COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (22/25)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (22/25)
Patou, qui a la chance de rencontrer une jeune fille aussi sympa malgré le handicap qui l’a frappé dans sa prime jeunesse ?
Qui a la chance de dépuceler une jeune femme aussi prometteuse dans le monde de la peinture, bien qu’elle soit déjà reconnue.
Une fois de plus, j’arrose son utérus qui est content de recevoir mes giclées et que dire pour moi, ça part de ma colonne vertébrale et le frisson qui me traverse est le meilleur des frissons que j’ai ressentis.
J’adore le mouvement de son corps qui n’arrive plus à se maintenir droit, sa tête vient presque rejoindre le lit.
Je sors de son sexe, rapidement je la soulève car la barre n’est pas là pour l’aider et je la repose sur son dos, je balance le pouf et je m’allonge auprès d’elle.
Elle me prend la main et la porte à sa bouche pour l’embrasser.
• Christophe, tu es fou, je n’ai jamais imaginé pouvoir faire l’amour en levrette.
Maintenant si on me demande ma position préférée, je pourrais dire la levrette.
• As-tu vu l’heure, peut-on manger ?
• Oui mon bébé, repose-toi, je prépare tous.
À partir de là, Speedy Gonzalès se met en marche.
La barre, elle passe au-dessus de moi et le fauteuil.
Il virevolte, elle ouvre un frigo place ce dont elle a besoin sur ses genoux et va faire cuire sur un plan plus haut pour la rehausser et pouvoir atteindre les casseroles.
Dix minutes, sur la grosse horloge au-dessus de l’établi.
Combien d’heures, cette horloge a-t-elle rythmé le travail des ouvriers agissant dans ce garage ?
• À table !
• Que m’as-tu préparé ?
• Repas 4 étoiles, Paul Bocuse peut bien se tenir.
L’entrer mon cœur ?
Pour trouver mieux, c’est impossible, pot de rillettes « de porc » mais « du Mans, » excusez du peu !
Nous dégustons se met merveilleux, elles sont tellement bonnes que j’en redemande.
• Plat suivant maître queux ?
• Steaks hachés sortis du congélateur, pattes, mais au gruyère que j’ai râpé !
• Quel effort et avec cela tu veux que ma bite soit en forme, tu en seras privé pendant huit jours !
• Je n’ai jamais su cuisiner et lorsque je suis en période créative, j’oublie de manger, lorsque cette période est passée, je vais au restaurant ou je fais un repas pantagruélique.
Là, je me heurte à mon inculture, du moins à mon manque d’assiduité pendant les cours à l’école.
Pantagruélique, j’ignore ce que ce mot veut dire, pour ça part, j’ignore qu’elle école elle a fait, mais ce qui est sûr c’est que c’était d’un autre niveau.
• C’était très bon mon ange, nous irons au restaurant, il y a beaucoup de petits bouchons dans le quartier.
• Bon au travail, je ne suis pas ici pour m’amuser.
Au fait, je me rends compte que j’ai parlé d’un repas pantagruélique, sais-tu qui était Pantagruel, sans vouloir te prendre en défaut ?
• J’ai de vagues souvenirs, ne serait pas un auteur célèbre !
• Presque bon, l’auteur, c’est François Rabelais et Pantagruel est l’un de ses personnages, il apparait dans trois de ses livres.
• As-tu appris ça dans ta collection bleue des livres de gares, ma chérie ?
• Bien joué, tu as raison de me remettre en place, au peu que nous avons échangé, tu sembles venir d’un milieu moins privilégié que le mien.
Dans l’accident qui nous a frappés, mon père et moi, la voiture nous ayant coupé la route était conduite avec à son volant, un vieil ivrogne.
C’était un récidiviste, entièrement saoul.
L’assurance a payé les dégâts dont mon infirmité et une autre assurance a versé la prime d’assurance vie que mon père avait prise en mon nom.
