COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (19/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (19/20)
• J’ai faim, j’ai faim, j’ai faim, as manger sinon je mange le chat, tu m’as donné faim !
Le tout ponctué du bruit des couverts qu’elle tape en rythme sur la table.
Elle est arrivée plus rapide que l’éclair sur son fauteuil du lit à la table.
Pour aller plus vite à la servir je me brûle avec un croissant.
Un seul doute, le chat, depuis que je suis arrivé, je n’ai pas vu la queue d’un alors que Patou a bien vue la mienne.
Je parle de ma queue bien sûre.
• Aie !
• Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
• Je me suis brûlé !
• Mon pauvre chéri, habit toi je t’emmène aux urgences.
• Rigole, j’ai mal au bout du doigt maintenant.
• Viens me voir, je vais te soigner !
Je dépose les croissants, elle me saisit la main et suce consciencieusement mon doigt.
Erreur de sa part, je me suis brûlé le majeur, elle me suce l’annulaire droit.
• Tu ferais un sacré médecin, c’est l’autre main que je me suis brûlée et c’est l’annulaire et non le majeur.
• Donne-la-moi !
• Non tu serais capable de prendre ton couteau pour me la couper.
• Oui et après la cuire et la manger !
• Cuire, c’est inutile, c’est déjà fait !
Nous nous installons à table, je sais où elle mange, c’est la ou la place du fauteuil lui est réservée, nous commençons à manger.
Je prends conscience de l’importance du fauteuil dans la vie de ma petite puce.
• Ta bien travaillé mon cœur, mais tu as oublié la seule chose que je bois le matin, mon jus d’orange.
• Ce n’est pas marqué sur la fiche que j’ai consultée.
• La fiche ou as-tu vu une fiche ?
• Sur ce tableau près du four, je la consultais lorsque je me suis brûlé.
• Très bien remarquer, mon cœur, j’avais oublié ce détail, tu as l’œil pour voir tout ce qu’il y a d’intéressant dans mes tableaux.
Celui dont elle parle, c’est pire que l’un des Picasso, mais ça semble valoir son paquet de fric.
Comme un petit toutou docile que je suis devenu je vais prestement le récupérer le jus d’orange dans le frigo.
J’ai une pensée pour maman partie pour une nouvelle vie, à la maison, à aucun moment, même pour la soulager, l’idée d’aller chercher quelque chose dans le frigo me vient à l’esprit.
Chez moi, les garçons sont servis et les femmes considérées comme leur bonne.
• Assez mangé, je vais me préparer, le kiné va venir s’occuper de moi.
Je me dépêche d’enfiler un caleçon et je trouve étrange que Patou s’allonge nu sur son lit.
Le kiné aurait-il la chance de voir mon pinçon nu tous les jours ?
Deviendrais-je jaloux ?
Alors que je m’installe dans un fauteuil, la porte du logement s’ouvre et une jolie blonde apparaît.
• Bonjour comment allez-vous ?
D’un bon je me lève et je m’avance vers cette femme aussi pétillante que Patou.
Il me faut quelques secondes pour m’apercevoir que je suis presque nue en face de cette magnifique créature.
Comme d’habitude, ma verge devient trop grosse dans mon boxer.
Je suis persuadé que la demoiselle ne remarque rien des sentiments que sa beauté m’inspire
• Christophe, Vicky, Vicky Christophe !
C’est de son lit que Pat vient de nous présenter.
Ma jalousie tombe d’un coup lorsque je prends conscience que c’est une femme qui va être en tête-à-tête avec ma petite.
Elle s’approche du lit, tire un rideau que je n’avais pas remarqué car roulé sur un poteau et qui isole la cellule chambre du reste du garage.
Je ne sais pas ce qu’elle se dise, car elle murmure.
Des mots proviennent à mes oreilles, « sexe, péné… » sans entendre la fin.
Je décide de les laisser se faire des confidences sur ce beau mâle qui a osé aimer cette jeune femme qui s’appelle Patricia mais que tout le monde appelle Patou.
Je remets mon pantalon et un pull pour être plus décent.
Je prends le téléphone pour appeler Chantal, pour voir si tout va bien avec Malaurie, que je lui ai confié.
J’hésite à faire le numéro de peur de finir par la déranger.
J’ai dans la main un deuxième numéro, c’est celui de ma mère chez sa copine dans le sud.
