COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (17/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (17/20)
Je suis chez Patou, dans ce vieux garage, je découvre un endroit extraordinaire dans un tel lieu.
Même son lit a été appareillé pour qu’elle garde une certaine autonomie.
Elle attrape la barre et soulève son corps.
Je comprends l’invitation et je me glisse sous elle.
Lorsqu’elle se sent bien placée au-dessus de ma verge que je tiens dans ma main pour qu’elle soit la plus droite possible, elle relâche la barre tout doucement et mon sexe commence à la pénétrer millimètres après millimètres.
• Oh ! oh ! oh ! ah !
De plus en plus rapprochés, sortent de sa gorge.
D’un coup elle lâche presque entièrement son soutien et se retrouve collée à mon ventre.
• Mon amour, je sens que mon hymen a cassé, tu m’as faite femme.
• Oui mon cœur, maintenant que je te pénètre profondément, je vais te faire jouir.
Je la prends sous les aisselles et en la soulevant et le relâchant, je pénètre sa petite chatte de plus en plus fort.
D’une main, je contourne son corps et je recherche son clito qui se rend dès que je le caresse.
De l’autre je récupère son mamelon que je pince jusqu'à ce que la douleur apparaisse.
• Qu’est-ce que tu me fais Christophe, d’un côté du bien sûr mon bouton et de l’autre du mal sur mon sein ?
Tu es machiavélique mon cœur, attends !
Elle se soulève en tirant sur ses bras, prestement elle se retourne entraînant ses jambes et sans que sa chatte n’ait quitté mon sexe, elle se retrouve face à moi.
Ses bras entourent mon cou et sa bouche se souder à la mienne.
Nous nous embrassons pendant de plus longes minutes que la première fois.
Nos sexes restent soudés sans bouger et sans que je débande.
L’amour que l’on se porte à ce moment nous suffit pour que nos corps irradient dans toutes nos fibres.
Je fais travailler les muscles de ma verge, ce qui lui donne de toutes petites secousses que Patou ne peut que sentir dans le sien.
À voir ses réactions, je suis rassuré, un instant j’ai eu peur que le bas de son corps ne ressente pas le plaisir que je veux lui donner.
Ces oh ! oh ! repart de plus belle et d’un seul coup, elle jouit comme elle ne la jamais fait puisque je suis le premier à pénétrer sa grotte féminine.
Cette jouissance est tellement forte et belle qu’elle me fait propulser des jets de spermes au fond de sa grotte.
Je la sens fatigué, je la soulève et je la repose à mon côté où elle s’allonge dans la plénitude que doit ressentir son corps.
Je m’endors la tenant dans mes bras et ma main posée sur le sein que je n’ai pas malmené.
Une fois de plus, je ne sais pas combien de temps nous nous sommes assoupis. Lorsque j’ouvre les yeux elle ouvre les siens.
Je sens que c’est le moment de lui dire la vérité sur ma vie ancienne et future.
• Patou, ma chérie, je voudrais te raconter ce qui m’est arrivé lorsque j’ai décidé de ne pas poursuivre mes études.
Je lui raconte mon dépucelage dans le Doubs avec Chantal…
Je lui explique comment j’ai défloré Malaurie…
Comment nous avons rencontré Ophélie et comment pour jouer avec Malaurie par jeux, elles se sont prostituées au bois de Vincennes ?…
Comment j’ai accepté de travailler avec Christine et que je l’ai baisé au Fouquet’s et chez elle pas plus tard qu’hier ?...
Je lui explique que Malaurie repart à Dijon mutée comme professeur d’anglais...
Je lui explique que j’ai conduit Malaurie chez « maîtresse Chantal » qui la garde en femme soumise jusqu’à dimanche soir où je dois la récupérer...
Je lui explique que ma mère vient de quitter mon père pour partir vivre leur amour avec une femme bafouée par son mari...
Eh bien, sûr pour finir mes débuts comme cover boy chez Christine...
• Dans ton énumération de ce que tu as fait à ton jeune âge, tu oublies mon dépucelage de ce soir.
Pour moi, qui pensais repousser les hommes, William lorsqu’il me raccompagnait, me faisait sentir, ma condition de handicapée, alors que toi, tu m’as montré que j’étais une femme comme une autre.
D’ailleurs tu m’as donné faim et il faut que je me lave, regarde ce que tu as fait à mon minou, j’ai du sperme partout !
Elle a raison, le bas de son corps est constellé de petites taches témoins de la victoire qu’elle a obtenue sur la fatalité de la vie.
