehausse sa qualité.
Tu as bien fait de me faire venir.
L’humour de la petite me touche de plus en plus, je la trouvais belle, elle devient radieuse à mes yeux.
Après avoir payé et appelé son taxi, de plus en plus espiègle, elle ajoute.
• Marraine, je suis dans l’impossibilité de tout porter, Christophe peut-il m’accompagner !
• J’allais te le proposer Patou, son travail est terminé pour le premier jour, prenez votre temps.
La mère maquerelle, elle vient de me vendre à la petite pour un contrat no limite.
Bien sûre, Christine loin d’en être une, je pense que son amour pour Patou va jusqu’à son bonheur de femme, si son infirmité lui permet d’en être une à part entière.
J’entends Christine appeler un taxi, il arrive en cinq minutes.
C’est un taxi de la compagnie G7, je la reprends dans mes bras, je la dépose sur le siège arrière et le chauffeur qui est descendu range son fauteuil dans son coffre.
Je ne suis pas dupe, lorsqu’elle est arrivée, je l’ai bien vu sortir du taxi sans l’aide du chauffeur, profite-t-elle de la situation ?
Christine l’embrasse, ferme sa porte.
• Prends en soin d’elle, elle le mérite, je compte sur toi lundi, je n’ai pas besoin de toi demain.
Je comprends que le samedi, les pères de famille sont de repos et leurs femmes peu enclines à les tromper, alors la bite que je suis devenu perd tout son intérêt pendant le week-end.
Je monte à côté de Patou, elle discute avec le chauffeur qui l’interroge sur ses achats. Elle me prend la main que j’ai posée sur la banquette.
Je suis très étonné du chemin que nous prenons, le taxi arrive dans une rue adjacente à celle ou habite Christine.
• Tu reconnais, c’est ici qu’habite Christine !
Habiter l’une près de l’autre nous permet de sortir ensemble et de nous rendre au restaurant.
Elle m’aide avec le fauteuil électrique dont je me sers à la maison, il a du mal à circuler par endroits.
Elle vient souvent le dimanche chez moi me tenir compagnie.
Souvent elle me sert de modèle, j’en prends des croquis qui me servent pour peindre mes tableaux.
Malines la petite, elle doit savoir que Christine est une dévoreuse d’homme comme Ophélie me la dit et elle veut savoir si je suis venue goûter à ses charmes.
Je suis malin moi aussi et je décide d’être franc sans trop en dire.
• J’ai reconnu le quartier, j’ai passé la nuit dernière chez elle !
Piégé, la coquine, un blanc me prouve que j’ai fait mouche.
Le taxi s’arrête devant une façade qui devait être un ancien garage.
L’extérieur qui a été refait est identique dans le style des garages de l’après-guerre.
Même les vieilles pompes à essence sont toujours en place.
L’avantage pour Patou c’est que le porte d’entrer est large et ne lui pose aucun problème pour pénétrer après qu’elle m’a recommencé la scène du fauteuil sorti du coffre.
Devant la boutique de Christine, le chauffeur de taxi lui a juste apporté son fauteuil et en deux mouvements elle l’avait rejoint.
Là, il faut que je la prenne dans mes bras pour la déposer.
Me prendrait-elle pour un jambon ou apprécie-t-elle mes bras virils ?
Elle règle le taxi et me donne les clefs pour que j’ouvre.
Elle éclate de rire de me voir empêtrer entre ses clefs et les paquets des vêtements achetés.
Je la vois ouvrir son sac et sortir un billet, un gros.
• Merci du service, garder la monnaie.
Lorsque je pénètre en poussant le fauteuil autant j’ai été impressionné lorsque j’ai découvert la maison de Christine, autant là, je suis subjugué...
Voilà cinq chapitres de plus de mon histoire, quelques-unes pour me reposer l’esprit et cinq autres vous seront proposées.
Bonne lecture.
Avant que je réponde, Patou éclate d’un rire franc qui me touche.
Avant que j’aie le temps de répondre, elle repose la rose.
Heureusement que je n’ai pas eu le temps de répondre, en pansant être drôle, j’allais moi aussi dire les deux.
Christine nous suit et récupère les achats.
• S’il te plait, recule Christophe !
Je m’exécute, de retour à la hauteur des petites culottes elle récupère la rose qu’elle place aussi dans le panier.
