COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (20/20)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 2409 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
  • • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 030 553 visites.
Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (20/20) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 69 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (20/20)
Étant chez Patou, je lui demande si je peux appeler ma maman, qui vient de quitter mon père au profit d’une femme de son âge qui elle-même vient de divorcer.
Comme je l’ai dit au moment de vous compter ma jeune vie, nous sommes en 1967.
De Gaulle appelé « le grand Charles » nous préside.
Il a changé la constitution en 1958, nous sommes passées de la quatrième république à la cinquième et il en est le premier président élu au suffrage universel.
C’est à l’école que j’ai appris tout ça, que nenni, dans nos livres d’histoire, il nous parle des Grecs, des Perses et du vase de Soissons.
Dans celui que j’ai laissé au collège au moment de le quitter le nouveau, pour parler du modernisme, il y a une voiture alors que j’en vois dans les rues.
Si je connais l’histoire de la cinquième, c’est grâce à mon père qui est remonté comme un coucou contre de Gaulle, qu’il appelle le dictateur.
Gorges, est notre Premier ministre, si je l’appelle seulement par son prénom, c’est que j’ai oublié son nom de famille.
Mais que je suis bête, c’est lui qui va être élu lorsque Charles va se retirer pour retrouver son village de Colombey les deux églises.
J’ai déjà du mal à en suivre une, alors deux, mission impossible.
Pompidou, « la pompe » pour certains de mes copains, c’est ainsi qu’ils le nommaient irrespectueusement.
Moi, la politique je m’en fiche, j’ai bien le temps d’y penser, il faut avoir vingt et un ans pour voter.
Un jour de Noël où nous recevons la famille tous les ans depuis mon plus jeune âge.
J’ai entendu mon père et mon oncle dire qu’avant les infos du soir à la télé, un ministre recevait tout ce dont les journalistes allaient parler et censurait certains passages déplaisant pour pouvoir.
Alors vous voyez les risques que prennent maman et Isis de vivre leurs passions féminines, j’oserais dire de lesbiennes.

Du côté de Patou, le rideau est ouvert et Vicky range ses affaires.
Elle vient vers moi et m’embrasse, je la raccompagne et dès quelle a passé la porte devant les pompes à essence toujours en place, mais certainement hors-service, elle me saute au cou.

• Merci pour Patou, surtout évite de lui faire du mal, elle a beaucoup souffert depuis qu’elle est en fauteuil roulant.
Je te la confie comme si c’était ma petite sœur, je te confie son corps.
À partir de maintenant c’est à toi de lui donner du plaisir comme je le faisais régulièrement avec ma main en faisant attention à son hymen.
Soit sans crainte Vicky, son hymen, j’ai la preuve que c’est moi qui lui ai enlevé et je vais m’occuper à lui en ôter la moindre trace.
• Fait très attention, comme beaucoup de femmes avec leur premier homme, elle est plus qu’attachée à toi.
Tout le temps où je la massais, elle m’a fait des éloges de toi, tu comprends pourquoi je te dis ça, je crois que l’amour a éclaté dans son cœur pour la première fois.
• Je ferais très attention, je te le promets.

Elle m’embrasse et remonte dans sa voiture garée devant le garage.
Lorsque j’entre Pat est au travail.

• J’ai à peine le dos tourné et tu dragues déjà mon amie, mon cœur, tu cherches à me tromper !
• Comment peux-tu dire cela, nous disions du bien de toi ?
• Merci mon cœur, bise Vicky, rentrons, je vais travailler.
Si tu savais comme les massages de ma copine me donnent le feu au corps.

À ce que vient de m’avouer Vicky, c’est plus surement ses caresses qui lui ont mis le feu au cul.

• Puis ce que tu travailles, je sors, j’ai quelques courses à faire, si je t’embrasse, je vais te mettre le feu, là, ou hier j’y ai mis ma verge.
• Prends la clef que je t’ai mise sur la table, j’ai une sainte horreur d’être dérangé lorsque je suis en train de créer, même par toi, je pourrais devenir une vraie tigresse.

Je sors et je vais vers le boulevard Saint-Michel.
Je trouve tout ce dont j’ai besoin pour ma toilette et la boutique que je cherchais.
« Fleurs, Inter Flora » !
La jeune femme qui me reçoit comprend ma démarche et me demande une heure pour pouvoir livrer ma commande.
Je paye avec l’argent gagné chez Ophélie et la grande anglaise.
Je passe dans une librairie où j’achète le Goncourt.
La libraire en profite pour me vendre le Renaudot 1966 qui a été attribué à José Cabanis pour « La Bataille de Toulouse »
Pour passer le temps que ma livraison soit faite, j’entre dans un café près des quais de seine.
Je prends un café et je reprends le chapitre trois du Goncourt.
À mes côtés, une femme prend, elle aussi un café.

• Jeune homme, je m’excuse de vous déranger dans votre lecture, aimez-vous ce livre !

Je suis étonné que cette femme de grande classe s’adresse à moi.