Ouf, toutes ses explications toutes plus glissantes les unes que les autres n’ont pas l’air de l’avoir choqué outre mesure.
Que va-t-il se passer lorsque j’aurais le courage de lui avouer mon départ proche ?
Elle est vraiment étonnante ma Patou et quelle bonne comédienne, vu ce qu’elle m’a montré alors qu’elle maitrise son handicap.
Prestement elle saisit sa barre et en deux mouvements elle se trouve assise nue sur son siège.
Elle le manœuvre rapidement jusqu’aux douches.
Elle change de siège pour s’asseoir sur un siège plastique qui ne craint pas l’eau. Prestement elle attache le fauteuil en cuir pour le repousser grâce à une corde, hors des jets et ouvre l’eau sur elle.
« Peux-tu me porter, aide-moi pour ?… »
Avant qu’elle me donne sa virginité elle ne pouvait rien faire sans moi et là, elle me montre toute la tonicité qu’elle conserve en elle.
Je la rejoins et je la lave en m’attardant spécialement sur sa petite chatte.
• Vicieux, tu t’en prends encore à une faible femme !
• Pourquoi encore ?
• Je te fais marcher mon preu chevalier, si tu restes un petit peu près de moi, tu vas voir que j’ai décidé de prendre la vie du bon côté.
Elle profite de notre situation rapprochée pour me saisir la verge et la cacher dans sa bouche.
Comme d’habitude je bande, par chance, j’ai facile à bander !
Doucement je m’écarte et prends son peignoir que je pose sur son dos.
• Je croyais que tu avais faim jeunes filles.
Je n’attends pas qu’elle récupère son fauteuil.
Je la reprends dans mes bras et la porte jusqu'à la table de la partie salle à manger.
Prestement je vais dans le frigo.
Il est copieusement garni.
Je trouve des assiettes des couverts et des verres.
Je trouve une bouteille que j’ouvre et que je mets sur la table.
Je trouve une serviette blanche que je mets sur mon avant-bras et je m’approche nu parfaitement ridicule devant elle.
Je lui sers un verre de ce nectar et je lui présente quelques cochonnailles.
Je me sers, car la faim me tenaille.
Je prends mon verre et je commence à le faire tourner.
Je mire le vin et je bois une gorgée.
• Belle robe, bon goût, tu sais choisir tes vins ma Patou.
Toujours espiègle ma petite.
• Je vois que Christine t’a bien formé, je retrouve tout le décorum qu’elle suit avec les vins.
Nous éclatons de rire.
Le repas se passe très bien, lorsque je passe près d’elle, je n’oublie pas de lui caresser un sein, la nuque, ses cheveux coupés à la garçonne.
Bien sûre, immanquablement elle attrape ma verge et la reprend en bouche.
Cette partie de mon anatomie semble avoir sa préférence.
Je comprends qu’elle en ait rêvé, surtout si mon prédécesseur lui a montré une certaine indifférence, ce qui est loin d’être mon cas.
Il faut toujours qu’elle la cache dans sa bouche.
Elle le croit, car je me développe tellement qu’un tiers de mon sexe la pénètre.
Elle s’aide de la main et arrive à la faire pénétrer aux trois quarts.
Elle la ressort prend une grande goulée d’air et la replace, pousse et arrive à l’avoir entièrement au fond de sa gorge.
Elle recommence l’opération plusieurs fois reprenant son souffle chaque fois.
Je sens qu’elle a envie de goûter mon sperme, elle veut certainement avoir son désert.
Comment lui refuser ce que tous lui ont refusé depuis que sa sexualité a commencé à la travailler !
Une fille de sa classe extrêmement riche avait les moyens de perdre sa virginité soit en payant une grosse somme, soit avec des godes, je suis fière que j’aie été l’élu.
Si elle m’a permis de la déflorer, c’est qu’elle a gardé l’envie que ce soit un homme qui la séduise.
Qu’il lui prouve que c’est tout son être qu’il souhaite aimer et qu’elle souhaite lui donner !
L’attaque qu’elle me porte avec sa bouche ne m’aurait pas autant touché avec une autre femme ce qui m’aurait permis de résister.
Sa bouche et l’ardeur qu’elle met à me branler m’obligent à perdre tout contrôle et la mignonne savoure les longs jets que je propulse dans sa bouche.
Lorsqu’elle a bien dégluti et nettoyé sa queue, je dis bien sa queue elle me regarde avec ses yeux amoureux.
• Quel bon dessert tu m’as offert mon cœur, tu as intérêt à préparer des litres de crèmes, car j’en veux à chaque repas !
