COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (25/25)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (25/25)
C’est passionnant d’apprendre la réalité des évènements qui s’étaient passés pendant les vacances dans le Doubs ou Chantal, une autre parisienne en vacances m’avait dépucelé.
J’avais toujours pris pur argent comptant qu’Alain le garçon de mon âge à quelques jours près l’avait dépucelé.
À leur avantage, dans ces campagnes les jeunes avaient un temps d’avance sur nous, la campagne et les bosquets les facilitant.
Chantal, me détrompe, Alain a exagéré, c’est le frère de sa belle-mère, la coiffeuse qui s’était occupée de son hymen.
C’est en entendant des confidences de sa belle-mère dans son salon qu’elle nous raconte que je comprends notre erreur.
• Il faut voir le nombre de femmes qui trompait leur mari et qui avait le plaisir de venir lui dire.
J’ai tout entendu, comme pour la pilule, la femme qui avait trouvé un noir défiant toutes proportions et qui se faisait défoncer devant ou derrière et qui aimait qu’il éjacule dans sa bouche de longs jets de foutre.
Celle qui avait trouvé des jumeaux qui la prenaient ensemble et les dernières qui avaient goûté aux sexes féminins.
C’est dans un de ces moments, que ma belle-mère a répondu à la question d’une cliente.
Elle lui a demandé si dans son couple elle aimait que son homme la fesse !
Je l’ai senti qui hésitait à répondre, mais, dès que les vannes ont été ouvertes rien n’a pu l’arrêter.
Elle a commencé à parler de sa jeunesse avec son frère.
Elle avait pris l’habitude de le fesser au début dès qu’elle trouvait un motif et par la suite même si elle n’en avait pas.
A force d’avoir les fesses à l’air, son frère avait développé un symptôme d’infériorité et dès qu’elle le menaçait, il venait se faire pardonner.
C’est ce jour que j’ai appris que mon père adorait qu’elle le fesse avec le martinet qu’il avait acheté pour nous faire peur et dont il se contentait de nous en menacer.
Le lendemain de ces confidences, lorsque son frère a voulu m’enculer je l’ai menacé d’aller voir sa sœur.
Je n’ai jamais vu un homme paniquer comme lui, il me suppliait de me taire, il devait penser à la volée qu’il allait ramasser si sa sœur apprenait qu’il avait abusé de moi.
J’ai profité de la situation et il est devenu mon premier client, 50 la pipe, 100 la baise et 200 pour me sodomiser.
Je l’ai mis sur la paille, je l’ai laissé me baiser tant qu’il avait de l’argent sur son livret de caisse d’épargne.
Tout son fric y est passé, je lui ai même piqué l’argent qu’il gardait depuis sa communion.
Plus son livret descendait, plus le mien grossissait.
Lorsqu’il a été à sec, j’ai refusé de me faire baiser.
Il a pété un plomb et depuis il est interné dans une maison spécialisée.
C’est dans cette période que j’ai rejoint ma mère au bois et que j’ai commencé à travailler avec mes avantages s’étant fortement développé.
• Sais-tu ce que nous avions le plus peur avec Alain ?
• Non !
• C’est de te faire un enfant, car nous ne prenions aucune précaution.
La seule chose qui nous importait c’était de te mettre notre sexe dans la fente et de pouvoir prendre notre plaisir sans nous servir de notre main !
Elle part dans un de ces grands éclats de rire.
• Vous ne risquiez rien,
Je vous ai expliqué avoir piqué à ma belle-mère une plaque de pilule contraceptive que je prenais tous les jours.
• J’avais une autre question.
• Demande, je peux répondre à tous ce qui s’est passé dans cette période, car j’ai participé activement, je le pense.
• Que s’était-il passé avec le paysan pour qu’il te déplace près de nous ?
• Quand mon père m’a dit qu’ils avaient décidé de m’envoyer en vacances dans le Doubs, j’étais très déçu car l’argent commençait à rentrer pour moi.
Le frère de ma belle-mère avait des copains qui ont rapidement su que je baisais pour de l’argent.
Il les recevait chez lui et j’avais établi un tarif à deux cents francs.
J’ai eu un grand nombre de clients sauf lui qui regardait n’ayant plus les moyens de payer.
C’est cette situation qui la fait péter les plombs.
Arrivé dans le Doubs chez ce couple, le mari était très séduisant.
Dès le deuxième jour je l’ai allumé et de suite les tarifs pour mes charmes ont été identiques de ceux de Paris.
Pendant deux trois jours tous se passaient bien jusqu’au jour ou au bistrot du village ou tous les hommes se retrouvaient à l’apéro.
Ce soir-là, il avait un peu bu et il s’est vanté de me sauter pour un peu d’argent.
Une pute parisienne qui venait chez eux c’était exceptionnel.
Tous les soirs à l’heure où la fermière donnait à manger aux animaux ce qui lui prenait plus d’une heure, il défilait les uns et les autres dans la cuisine du couple.