• Je vais être franc, c’est le premier livre que je lis.
J’ai découvert un livre chez une amie qui a une boutique de vêtements sur les Champs-Élysées.
• Vous connaissez Christine !
• C’est ma patronne, je travaille dans sa boutique.
• Vous habitez chez elle !
• Non chez une jeune femme ; qui est peinte et qui s’appelle Patou.

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase.

• Patou, la très jeune artiste peintre ?
• Oui, nous allons nous marier, mais elle l’ignore encore.

Qu’est-ce qui me prend d’affirmer à cette dame que je vais épouser ma petite Pat ?
J’ai envie de me la péter, quoi que !

• Vous faite un très bon choix, cette petite mérite d’être aimée.
• Je peux savoir qui vous êtes, je dirais à Christine que j’ai rencontré une dame qu’elle connaît !
• Retournez votre livre !
• Oh ! pardon.

Cette dame assise à mon côté, c’est la dame de la couverture, Edmonde Charles-Roux.

• Je dois vous quitter, j’ai une séance de dédicaces dans une librairie voisine.
• Vous pouvez commencer en dédicaçant mon Goncourt !
• Je voulais vous le proposer, c’est si rare d’avoir un si jeune admirateur du livre que j’ai écrit, j’en profite pour vous mettre mes coordonnés.
Pouvez-vous me donner votre prénom, vous avez l’avantage de connaitre le mien ?
• Christophe, mes parents l’ont donné ce joli prénom, Christophe Colomb !

Elle prend un stylo à plume qui a surement été acheté dans une librairie mais du côté de la place Vendôme.

• Au revoir, Christophe, j’espère vous revoir bientôt.

Lorsqu’elle est partie, je me permets d’ouvrir le livre, son livre.
Elle a annoté dans une écriture très soignée.
« À Christophe, gentil et beau garçon qui a la chance d’épouser Patou artiste peintre la plus prometteuse de Paris.
Dans l’espoir d’assister à leurs unions.
Edmonde et Gaston.
Paris décembre 1966.
Tel : 00000000000. »

Cette dédicace me met en porte-à-faux, je me retrouve avec un livre que je ne peux pas lire devant la petite sauf lui faire voir que je me la suis pété.
Apprendre que l’on va se marier dans ce livre, même le Goncourt, peut en refroidir plus d’une.
Je repars vers mon cher moi, j’espère que je vais pouvoir poser mon livre avant que Patou ne voie le grand malade que je suis.

J’ouvre la porte du garage, pour la première fois avec ma clef, preuve de l’effet que je lui ai fait.
Pas de problème elle peint, une étagère assez haute où se trouvent déjà des livres me permet de le déposer.

Je viens juste de baisser ma main quand elle tourne la tête.
Elle manœuvre son fauteuil et se précipite vers moi.

• Merci bébé, es-tu fou ?

Sur la table un magnifique bouquet de roses est placé dans un vase.

• J’ai seulement une question !
• Oui.
• Pourquoi 19 roses ?
• Je suis un gars de banlieue, mais ma maman m’a appris quelques rudiments de savoir-vivre.
Elle m’a appris qu’il faut toujours offrir un nombre impair de rose à une jeune femme.
• Oui c’est très bien, mais pourquoi dix-neuf ?
• Quel âge as-tu ?
• Goujat, on ne demande pas son âge à une dame !
• Une dame, oui mais une jeune dame qui si on lui appuie sur le nez, il lui sort encore du lait, je peux.
• Bon tu auras le dernier mot avec moi, mais tu t’es trompé, j’ai 18 ans !
• Ok, 18 ; c’est bon, mais cherche pourquoi 19 ?
• Ça devient trop compliqué, je donne ma langue au chat !
• 19, c’est dix-huit plus 1 !
• Tu as de la chance que je sois une infirme, je t’aurais mis une fessée !

Malgré la peinture sur son tablier, dont certaines traces toutes fraiches, je me couche sur ses genoux.

• Tiens, prends ça, ou encore ça, ça me fait mal à la main, mais prends encore celle-là.

Un instant je me trouve transporté dans la salle où Chantal torture ses clients avec leurs consentements.
Patou comme Chantal serait-elle une maitresse femme ?...

Voilà cinq chapitres prêts à être diffusé, le temps d’en préparer cinq autres, j’espère pour votre plaisir.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Encore un très beau texte ou Christophe nous apparaît de plus en plus sympathique mais il a oublié Malaurie chez Chantal la suite nous expliquera peut-être son devenir prof à Dijon ou soumise à Chantal avec tout ce que cela comporte...

Compter, pardon conter...
En grand écran on vois mieux ce genre d'erreur...



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (20/20)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par CHRIS71

COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (20/20) - Récit érotique publié le 12-12-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (19/20) - Récit érotique publié le 11-12-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (18/20) - Récit érotique publié le 09-12-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (17/20) - Récit érotique publié le 07-12-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (16/20) - Récit érotique publié le 06-12-2024
COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (170) - Récit érotique publié le 05-12-2024
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Manif à Paris pour « un papa et une maman » (1/1) - Récit érotique publié le 04-12-2024
COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (6/12) - Récit érotique publié le 03-12-2024
COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (5/12) - Récit érotique publié le 02-12-2024
COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (4/12) - Récit érotique publié le 30-11-2024