J’ai pu officiellement toucher mon argent à mes dix-huit ans et pour commencer à faire ce que je révais, ce garage désaffecté que j’ai fait aménager en lieu de vie et de travail pour créer mes peintures.
J’ai le bac et après j’ai commencé une école de beaux-arts, mais que j’ai vite quitté car mes premières toiles ont commencé à bien se vendre.
• Les beaux-arts, j’ai vu à la télé, ma principale source d’apprentissage de la vie, que dans des ateliers d’art, des hommes nus posaient et que les apprentis élèves passaient des heures à les croquer !
• C’est vrai, j’en ai vu dans mes cours, mais comme pour toi lorsque je t’ai croqué, je voyais seulement les courbes de leurs corps.
• Jusqu’à leur queue, je suis sûr que ça te faisait mouiller !
• Mais c’est qu’il serait jaloux mon bel étalon.
Me tenant ces propos elle me passe sa main sur ma queue, qui rapidement prend des proportions, impossible à coucher sur une toile.
Elle se penche et me prend dans sa bouche, elle me masturbe jusqu’à explosion.
Elle avale tout et se redresse.
• Mon repas était quelconque, ton dessert était divin.
Je suis surprise, c’était seulement un peu fade, la prochaine fois, je sortirais le sucre en poudre.
Ç ses derniers mots, elle m’abandonne pour rejoindre son chevalet, elle met sa blouse et replonge dans son monde.
• Je sors, j’ai une course à faire.
• Promène-toi bien.
Comme elle est dos tourné j’en profite pour récupérer mon Goncourt dédicacé !
Marche, métro, j’arrive à la boutique de Christine.
Elle est contente de me voir et m’entraîne dans son bureau.
• Merci pour ma filleule, j’espérais en toi, mais pas jusqu’à ce point, tu m’as agréablement surpris.
Je viens de l’avoir au téléphone, je me suis fait insulter, elle était en train de peindre, une fois calmer, elle m’a fait bien des éloges sur toi !
• Je le sais, nous avons déjeuner, elle m’a sucé et je l’ai vu rejoindre son travail, j’ai appris à la respecter lorsqu’elle peint, je suis venu ici.
Je dois te dire, ce n’est qu’un début, je vais l’épouser !
• Est-elle d’accord ?
• C’est pour cela que je viens te voir, je suis prêt à travailler gratuitement si tu m’organises pour la fin d’année, trois jours à Venise, je vais la demander en mariage là-bas !
• Bonne idée, je m’occupe de tout, voyage, hôtel, tu dois savoir que pour qu’elle se déplace si longtemps, il faut prévoir beaucoup de choses.
J’ai l’habitude depuis la mort de mon frère, je m’en suis toujours occupée.
• Même son argent, elle m’a dit qu’elle avait touché à sa majorité de l’argent des assurances !
• Pourquoi me demandes-tu cela, as-tu compris qu’elle avait de quoi vivre jusqu’à la fin de ces jours, tu espères vivre à ses crochets ?
• Tu te trompes sur mes intentions, j’ignore s’il est possible de l’épouser en refusant le moindre centime de cet argent, je me contenterais de la paye de militaire dans la marine.
• Je pense que tes intentions son pur, oui, c’est possible, ça s’appelle un contrat de mariage.
As-tu prévu une bague ?
• Oui, je l’achèterais dès que tu me diras que tout est prêt pour le voyage.
• Si cela ne te dérange pas, nous irons ensemble place Vendôme, j’ai quelques connaissances.
• Sans problème.
Là, je m’avance, la place Vendôme et ses bijouteries de luxes, je connais, avec maman un jour nous avons pris le bus, puis le métro.
Elle voulait voir les bijoux de luxe qu’elle rêvait de pouvoir s’offrir si elle gagnait à la loterie nationale.
Chaque semaine elle se payait, avec l’argent du ménage qu’elle avait pu économiser, des billets des gueules cassés.
