COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,1)
Je viens de réussir mon premier exploit sexuel, espérant que ce sera loin d’être le dernier, j’entre à la maison, ouf, mon père est déjà parti à son travail.
Il est de poste de nuit.

• Où étais-tu ?
• Après l’école j’étais chez Pierre.
• Tu sais que j’ai horreur que tu mens.
• Pourquoi ?
• Je suis allé faire des cours et je suis passée par ton collège pour te ramener. J’ai croisé Pierre qui m’a dit que tu étais absent tout l’après-midi, il pensait que tu avais séché, tu sais que si ton père le sait, ce sera encore moi qui devrais assumer tes conneries.
Tu le fais exprès, avant de partir, il m’a dit de te refuser de te faire à manger, qui dort dîne.

Je cherche le moyen de trouver une explication plausible et je sens qu’il est préférable de lui dire la vérité.

• J’ai passé l’après-midi chez une copine.
• Dis-moi que vous avez enfilé des perles.
• Non j’ai fini dans son lit.
• Enfiler des perles, Christophe, est une façon polie pour une maman de demander à son fils, s’il a fait l’amour avec cette petite !
Elle est jeune !
• Non, elle a vingt-six ans.
• C’est bien, tu aimes les femmes d’expérience !
• Non elle était vierge !
• À vingt-six ans ?
• Oui elle a préféré étudier que de s’amuser afin d’avoir son CAPES.
• Est-elle professeure ?

Je vois que je me suis fait piéger, je dois lui dire la vérité.

• C’est ma professeure d’anglais.
• La jolie femme qui dirigeait la réunion des parents d’élèves avec des lunettes noires et un chignon ?
• Oui ma professeure principale !

Je m’aperçois qu’elle a du mal à se situer, entre me blâmer ou de me féliciter.

• Ça s’est bien passé !
• Maman, tu me gênes, oui très bien !
• Tu as été cool, tu sais-nous les femmes somment sensible à la douceur surtout la première fois.
• Si tu veux tout savoir, j’ai réussi à lui faire prendre son plaisir dès la première fois.
• Ces parfait mon fils, je suis fière de toi, sinon tu n’as pas eu de problème de tout l’après-midi.
• Si je réfléchis bien, quelque chose m’a étonné !
• Acceptes-tu de m’en dire plus, je pourrais peut-être te renseigner ?
• Chaque fois qu'elle jouissait, sa chatte éjectait du liquide.
• Ta professeure est une « femme fontaine » et des glandes internes ont la particularité d’envoyer des petits jets hors de sa vulve lorsque son plaisir est à son comble.
Certaines personnes aiment boire ces petits jets, moi je n’ai jamais bien apprécié !
• Comment que me dis-tu, tu as été avec des femmes
• Puisque tu as été franc, je vais l’être aussi, avant ton père j’ai vécu deux ans avec une amie d’école.
Nous étions amoureuses et lors de nos jeux, presque chaque fois, j’avais droit à une petite douche lorsque je la faisais jouir.
• Tu étais lesbienne !
• Si tu veux, mais dès que j’ai connu ton père, il m’a fait apprécier les plaisirs que donne une bonne virilité.
J’ai quitté mon amie et elle a déménagé, je ne l'ai jamais revue.
Vous-vous revoyez quand ?
Au collège demain et samedi après midi chez elle !
• Tiens voilà cent francs, apporte-lui un cadeau.
Du parfum par exemple, les femmes adorent cela.
• Merci pour ta franchise, j’étais loin de penser que tu avais réussi à faire l’amour avec une autre femme !

Je vais me coucher, cette révélation et Malaurie m’ont épuisé.
Je monte dans ma chambre et je m’endors immédiatement.
Le lendemain, je suis en classe bien à l’heure, je suis passé signé ma feuille d’absence.

Nous avons cours avec Malaurie dans la dernière heure de la matinée.
Lorsqu’elle entre en classe, deux de mes demandes ont été respectées.
Elle a enlevé ses lunettes et libéré ses cheveux.
Hélas, elle a contourné ma demande si le chignon n’est plus là, elle n’a pas eu le courage de laisser ses cheveux longs en allant chez le coiffeur.
Il lui a enlevé deux tiers de cette magnifique chevelure que j’ai eu le plaisir de faire tomber en cascade sur ses épaules.
Elle a désespérément attendu que je lui marque un peu d’intérêt tout le long du cours.
J’ai passé la plus grande partie du temps à lire ostensiblement le livre d’anglais que je n’avais jamais ouvert depuis le début de l’année.

