COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (21/25) - histoire érotique

Une fessée, de retour de ma promenade ayant pour but de faire livrer 19 roses à Patou, nombre impair sur conseil de maman, sauf que je me suis trompé, elle a dix-huit ans.
Tout se précipite.
Après les quelques claques sur mes fesses, elle s’arrange pour se retrouver dans mes bras et m’embrasser.

• Merci mon cœur pour ce magnifique bouquet !
Porte-moi sur le lit, je veux que tu me fasses l’amour comme hier pour la première fois.

Je la porte et je la dépose au bord du lit.
En deux mouvements sans mon aide, elle se positionne ou elle le veut, mais en plus, sa petite culotte s’envole.
Je fais tomber mes affaires et je me glisse sous elle pendant qu’elle se soulève.
Dès le moment où elle a été nue, mon sexe se tend.
La petite me fait bander comme aucune femme ne me la fait depuis que je me sers de mon sexe.
Même Malaurie que j’adore pour m’avoir donné, elle aussi sa virginité est éloignée de l’effet ressenti.
Lorsque je suis positionné, la petite se rehausse.
Je place mon gland sur sa fente et au moment de se laisser tomber pour s’emmancher, elle recule un peu et c’est sa rondelle que j’éclate.

• Oh, chéri, tu t’es trompé, tu viens de me sodomiser.

Les derniers mots ont du mal à sortir de sa bouche tellement la manière dont je suis rentré à du lui remonter ses intestins jusqu’aux amygdales.
À mon tour, je lui claque les fesses d’une main ferme.

• Prends-moi pour un benêt, ma chérie, je n’ai pas vu, que tu as fait exprès de te faire enculer.
Tu m’aurais dit que c’était l’un de tes fantasmes, je t’aurais fait descendre petit à petit.
• Si tu savais, dans les livres de gare, le nombre de jeunes filles qui se font sodomiser, c’est vrai que pour moi c’était un fantasme comme de perdre mon pucelage en était un.
Tu as en peu de temps réalisé deux de mes fantasmes !
• En as-tu d’autres ?
• Certes, mais si je te les dévoile, ce ne sera plus des fantasmes com...

Avec sa barre, elle vient de se soulever et se faire une nouvelle fois emmancher.
Ça semble lui avoir coupé le souffle.

• ...me maintenant avec ta grosse bite qui me déchire l’anus.

Nous avons cette conversation alors que mon pieu se trouve au maxi qu’il peut la pénétrer, pour preuve, ses jolies petites fesses que je claque sans les faire trop rougir reposent sur mes couilles.

• Christophe, dans mes fantasmes les plus fous, c’est comme cela que le soudard qui prenait l’une des héroïnes de certains livres que je me procure la sodomisait.
Je voulais qu’il en soit de même pour moi, surtout après les refus de William même de rentrer chez moi, et donc de faire de moi ce que toi tu as fait avec délice, une femme.
Dans mon fantasme, ce soudard me prenait et me jetait sur sa verge qui rentrait directement au fond de mes entrailles.
Il faut toujours réaliser ses fantasmes et certaines de mes lectures m’en mettent beaucoup dans ma petite tête.
Je ne savais pas que le soudard s’était toi mon tof chéri.
• Lis-tu des livres pornographiques ?
• Principalement des livres de gares de couleurs bleues.
Ceux réservé pour les voyageurs mâles, je vais dans une librairie boulevard Saint-Michel.
La patronne est une amie et elle me glisse les dernières parutions discrètement dans mon paquet sans que les clients puissent les voir.
Regarde, Marraine peur les ranger sur cette planche près de l’entrée, lorsque j’ai fini de les lire.

Je suis son regard, mon livre avec dédicace, je l’ai posé sur cette planche.
Heureusement sans aide, Patou est incapable de l’attraper.
Un seul souci, le Goncourt tiré dans des couvertures blanches et les siens étant bleus, je veux lui changer son attention.
Je décide de faire diversion pour éviter que son regard ne remarque mon livre posé dessus et qu’étonnée elle me demande d’aller lui chercher.
Je la soulève et la laisse retomber, mais en lui prenant la chatte.
J’entends un léger bruit de ses lèvres, son hymen a dû définitivement se rompre.

• Je peux te faire coulisser, ta douleur c'est-elle estompée !

Mes propos peuvent toucher sa chatte ou son anus fraichement perforé !

• J’aime quand tu me fais mal, ça me permet de te prouver mon amour.

Non pas elle, je suis maudit, à moins que toutes les femmes aient besoin d’une dose de douleur pour s’épanouir dans les bras de leurs amants.
Je la prends sous les fesses et la laisse retomber.