Ces billets étaient en vente dans de petites guérites par des mémés dont je me suis souvent demandé si elle mourrait dans ces petites cabanes.
Le jour du tirage, elle s’empressait de regarder le tirage dans le Parisien, journal lu par mon père, mais était toujours déçue.
À mon souvenir, elle était une fois folle de joie, car elle avait gagné 1 000 de nos francs de l’époque.
• Christophe en réponse à tous ces chamboulements, viens-tu me dire que tu abandonnes de travailler avec moi !
• Non, nous en avons parlé avec Patou et elle est tellement heureuse avec moi qu’elle refuse de m’accaparer et je peux continuer ma vie.
Par compte, dès que je serais dans la marine et que nous soyons mariés, j’arrêterais.
• C’est très sage, mais maintenant que tu as baisé avec la nièce et la vieille tante, tu vas refuser de le faire avec moi !
• C’est mal me connaître, je suis sans aucun tabou, tu aurais une fille, avec ton accord, car j’ai de la morale, je l’honorerais.
• Tu es amoral !
• Non, j’ai ma morale, j’ai quelques années pour toutes vous baiser et même si je veux épouser Patou, il est hors de question de me priver et surtout vous privez de mon sexe.
En lui disant cela, je dégrafe mon jean et je sors ma queue.
• Dit moi que tu refuses de l’honorer !
• C’est immoral, mais donne-la-moi, Chérubin !
• Nous sommes tous les deux immoraux !
Il lui est impossible de me répondre, ayant empoigné ma verge elle se met à pomper goulûment.
Je bande une fois de plus malgré la fellation de Patou en guise de dessert, mais l’envie de la prendre devient si fort que je la saisis et que je la place les seins sur son bureau.
Pour dégager ses seins, le léger voile de son corsage en un instant rend l’âme, il va falloir qu’elle appelle Amélie pour la remplacer, car sinon elle se promènera nue dans sa boutique.
Je rappelle qu’elle se trouve sur les champs au regard de nombreux tourismes...
Qui a la chance de dépuceler une jeune femme aussi prometteuse dans le monde de la peinture, bien qu’elle soit déjà reconnue.
Une fois de plus, j’arrose son utérus qui est content de recevoir mes giclées et que dire pour moi, ça part de ma colonne vertébrale et le frisson qui me traverse est le meilleur des frissons que j’ai ressentis.
J’adore le mouvement de son corps qui n’arrive plus à se maintenir droit, sa tête vient presque rejoindre le lit.
Je sors de son sexe, rapidement je la soulève car la barre n’est pas là pour l’aider et je la repose sur son dos, je balance le pouf et je m’allonge auprès d’elle.
Elle me prend la main et la porte à sa bouche pour l’embrasser.
• Christophe, tu es fou, je n’ai jamais imaginé pouvoir faire l’amour en levrette.
Maintenant si on me demande ma position préférée, je pourrais dire la levrette.
• As-tu vu l’heure, peut-on manger ?
• Oui mon bébé, repose-toi, je prépare tous.
À partir de là, Speedy Gonzalès se met en marche.
La barre, elle passe au-dessus de moi et le fauteuil.
Il virevolte, elle ouvre un frigo place ce dont elle a besoin sur ses genoux et va faire cuire sur un plan plus haut pour la rehausser et pouvoir atteindre les casseroles.
Dix minutes, sur la grosse horloge au-dessus de l’établi.
Combien d’heures, cette horloge a-t-elle rythmé le travail des ouvriers agissant dans ce garage ?
• À table !
• Que m’as-tu préparé ?
• Repas 4 étoiles, Paul Bocuse peut bien se tenir.
L’entrer mon cœur ?
Pour trouver mieux, c’est impossible, pot de rillettes « de porc » mais « du Mans, » excusez du peu !
Nous dégustons se met merveilleux, elles sont tellement bonnes que j’en redemande.
• Plat suivant maître queux ?