• Christophe, venez au tableau.

Je rejoins l’estrade, je prends une craie.

• Écrivez, vos noms, prénoms et trois lignes sur vos goûts en anglais, bien sûr.

Je commence à écrire, car même si je suis un cancre, l’anglais est la seule matière où j’obtiens largement la moyenne.

Pour suivre ce que j’écris, elle a tourné sa chaise vers moi, le bureau cache le bas de son corps à l’ensemble de la classe.
Je finis d’écrire ce qu’elle m’a demandé, au moment où je pose la craie et que je me retourne, la vision qu’elle me présente démarre ma verge dans mon pantalon !
Sa jupe relevée juste ce qu’il faut me permet de voir sa chatte, en plus de se faire couper les cheveux, elle s’est faite ou elle s’est rasé la minette.
Elle me présente un abricot bien lisse fort appétissant.
Pour éviter d’éveiller les soupçons des autres élèves, je redescends à ma place sans lui jeter le plus petit regard.

Fin du cours, tous se lèvent et sortent.

• Christophe, veuillez rester, j’ai encore besoin de renseignements.

La porte fermée par le dernier sortant.

• Mon chéri, j’ai respecté tes demandes, j’ai même pris des initiatives, je te plais !
• Tu verras cela demain, je serais chez toi à 14 heures.
• Je t’attendrais avec impatience mon amour.

Je sors sans lui en dire plus.
Je ne me vois pas rester tout l’après-midi à ne rien faire dans le collège.
Je sors et marche tout droit sous le soleil persistant.
Je peux me promener les mains dans les poches, car j’ai laissé mon sac à dos sur ma chaise dans la classe, je le retrouverais bien lundi.

J’ignorais être un si bon marcheur, j’avale les cinq kilomètres jusqu’au pont de Joinville.
Sans m’en rendre compte, je passe devant le salon de coiffure tenu par la belle-mère de Chantal, ma jeune amie m’ayant dépucelé.

Pendant cinq ans, je suis allé dans un placement familial dans le Doubs.
Nous étions dans une ferme à trois kilomètres du plus proche village.
Nous étions 8 enfants placés là pour reprendre des forces après l’année scolaire en respirant l’air pur.
C’est là que j’ai fait la connaissance d’une jeune fille dont le père habitait à Joinville chez une coiffeuse après son divorce.

Un jour un problème dans son travail l’a obligé à revenir chez lui plutôt.
Chantal sa fille était un tout petit bébé.
Lorsqu’il est entré, il l’a entendu pleurer.
Elle était dans son berceau les fesses maculées et n’ayant pas mangé.
Il l’a changé, nourrit et a attendu sa femme.

Elle est revenue deux heures plus tard.
Elle était vêtue avec une tenue, short ras la moule, petite veste en fourrure synthétique rose, très à la mode dans ces années-là.
Vous ajoutez, des basses résilles avec des chaussures si hautes que l’on peut se demander comment elle pouvait tenir debout.
Et surtout un chemisier dégageant ses seins très peu couverts.
Cette tenue ne laissait aucun doute sur l’occupation que sa femme pratiquait pendant tout le temps de son absence.
Lorsqu’il lui a demandé d’où elle venait la réponse a été simple.

• Je viens du bois de Vincennes près du champ de courses où je fais la pute depuis plusieurs mois.
Tu ne crois pas que c’est avec ta paye que tu as pu partir quinze jours à la mer cet été avec notre fille !

Elle a ouvert son petit sac à main et saisi une poignée de billets qu’elle lui envoie au visage.
D’où les dire de Chantal lorsqu’elle pensait faire la pute au bois de Vincennes, mimétisme mère-fille hors de la morale.

• Tiens, j’en ai pompé 8 à 50 francs et me suis fait enfiler par trois autres dont un black qui était monté comme un taureau.
Pou tout te dire, j’avais mes mains appuyées contre un arbre et il est passé par-derrière.
À 200 francs la passe, il venait de les gagner aux courses.
En 4 heures j’en ramène presque autant que toi en un mois.
Tu fais ce que tu veux, moi, je vais me doucher, occupe-toi de ta fille, elle m’exaspère lorsqu’elle pleure.

Il est parti avec sa fille...

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