Lorsque je parlais d’osmose, nos pensées se croisent, moi par la pensée, elle en le formulant...
Même son lit a été appareillé pour qu’elle garde une certaine autonomie.
Elle attrape la barre et soulève son corps.
Je comprends l’invitation et je me glisse sous elle.
Lorsqu’elle se sent bien placée au-dessus de ma verge que je tiens dans ma main pour qu’elle soit la plus droite possible, elle relâche la barre tout doucement et mon sexe commence à la pénétrer millimètres après millimètres.
• Oh ! oh ! oh ! ah !
De plus en plus rapprochés, sortent de sa gorge.
D’un coup elle lâche presque entièrement son soutien et se retrouve collée à mon ventre.
• Mon amour, je sens que mon hymen a cassé, tu m’as faite femme.
• Oui mon cœur, maintenant que je te pénètre profondément, je vais te faire jouir.
Je la prends sous les aisselles et en la soulevant et le relâchant, je pénètre sa petite chatte de plus en plus fort.
D’une main, je contourne son corps et je recherche son clito qui se rend dès que je le caresse.
De l’autre je récupère son mamelon que je pince jusqu'à ce que la douleur apparaisse.
• Qu’est-ce que tu me fais Christophe, d’un côté du bien sûr mon bouton et de l’autre du mal sur mon sein ?
Tu es machiavélique mon cœur, attends !
Elle se soulève en tirant sur ses bras, prestement elle se retourne entraînant ses jambes et sans que sa chatte n’ait quitté mon sexe, elle se retrouve face à moi.
Ses bras entourent mon cou et sa bouche se souder à la mienne.
Nous nous embrassons pendant de plus longes minutes que la première fois.
Nos sexes restent soudés sans bouger et sans que je débande.
L’amour que l’on se porte à ce moment nous suffit pour que nos corps irradient dans toutes nos fibres.
Je fais travailler les muscles de ma verge, ce qui lui donne de toutes petites secousses que Patou ne peut que sentir dans le sien.
À voir ses réactions, je suis rassuré, un instant j’ai eu peur que le bas de son corps ne ressente pas le plaisir que je veux lui donner.
Ces oh ! oh ! repart de plus belle et d’un seul coup, elle jouit comme elle ne la jamais fait puisque je suis le premier à pénétrer sa grotte féminine.
Cette jouissance est tellement forte et belle qu’elle me fait propulser des jets de spermes au fond de sa grotte.
Je la sens fatigué, je la soulève et je la repose à mon côté où elle s’allonge dans la plénitude que doit ressentir son corps.
Je m’endors la tenant dans mes bras et ma main posée sur le sein que je n’ai pas malmené.
Une fois de plus, je ne sais pas combien de temps nous nous sommes assoupis. Lorsque j’ouvre les yeux elle ouvre les siens.
Je sens que c’est le moment de lui dire la vérité sur ma vie ancienne et future.
• Patou, ma chérie, je voudrais te raconter ce qui m’est arrivé lorsque j’ai décidé de ne pas poursuivre mes études.
Je lui raconte mon dépucelage dans le Doubs avec Chantal…
Je lui explique comment j’ai défloré Malaurie…
Comment nous avons rencontré Ophélie et comment pour jouer avec Malaurie par jeux, elles se sont prostituées au bois de Vincennes ?…
Comment j’ai accepté de travailler avec Christine et que je l’ai baisé au Fouquet’s et chez elle pas plus tard qu’hier ?...
Je lui explique que Malaurie repart à Dijon mutée comme professeur d’anglais...
Je lui explique que j’ai conduit Malaurie chez « maîtresse Chantal » qui la garde en femme soumise jusqu’à dimanche soir où je dois la récupérer...
Je lui explique que ma mère vient de quitter mon père pour partir vivre leur amour avec une femme bafouée par son mari...
Eh bien, sûr pour finir mes débuts comme cover boy chez Christine...
• Dans ton énumération de ce que tu as fait à ton jeune âge, tu oublies mon dépucelage de ce soir.
Pour moi, qui pensais repousser les hommes, William lorsqu’il me raccompagnait, me faisait sentir, ma condition de handicapée, alors que toi, tu m’as montré que j’étais une femme comme une autre.
D’ailleurs tu m’as donné faim et il faut que je me lave, regarde ce que tu as fait à mon minou, j’ai du sperme partout !
Elle a raison, le bas de son corps est constellé de petites taches témoins de la victoire qu’elle a obtenue sur la fatalité de la vie.
Ouf, toutes ses explications toutes plus glissantes les unes que les autres n’ont pas l’air de l’avoir choqué outre mesure.