Le jour où la femme est revenue chercher un couteau qu’elle avait oublié, c’était le maire du village qui venait de me pénétrer.
Je tenais toujours à la main l’argent qu’il venait de me donner.
Tout le village a résonné des cris des femmes dans les différentes fermes, car non content de me sauter, les uns et les autres se glorifiaient de m’avoir fait jouir.
Certaines femmes ont tellement tarabusté leur mari qu’ils se sont repentis pour se faire pardonner.
Je suis sûr que si nous retournions au café de ce village, certains d’entre eux se glorifieraient de m’avoir séduite, alors que je les plumais.
• Je comprends, ça a dû faire scandale sur place !
• Pour éviter ce scandale, le maire étant en première ligne dans l’affaire, avec le directeur du placement, ils sont tombés d’accord pour me déplacer et ainsi étouffer l’affaire.
• Et c’est là que tu nous as rejointes pour notre plus grand bonheur.
• Une ferme à trois kilomètres du plus proche village leur a semblé le meilleur endroit pour que je finisse les vacances.
Le fermier a eu beau se défendre que ce soit moi qui lui avais proposé de baiser pour de l’argent, ils n’ont pas voulu le croire.
Ce qu’ils avaient oublié c’est que dans cette ferme deux jeunes hommes de mon âge pouvaient être des proies pour moi et c’est grâce à cela que vous avez perdu votre pucelage.
• Si je te comprends bien, je t’ai sauté une dizaine de fois, je te dois donc 2 000 francs.
Dommage, je suis nu et il m’est impossible de régler ma dette.
• Oh ! cher Christophe, il y a bien des manières de rembourser ta dette.
Tu m’as amené Malaurie, avec la manière dont elle apprend la soumission pour mes clients, ce sera vite fait !
Pendant toutes ces explications sans m’en apercevoir, je me suis redressé et ma bite sort de l’eau.
J’étais tellement concentré sur ses explications, transformant l’intégralité de mes certitudes, je m’aperçois que Malaurie a saisi ma bite et l’a avalée.
Elle a réussi à me durcir la tige qui est prête à être utilisée par leurs petites chattes ou anus.
Je la relève, je m’assieds et j’amène sa grotte sur ma queue.
• Mon cœur, j’avais envie que tu m’enfiles.
J’aime beaucoup lécher Chantal, mais rien ne te remplacera.
Chantal s’approche de nous et nous embrasse tendrement.
• Malaurie, laisse-moi la place, s’il te plait afin que je constate si notre étalon a progressé depuis que je l’ai déniaisé !
• Tu sais qu’il te suffit de me l’ordonner mon cœur.
Elle se retire et Chantal prend sa place.
• Christophe, ta bite a pris du volume, elle va plus loin en moi.
Tu sais, il y a des mois qu’aucun homme ne m’a baisé.
Je fais subir, je refuse de subir, c’est moi la maîtresse.
Il est dommage que tu partes, Malaurie et moi aurions fait de toi notre mâle personnel.
• Je vais vous annoncer une grande nouvelle, je vais me marier !
Je sens Chantal quitter ma bite.
• Tu vas te marier et tu la trompes déjà avec nous, je serais toi, j’aurais honte.
Je leur raconte mon embauche dans le magasin de Christine.
Comment j’avais raccompagné Patricia, Patou pour les intimes, cher elle où j’ai découvert qu’elle était une jeune peintre commençant à être célèbre ?
Et comment nous sommes tombés amoureux et que je vais la demander en mariage ?
Malaurie me regarde avec de grands yeux.
• Patricia, qui signe Patou, la jeune peintre dans le vent ?
• Oui !
• Mais ?
• Je sais, elle a eu un accident et est en fauteuil roulant !
Ça conforte mon amour, je lui ai fait découvrir qu’elle avait droit au bonheur, je l’aime et nous nous arrangeons très bien de ce problème au sein de notre couple.
• Elle n’est pas jalouse !
• Tu sais Chantal lorsque tu vas la connaître, tu pourras me féliciter de l’avoir pris sous mon aile.
• Je suis contente pour vous deux.
• Tu sais Malaurie, depuis le début de notre relation, je t’ai toujours dit la vérité, nous savions que nous deux ce n’était pas pour la vie.
• Christophe, je t’aime, comment pourrais-je te reprocher quoique ce soi, surtout depuis que tu m’as fait rencontrer Chantal.
Nous avons des atomes crochus, c’est pour cela que nous restons ensemble et que je quitte l’enseignement car je manque de charisme.
Tu as déjà constaté que j’aime être un peu humilié et avec Chantal, j’ai aussi découvert que d’être maîtresse me plaisais aussi, nous la présenteras-tu ?
• Sur, si elle est d’accord nous vous inviterons au restaurant.
• Au restaurant, nous aurions préféré chez elle !
• Non, c’est autre chose, j’ai eu l’honneur de goûter à sa cuisine et il vaut mieux le restaurant.
