COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (18/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (18/20)
Une telle fille, certes ayant un handicap fondamental pour bien visible, elle est en fauteuil roulant.
Je dois dire, qu’un instant les mêmes réticences s’impose à moi, lors des années 70 le handicape étant un sujet tabou.
La ville est faite pour les valides, seulement pour eux et Patou a su dépasser ces problèmes.
Comme toutes les femmes, ayant un bon exemple à la maison avec maman, Patou est roublard et en feignant la fatigue arrive à se servir de moi et m’inciter à faire d’elle, une femme.
Je m’assieds et je prends, moi aussi, une grande goulée d’air.
• Patou, ma chérie, je t’ai caché certains détaillent qui vont conditionner ma vie, donc depuis quelques minutes la tienne !
• Je me doute mon cœur, je sais que tu aimes les femmes à moins que tu m’annonces que tu es homosexuel.
• Et alors, une femme, un homme je te promets que la jalousie et moi ça fait deux !
• C’est plus grave que cela mon cœur.
• Es-tu malade ?
• Non, laisse-moi te dire !
• Ça a l’air sérieux, je me tais.
Le moment crucial pour moi qui pour la première fois, même si j’ai aimé Chantal, normal à jamais la première.
Malaurie, j’aurais un doute si je devais faire une hiérarchie, c’est normal, là c’est elle que j’ai dépucelée.
Je mets hors course Ophélie et Christine et l’Anglaise des Champs et Fatou ma doudou, non à cause de leur âge, mais je sais que ce n’est que le sexe qu’il y a entre nous.
J’ai toujours été franc avec toutes ces femmes, j’ai une boule à l’estomac lorsque je dis cette même phrase à Patou.
• Mon cœur, ma chérie, mon amour, ma chérie, je vais te quitter dans trois mois, je me suis engagé dans la marine !
Aussitôt elle éclate en larmes.
Je me lève et m’agenouille à ses pieds.
• J’ignorais que j’allais te rencontrer et il fallait bien que je choisisse un métier.
• As-tu toujours voulu être marin ?
• Non, c’est après avoir vu un copain avec son pompon que j’ai demandé à mes parents de prendre les renseignements afin de m’engager.
• Si c’est ta volonté, je la respecterais, on verra ce que nous décidons dans trois mois, jusque-là promets-moi de m’aimer.
Pour lui prouver, je la porte jusqu’au lit où je lui fais l’amour comme un papa et une maman après de nombreuses années de mariage.
Je lui pénètre sa petite chatte, ma petite chatte tendrement, lentement, profondément, amoureusement.
Un point de détail que je balaye d’un coup de queue un peu plus prononcé.
Toutes les autres femmes, je les ai toutes baisées à un moment dans la position du missionnaire et pour me souder mieux à elle, elles m’ont enserré avec leurs jambes.
Ma petite est dans l’impossibilité d’en faire de même et je m’en contrefiche.
Ses yeux qui se révulsent me font voir que le traitement que je lui applique loin de lui déplaire la transporte jusqu’au firmament de la jouissance.
Combien de temps ai-je dormi ?
Lorsque j’émerge, je suis seul dans le lit.
Je me redresse et elle est la nue sur son fauteuil, un fusain à la main elle effectue des croquis de moi sur un grand cahier à dessin à spirale.
• Ne bouche pas Totof, j’aime cette position, je vois déjà comment je vais te peindre.
• Totof te fait confiance, tu vas bien trouver le moyen de me mettre un œil dans le dos et mon nez sur mon sexe.
• Tiens c’est une idée, je la note, pourquoi pas ton sexe dans ton arrière-train, tu te sodomiserais toi-même.
La nuit commence à tomber par la verrière qui couvre une partie du toit.
C’est croquis terminés, elle fait rouler son fauteuil vers l’établi.
Elle enfile une blouse qui a été blanche et après avoir placé une toile très grande sur un chevalet, je la regarde commencer à tirer des courbes et des droites au crayon.
Appuyé sur les oreillers, je suis fasciné par la vitesse ou il n’y avait que du blanc, l’ébauche de sa création s’esquisse.