Je l’appelle pour savoir la tournure que prend son départ de la maison.
Ça sonne, c’est Isis qui décroche.
• Isis, c’est Christophe.
• Je suis contente de t’entendre, comment ça va ?
• Oui très bien et vous ?
• Depuis que je suis avec ta maman, je vis un rêve, je te la passe !
Trente secondes et elle est là.
J’entends le bruit que fait un baiser, qui m’aurait dit, il y a quelques jours qu’à notre époque pleine de préjugés, j’entendrais celle qui m’a mis au monde embrasser une autre femme.
• Chéri, j’étais dans la salle de bain, je suis accourue lorsque j’ai compris que c’était toi qui appelais.
J’ai essayé de te joindre, ça sonnait sans fin, je n’avais aucun point de chute,
J’étais angoissé, car la voisine m’a appelé hier et une lettre de la marine est arrivée.
Comme avant de partir, je lui avais donné mes coordonnées et comme elle a les clefs, je lui ai demandé de la récupérer et de me la lire !
Tu es convoqué mardi 14 heures caserne de la pépinière à Paris dans le VIIIe arrondissement, pour une visite médicale et des tests psychologiques.
• Merci, j’y serais, et papa as-tu des nouvelles !
• La voisine m’a dit qu’elle avait entendu du bruit au matin, mais qu’elle n’avait constaté les dégâts qu’il avait faits que dans l’après-midi pensant qu’il dormait.
Arrête, mon fils va s’imaginer.
Même si elle a mis sa main sur le combiné, j’entends cette phrase, sans aucune ambiguïté.
• Maman, j’ai entendu, soit sans crainte, j’ai beaucoup appris ces jours derniers, si tu étais dans la salle de bain, tu as dû accourir peu vêtu et Isis sait s’occuper de toi.
Profites-en !
• Tu me fais rougir mon fils, tu sais, j’ai toujours été franche avec toi, mais parler de ta sexualité pour moi c’est facile, mais de la mienne surtout avec Isis, j’ai plus de mal.
Christophe, ta maman apprend très vite les amours féminins soit sans crainte.
Ça se chamaille dans la chambre, mais maman semble avoir pris le dessus.
• Chéri, Isis est parti à son tour dans la salle de bains, je peux te raconter la suite.
À quinze heures comme rien ne bougeait, Simone notre voisine s’est risqué à entrer.
La maison était dans un état impossible, dans la salle les chaises et les fauteuils étaient couchés au sol.
Il y en avait deux de casser comme s’il en avait pris une pour taper sur l’autre, mais aucune trace de ton père.
Elle est même descendue dans la cave et le garage de peur de le retrouver pendu.
Il n’en était rien, mais la voiture n’était plus là.
Elle a eu la peur de sa vie.
J’ai appelé la police qui est venue constater l’état du pavillon, Simone là encore, les a reçus.
• Si je comprends bien il nous faut attendre la suite !
Prends le numéro d’où je téléphone, je suis chez une nouvelle copine pour un certain temps.
• As-tu quitté Malaurie ?
• Non mais c’est trop compliqué, je t’expliquerais tout à ton retour.
• Tant que je n’ai pas de nouvelle de ton père, il n’est pas question que nous remontions.
Tu sais la maison d’Isis est magnifiquement placée et le soleil de décembre nous fait du bien.
C’est dommage que ce soit l’hiver, de la chambre où je suis-je vois une magnifique piscine, mais je pense que pour moi l’eau doit être glacée.
Tu te souviens, nos vacances à Royan, l’eau avoisinait les 25 et il me fallait plus de dix minutes pour entrer.
Christophe, je vais t’avouer quelque chose que tu dois savoir, j’espère que ça ne te choquera pas, Isis et moi nous nous aimons.
• J’avais compris inutile de me faire un dessin maman, bise à vous deux, éclatez-vous, faite vous du bien, sucez-vous bien les chattes mes salopes.
En même temps que je prononce ces mots, je vois la portée de mes propos, plein d’irrespect pour celle qui m’a porté neuf mois.
• Christophe, c’est à ta mère que tu parles.
• Tu es peut-être ma mère, mais tu n’en restes pas moins une belle salope et tu as raison de l’être.
Maman, la vie est si courte, profitée en a fond, je t’aime maman et Isis aussi, mais comme un fils pour toutes les deux.