J’aurais dû oser être drôle, on laisse toujours des occasions de jouer les intéressants.
Elle choisit plusieurs soutien-gorge.
Elle place devant elle deux chemisiers et deux vestes ainsi qu’un pantalon correspondant au style de ce qu’elle porte en ce moment.
• Christophe, direction les cabines d’essayage à l’autre bout du magasin, hop, hop, hop, le temps c’est de l’argent !
Je la conduis, Christine ouvre l’un des rideaux et je pousse le fauteuil au centre.
Je vais pour sortir respectueux de l’intimité de la dame.
• Reste Christophe, j’ai besoin de toi.
Un peu surpris, je retourne vers le fauteuil.
Elle détache sa veste et l’enlève son chemisier suivant le même chemin.
Dans son soutien-gorge à balconnet ses seins, ni trop petits, ni trop gros, me narguent vue ma situation plongeante.
• Christophe prend moi sous tes bras et soulève-moi afin que Christine puisse faire glisser mon pantalon !
Je me place derrière elle, je glisse mes bras sous ses aisselles et la décolle du siège.
Mes mains ne peuvent se poser ailleurs que sur son soutien-gorge dessus ses seins qui viennent exactement les entourer.
Christine descend son pantalon, me montrant sa jolie petite culotte noire.
• Repose-moi une minute !
Que dire de ce que Patou me montre ?
Elle vient à mon secours devant avoir l’habitude à la mauvaise réaction des gens.
• Soit sans crainte, je suis en bonne santé, comme l’a dit ma marraine, j’étais dans la voiture avec mon papa.
J’avais six ans et depuis j’ai trouvé un copain à roulette qui refuse de me quitter.
Dix ans dans un fauteuil, le courage de la petite me va droit au cœur et je suis prêt à tout faire pour lui soulager cette fatalité.
• Et ton papa ?
• Il y est resté.
Christine au pied de Patou semble ravie du rapprochement qui s’opère avec sa filleule.
• Christophe, maintenant que tu as vu ma petite culotte noire et mon soutien-gorge de même couleur, je n’ai plus grand-chose à te cacher, je vais te monter mes seins qui font ma fierté.
Elle enlève son soutien-gorge et au lieu d’en essayer un autre elle me demande de la soulever pour essayer son pantalon.
Espiègle la petite par ce geste elle m’oblige à prendre ses seins en pleines mains sans aucune protection.
Je suis satisfait de les toucher car elle a raison d’en être fière et son regard me montre son acceptation.
Alors que Christine est dans l’impossibilité de me voir, attachée à lui mettre le nouveau pantalon, l’une de mes mains est placée ou il faut.
Je lui saisis le mamelon entre mes doigts, je le pince doucement.
La petite a un petit mouvement vite refréné et lève la tête en me regardant avec un sourire malicieux.
Le temps de tous ces essayages, j’ai le temps de bien voir sa petite culotte avec un mont de vénus proéminent.
Pantalon, soutien-gorge, chemisier et veste, Patou se trouve entièrement habillé.
Coquine, je pense qu’elle profite de la situation.
Malgré ce handicap, elle commence à m’intéresser.
• Christophe as-tu la force de me relever et de me tenir pour que je puisse voir l’effet que fait cet ensemble debout devant cette glace ?
• Sans problème, je t’assure que tu pèses autant qu’une plume !
À les problèmes de mon enfance pas si loin que ça.
Qu’est-ce qui pèse plus lourd, un kilo de plomb ou un kilo de plume ?
Quelle est l’idiot qui peut avoir l’idée de rassembler un kilo de plume, le temps des édredons est révolu, il en existe des biens plus chauds dans d’autres matières.
Je la reprends par les bras, la redresse sans forcer lui faisant reposer les pieds comme tout un chacun.
Je me demande si un homme là déjà mit en position de s’admirer comme vous et moi.
La manière dont elle s’abandonne contre moi, montre le plaisir que je lui fais.
• Christine fait les paquets, je prends tous !
Tous ?
Fais-je partie de ce tous ?
Qu’est-ce qui l’empêcherait ?
Nous répétons l’opération inverse et nous sommes prêts à quitter la cabine.
Christine est déjà à la caisse et prépare l’addition.
• Christine, je n’ai rien vu de plus qu’il y a 8 jours !