Pendant deux heures je la regarde fasciné, je reviens à ces jours derniers, aurais-je eu la moindre chance de voir une œuvre être créé devant mes yeux.
La nuit est entièrement tombée, lorsque d’un coup son bras qui tient une brosse s’affaisse.
Un moment, j’ai l’impression qu’elle était en transe tellement son bras parcourait la toile à une vitesse difficilement explicable.
La manière dont elle s’affaisse sur son siège me donne l’impression d’une poupée gonflable que l’on vient de crever.
Prestement je me lève et je m’approche.
Elle tourne la tête et je croise son regard vide, son travail l’a complètement vidé.
Je lui retire sa blouse, je la prends dans mes bras ma main sous ses fesses et je la porte sous la douche.
Je tire sur l’une des chaînes d’un pommeau de douche et l’eau se déverse sur nous.
Comme Patou me tient par le cou je peux libérer l’une de mes mains et je récupère sur la tablette le savon !
Je lui en passe sur toutes les parties du corps que je peux atteindre.
Il est sûr qu’une partie de son corps ne peut pas m’aider principalement lorsque j’essaye de passer mes doigts dans son intimité.
La chaise de douche est placée sous un autre pommeau, je m’assois en la gardant sur mes genoux.
Dans cette position plus à l’aise pour moi, je continue à la savonner et j’arrive à insérer ma main dans sa fourche.
Plus je la caresse et plus elle reprend vie.
L’eau que j’ai redémarrée, pour nous rincer, ruisselle sur nos corps.
Le frottement que je prodigue à la chatte de ma puce si elle commence à lui faire de l’effet est loin de me laisser indifférent.
Sous les fesses de la petite, ma queue se développe.
Elle est obligée de la sentir.
Je suis tellement comprimé par son poids même si léger, que je sens ses fesses me comprimer.
Elle se laisse glisser, sa tête vient entre mes jambes, que j’écarte et sa bouche vient divinement me faire une très belle fellation.
Si le bas de son corps est inerte, étant assis comme la petite sirène de Copenhague, le haut de son corps se démène sur ma queue.
Étant à la limite d’exploser dans sa bouche, je la soulève, un regard de reproche me fait penser qu’elle voulait me boire.
J’ose lui prendre délicatement une jambe et l’écarter.
Je fais de même avec l’autre toujours avec un soin méticuleux.
J’ignore ce que Patou peut penser de mes gestes, tout ce que je constate, c’est qu’elle tourne la tête et me fait virevolter sa langue au fond de ma bouche.
Quand elle se trouve libérée, ma verge sort fièrement tendue entre les cuisses de ma dame.
En même temps qu’elle s’occupe de ma langue, sa main descend sur ma verge qu’elle saisit et la fait entrer dans son vagin.
Son baiser m’accapare tellement que j’oublie de la saisir par les hanches pour la clouer sur mon pieu.
D’un seul coup alors que je pensais que cela était impossible après l’accident ses muscles vaginaux commencent à se resserrer autour de ma verge.
Je n’ai pas besoin de bouger et nous jouissons en même temps.
Voyant mon étonnement à ce qui vient de se passer, Patou se sent obligé de parler de ce que son corps à subit lors de l’accident.
J’évite de rentrer dans les détails de ses explications.
Je ne suis pas médecin et je ne voudrais pas rapporter ses propos de travers.
L’une des deux choses principales que je retiens c’est que ce sont ses jambes qui ont arrêté de fonctionner et le docteur est formel, elle pourra avoir des enfants avec une surveillance accrue.
Ces explications alors que ma bite n’a pas débandé assis sur cette chaise en plastique, sous un pommeau qui a arrêté de couler dans les douches d’un ancien garage, me semblent irréelles.
Je veux garder mon sperme, car la petite dévoreuse que j’ai dans mes bras me donne l’impression de vouloir m’assécher !
Ce qu’il y a de bien avec les dépendances de l’atelier de Patou, c’est que l’on peut baiser et se doucher sans changer de secteur.
Le plus dur, c’est de récupérer les serviettes sèches pour nous sécher.