• Steaks hachés sortis du congélateur, pattes, mais au gruyère que j’ai râpé !
• Quel effort et avec cela tu veux que ma bite soit en forme, tu en seras privé pendant huit jours !
• Je n’ai jamais su cuisiner et lorsque je suis en période créative, j’oublie de manger, lorsque cette période est passée, je vais au restaurant ou je fais un repas pantagruélique.
Là, je me heurte à mon inculture, du moins à mon manque d’assiduité pendant les cours à l’école.
Pantagruélique, j’ignore ce que ce mot veut dire, pour ça part, j’ignore qu’elle école elle a fait, mais ce qui est sûr c’est que c’était d’un autre niveau.
• C’était très bon mon ange, nous irons au restaurant, il y a beaucoup de petits bouchons dans le quartier.
• Bon au travail, je ne suis pas ici pour m’amuser.
Au fait, je me rends compte que j’ai parlé d’un repas pantagruélique, sais-tu qui était Pantagruel, sans vouloir te prendre en défaut ?
• J’ai de vagues souvenirs, ne serait pas un auteur célèbre !
• Presque bon, l’auteur, c’est François Rabelais et Pantagruel est l’un de ses personnages, il apparait dans trois de ses livres.
• As-tu appris ça dans ta collection bleue des livres de gares, ma chérie ?
• Bien joué, tu as raison de me remettre en place, au peu que nous avons échangé, tu sembles venir d’un milieu moins privilégié que le mien.
Dans l’accident qui nous a frappés, mon père et moi, la voiture nous ayant coupé la route était conduite avec à son volant, un vieil ivrogne.
C’était un récidiviste, entièrement saoul.
L’assurance a payé les dégâts dont mon infirmité et une autre assurance a versé la prime d’assurance vie que mon père avait prise en mon nom.
J’ai pu officiellement toucher mon argent à mes dix-huit ans et pour commencer à faire ce que je révais, ce garage désaffecté que j’ai fait aménager en lieu de vie et de travail pour créer mes peintures.
J’ai le bac et après j’ai commencé une école de beaux-arts, mais que j’ai vite quitté car mes premières toiles ont commencé à bien se vendre.
• Les beaux-arts, j’ai vu à la télé, ma principale source d’apprentissage de la vie, que dans des ateliers d’art, des hommes nus posaient et que les apprentis élèves passaient des heures à les croquer !
• C’est vrai, j’en ai vu dans mes cours, mais comme pour toi lorsque je t’ai croqué, je voyais seulement les courbes de leurs corps.
• Jusqu’à leur queue, je suis sûr que ça te faisait mouiller !
• Mais c’est qu’il serait jaloux mon bel étalon.
Me tenant ces propos elle me passe sa main sur ma queue, qui rapidement prend des proportions, impossible à coucher sur une toile.
Elle se penche et me prend dans sa bouche, elle me masturbe jusqu’à explosion.
Elle avale tout et se redresse.
• Mon repas était quelconque, ton dessert était divin.
Je suis surprise, c’était seulement un peu fade, la prochaine fois, je sortirais le sucre en poudre.
Ç ses derniers mots, elle m’abandonne pour rejoindre son chevalet, elle met sa blouse et replonge dans son monde.
• Je sors, j’ai une course à faire.
• Promène-toi bien.
Comme elle est dos tourné j’en profite pour récupérer mon Goncourt dédicacé !
Marche, métro, j’arrive à la boutique de Christine.
Elle est contente de me voir et m’entraîne dans son bureau.
• Merci pour ma filleule, j’espérais en toi, mais pas jusqu’à ce point, tu m’as agréablement surpris.
Je viens de l’avoir au téléphone, je me suis fait insulter, elle était en train de peindre, une fois calmer, elle m’a fait bien des éloges sur toi !
• Je le sais, nous avons déjeuner, elle m’a sucé et je l’ai vu rejoindre son travail, j’ai appris à la respecter lorsqu’elle peint, je suis venu ici.