À oui, j’oublie, il est vrai que la présence de Christophe dans ta boutique rehausse sa qualité.
Tu as bien fait de me faire venir.
L’humour de la petite me touche de plus en plus, je la trouvais belle, elle devient radieuse à mes yeux.
Après avoir payé et appelé son taxi, de plus en plus espiègle, elle ajoute.
• Marraine, je suis dans l’impossibilité de tout porter, Christophe peut-il m’accompagner !
• J’allais te le proposer Patou, son travail est terminé pour le premier jour, prenez votre temps.
La mère maquerelle, elle vient de me vendre à la petite pour un contrat no limite.
Bien sûre, Christine loin d’en être une, je pense que son amour pour Patou va jusqu’à son bonheur de femme, si son infirmité lui permet d’en être une à part entière.
J’entends Christine appeler un taxi, il arrive en cinq minutes.
C’est un taxi de la compagnie G7, je la reprends dans mes bras, je la dépose sur le siège arrière et le chauffeur qui est descendu range son fauteuil dans son coffre.
Je ne suis pas dupe, lorsqu’elle est arrivée, je l’ai bien vu sortir du taxi sans l’aide du chauffeur, profite-t-elle de la situation ?
Christine l’embrasse, ferme sa porte.
• Prends en soin d’elle, elle le mérite, je compte sur toi lundi, je n’ai pas besoin de toi demain.
Je comprends que le samedi, les pères de famille sont de repos et leurs femmes peu enclines à les tromper, alors la bite que je suis devenu perd tout son intérêt pendant le week-end.
Je monte à côté de Patou, elle discute avec le chauffeur qui l’interroge sur ses achats. Elle me prend la main que j’ai posée sur la banquette.
Je suis très étonné du chemin que nous prenons, le taxi arrive dans une rue adjacente à celle ou habite Christine.
• Tu reconnais, c’est ici qu’habite Christine !
Habiter l’une près de l’autre nous permet de sortir ensemble et de nous rendre au restaurant.
Elle m’aide avec le fauteuil électrique dont je me sers à la maison, il a du mal à circuler par endroits.
Elle vient souvent le dimanche chez moi me tenir compagnie.
Souvent elle me sert de modèle, j’en prends des croquis qui me servent pour peindre mes tableaux.
Malines la petite, elle doit savoir que Christine est une dévoreuse d’homme comme Ophélie me la dit et elle veut savoir si je suis venue goûter à ses charmes.
Je suis malin moi aussi et je décide d’être franc sans trop en dire.
• J’ai reconnu le quartier, j’ai passé la nuit dernière chez elle !
Piégé, la coquine, un blanc me prouve que j’ai fait mouche.
Le taxi s’arrête devant une façade qui devait être un ancien garage.
L’extérieur qui a été refait est identique dans le style des garages de l’après-guerre.
Même les vieilles pompes à essence sont toujours en place.
L’avantage pour Patou c’est que le porte d’entrer est large et ne lui pose aucun problème pour pénétrer après qu’elle m’a recommencé la scène du fauteuil sorti du coffre.
Devant la boutique de Christine, le chauffeur de taxi lui a juste apporté son fauteuil et en deux mouvements elle l’avait rejoint.
Là, il faut que je la prenne dans mes bras pour la déposer.
Me prendrait-elle pour un jambon ou apprécie-t-elle mes bras virils ?
Elle règle le taxi et me donne les clefs pour que j’ouvre.
Elle éclate de rire de me voir empêtrer entre ses clefs et les paquets des vêtements achetés.
Je la vois ouvrir son sac et sortir un billet, un gros.
• Merci du service, garder la monnaie.
Lorsque je pénètre en poussant le fauteuil autant j’ai été impressionné lorsque j’ai découvert la maison de Christine, autant là, je suis subjugué...
Voilà cinq chapitres de plus de mon histoire, quelques-unes pour me reposer l’esprit et cinq autres vous seront proposées.
Bonne lecture.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci de ces commentaires cher lecteurs, votre attente est la marque que mon histoire vous intéresse, je continue à la mettre en forme, nous sommes au chapitres 15 et il y en a déjà 42 de mis en forme définitive.
6 décembre cher lecteur de petits textes cours et une série de Martine inspecteur de police
Vivement la suite que devient Malaurie ?que va-t-il se passer avec Patou. ?on attend
A quand la suite