Lorsque je la porte sur le lit, nous sommes encore un peu mouillés, dès que je l’ai installé ses yeux se fermant, je m’allonge à ses côtés.
C’est la faim qui me réveille. Patou dort toujours sur le dos, position qu’elle est obligée de subir tout le temps dans son lit.
Elle a tiré un drap sur nous, elle a dû se servir de sa barre pour le récupérer me montrant que s’était bien du cinéma pour voir comment je réagirais.
Je penche ma tête et dépose un baiser sur son mont de Vénus.
En faisant ce geste, je m’aperçois que c’est cette partie de son corps que j’aime le plus.
Ses seins ont l’air jaloux de l’attention que je porte à la partie la plus charnue de son intimité, semble, la faire réagir.
Elle chasse l’air comme si elle le faisait avec une mouche, j’évite sa main qui passe dans le vide, mais je recommence m’amusant de sa réaction.
Je prends le plus près dans ma bouche et l’envie me prend de le mordre légèrement.
Je repousse cette opération à plus tard ne souhaitant pas réveiller mon bébé qui risquerait de vouloir dès ce matin abuser de mon corps.
Je me dégage doucement et je vais préparer le déjeuner en me dirigeant vers le coin cuisine.
Je ne sais pas ce qu’elle mange le matin.
J’ouvre un à un les placards et je trouve de tous pour pouvoir assouvir mon appétit d’ogre.
Sur la table je prépare du café, du thé, du lait avec des sachets de chocolat.
Pour le solide je trouve des croissants congelés que je m’empresse de mettre au four.
J’ai du mal avec lui, chez nous ou chez Malaurie, c’est maman ou ma maîtresse qui me préparaient de quoi me substanter.
Bien sûr, il y a de la confiture, du miel et du sucre que je place sur le plateau qui lui se trouvait sur le plan de travail.
Alors que j’ai la tête dans le four, une bonne odeur de croissant chaud envahissant l’atelier, je suis apostrophé.
• J’ai faim, j’ai faim, j’ai faim, as manger sinon je mange le chat, tu m’as donné faim !...
Je dois dire, qu’un instant les mêmes réticences s’impose à moi, lors des années 70 le handicape étant un sujet tabou.
La ville est faite pour les valides, seulement pour eux et Patou a su dépasser ces problèmes.
Comme toutes les femmes, ayant un bon exemple à la maison avec maman, Patou est roublard et en feignant la fatigue arrive à se servir de moi et m’inciter à faire d’elle, une femme.
Je m’assieds et je prends, moi aussi, une grande goulée d’air.
• Patou, ma chérie, je t’ai caché certains détaillent qui vont conditionner ma vie, donc depuis quelques minutes la tienne !
• Je me doute mon cœur, je sais que tu aimes les femmes à moins que tu m’annonces que tu es homosexuel.
• Et alors, une femme, un homme je te promets que la jalousie et moi ça fait deux !
• C’est plus grave que cela mon cœur.
• Es-tu malade ?
• Non, laisse-moi te dire !
• Ça a l’air sérieux, je me tais.
Le moment crucial pour moi qui pour la première fois, même si j’ai aimé Chantal, normal à jamais la première.
Malaurie, j’aurais un doute si je devais faire une hiérarchie, c’est normal, là c’est elle que j’ai dépucelée.
Je mets hors course Ophélie et Christine et l’Anglaise des Champs et Fatou ma doudou, non à cause de leur âge, mais je sais que ce n’est que le sexe qu’il y a entre nous.
J’ai toujours été franc avec toutes ces femmes, j’ai une boule à l’estomac lorsque je dis cette même phrase à Patou.
• Mon cœur, ma chérie, mon amour, ma chérie, je vais te quitter dans trois mois, je me suis engagé dans la marine !
Aussitôt elle éclate en larmes.
Je me lève et m’agenouille à ses pieds.
• J’ignorais que j’allais te rencontrer et il fallait bien que je choisisse un métier.
• As-tu toujours voulu être marin ?
• Non, c’est après avoir vu un copain avec son pompon que j’ai demandé à mes parents de prendre les renseignements afin de m’engager.