Que va-t-il se passer lorsque j’aurais le courage de lui avouer mon départ proche ?
Elle est vraiment étonnante ma Patou et quelle bonne comédienne, vu ce qu’elle m’a montré alors qu’elle maitrise son handicap.
Prestement elle saisit sa barre et en deux mouvements elle se trouve assise nue sur son siège.
Elle le manœuvre rapidement jusqu’aux douches.
Elle change de siège pour s’asseoir sur un siège plastique qui ne craint pas l’eau. Prestement elle attache le fauteuil en cuir pour le repousser grâce à une corde, hors des jets et ouvre l’eau sur elle.
« Peux-tu me porter, aide-moi pour ?… »
Avant qu’elle me donne sa virginité elle ne pouvait rien faire sans moi et là, elle me montre toute la tonicité qu’elle conserve en elle.
Je la rejoins et je la lave en m’attardant spécialement sur sa petite chatte.
• Vicieux, tu t’en prends encore à une faible femme !
• Pourquoi encore ?
• Je te fais marcher mon preu chevalier, si tu restes un petit peu près de moi, tu vas voir que j’ai décidé de prendre la vie du bon côté.
Elle profite de notre situation rapprochée pour me saisir la verge et la cacher dans sa bouche.
Comme d’habitude je bande, par chance, j’ai facile à bander !
Doucement je m’écarte et prends son peignoir que je pose sur son dos.
• Je croyais que tu avais faim jeunes filles.
Je n’attends pas qu’elle récupère son fauteuil.
Je la reprends dans mes bras et la porte jusqu'à la table de la partie salle à manger.
Prestement je vais dans le frigo.
Il est copieusement garni.
Je trouve des assiettes des couverts et des verres.
Je trouve une bouteille que j’ouvre et que je mets sur la table.
Je trouve une serviette blanche que je mets sur mon avant-bras et je m’approche nu parfaitement ridicule devant elle.
Je lui sers un verre de ce nectar et je lui présente quelques cochonnailles.
Je me sers, car la faim me tenaille.
Je prends mon verre et je commence à le faire tourner.
Je mire le vin et je bois une gorgée.
• Belle robe, bon goût, tu sais choisir tes vins ma Patou.
Toujours espiègle ma petite.
• Je vois que Christine t’a bien formé, je retrouve tout le décorum qu’elle suit avec les vins.
Nous éclatons de rire.
Le repas se passe très bien, lorsque je passe près d’elle, je n’oublie pas de lui caresser un sein, la nuque, ses cheveux coupés à la garçonne.
Bien sûre, immanquablement elle attrape ma verge et la reprend en bouche.
Cette partie de mon anatomie semble avoir sa préférence.
Je comprends qu’elle en ait rêvé, surtout si mon prédécesseur lui a montré une certaine indifférence, ce qui est loin d’être mon cas.
Il faut toujours qu’elle la cache dans sa bouche.
Elle le croit, car je me développe tellement qu’un tiers de mon sexe la pénètre.
Elle s’aide de la main et arrive à la faire pénétrer aux trois quarts.
Elle la ressort prend une grande goulée d’air et la replace, pousse et arrive à l’avoir entièrement au fond de sa gorge.
Elle recommence l’opération plusieurs fois reprenant son souffle chaque fois.
Je sens qu’elle a envie de goûter mon sperme, elle veut certainement avoir son désert.
Comment lui refuser ce que tous lui ont refusé depuis que sa sexualité a commencé à la travailler !
Une fille de sa classe extrêmement riche avait les moyens de perdre sa virginité soit en payant une grosse somme, soit avec des godes, je suis fière que j’aie été l’élu.
Si elle m’a permis de la déflorer, c’est qu’elle a gardé l’envie que ce soit un homme qui la séduise.
Qu’il lui prouve que c’est tout son être qu’il souhaite aimer et qu’elle souhaite lui donner !
L’attaque qu’elle me porte avec sa bouche ne m’aurait pas autant touché avec une autre femme ce qui m’aurait permis de résister.
Sa bouche et l’ardeur qu’elle met à me branler m’obligent à perdre tout contrôle et la mignonne savoure les longs jets que je propulse dans sa bouche.
Lorsqu’elle a bien dégluti et nettoyé sa queue, je dis bien sa queue elle me regarde avec ses yeux amoureux.
• Quel bon dessert tu m’as offert mon cœur, tu as intérêt à préparer des litres de crèmes, car j’en veux à chaque repas !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une nouvelle fois, merci...Chris
merci magnifique
Simplement merci...Chris
Trop mignon et texte parfait