COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,4) - histoire érotique

En partance pour la marine nationale en mars plus précisément à Toulon, mieux la presque ile de Saint Mandrier, encore plus précisément l’école des apprentis mécaniciens, je décide de prendre des nouvelles de Chantal la jeune fille qui m’a dépucelé lors de mes vacances dans le Doubs.

Je rencontre sa belle-mère un peu revêche, il semble qu’elle soit entrée en conflit avec ma jeune amie, mais me fournit tout de même son numéro de téléphone.
Dans une cabine téléphonique, j’appelle, il serait bien qu’un jour nous ayons des téléphones portables individuels, trouvez une cabine fonctionnant dans ces années 60 s’est une véritable sinécure.
Je suis obligé d’en trouver trois pour en trouver une fonctionnant dans un sens et dans l’autre.
Le modernisme nous promet des voitures volantes pour l’an 2 000, bien loin pour moi, si je calcule à la petite cuillère j’aurai cinquante ans à cette date.
Cinquante ans, moi qui en ai moins de vingt aujourd’hui.

Comme je l’ai dit, la troisième fonctionne, j’appelle, une voix répond et j’ai Chantal qui est heureuse de m’entendre et me donne rendez-vous le lendemain pour me faire découvrir sa principale activité.
Inutile, ayant été virée de chez ses parents, elle a dû tomber dans la prostitution, qui plus est Boulevard de Strasbourg à Paris, ce qui m’en apporte la preuve.
J’arrive, elle me fait entrer et c’est une tout autre activité que je découvre, elle semble avoir développé.
Un espace de soumission pour des clients un peu zinzin, mais qui semble avoir les moyens de se payer ces déviances.

• Aide-moi à enlever ma tenue de travail.

Alors que j’étais prêt à l’embrasser, prestement elle détache des agrafes de son bustier qui m’évitent de délasser cette sorte de combinaison très ajustée.
Elle m’apparaît seins nus.
Je les reconnais, je les ai assez sucés, triturés, tirés, mordillés, il y a quelques années, les gants suivant le même chemin.
Elle s’assied et me demande de lui retirer ses cuissardes.

• Viens !

Elle m’entraîne dans sa salle de bain aussi moderne que le reste du logement, la baignoire ronde au centre de la pièce bouillonne.
C’est la première fois que mes yeux voient ce genre de baignoire qui semble avoir été fabriqué sur place.

• Viens te baigner, ce bain bouillonnant, je venais de le commander avant ton arrivée depuis ma salle de travail, comme cela tout est chaud lorsque j’ai terminé !

Peut-être que ceux qui parlent de machine volante individuelle en l’an 2 000 sont des visionnaires et que tout ceci existera pour mes cinquante ans.
Elle me fait entrer et me déshabille, à un détail près dans le Doubs j’étais en pantalon de survêtement.
Elle n’avait eu aucun mal à le tirer vers le bas m’enlevant en même temps mon slip kangourou.
Dans cette salle de bains, je suis en jean et elle bataille plus difficilement avec ma ceinture et les boutons de ma braguette.
Pour que son travail soit plus difficile, tout ce que j’ai vu depuis que je suis entré, et si vous ajoutez Chantal à moitié nue, m’enfle la tige qui a du mal à être contenu dans un si petit espace.
J’ai affaire à une experte qui me libère prestement.
Elle fait glisser son mini short sous sa seconde peau que je l’aide à enlever et enjambe la baignoire.
Sa chatte s’écarte lorsqu’elle lève la jambe et me donne envie d’y glisser mon sexe. Elle est complètement épilée, elle se glisse dans le bain où je la rejoins.

• Tu m’as dit que tu t’étais engagé dans la marine
• Non, pré-engagé, je dois encore repasser une visite médicale et comportementale.
Mais je suis en pleine forme et je suis psychologiquement bien équilibré, je sais qu’ils cherchent à voir notre réaction une arme à la main, c’est fréquent dans l’armée.
Lorsque je vois les maboules que tu viens de raccompagner, je vois mal être déclaré, inapte, oui, donc pour cinq ans je serais mécanicien.
• Bien et tu espères voyager.
• On verra, mais ainsi j’aurais une formation.
• Et, les filles bien entendues ?
Avec mon père je suis allée en Bretagne et nous avons visité Brest, j’y ai vu des marins, si tu portes le pompon, tu viendras me voir, en le touchant je ferais le plein de bonheur jusqu’à la fin de ma vie.

Je lui raconte mon aventure avec ma professeur d’anglais, elle aussi veut que je vienne la voir avec pour se donner du bonheur, ce pompon que j’espère porter sera rapidement à remplacer.
J’ignore comment il est posé sur le béret des marins, mais ça fait déjà deux, Malaurie et Chantal qui souhaitent le caresser.
J’évite de lui dire que je dois voir Malaurie dans quelques heures, je veux éviter qu’une lutte s’engage entre les deux premières femmes de ma vie.
Pardon, les trois, n’oublions pas maman, au fond de mon cœur, c’est elle la number one.

