COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (16/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (16/20)
Nous sommes repartis, cinq chapitres de mes aventures.
Bonne lecture.
C’est bien dans un ancien garage que Patou habite.
Le pont pour les vidanges et autres travaux sous les voitures est toujours en place. Posé dessus, une voiture anglaise qui s’avère être une Rolls-Royce Phantom de 1930. je suis en admiration devant une telle merveille.
• Tu regardes ma voiture, même si je suis dans l’impossibilité de la conduire dois-je me passer d’avoir une voiture de cette qualité.
• Roule-t-elle ?
• Rolls-Royce vient la chercher tous les ans pour une révision intégrale.
De temps en temps je la loue pour des films ou des mariages.
Je l’ai acheté pour le jour de mon mariage si un garçon veut bien épouser une demi-femme.
Que répondre, à une telle affirmation ?
« Ne crains rien ma grande, tu trouveras bien cet homme un jour » où « c’est sûr, ce sera difficile, voire impossible, bien que ! »
Courage fuyons, je me tais évitant ainsi de faire le moindre imper.
L’établi est toujours à sa place, avec son tableau ou les diverses clefs qui y sont accrochés.
Dans quelques semaines, aux apprentis mécaniciens, c’est moi qui me servirais de ce genre d’outils, dont, lorsque je les regarde, je suis dans l’impossibilité de pouvoir dire à quoi ils servent.
Tout ce coin est réservé à son travail.
Chevalet tube et toile en cours de création s’entremêle.
Un capharnaüm intelligent dont seul Patou doit en connaître la clef.
Des toiles retournées me cachent son travail du moment, même celle sur le chevalet surtout moi qui suis inculte en art pictural.
Je rappelle que ma seule connaissance de l’art, passe par la bande dessinée et surtout Tintin et Milou.
C’est loin de faire partie des canons des gens que je côtoyais avant de rencontrer des belles personnes comme Ophélie, Samy et bien sûr Malaurie.
Sans oublier maintenant Christine et Patou.
L’autre partie du « garage est l’aire du logement » et est consacrée à l’habitation et au jardin.
Un jardin dans Paris, bien caché au centre de ces immeubles qui aurait pu le croire, nous qui à Champigny en avons un de, 400 mètres carrés, maison comprise.
Des cloisons métal et verre séparent la cuisine, de la salle salon et la chambre ou la petite doit coucher.
Hélas, vu son handicap, à quoi peut servir ce coin sexuellement, la petite doit être privée de ce que m’a fait découvrir toutes les femmes que j’ai rencontrées depuis Chantal.
Sans oublier le coin salle de bain avec une douche entièrement carrelé, mais avec des pommes à eaux du même genre de ce que l’on peut trouver dans des douches de vestiaire de sport.
L’architecte a dû se servir des douches d’origine pour le personnel pour en faire une salle de bain très moderne.
Tout le système permet à la petite de se doucher assise sur une chaise placée sous les jets.
Partout dans les différents endroits des toiles qui semblent terminés sont pendues.
Sur l’établi de nombreux croquis au fusain représentent des hommes ou des femmes nues.
Elle m’en montre un ou une femme donne l’impression d’être un oiseau qui prend son envole.
• La reconnais-tu ?
• Tu m’as dit que Christine venait poser ici, j’en déduis que c’est elle que tu as croquée !
• Oui, c’était facile, ce croquis m’a permis de développer une toile pendue au mur, laquelle, dis-moi ?
Je fais le tour de la pièce et je regarde les différentes toiles.
Après le vin, c’est une leçon d’art pictural que mon amie me propose.
• Tu es classée dans quelle catégorie ?
Malin, j’ai entendu cette phrase à la télévision dans un journal télévisé, les artistes et les peintres comme les films qui ont été appelés septièmes arts, ils les classaient dans différentes catégories.
Une nouvelle fois, mon inculture, montre qui je suis.
Pour les films, je me souviens de « nouvelle vague, » pour les peintres, à part ceux en bâtiment, je n’ai rien retenu.
• Je suis classé parmi les jeunes peintres abstraits, alors où se trouve celle avec comme modèle Christine ?
Bien malin où se cache l’envole d’un oiseau.
Je suis à deux doigts de donner ma langue au chat lorsqu’une toile ou un mouvement des courbes semble avoir les mêmes contours que le croquis est le plus approchant.
• Cette toile-là ?
• Rater, c’est celle-là à la droite de celle que tu viens de me montrer.