• Si c’est ta volonté, je la respecterais, on verra ce que nous décidons dans trois mois, jusque-là promets-moi de m’aimer.
Pour lui prouver, je la porte jusqu’au lit où je lui fais l’amour comme un papa et une maman après de nombreuses années de mariage.
Je lui pénètre sa petite chatte, ma petite chatte tendrement, lentement, profondément, amoureusement.
Un point de détail que je balaye d’un coup de queue un peu plus prononcé.
Toutes les autres femmes, je les ai toutes baisées à un moment dans la position du missionnaire et pour me souder mieux à elle, elles m’ont enserré avec leurs jambes.
Ma petite est dans l’impossibilité d’en faire de même et je m’en contrefiche.
Ses yeux qui se révulsent me font voir que le traitement que je lui applique loin de lui déplaire la transporte jusqu’au firmament de la jouissance.
Combien de temps ai-je dormi ?
Lorsque j’émerge, je suis seul dans le lit.
Je me redresse et elle est la nue sur son fauteuil, un fusain à la main elle effectue des croquis de moi sur un grand cahier à dessin à spirale.
• Ne bouche pas Totof, j’aime cette position, je vois déjà comment je vais te peindre.
• Totof te fait confiance, tu vas bien trouver le moyen de me mettre un œil dans le dos et mon nez sur mon sexe.
• Tiens c’est une idée, je la note, pourquoi pas ton sexe dans ton arrière-train, tu te sodomiserais toi-même.
La nuit commence à tomber par la verrière qui couvre une partie du toit.
C’est croquis terminés, elle fait rouler son fauteuil vers l’établi.
Elle enfile une blouse qui a été blanche et après avoir placé une toile très grande sur un chevalet, je la regarde commencer à tirer des courbes et des droites au crayon.
Appuyé sur les oreillers, je suis fasciné par la vitesse ou il n’y avait que du blanc, l’ébauche de sa création s’esquisse.
Pendant deux heures je la regarde fasciné, je reviens à ces jours derniers, aurais-je eu la moindre chance de voir une œuvre être créé devant mes yeux.
La nuit est entièrement tombée, lorsque d’un coup son bras qui tient une brosse s’affaisse.
Un moment, j’ai l’impression qu’elle était en transe tellement son bras parcourait la toile à une vitesse difficilement explicable.
La manière dont elle s’affaisse sur son siège me donne l’impression d’une poupée gonflable que l’on vient de crever.
Prestement je me lève et je m’approche.
Elle tourne la tête et je croise son regard vide, son travail l’a complètement vidé.
Je lui retire sa blouse, je la prends dans mes bras ma main sous ses fesses et je la porte sous la douche.
Je tire sur l’une des chaînes d’un pommeau de douche et l’eau se déverse sur nous.
Comme Patou me tient par le cou je peux libérer l’une de mes mains et je récupère sur la tablette le savon !
Je lui en passe sur toutes les parties du corps que je peux atteindre.
Il est sûr qu’une partie de son corps ne peut pas m’aider principalement lorsque j’essaye de passer mes doigts dans son intimité.
La chaise de douche est placée sous un autre pommeau, je m’assois en la gardant sur mes genoux.
Dans cette position plus à l’aise pour moi, je continue à la savonner et j’arrive à insérer ma main dans sa fourche.
Plus je la caresse et plus elle reprend vie.
L’eau que j’ai redémarrée, pour nous rincer, ruisselle sur nos corps.
Le frottement que je prodigue à la chatte de ma puce si elle commence à lui faire de l’effet est loin de me laisser indifférent.
Sous les fesses de la petite, ma queue se développe.
Elle est obligée de la sentir.
Je suis tellement comprimé par son poids même si léger, que je sens ses fesses me comprimer.
Elle se laisse glisser, sa tête vient entre mes jambes, que j’écarte et sa bouche vient divinement me faire une très belle fellation.
Si le bas de son corps est inerte, étant assis comme la petite sirène de Copenhague, le haut de son corps se démène sur ma queue.
Étant à la limite d’exploser dans sa bouche, je la soulève, un regard de reproche me fait penser qu’elle voulait me boire.
