COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,2)
En promenade ayant séché les cours, j’ai une alliée de taille pour éviter que mon père ne soit prévenu que j’ai réussi à mettre dans mon lit, ma prof principale d’Anglais.
Prof que j’ai dépucelé alors qu’elle a vingt-six ans.
Je passe à Joinville-le-Pont près de la boutique de coiffure de la belle-mère de Chantal, la jeune fille qui elle-même m’a dépucelé lors de vacances dans le Doubs.

Le père de Chantal lorsqu’elle était bébé était cocu, sa mère se prostituant près du champ de courses de Vincennes attendant les gagnants qui lui refilaient impunément envers leurs femmes, une partie des gains contre fellations ou pénétrations.
Découvrant tout ça, la justice lui a donné le droit de garder sa fille en rendant son jugement.
Quelques mois plus tard il a fait la connaissance d’une femme propriétaire d’un salon de coiffure dont je viens de parler.
Ils ont vécu ensemble et elle a élevé Chantal.
Vers ses douze ans, elle jouait dans la pièce attenante au salon, sa belle-mère ignorait sa présence étant descendue du premier étage sans faire de bruit.
Elle coiffait une cliente tout en papotant très librement.

• Eh avec Chantal tu t’en sors !
• Elle est gentille, mais à l’école elle a du mal !
• Elle te parle de ce qu’elle veut faire !
• Non, mais je ne me fais pas de bille, elle pourra toujours rejoindre sa mère pour faire la pute au champ de courses !

Elles avaient rigolé des bons mots qu’elle venait de prononcer et la cliente a surenchéri des fois que Chantal ait mal compris.

• Oui je suis allé à Vincennes par le bois lundi après-midi.
Elle était là sur ses hauts talons, elle a toujours sa petite veste en fausse fourrure rose.
Je l’ai même vu monter dans une voiture, elle devait se faire du fric il y avait course ce jour-là.

On peut penser quel traumatisme a subi la petite en entendant que sa mère faisait la pute à moins de cinq kilomètres d’où elle habitait.
Surtout que lorsqu’elle avait posé une question à son père sur cette dernière, il lui a été répondu qu’elle était décédée.
Pendant les vacances scolaires qui ont suivi, elle a entendu les pronostiques pour les courses qui se couraient l’après-midi à Vincennes.
Sans rien dire, elle a fait le chemin jusqu’au champ de courses.
Sa mère était là dans la tenue décrite par sa belle-mère.
Elle est passée près d’elle, deux fois, mais n’a jamais osé lui dire qu’elle était sa fille.
Elle la même vue accepter les sollicitations d’un client et monter dans sa voiture.
C’est aux grandes vacances suivantes que j’ai fait sa connaissance.

Comme pour tous les jeunes de mon âge, le sexe commençait à me travailler.
Il était fréquent le matin qu’une carte de France soit partie dans mes draps.
Tous les dimanches, à un croisement à égale distance des deux villages, les jeunes se retrouvaient.
Pour la plupart leur premier flirt a commencé là.
Les plus vieux dépassaient le stade des attouchements et des baisés.
Ils s’isolaient une grande partie de l’après-midi.

Lorsque nous essayons de les suivrent, nous recevions des coups de pied aux fesses pour nous faire dégager.
J’avais repéré un couple qui partait systématiquement dans la direction d’un bouquet de noisetiers.
Le dimanche suivant, je suis venue me cacher en son centre avant qu’ils arrivent, j’avais le nez dans la mousse, quand-ils sont arrivés.
Dès qu’ils ont été hors de vue du groupe, la fille s’est allongée dans de l’herbe tendre et à relever sa robe.
Pour la première fois de ma vie je voyais une chatte de femme, elle avait oublié de mettre une petite culotte.
Je bandais comme jamais, j’ai saisi ma verge et me suis masturbé.
Son copain s'est placé à genoux, il a commencé à sucer la fente de la fille.
J’ai trouvé, cela dégueulasse, je pensais que ce sexe de femme servait simplement à pisser.
Je me suis bien rattrapé depuis, on l’a vue avec Malaurie.
Elle donnait l’impression d’aimer, car elle lui a crié.

• Oui, bouffe-moi la chatte.
Une semaine que j’attends de sentir tes lèvres sur ma vulve.
• Veux-tu que je te la mette ?
• Oui, viens, je suis ruisselante, enfile-moi, met moi-là bien profond comme j’aime !

Le mâle s’est allongé sur elle et a directement enfoncé sa verge dans la jeune femelle.
Par chance, je me trouvais exactement dans l’axe du couple, j’ai pu voir la verge allée et venir dans le sexe de la fille.
Après qu’elle est chantée, non plutôt gueulée son plaisir, il a poussé un cri et a sorti sa verge pour éviter, je le pense d’envoyer son sperme au fond de la grotte.
Ils sont restés dans cette position quelques minutes.
Au bout d’un moment il a basculé sur le côté me montrant la fente de la belle.
Elle a sorti un mouchoir de sa poche et l’a passé sur sa toison, qu’elle avait bien fournie, pour essuyer le sperme qui la maculait.
Ils sont restés couchés, main dans la main, la fille s’est redressée et a avancé sa bouche vers la tige flasque du garçon, elle l’a saisi d’une main et l’a prise en bouche.