• Merci mon grand, mardi 14 heures, tu y pense !
Et elle raccroche...
Le tout ponctué du bruit des couverts qu’elle tape en rythme sur la table.
Elle est arrivée plus rapide que l’éclair sur son fauteuil du lit à la table.
Pour aller plus vite à la servir je me brûle avec un croissant.
Un seul doute, le chat, depuis que je suis arrivé, je n’ai pas vu la queue d’un alors que Patou a bien vue la mienne.
Je parle de ma queue bien sûre.
• Aie !
• Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
• Je me suis brûlé !
• Mon pauvre chéri, habit toi je t’emmène aux urgences.
• Rigole, j’ai mal au bout du doigt maintenant.
• Viens me voir, je vais te soigner !
Je dépose les croissants, elle me saisit la main et suce consciencieusement mon doigt.
Erreur de sa part, je me suis brûlé le majeur, elle me suce l’annulaire droit.
• Tu ferais un sacré médecin, c’est l’autre main que je me suis brûlée et c’est l’annulaire et non le majeur.
• Donne-la-moi !
• Non tu serais capable de prendre ton couteau pour me la couper.
• Oui et après la cuire et la manger !
• Cuire, c’est inutile, c’est déjà fait !
Nous nous installons à table, je sais où elle mange, c’est la ou la place du fauteuil lui est réservée, nous commençons à manger.
Je prends conscience de l’importance du fauteuil dans la vie de ma petite puce.
• Ta bien travaillé mon cœur, mais tu as oublié la seule chose que je bois le matin, mon jus d’orange.
• Ce n’est pas marqué sur la fiche que j’ai consultée.
• La fiche ou as-tu vu une fiche ?
• Sur ce tableau près du four, je la consultais lorsque je me suis brûlé.
• Très bien remarquer, mon cœur, j’avais oublié ce détail, tu as l’œil pour voir tout ce qu’il y a d’intéressant dans mes tableaux.
Celui dont elle parle, c’est pire que l’un des Picasso, mais ça semble valoir son paquet de fric.
Comme un petit toutou docile que je suis devenu je vais prestement le récupérer le jus d’orange dans le frigo.
J’ai une pensée pour maman partie pour une nouvelle vie, à la maison, à aucun moment, même pour la soulager, l’idée d’aller chercher quelque chose dans le frigo me vient à l’esprit.
Chez moi, les garçons sont servis et les femmes considérées comme leur bonne.
• Assez mangé, je vais me préparer, le kiné va venir s’occuper de moi.
Je me dépêche d’enfiler un caleçon et je trouve étrange que Patou s’allonge nu sur son lit.
Le kiné aurait-il la chance de voir mon pinçon nu tous les jours ?
Deviendrais-je jaloux ?
Alors que je m’installe dans un fauteuil, la porte du logement s’ouvre et une jolie blonde apparaît.
• Bonjour comment allez-vous ?
D’un bon je me lève et je m’avance vers cette femme aussi pétillante que Patou.
Il me faut quelques secondes pour m’apercevoir que je suis presque nue en face de cette magnifique créature.
Comme d’habitude, ma verge devient trop grosse dans mon boxer.
Je suis persuadé que la demoiselle ne remarque rien des sentiments que sa beauté m’inspire
• Christophe, Vicky, Vicky Christophe !
C’est de son lit que Pat vient de nous présenter.
Ma jalousie tombe d’un coup lorsque je prends conscience que c’est une femme qui va être en tête-à-tête avec ma petite.
Elle s’approche du lit, tire un rideau que je n’avais pas remarqué car roulé sur un poteau et qui isole la cellule chambre du reste du garage.
Je ne sais pas ce qu’elle se dise, car elle murmure.
Des mots proviennent à mes oreilles, « sexe, péné… » sans entendre la fin.
Je décide de les laisser se faire des confidences sur ce beau mâle qui a osé aimer cette jeune femme qui s’appelle Patricia mais que tout le monde appelle Patou.
Je remets mon pantalon et un pull pour être plus décent.
Je prends le téléphone pour appeler Chantal, pour voir si tout va bien avec Malaurie, que je lui ai confié.
J’hésite à faire le numéro de peur de finir par la déranger.
J’ai dans la main un deuxième numéro, c’est celui de ma mère chez sa copine dans le sud.
Je l’appelle pour savoir la tournure que prend son départ de la maison.