• Oh !
• Les eh, sont remplacés par des oh !
• Devant c’est Oh, derrière c’est eh !

Je la fais monter et descendre de plus en plus vite, ma théorie est loin d’être la bonne, les oh ! ainsi que les eh ! se mélangent à la sortie de sa bouche.
Alors qu’elle atteint la plénitude de sa jouissance, sa chatte se relâche et des jets de cyprine viennent inonder mes jambes.

• Chérie, je suis une grosse cochonne, j’ai fait pipi sur toi.
J’ai peur, c’est la première fois que je n’arrive pas à retenir mon corps.
J’ai senti mon ventre se gonfler et de ma chatte d’un seul coup, tout est sorti. Une cochonne comme moi, mérite une fessée.
• Que tu mérites une fessée, ça c’est certain et je serais toujours très prompt à t’en donner.
Mais soit sans crainte, ce qui vient de t’arriver est naturel, tes glandes internes ont été tellement sollicitées par ta jouissance que tu as éjecté des jets de ce qui s’appelle de la cyprine.
À ce que je sais de ce phénomène touchent peu de femmes faisant éclater leur chatte comme tu viens de le faire.
Sais-tu comment cela s’appelle ?
• Je suis bête, j’ai lu des histoires dans mes livres bleues où des femmes mouillaient leurs draps, ça s’appelle, ça s’appelle, euh !
• Des femmes fontaines.
• Mais oui, des femmes fontaines, ça se soigne !

Je passe ma main sur le drap, tout le liquide a été absorbé, j’en enduis ma main et la porte à son nez.

• Tu as raison, ça sent différemment que l’urine.
Je suis contente, tu sais, c’est le genre d’accident que je crains après mon accident, même s’il est lointain, c’est pour éviter cela que Vicky vient tous les jours me faire travailler.
• Ça te fait jouir !
• Tof, c’est une kiné !
• Kiné peut être, mais surtout très belle femme.
Elle est cliente chez Christine !
• Ce n’est pas parce que je ne suis pas jalouse, surtout avec toi qui m’as tout donné, qu’il faut que tu fantasmes sur mes amies.
Je sais ce que faisait William lorsqu’il raccompagnait des vieilles.
Je veux bien, mais les jeunes, je suis prête accepter, mais en ma présence. C’est moi qui te donnerai l’autorisation !
• Patou, merci, je veux une entière franchise entre nous, j’ai déjà raccompagné une vieille d’une quarantaine d’années, une Anglaise mariée à un Français !
Je me vois mal dire à Christine que je la laisse tomber après le départ de William.
Puis-je te demander qu’elle chose !
• Nous causons, nous causons, à voir l’état de notre lit, tu as déjà pris ton plaisir.
Moi aussi je voudrais me vider les couilles, parler, ça m’a fait débander.
• Tu veux que je te suce, après tu voudras me prendre par-devant, par-derrière, excuse-moi la levrette, je connais, toujours dans mes livres, mais si c’est ton fantasme, j’aurais du mal à le réaliser.
• Me sucer, je suis partant, Patou, tu viens de me dire qu’il t’était impossible de t’offrir en levrette, et si je te prouvais que tu le peux.
• Je voudrais bien voir comment tu vas pouvoir y arriver ?
As-tu compris depuis le nombre de fois ou tu m’as déjà porté que mes jambes sont comme deux branches mortes ?
• Je vais te montrer, soulève-toi que je me dégage, je vois là-bas dans le coin salon, l’objet qu’il va nous être nécessaire pour ta première levrette.

Elle tire sur ses bras, je me lève et je vais chercher le pouf qui est posé près du canapé.
Je le porte sur le lit, je récupère un oreiller que je pose dessus.
Je saisis mon petit sexe chéri et je la place le ventre reposant sur l’oreiller.
Elle pose ses mains sur le lit et grâce à ce soutien elle est en position parfaite pour être prise dans la position qu’elle croyait impossible.
Sa croupe m’est offerte.
Prestement je remonte sur le lit et me place derrière elle.
Comme une levrette classique avec une valide, je lui prends les hanches et d’un coup je pénètre sa chatte.
Je libère mes mains et j’empoigne ses seins que je tire vers moi comme si je voulais les lui arracher.
Les coups de sexe que je lui donne lui arrachent des cris de plaisir.
Je lâche l’un de ses seins et lui claque la fesse droite, je reprends le sein et lâche la gauche, une claque sur l’autre fesse.
Ses cris me font plaisir, car je suis sûr que dans ses fantasmes les plus fous, a-t-elle espéré qu’un sexe mâle lui donnera autant de plaisir, jusqu’à ce qu’un orgasme lui arrache des larmes de plaisir...