Je dois te dire, ce n’est qu’un début, je vais l’épouser !
• Est-elle d’accord ?
• C’est pour cela que je viens te voir, je suis prêt à travailler gratuitement si tu m’organises pour la fin d’année, trois jours à Venise, je vais la demander en mariage là-bas !
• Bonne idée, je m’occupe de tout, voyage, hôtel, tu dois savoir que pour qu’elle se déplace si longtemps, il faut prévoir beaucoup de choses.
J’ai l’habitude depuis la mort de mon frère, je m’en suis toujours occupée.
• Même son argent, elle m’a dit qu’elle avait touché à sa majorité de l’argent des assurances !
• Pourquoi me demandes-tu cela, as-tu compris qu’elle avait de quoi vivre jusqu’à la fin de ces jours, tu espères vivre à ses crochets ?
• Tu te trompes sur mes intentions, j’ignore s’il est possible de l’épouser en refusant le moindre centime de cet argent, je me contenterais de la paye de militaire dans la marine.
• Je pense que tes intentions son pur, oui, c’est possible, ça s’appelle un contrat de mariage.
As-tu prévu une bague ?
• Oui, je l’achèterais dès que tu me diras que tout est prêt pour le voyage.
• Si cela ne te dérange pas, nous irons ensemble place Vendôme, j’ai quelques connaissances.
• Sans problème.
Là, je m’avance, la place Vendôme et ses bijouteries de luxes, je connais, avec maman un jour nous avons pris le bus, puis le métro.
Elle voulait voir les bijoux de luxe qu’elle rêvait de pouvoir s’offrir si elle gagnait à la loterie nationale.
Chaque semaine elle se payait, avec l’argent du ménage qu’elle avait pu économiser, des billets des gueules cassés.
Ces billets étaient en vente dans de petites guérites par des mémés dont je me suis souvent demandé si elle mourrait dans ces petites cabanes.
Le jour du tirage, elle s’empressait de regarder le tirage dans le Parisien, journal lu par mon père, mais était toujours déçue.
À mon souvenir, elle était une fois folle de joie, car elle avait gagné 1 000 de nos francs de l’époque.
• Christophe en réponse à tous ces chamboulements, viens-tu me dire que tu abandonnes de travailler avec moi !
• Non, nous en avons parlé avec Patou et elle est tellement heureuse avec moi qu’elle refuse de m’accaparer et je peux continuer ma vie.
Par compte, dès que je serais dans la marine et que nous soyons mariés, j’arrêterais.
• C’est très sage, mais maintenant que tu as baisé avec la nièce et la vieille tante, tu vas refuser de le faire avec moi !
• C’est mal me connaître, je suis sans aucun tabou, tu aurais une fille, avec ton accord, car j’ai de la morale, je l’honorerais.
• Tu es amoral !
• Non, j’ai ma morale, j’ai quelques années pour toutes vous baiser et même si je veux épouser Patou, il est hors de question de me priver et surtout vous privez de mon sexe.
En lui disant cela, je dégrafe mon jean et je sors ma queue.
• Dit moi que tu refuses de l’honorer !
• C’est immoral, mais donne-la-moi, Chérubin !
• Nous sommes tous les deux immoraux !
Il lui est impossible de me répondre, ayant empoigné ma verge elle se met à pomper goulûment.
Je bande une fois de plus malgré la fellation de Patou en guise de dessert, mais l’envie de la prendre devient si fort que je la saisis et que je la place les seins sur son bureau.
Pour dégager ses seins, le léger voile de son corsage en un instant rend l’âme, il va falloir qu’elle appelle Amélie pour la remplacer, car sinon elle se promènera nue dans sa boutique.
Je rappelle qu’elle se trouve sur les champs au regard de nombreux tourismes...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hé on verra, l'avenir le dira
Toujours aussi agréable à lire, va t on récupérer Mallaurie chez Chantal ....

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