Tu as recherché le mouvement dans le sens où je t’ai présenté le dessin alors que regarde !
Elle prend la feuille et lui fait faire un demi-tour, la femme au lieu de s’élever donne l’impression de plonger vers un puits sans fond.
La bonne toile est positionnée à côté de l’autre et il est évident qu’elle a raison, les lignes sont plus harmonieuses et que dire des couleurs employées.
• Pour me faire pardonner, je te l’offre.
• Où veux-tu que je le mette, je n’ai pas plus de chez moi, j’ai quitté la maison de mes parents, la vie avec mon père devenait impossible.
• Je te la garde jusqu'à ce que tu trouves une solution à ce problème, mais dis toi qu’elle est là sur ce mur.
Comment lui dire et lui faire comprendre que dans trois mois, mon chez-moi ce sera dans la marine nationale ?
Je me vois mal dire un jour, à mon commandant.
« Pouvez-vous me dire où je peux accrocher cette toile peinte par l’une des plus grandes et plus jeunes artistes de Paris et qui vaut quelques millions de francs »
• Christophe, peux-tu me porter sur mon lit !
Je suis très fatiguée par ma sortie de ce matin.
Je pousse le fauteuil à quelques centimètres du lit, attendant qu’elle si glisse.
Elle me tend les bras.
• Porte-moi !
Je la prends sous les jambes et dans le dos et la dépose délicatement au milieu du lit.
Alors que je pense qu’elle va s’allonger, elle continue à me tenir et sa bouche vient sur se poser sur la mienne.
Notre baisée dur, dur, dur, aussitôt que je fais un mouvement pour arrêter, elle m’enserre le cou plus fortement.
Au bout d’un moment il faut bien qu’elle reprenne son souffle et au creux de mon oreille elle me souffle.
• C’est la première fois qu’un garçon m’embrasse.
Elle aurait dû dire « c’est la première fois que j’embrasse un garçon tellement j’ai été surpris.
Cette révélation me va droit au cœur et c’est à partir de ce moment que je prends conscience que je regarde Patou sous un autre angle que celui de son handicap.
Je dois reconnaitre être à la limite d’être fou amoureux de ce petit brin de fille.
Si c’est la première fois qu’elle embrasse, il y a de fortes chances qu’elle soit vierge.
Je mesure la chance que j’ai d’avoir dans mes bras cette jolie fille qu’aucun homme n’a déflorée.
J’ignore si c’est mon regard ou nos regards qui refusent de se quitter qui me prouvent que cet amour est réciproque.
• Déshabille-moi s’il te plait !
Je n’ai aucun souci pour dénuder une grande partie de son corps.
• Attends !
Prestement elle dégrafe son pantalon et attrape une barre qui traverse son lit en plein milieu et à hauteur pour qu’elle soit accessible.
Avec ses bras elle soulève son corps et prestement je fais glisser et son pantalon et sa petite culotte.
Pour la première fois elle m’apparaît entièrement nue et entièrement épilée.
Son mont de vénus correspond à ce que j’aie vu dans la cabine d’essayage à travers sa petite culotte.
Je me relève et en quelques secondes, je me mets nu.
Ma verge est dressée comme jamais, je bande comme un malade.
• Oh, Christophe, tu bandes pour moi !
• Oui mon amour veux-tu que je fasse de toi une femme ?
Je m’excuse de prendre en compte ton handicap !
• Oui tu seras le premier, soit sans crainte pour mon handicap, il y a longtemps que je l’ai incorporé dans ma vie !
Donne-moi ta queue à sucer, tu sais, j’ai des fantasmes comme tout un chacun ?
Incroyable où se fourrent les préjugés, je découvre une partie cachée de ces personnes dite à mobilité réduite, ils sont capables d’avoir les mêmes envies et besoins que nous.
Ma journée aura été très fructueuse.
Je m’agenouille et je m’avance vers sa bouche.
Comme une mort de faim, elle empoigne ma verge pour la sucer plus rapidement. Encore un peu un manque d’expérience ma petite, il va falloir que je la façonne pour qu’elle devienne la reine des suceuses parisiennes.
Je suis sûr que je tiens une bonne élève à la manière dont elle déplace ses lèvres et qu’elle glisse tout le long de ma hampe.
Son pompage est proche de la perfection à tel point qu’un moment j’ai des doutes qu’elle soit une oie blanche.
• Viens Patou, je te veux !...
Bonne lecture.
C’est bien dans un ancien garage que Patou habite.