J’ose lui prendre délicatement une jambe et l’écarter.
Je fais de même avec l’autre toujours avec un soin méticuleux.
J’ignore ce que Patou peut penser de mes gestes, tout ce que je constate, c’est qu’elle tourne la tête et me fait virevolter sa langue au fond de ma bouche.
Quand elle se trouve libérée, ma verge sort fièrement tendue entre les cuisses de ma dame.
En même temps qu’elle s’occupe de ma langue, sa main descend sur ma verge qu’elle saisit et la fait entrer dans son vagin.
Son baiser m’accapare tellement que j’oublie de la saisir par les hanches pour la clouer sur mon pieu.
D’un seul coup alors que je pensais que cela était impossible après l’accident ses muscles vaginaux commencent à se resserrer autour de ma verge.
Je n’ai pas besoin de bouger et nous jouissons en même temps.
Voyant mon étonnement à ce qui vient de se passer, Patou se sent obligé de parler de ce que son corps à subit lors de l’accident.
J’évite de rentrer dans les détails de ses explications.
Je ne suis pas médecin et je ne voudrais pas rapporter ses propos de travers.
L’une des deux choses principales que je retiens c’est que ce sont ses jambes qui ont arrêté de fonctionner et le docteur est formel, elle pourra avoir des enfants avec une surveillance accrue.
Ces explications alors que ma bite n’a pas débandé assis sur cette chaise en plastique, sous un pommeau qui a arrêté de couler dans les douches d’un ancien garage, me semblent irréelles.
Je veux garder mon sperme, car la petite dévoreuse que j’ai dans mes bras me donne l’impression de vouloir m’assécher !
Ce qu’il y a de bien avec les dépendances de l’atelier de Patou, c’est que l’on peut baiser et se doucher sans changer de secteur.
Le plus dur, c’est de récupérer les serviettes sèches pour nous sécher.
Lorsque je la porte sur le lit, nous sommes encore un peu mouillés, dès que je l’ai installé ses yeux se fermant, je m’allonge à ses côtés.
C’est la faim qui me réveille. Patou dort toujours sur le dos, position qu’elle est obligée de subir tout le temps dans son lit.
Elle a tiré un drap sur nous, elle a dû se servir de sa barre pour le récupérer me montrant que s’était bien du cinéma pour voir comment je réagirais.
Je penche ma tête et dépose un baiser sur son mont de Vénus.
En faisant ce geste, je m’aperçois que c’est cette partie de son corps que j’aime le plus.
Ses seins ont l’air jaloux de l’attention que je porte à la partie la plus charnue de son intimité, semble, la faire réagir.
Elle chasse l’air comme si elle le faisait avec une mouche, j’évite sa main qui passe dans le vide, mais je recommence m’amusant de sa réaction.
Je prends le plus près dans ma bouche et l’envie me prend de le mordre légèrement.
Je repousse cette opération à plus tard ne souhaitant pas réveiller mon bébé qui risquerait de vouloir dès ce matin abuser de mon corps.
Je me dégage doucement et je vais préparer le déjeuner en me dirigeant vers le coin cuisine.
Je ne sais pas ce qu’elle mange le matin.
J’ouvre un à un les placards et je trouve de tous pour pouvoir assouvir mon appétit d’ogre.
Sur la table je prépare du café, du thé, du lait avec des sachets de chocolat.
Pour le solide je trouve des croissants congelés que je m’empresse de mettre au four.
J’ai du mal avec lui, chez nous ou chez Malaurie, c’est maman ou ma maîtresse qui me préparaient de quoi me substanter.
Bien sûr, il y a de la confiture, du miel et du sucre que je place sur le plateau qui lui se trouvait sur le plan de travail.
Alors que j’ai la tête dans le four, une bonne odeur de croissant chaud envahissant l’atelier, je suis apostrophé.
• J’ai faim, j’ai faim, j’ai faim, as manger sinon je mange le chat, tu m’as donné faim !...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Nico
Je suis contant de l'avoir écrite...
Je suis contant de l'avoir écrite...
Un beau moment dans cette longue histoire très sympa par ailleurs
Nico
Nico