• Oui pompe-moi, fais-moi bander, j’aime tes fellations, tu as toujours été la meilleure pompeuse de bites de notre bande.

Ces mots prononcés par ce garçon m’ont montré le degré de promiscuité qu’il y avait entre ces jeunes des deux villages proches de cette croisée des chemins.
Ils changeaient si fréquemment de partenaires qu’ils se réservaient de folles soirées d’hiver, dans quelques années, dans l’un ou l’autre des deux cafés des villages.
C’est bien connu qu’en France chaque village a son café où les cancans vont bon train.
On entendra dire, « tu te souviens, Lucienne lorsque tu la baisais elle la ramenait moins que maintenant avec le gros Léon qui a fini par l’engrosser. »
La fille arrive rapidement à ses fins, il est vrai que la technique qu’elle emploie est efficace.
Je la vois consciencieusement lécher la tête de la verge avec son petit bout de langue rose, finissant par le plonger en bouche pour mieux recommencer à sucer la partie haute de cette verge.

• Viens, j’ai trop envie de te poignarder.

La fille enfourche son mâle et j’ai une vision que je suis loin d’oublier.
Alors qu’elle est à cheval le long des flancs du garçon, elle lui saisit la tige et la plante au centre de sa chatte.
Manque de chance sa robe retombe sur le magnifique spectacle que je contemplais.
Ouf ! elle doit avoir pitié de moi, elle relève le bas et le coince dans sa ceinture. Débarrasser des problèmes matériels, elle commence à se relever puis à redescendre sur le pieu qui la cloue.
Il passe sa main sur le haut de la robe et fait sortir un de ses seins.
Il le malaxe de plus en plus fort au fur et à mesure que son plaisir monte.

• Oui, arrache-le, il aime quand tu le maltraites, je jouis.
• Sort, je vais partir.

Trop tard, elle est restée plantée sur la verge.

• Mince, j’ai tout ramassé, tu aurais pu me prévenir plutôt.
Coup de chance, j’ai regardé, théoriquement je suis hors de ma période de fécondation !

Je la vois s’asseoir sur ses fesses, jambes écartées.
Elle reprend son mouchoir et le passe à l’intérieur de sa chatte en écartant ses grandes lèvres, je peux voir un instant le rose de ses muqueuses avant que sa fente se referme.

• J’ai presque tout enlevé, ça va aller !

Lorsque je suis revenu l’an dernier, à Noël, il avait été obligé de l’épouser.
Elle avait une robe blanche malgré ses trois mois de grossesse.
Le petit est né au printemps.
Le grand-père pharmacien du village faisait contre fortune, bon cœur, il aurait préféré que sa fille se serve dans la boîte de capotes.
Pour elle, il avait des vues sur le fils du médecin du village plutôt que ce cul-terreux qui allait lui faire traire ses vaches.
J’avais assisté à une régression sociale.

Lorsque Chantal est arrivée au sein du groupe, quinze jours après notre arrivée, dans un premier temps nous ignorions pourquoi elle atterrissait près de nous.
Pourquoi, la dame qui nous gardait avait accepté de la prendre chez elle ?

Plus tard j’ai appris qu’elle avait été placée dans une ferme, la femme avait surpris son mari au moment où il allait lui planter son dard dans la fente sur la toile cirée de la cuisine.
Le directeur était intervenu et l’avait déplacé dans notre ferme pour éviter un scandale avec la famille, cette petite étant bien en avance pour son âge.
Lorsque je lui demandais ce qu’elle voulait faire plus tard, elle me répondait.

• Soit chanteuse, on dit que j’ai une belle voix, soit coiffeuse comme ma belle-mère ou pute comme ma mère.

C’est dans les jours suivants qu’elle m’a pris mon pucelage, m’aidant à entrer dans le monde des grands ce qui m’a servi avec Malaurie.

Après les vacances, rentré à Champigny je savais qu’elle habitait à trois kilomètres de chez mes parents à Joinville-le-Pont.
Je suis allé au salon de coiffure une ou deux fois, après ces vacances, mais je n’ai jamais pu m’isoler avec elle et dans un premier temps nous ne nous sommes pas revues.
Au fil du temps, je l’avais oublié, Malaurie m’y a fait repenser.

Après quels mètres, je réalise que mes pas ne m’ont pas conduit là par hasard.
Au moment de changer ma vie en entrant dans la marine nationale, savoir ce qu’est devenue Chantal, la petite qui m’avait donné bien du plaisir devenait primordiale !

N’écoutant que mon courage j’ai poussé la porte de la boutique.
Aucune cliente présente ce qui m’évite de paniquer, seulement la belle-mère de Chantal balayant des cheveux.

• Bonjour madame, vous vous souvenez de moi !...

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Cyrille



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