Le pont pour les vidanges et autres travaux sous les voitures est toujours en place. Posé dessus, une voiture anglaise qui s’avère être une Rolls-Royce Phantom de 1930. je suis en admiration devant une telle merveille.
• Tu regardes ma voiture, même si je suis dans l’impossibilité de la conduire dois-je me passer d’avoir une voiture de cette qualité.
• Roule-t-elle ?
• Rolls-Royce vient la chercher tous les ans pour une révision intégrale.
De temps en temps je la loue pour des films ou des mariages.
Je l’ai acheté pour le jour de mon mariage si un garçon veut bien épouser une demi-femme.
Que répondre, à une telle affirmation ?
« Ne crains rien ma grande, tu trouveras bien cet homme un jour » où « c’est sûr, ce sera difficile, voire impossible, bien que ! »
Courage fuyons, je me tais évitant ainsi de faire le moindre imper.
L’établi est toujours à sa place, avec son tableau ou les diverses clefs qui y sont accrochés.
Dans quelques semaines, aux apprentis mécaniciens, c’est moi qui me servirais de ce genre d’outils, dont, lorsque je les regarde, je suis dans l’impossibilité de pouvoir dire à quoi ils servent.
Tout ce coin est réservé à son travail.
Chevalet tube et toile en cours de création s’entremêle.
Un capharnaüm intelligent dont seul Patou doit en connaître la clef.
Des toiles retournées me cachent son travail du moment, même celle sur le chevalet surtout moi qui suis inculte en art pictural.
Je rappelle que ma seule connaissance de l’art, passe par la bande dessinée et surtout Tintin et Milou.
C’est loin de faire partie des canons des gens que je côtoyais avant de rencontrer des belles personnes comme Ophélie, Samy et bien sûr Malaurie.
Sans oublier maintenant Christine et Patou.
L’autre partie du « garage est l’aire du logement » et est consacrée à l’habitation et au jardin.
Un jardin dans Paris, bien caché au centre de ces immeubles qui aurait pu le croire, nous qui à Champigny en avons un de, 400 mètres carrés, maison comprise.
Des cloisons métal et verre séparent la cuisine, de la salle salon et la chambre ou la petite doit coucher.
Hélas, vu son handicap, à quoi peut servir ce coin sexuellement, la petite doit être privée de ce que m’a fait découvrir toutes les femmes que j’ai rencontrées depuis Chantal.
Sans oublier le coin salle de bain avec une douche entièrement carrelé, mais avec des pommes à eaux du même genre de ce que l’on peut trouver dans des douches de vestiaire de sport.
L’architecte a dû se servir des douches d’origine pour le personnel pour en faire une salle de bain très moderne.
Tout le système permet à la petite de se doucher assise sur une chaise placée sous les jets.
Partout dans les différents endroits des toiles qui semblent terminés sont pendues.
Sur l’établi de nombreux croquis au fusain représentent des hommes ou des femmes nues.
Elle m’en montre un ou une femme donne l’impression d’être un oiseau qui prend son envole.
• La reconnais-tu ?
• Tu m’as dit que Christine venait poser ici, j’en déduis que c’est elle que tu as croquée !
• Oui, c’était facile, ce croquis m’a permis de développer une toile pendue au mur, laquelle, dis-moi ?
Je fais le tour de la pièce et je regarde les différentes toiles.
Après le vin, c’est une leçon d’art pictural que mon amie me propose.
• Tu es classée dans quelle catégorie ?
Malin, j’ai entendu cette phrase à la télévision dans un journal télévisé, les artistes et les peintres comme les films qui ont été appelés septièmes arts, ils les classaient dans différentes catégories.
Une nouvelle fois, mon inculture, montre qui je suis.
Pour les films, je me souviens de « nouvelle vague, » pour les peintres, à part ceux en bâtiment, je n’ai rien retenu.
• Je suis classé parmi les jeunes peintres abstraits, alors où se trouve celle avec comme modèle Christine ?
Bien malin où se cache l’envole d’un oiseau.
Je suis à deux doigts de donner ma langue au chat lorsqu’une toile ou un mouvement des courbes semble avoir les mêmes contours que le croquis est le plus approchant.
• Cette toile-là ?
• Rater, c’est celle-là à la droite de celle que tu viens de me montrer.
Tu as recherché le mouvement dans le sens où je t’ai présenté le dessin alors que regarde !
Elle prend la feuille et lui fait faire un demi-tour, la femme au lieu de s’élever donne l’impression de plonger vers un puits sans fond.