Ça sonne, c’est Isis qui décroche.
• Isis, c’est Christophe.
• Je suis contente de t’entendre, comment ça va ?
• Oui très bien et vous ?
• Depuis que je suis avec ta maman, je vis un rêve, je te la passe !
Trente secondes et elle est là.
J’entends le bruit que fait un baiser, qui m’aurait dit, il y a quelques jours qu’à notre époque pleine de préjugés, j’entendrais celle qui m’a mis au monde embrasser une autre femme.
• Chéri, j’étais dans la salle de bain, je suis accourue lorsque j’ai compris que c’était toi qui appelais.
J’ai essayé de te joindre, ça sonnait sans fin, je n’avais aucun point de chute,
J’étais angoissé, car la voisine m’a appelé hier et une lettre de la marine est arrivée.
Comme avant de partir, je lui avais donné mes coordonnées et comme elle a les clefs, je lui ai demandé de la récupérer et de me la lire !
Tu es convoqué mardi 14 heures caserne de la pépinière à Paris dans le VIIIe arrondissement, pour une visite médicale et des tests psychologiques.
• Merci, j’y serais, et papa as-tu des nouvelles !
• La voisine m’a dit qu’elle avait entendu du bruit au matin, mais qu’elle n’avait constaté les dégâts qu’il avait faits que dans l’après-midi pensant qu’il dormait.
Arrête, mon fils va s’imaginer.
Même si elle a mis sa main sur le combiné, j’entends cette phrase, sans aucune ambiguïté.
• Maman, j’ai entendu, soit sans crainte, j’ai beaucoup appris ces jours derniers, si tu étais dans la salle de bain, tu as dû accourir peu vêtu et Isis sait s’occuper de toi.
Profites-en !
• Tu me fais rougir mon fils, tu sais, j’ai toujours été franche avec toi, mais parler de ta sexualité pour moi c’est facile, mais de la mienne surtout avec Isis, j’ai plus de mal.
Christophe, ta maman apprend très vite les amours féminins soit sans crainte.
Ça se chamaille dans la chambre, mais maman semble avoir pris le dessus.
• Chéri, Isis est parti à son tour dans la salle de bains, je peux te raconter la suite.
À quinze heures comme rien ne bougeait, Simone notre voisine s’est risqué à entrer.
La maison était dans un état impossible, dans la salle les chaises et les fauteuils étaient couchés au sol.
Il y en avait deux de casser comme s’il en avait pris une pour taper sur l’autre, mais aucune trace de ton père.
Elle est même descendue dans la cave et le garage de peur de le retrouver pendu.
Il n’en était rien, mais la voiture n’était plus là.
Elle a eu la peur de sa vie.
J’ai appelé la police qui est venue constater l’état du pavillon, Simone là encore, les a reçus.
• Si je comprends bien il nous faut attendre la suite !
Prends le numéro d’où je téléphone, je suis chez une nouvelle copine pour un certain temps.
• As-tu quitté Malaurie ?
• Non mais c’est trop compliqué, je t’expliquerais tout à ton retour.
• Tant que je n’ai pas de nouvelle de ton père, il n’est pas question que nous remontions.
Tu sais la maison d’Isis est magnifiquement placée et le soleil de décembre nous fait du bien.
C’est dommage que ce soit l’hiver, de la chambre où je suis-je vois une magnifique piscine, mais je pense que pour moi l’eau doit être glacée.
Tu te souviens, nos vacances à Royan, l’eau avoisinait les 25 et il me fallait plus de dix minutes pour entrer.
Christophe, je vais t’avouer quelque chose que tu dois savoir, j’espère que ça ne te choquera pas, Isis et moi nous nous aimons.
• J’avais compris inutile de me faire un dessin maman, bise à vous deux, éclatez-vous, faite vous du bien, sucez-vous bien les chattes mes salopes.
En même temps que je prononce ces mots, je vois la portée de mes propos, plein d’irrespect pour celle qui m’a porté neuf mois.
• Christophe, c’est à ta mère que tu parles.
• Tu es peut-être ma mère, mais tu n’en restes pas moins une belle salope et tu as raison de l’être.
Maman, la vie est si courte, profitée en a fond, je t’aime maman et Isis aussi, mais comme un fils pour toutes les deux.
• Merci mon grand, mardi 14 heures, tu y pense !
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