COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (24/25)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (24/25) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (24/25)
Revenu chez maîtresse Chantal, du moins dans son donjon, j’ai la surprise de me retrouver non pas avec une, mais deux maîtresses femmes.
Malaurie, qui devait me quitter pour rejoindre un poste d’enseignante à Dijon, a décidé de rester à Paris.
J’aime la baignoire de Chantal dans la salle de bains de son lieu de vie, je suis en train de prendre un bain et ayant libéré leurs derniers clients, je les entends qui arrivent pour me rejoindre.

Elles sont nues, leurs tenues de travail sont certainement restées dans la zone professionnelle.
J’aime cette baignoire qui lorsqu’elles enjambent le bord, écarte leurs vulves me donnant une envie dit introduire ma verge.
Une a une, elles viennent vers moi pour que je les savonne.
Malaurie est la première à profiter de mes mains pendant que Chantal plonge carrément sous l’eau pour venir prendre ma verge en bouche.
Une fois de plus elles me font bander, car lorsque mes mains attrapent Chantal c’est Malaurie qui prend sa place sous l’eau.
Je m’attarde sur le vagin de Chantal, je le découvre avec ma main pour la première fois car lorsque j’ai fait l’amour avec elle, dans le Doubs, nous ne pratiquions aucun jeu érotique.
Sans dire que c’était un amour fruste, il était sans grande connaissance de la sexualité.
Nous savions, du moins Chantal qu’un sexe mâle était conçu pour pénétrer un sexe femelle.
À l’école, nulle cour sur la sexualité, nous devions découvrir tout par nous-même.
À ce jour, je vois la chance de ne pas avoir eu de conséquence à ce sexe sauvage pour éviter de dire bestial.
Seul ma verge défonçant sa chatte avait notre attention.
D’ailleurs nous ne savions pas qu’un corps pouvait servir d’une autre façon qu’en prenant la jeune femme cuisse écartée et chatte perforée.

• Christophe, c’est la première fois que tu me caresses ma chatte avec tes doigts, tu te souviens comment je t’ai dépucelé ?
• Toute ma vie, je me souviendrais de ce jour et comment tout c’est déclenché.
Nous faisions des sujets pour faire des cadeaux à nos parents avec tous ce que nous trouvions dans la nature.
De la boue, véritable terre glaise que nous formions comme des médailles et que nous faisions sécher au soleil sur le bitume de la route.
• Je m’en souviens, heureusement, il y avait très peu de voiture qui passait.
• Une seule fois, c’était une 203 Peugeot, le jeune au volant a vu nos compositions et a fait exprès de rouler dessus.
• Je me souviens, tu avais vu sa plaque, un 90, j’ai su que c’était un jeune du Territoire de Belfort.
• Oui, un peu loin pour lui parler de près.
• Nous n’avions plus de glands.
Glands de chêne, je précise, Malaurie.
Pas un des cinq jeunes, qui travaillaient avec nous, ne voulait y aller.
Tu m’as dit, Christophe peux-tu venir avec moi en chercher !

Malaurie étant remontée respirée s’est assise et écoute nos souvenirs.

• Tu savais où il y avait un chêne dans un buisson hors de la vision des autres.
• Oui, je connaissais bien cet endroit car j’avais déjà défloré Alain ton copain né huit jours plutôt que toi.
• Alain, que de souvenirs, j’étais plus vieux de ces quelques jours et nous étions les meilleurs copains.
La vie nous a séparés et je n’ai plus de nouvelle de lui.
• Attends, tu es en train de me dire que pendant ce temps de vacances, tu nous as déflorés tous les deux, tu es une belle salope.
• Tu te trompes, un jour, nous sommes allées au village, je trainais et un gars est venu vers moi, un fourrée de l’herbe tendre et ce fut le troisième trois jours après toi.
Là tu peux dire que je suis une belle salope et non pas une simple salope.
Là encore, je me souviens, nous étions au pied de l’arbre et tu étais un parfait puceau, je multipliais les signes, mais toi tu ne voyais rien.
Au pied de l’arbre à gland, comme tu étais grand, je t’ai demandé de m’attraper une branche que je ne pouvais atteindre.
• J’étais sur la pointe des pieds quand tu as attaqué !
• Oui, tu étais avec ton pantalon de survêtement que j’ai tiré vers le bas descendant ton slip en même temps.
• Tu es partie en courant avec un éclat de rire, satisfaite de ton méfait.
• J’ai surtout rigolé lorsque tu as voulu me rattraper et que tu t’es empêtré les pieds dans tes vêtements.
• Je ne les ai pas enlevés, je l’ai ais arrachés.
J’ai même perdu une de mes baskets et ces pieds nus que je suis reparti et que je t’ai rattrapé.
• Me rattraper, c’est ce que je voulais que tu fasses et je t’assure que je ne courais juste ce qu’il fallait pour que ça se produise.
• Ma chance c’est quand tu es tombée !