La bonne toile est positionnée à côté de l’autre et il est évident qu’elle a raison, les lignes sont plus harmonieuses et que dire des couleurs employées.
• Pour me faire pardonner, je te l’offre.
• Où veux-tu que je le mette, je n’ai pas plus de chez moi, j’ai quitté la maison de mes parents, la vie avec mon père devenait impossible.
• Je te la garde jusqu'à ce que tu trouves une solution à ce problème, mais dis toi qu’elle est là sur ce mur.
Comment lui dire et lui faire comprendre que dans trois mois, mon chez-moi ce sera dans la marine nationale ?
Je me vois mal dire un jour, à mon commandant.
« Pouvez-vous me dire où je peux accrocher cette toile peinte par l’une des plus grandes et plus jeunes artistes de Paris et qui vaut quelques millions de francs »
• Christophe, peux-tu me porter sur mon lit !
Je suis très fatiguée par ma sortie de ce matin.
Je pousse le fauteuil à quelques centimètres du lit, attendant qu’elle si glisse.
Elle me tend les bras.
• Porte-moi !
Je la prends sous les jambes et dans le dos et la dépose délicatement au milieu du lit.
Alors que je pense qu’elle va s’allonger, elle continue à me tenir et sa bouche vient sur se poser sur la mienne.
Notre baisée dur, dur, dur, aussitôt que je fais un mouvement pour arrêter, elle m’enserre le cou plus fortement.
Au bout d’un moment il faut bien qu’elle reprenne son souffle et au creux de mon oreille elle me souffle.
• C’est la première fois qu’un garçon m’embrasse.
Elle aurait dû dire « c’est la première fois que j’embrasse un garçon tellement j’ai été surpris.
Cette révélation me va droit au cœur et c’est à partir de ce moment que je prends conscience que je regarde Patou sous un autre angle que celui de son handicap.
Je dois reconnaitre être à la limite d’être fou amoureux de ce petit brin de fille.
Si c’est la première fois qu’elle embrasse, il y a de fortes chances qu’elle soit vierge.
Je mesure la chance que j’ai d’avoir dans mes bras cette jolie fille qu’aucun homme n’a déflorée.
J’ignore si c’est mon regard ou nos regards qui refusent de se quitter qui me prouvent que cet amour est réciproque.
• Déshabille-moi s’il te plait !
Je n’ai aucun souci pour dénuder une grande partie de son corps.
• Attends !
Prestement elle dégrafe son pantalon et attrape une barre qui traverse son lit en plein milieu et à hauteur pour qu’elle soit accessible.
Avec ses bras elle soulève son corps et prestement je fais glisser et son pantalon et sa petite culotte.
Pour la première fois elle m’apparaît entièrement nue et entièrement épilée.
Son mont de vénus correspond à ce que j’aie vu dans la cabine d’essayage à travers sa petite culotte.
Je me relève et en quelques secondes, je me mets nu.
Ma verge est dressée comme jamais, je bande comme un malade.
• Oh, Christophe, tu bandes pour moi !
• Oui mon amour veux-tu que je fasse de toi une femme ?
Je m’excuse de prendre en compte ton handicap !
• Oui tu seras le premier, soit sans crainte pour mon handicap, il y a longtemps que je l’ai incorporé dans ma vie !
Donne-moi ta queue à sucer, tu sais, j’ai des fantasmes comme tout un chacun ?
Incroyable où se fourrent les préjugés, je découvre une partie cachée de ces personnes dite à mobilité réduite, ils sont capables d’avoir les mêmes envies et besoins que nous.
Ma journée aura été très fructueuse.
Je m’agenouille et je m’avance vers sa bouche.
Comme une mort de faim, elle empoigne ma verge pour la sucer plus rapidement. Encore un peu un manque d’expérience ma petite, il va falloir que je la façonne pour qu’elle devienne la reine des suceuses parisiennes.
Je suis sûr que je tiens une bonne élève à la manière dont elle déplace ses lèvres et qu’elle glisse tout le long de ma hampe.
Son pompage est proche de la perfection à tel point qu’un moment j’ai des doutes qu’elle soit une oie blanche.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci cher lecteurs, difficile a manier comme thème, beaucoup de travail sur Internet pour savoir jusqu'à ou aller...
Très jolie histoire, pleine de délicatesse .. très envie de connaître la suite
Bravo très beau texte adroit avec le handicap à suivre