• J’ai découvert que j’avais à disposition une femme fontaine !
• C’est rare d'en trouver et tu me dis qu’elle était vierge à vingt-six ans.
• Je l’ai défloré comme tu la fais pour moi et je lui ai aussi enlevé sa rondelle.
Les deux fois malgré son inexpérience elle a joui.
Le plus drôle c’est quand je l’ai claquée aux fesses, elle en redemandait, j’ai arrêté, car je ne voulais pas lui donner de mauvaise habitude.

En prononçant ces mots, je prends conscience que Chantal a monté une entreprise où la douleur est transformée en plaisir lorsqu’elle marche sur ses clients en les humiliant.

• Si elle aime être dominée, il faudra me l’amener, je m’en occuperais, je lui ferais un tarif d’amie.
• Merci, mais je ne suis pas porté sur le sado et j’ignore pour elle si elle est réellement maso.
• Dommage ! attends, je vais te faire un cadeau pour elle.

Prestement elle saute de la baignoire et revient avec une boîte.
Elle remonte me faisant voir une nouvelle fois sa fente vierge de tous poils.
Sous l’eau bouillonnante ma verge se redresse.

• Lorsque tu seras avec elle, tu lui mettras ça autour du cou, voici la laisse qui va avec ce collier.
Tu lui demanderas si elle veut être ton esclave chaque fois que tu attacheras le mousqueton à cet anneau.
Si elle accepte, elle devra exécuter tous tes désirs.
Si elle refuse, laisse la tomber, une femme refusant de jouer à des jeux d’adulte c’est vite chiant.
Prends le couple qui était sous ma domination lorsque tu es arrivé et qui me paye très chère pour les ramener à l’état de merde, de larve, de cafard.
Quand je les ai récupérés, grâce à un de leurs amis, lui aussi venant se faire dominer, ils étaient tous les deux des passifs en amour et étaient à deux doigts de se séparer, car l’un et l’autre était sa propre image.
Depuis que je les domine, ils ont trouvé un équilibre et leur couple est reparti de plus belle.
• Je comprends la démarche, et toi comment en es-tu arrivé là ?
• Tu sais que lorsque j’étais en vacances, je te disais toujours que je serais soit chanteuse, soit coiffeuse, soit putain.
Un jour je me suis embrouillée avec ma belle-mère qui m’a fichu dehors devant mon père.
Il n’a rien dit alors que je te demande de me croire, j’avais raison, la cliente qui venait de sortir, elle lui avait fait une tête de cul.
Étant à la rue, j’ai commencé par essayer d’être chanteuse dans le métro de Paris.
Un type se disant producteur m’a croisé et m’a promis un disque si je venais à son studio d’enregistrement.
Je l’ai suivi, j’ai cru que c’était la chance de ma vie, enfin le bout d’un tunnel. Son studio, c’était une chambre avec un lit, j’ai vu sa queue, mais je n’ai pas vu mon disque.
Il s’est servi de moi dans des soirées où ma chatte l’intéressait plus que ma voix.
Je débutais ses soirées en chantant, j’avais même un micro en main m’exhibant sur une scène avant de me confier, soi-disant à d’autres producteurs.
J’ai fini par comprendre que je ne serais jamais chanteuse, je glissais vers la prostitution, je sais, je disais vouloir être pute comme ma mère et il m’emmenait dans ses filets de proxo.
• Passe-moi la savonnette !
• Tient, je disais que je voulais devenir coiffeuse, j’ai immédiatement abandonné lorsque j’ai vu les mains de ma belle-mère surtout au moment des fêtes.
Il me restait putain, ce pseudo producteur m’y faisait glisser sans avoir l’air d’y toucher.
J’avais retrouvé ma mère qui tapinait vers le champ de courses de Vincennes.
• Tu as donc mis tes convictions de jeunes filles en pratique en vendant ton corps !
• Oui, mon corps et surtout ma bouche, les mecs au champ de courses voulaient des prestations rapides avant de retrouver bobonne, les fellations étaient leur principale envie.
Un jour je suis arrivé en tenue provocante vers elle sans qu’elle sache que j’étais sa fille.
J’avais acheté ce qu’il fallait pour aguicher les hommes.
J’avais des cuissards, les mêmes que je viens d’enlever et dont je me sers ici ayant fait ma réputation.
Au début, elle refusait que je travaille à ses côtés, me disant qu’avec mon joli petit cul, je lui piquais ses clients, elle me donnait des coups de pied pour me faire partir.
Un après-midi, je me tenais à une dizaine de mètres, je venais de revenir d’un isolement avec une voiture ayant fait une fellation au chauffeur.
Je l’ai vu se faire agresser par un homme qui voulait la racketter.
Attends, je vais faire monter la température, j’aime finir mon bain comme si j’étais dans un bain turc...