• Tu veux dire quand je me suis couché, car lorsque tu es arrivé, j’avais déjà les cuisses écartées la jupe relevée et comme j’avais enlevé ma culotte ma fente t’était promise.
• Oui, une chose que je ne me souvenais pas c’est en voyant tes fesses quand tu courais que je me suis mis à bander.
Je ne sais pas comment ma verge s’est retrouvée dans ton vagin, dans mes souvenirs j’ai un trou noir.
• Je vais l’éclairer, c’est moi qui ai pris ton sexe dans ma main et qui l’ait planté dans mon vagin qui n’attendait que cela.
Tu as eu la réaction de tous les puceaux que j’ai dépucelé, l’instinct animal.
Par chance en allant à la messe le dimanche, j’avais vu un taureau dans un champ monter derrière une vache et la planter avec son très grand pénis.
J’ai compris que ça servait à autre chose qu’à pisser.
• Oui, j’étais là et c’est ça qui m’a mise le feu au cul, je me suis fait Alain.
Mais lui était de la campagne, il savait me baiser en levrette.
Si tu as perdu ton pucelage, c’est à la suite d’un pari avec lui, il était ton copain et voulait que tu deviennes un homme.

Où est ce garçon devenu un homme, si à ce jour je suis un bon amant, des moins mes maîtresses le disent, sans parler de Patou, elle s’est autre chose, on sait ce que je ressens ?

• Je suis content de l’apprendre, mais tu dois reconnaitre que j’ai réagi à ce moment et tu n’as pas mis longtemps à râler de plaisir.
• Tu étais déjà un bon coup, ta verge faisait le double de celle d’Alain et il avait peur de se faire surprendre et finissait à peine commencé.
Toi tu as rapidement trouvé le bon rythme et chaque fois que tu m’as pris, dans mes souvenirs j’ai toujours pris mon pied.
• Lorsque ma verge a éclaté dans ton sexe, j’étais devenu le mâle le plus fort du groupe.
C’est ce que je le croyais, lorsque Alain a voulu se vanter de t’avoir déflorée, je n’ai pas voulu le croire.
Le soir lorsqu’il a fallu aller chercher les moutons dans la pâture, tu es partie avec lui et le temps passer m’a ouvert les yeux.
• S’il t’a dit qu’il m’avait défloré, il t’a menti.
Un mois avant de partir, c’est le frère de ma belle-mère qui m’a attrapé sur le canapé de sa sœur et qui m’a pris ma virginité.
Lorsqu’il a terminé et qu’il a vu les petits saignements sortis de ma chatte, il m’a dit « maintenant, tu vas pouvoir aller au bois faire la pute comme ta mère. »
Cela m’a confirmé ce que j’avais déjà entendu dans le salon de coiffure sur ma mère.
• Te souviens-tu de la bagarre que tu as provoquée entre Alain et moi le lendemain ?
• Oui, alors que nous refusions tous de chercher les moutons qui parfois se trouvaient très éloignés de la bergerie.
Ce soir-là vous vouliez y aller seuls avec moi et vous en êtes venu aux mains !
• Oui tu nous as séparées et tranchées, un jour sur deux nous partions avec toi et nous enfoncions nos verges avec délice dans ta petite grotte.
• Grâce à vous, j’ai passé de très bonnes vacances qui m’ont paru trop courte.
• Chaque fois que nous étions ensemble, avec Alain nous échangions nos impressions.
Dommage que nous ne sachions pas ce que nous pouvions faire avec une jolie fille comme toi qui n’avait aucun tabou.
Depuis, j’ai toujours pensé ce que nous aurions pu faire si nous étions partis tous les trois aux creux de ces buissons.
J’ai aussi pensé depuis la chance que nous eussions eu de ne pas t’avoir faite un enfant, nous te remplissions la chatte sans savoir que je pouvais t’engrosser.
• Christophe, grand nigaud que tu fais avec le frère de ma belle-mère, ça aurait pu être possible.
Dès qu’il m’a baisé, je savais que chaque fois que ça serait possible, j’ai voulu me protéger.
Dans son salon de coiffure, j’avais entendu ma belle-mère dire à une de ses clientes qu’elle prenait la pilule refusant d’avoir des enfants.
Je suis allée dans sa chambre et dans ma valise, j’avais caché une plaquette que je lui avais volée.
C’est à notre retour qu’elle a voulu savoir si c’était moi.
Tu sais comme je peux être une très très grande menteuse et elle a été obligée de s’excuser de m’avoir suspecté.
Elle a même avalé que j’étais toujours vierge et que je le serais jusqu’à mon mariage.
• À oui, si tu lui as fait gober ça, tu es la plus grande menteuse que la terre n’est portée.
• De l’univers mon ami, de l’univers.
Quant à ta proposition de jeux à plusieurs, j’y ai pensé là encore à mon retour.
Lorsque je suis rentré mon dépuceleur m’obligeais à venir chez lui et c’est là qu’il m’a sodomisé pour la première fois.
Chaque fois qu’il finissait de me baiser, il me disait que j’étais une brave fille et qu’il m’apprenait mon futur métier.
• Comment-en es-tu sortie avec lui ?
• Facile, il craignait sa sœur qui le fessait lorsqu’il était petit et il avait toujours la frousse de ses réactions.
• Là encore, comment là tu la sus ?
• Toujours ma belle-mère, elle parlait beaucoup dans son salon avec ses clientes.
Si tu savais lorsqu’elle n’était que deux, les obscénités qu’elles pouvaient se raconter...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Beau récit on en apprend un peu plus sur Christophe et un peu sur Chantal on attend la suite maintenant on sait que Malaurie a changé de voie et forme un couple avec Chantal Daniel



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (24/25)
Histoire sexe : Une rose rouge
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