COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,3)
Après quels mètres, je réalise que mes pas sont loin de m’avoir conduit là par hasard. Au moment de changer ma vie en entrant dans la marine nationale, savoir ce qu’est devenue Chantal la petite qui m’avait donné bien du plaisir et surtout pris mon pucelage m’est parue évidant !

Fort d’un courage dont j’ignorais être capable, cette femme m’ayant toujours intimidé, étant arrogante et hautaine, je pousse la porte du salon de coiffure étant revenue sur mes pas.
Pas une cliente présente ce qui m’évite de paniquer, mais seulement la belle-mère de Chantal balayant des cheveux.

• Bonjour madame, vous vous souvenez de moi !
• Tu as grandi, un peu plus virile, mais tu n’as pas foncièrement changé, surement un peu plus grand et massif, que veux-tu ?

Je prends ces propos pour des compliments, la dernière fois où je lui aie parlé, j’avais l’impression qu’elle me prenait pour une merde.
La première femme du père de Chantal était peut-être une pute, mais elle semblait avoir un cœur, ce qui es loin de cette femme devant moi appuyée sur son balai.

• Pouvez-vous me donner des nouvelles de Chantal ?
• Non, depuis deux ans elle a quitté son père, du moins je l’ai fichu à la porte ! Nourrir une bouche inutile, c’est loin d’être ma façon de voir la vie.

Lorsque je dis que c’est une salope, par ses dires envers Chantal elle montre l’étendue de son mauvais caractère.

• Voulez-vous son numéro de téléphone ?

Là, c’est mieux, c’est plus coopératif.

• Vous pouvez me le donner !
• Si je le retrouve et j’ai peu de temps pour ça, j’attends une permanente.

Un instant, je me demande ce qu’elle dit en parlant de « permanente. »
Mais je me souviens que nous sommes dans un salon de coiffure et que dernièrement elle s’est engueulée avec papa, car pour lui, elle avait dépensé trop de fric pour des futilités.
Mais je la vois partir dans l’arrière-salle et finir par en revenir toujours son balai à la main.

• Tu as de la chance, je l’avais rangé dans un tiroir.

Elle me le tend.

• Merci madame !

Fort de ce numéro, je descends sur les bords de marnes.
Je profite d’une cabine publique pour composer le numéro, j’attends prêt à raccrocher on établit la ligne, on décroche.

• Allô, qui demandez-vous !
• Je peux parler à Chantal !
• Maîtresse Chantal !
• Excusez-moi, je cherche Chantal !
• C’est moi, qui êtes-vous !
• Christophe ton copain du Doubs !
• Christophe, excuse-moi, j’étais à mille lieues de penser à toi, de plus tu as fini de muer et tu as une voix bien plus grave que pendant nos vacances, que deviens-tu ?
• Je rentre bientôt dans la marine nationale, plus précisément dans trois mois et une circonstance inattendue m’a permis de penser à toi, j’aimerais bien te revoir !
• Je suis très occupée maintenant, quand, es-tu disponible ?
• Demain dans la matinée !
• 9 heures 30, c’est possible pour toi après, j’ai mes premiers clients !

À cette heure, premier client, le mot « maîtresse » prononcé par la première jeune femme qui a décroché m’interpèle.
Mais je me garde bien de faire un impaire en lui demandant si ce premier client c’est car elle est réellement elle aussi devenue une pute.

• Aucun problème pour cette heure, j’ai eu ton téléphone, mais ton adresse m’est inconnue.
• 11 boulevard de Strasbourg, tu sonnes « Société, j’aime tout »
• À demain ! Je serais content de te revoir.

« J’aime tout » ça veut tout dire et rien dire, je sais une chose.
À Paris le boulevard de Strasbourg est l’un des lieux avec Pigalle de la prostitution, je suis sûr qu’elle a choisi cette troisième voie lorsque sa belle-mère l’a viré.
Je raccroche et je traîne jusqu'à l’heure de retourner à la maison.
Je passe une nuit agitée, comment vais-je retrouver Chantal ?

Neuf heures, je suis devant un immeuble classique à Paris.
Grand porche en bois et haut de cinq étages.
J’attends dans un café placé face à la porte, personne n’entre ou ne sort.
À l'heure prévue, je sonne à l’Interphone, je donne mon prénom.

• Monte, deuxième porte à droite.

Je grimpe en courant, inutile de sonner, la porte s’ouvre et un tableau extraordinaire s’offre à moi.
Chantal est là, habillée entièrement de cuir avec corset lassé sur le devant mettant ses seins en valeur, je peux même voir le début d’une aréole.
Petit short tellement mini que si elle ne s’épilait pas, les touffes de poils dépasseraient obligatoirement.
Vous complétez le tableau avec cuissardes à la d’Artagnan et gants montant plus haut que le coude.
Le tout entièrement noir, j’oubliais, dans ses mains elle tient une cravache.

• Entre, tu m’excuses, j’ai deux clients sur le gril qui m’attendent !

Où, suis-je tombé, la pièce, où nous sommes est meublée empire ?
Fauteuils, commodes et table ronde, aucune fausse note, au mur des tableaux qui ne ressemblent pas à des croûtes.

• Tu aimes !
• Il y en a pour du pognon !
• Tu peux le dire et encore tu n’as rien vu, suis-moi !

Elle me fait passer derrière un grand rideau rouge qui cache une porte, nous la franchisons et je me trouve dans une pièce composée de cellules placées côte à côte.

• Ici, tu trouves les vestiaires individuels, mes clients se préparent avant que je sois disponible pour m’occuper d’eux.

Elle me fait pénétrer dans l’une d’elles, elle est vide.
Une armoire, un fauteuil et une grande glace composent la pièce.
L’armoire attire mon attention, un système de fermeture sécurisé n’a pas été créé par les serruriers d’époque.
Une nouvelle porte est placée au fond de la cellule. Encore un système d’ouverture codé.
Elle tape rapidement un code et la porte se déclenchent.

• Viens, à partir de maintenant plus un bruit, mes clients sont là et je rentre dans mon royaume.

Il est trop tard pour lui poser des questions, dans quelle galère me suis-je fourré !
La pièce où je pénètre est entièrement sous lumière rouge.
Mes yeux mettent quelques minutes à s’acclimater.
Ce que je découvre est impossible à décrire.
Je suis dans une salle pour personnes aimant la domination.
Chantal me parle tout bas.

• Tu vois ici, je suis maîtresse Chantal, attend-il est l’heure de libérer mes deux clients.

Elle cravache un homme et le détache un homme, ça doit lui faire mal et le guide jusqu’à sa cellule.
Lorsqu’il passe devant moi, son visage est caché par une cagoule intégralement fermée à part une fente pour respirer par la bouche.
La deuxième c’est une femme comme le premier à part sa cagoule, elle est nue.
Elle sort cette femme de l’endroit où elle semblait être prisonnière.
Elle doit être légèrement âgée car ses seins sont pendant, Chantal, pardon, maîtresse Chantal leur fait goutter de sa cravache sans qu’aucune rebuffade sorte de la cagoule.
Ces personnes d’un certain âge semblent aimer souffrir.
Comme pour l’homme, Chantal la tient en laisse attachée à un collier en cuir et clous métalliques.
Elle la fait sortir de la pièce à quatre pattes comme un bon toutou bien gentil, des petits coups de cravache la guide vers la cellule.
Les deux clients partis, elle me fait encore franchir une porte.
Le décor est complètement différent des autres pièces, meubles designs, décoration identique.

• Tu es chez moi, c’est là que je réside, les deux clients que je viens de faire sortir sont un couple aimant être puni.
Lui, travaille dans un grand ministère et est très haut placé.
Elle, sans trop t’en dire, si tu avais vu son visage, tu l’aurais reconnue assise sur les bancs de notre parlement, elle se fait élire depuis des décennies.
• Incroyable et ça dirige la France, es-tu seule ?
• Oui, mon métier limite l’envie des hommes de s’afficher avec moi.
• Pourtant tu es devenu très jolie.
• Avant je ne l’étais pas !

Je la prends par les épaules et la regarde droit dans les yeux.
• Tu es resté dans ma mémoire comme la jeune fille un peu délurée qui m’a donné mes premiers moments de bonheur.
Je retrouve une femme capable de faire bander un mort...

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