Tous les trois, nous partons dans un grand éclat de rire, ça fait du bien de se dilater la rate.
Nous quittons la salle de bain et nous décidons de passer la nuit ensemble.
Le dîner est très bien préparé, ce serait dommage avec deux femmes au fourneau.
Dès que l’on est au lit, je retrouve la chatte de ma jeunesse et la fontaine des temps derniers...
Cinq chapitres, cinq autres en préparation, les aventures du « Pompon » vont bientôt continuer.
J’avais toujours pris pur argent comptant qu’Alain le garçon de mon âge à quelques jours près l’avait dépucelé.
À leur avantage, dans ces campagnes les jeunes avaient un temps d’avance sur nous, la campagne et les bosquets les facilitant.
Chantal, me détrompe, Alain a exagéré, c’est le frère de sa belle-mère, la coiffeuse qui s’était occupée de son hymen.
C’est en entendant des confidences de sa belle-mère dans son salon qu’elle nous raconte que je comprends notre erreur.
• Il faut voir le nombre de femmes qui trompait leur mari et qui avait le plaisir de venir lui dire.
J’ai tout entendu, comme pour la pilule, la femme qui avait trouvé un noir défiant toutes proportions et qui se faisait défoncer devant ou derrière et qui aimait qu’il éjacule dans sa bouche de longs jets de foutre.
Celle qui avait trouvé des jumeaux qui la prenaient ensemble et les dernières qui avaient goûté aux sexes féminins.
C’est dans un de ces moments, que ma belle-mère a répondu à la question d’une cliente.
Elle lui a demandé si dans son couple elle aimait que son homme la fesse !
Je l’ai senti qui hésitait à répondre, mais, dès que les vannes ont été ouvertes rien n’a pu l’arrêter.
Elle a commencé à parler de sa jeunesse avec son frère.
Elle avait pris l’habitude de le fesser au début dès qu’elle trouvait un motif et par la suite même si elle n’en avait pas.
A force d’avoir les fesses à l’air, son frère avait développé un symptôme d’infériorité et dès qu’elle le menaçait, il venait se faire pardonner.
C’est ce jour que j’ai appris que mon père adorait qu’elle le fesse avec le martinet qu’il avait acheté pour nous faire peur et dont il se contentait de nous en menacer.
Le lendemain de ces confidences, lorsque son frère a voulu m’enculer je l’ai menacé d’aller voir sa sœur.
Je n’ai jamais vu un homme paniquer comme lui, il me suppliait de me taire, il devait penser à la volée qu’il allait ramasser si sa sœur apprenait qu’il avait abusé de moi.
J’ai profité de la situation et il est devenu mon premier client, 50 la pipe, 100 la baise et 200 pour me sodomiser.
Je l’ai mis sur la paille, je l’ai laissé me baiser tant qu’il avait de l’argent sur son livret de caisse d’épargne.
Tout son fric y est passé, je lui ai même piqué l’argent qu’il gardait depuis sa communion.
Plus son livret descendait, plus le mien grossissait.
Lorsqu’il a été à sec, j’ai refusé de me faire baiser.
Il a pété un plomb et depuis il est interné dans une maison spécialisée.
C’est dans cette période que j’ai rejoint ma mère au bois et que j’ai commencé à travailler avec mes avantages s’étant fortement développé.
• Sais-tu ce que nous avions le plus peur avec Alain ?
• Non !
• C’est de te faire un enfant, car nous ne prenions aucune précaution.
La seule chose qui nous importait c’était de te mettre notre sexe dans la fente et de pouvoir prendre notre plaisir sans nous servir de notre main !
Elle part dans un de ces grands éclats de rire.
• Vous ne risquiez rien,
Je vous ai expliqué avoir piqué à ma belle-mère une plaque de pilule contraceptive que je prenais tous les jours.
• J’avais une autre question.
• Demande, je peux répondre à tous ce qui s’est passé dans cette période, car j’ai participé activement, je le pense.
• Que s’était-il passé avec le paysan pour qu’il te déplace près de nous ?
• Quand mon père m’a dit qu’ils avaient décidé de m’envoyer en vacances dans le Doubs, j’étais très déçu car l’argent commençait à rentrer pour moi.
Le frère de ma belle-mère avait des copains qui ont rapidement su que je baisais pour de l’argent.
Il les recevait chez lui et j’avais établi un tarif à deux cents francs.
J’ai eu un grand nombre de clients sauf lui qui regardait n’ayant plus les moyens de payer.
C’est cette situation qui la fait péter les plombs.
Arrivé dans le Doubs chez ce couple, le mari était très séduisant.
Dès le deuxième jour je l’ai allumé et de suite les tarifs pour mes charmes ont été identiques de ceux de Paris.
Pendant deux trois jours tous se passaient bien jusqu’au jour ou au bistrot du village ou tous les hommes se retrouvaient à l’apéro.
Ce soir-là, il avait un peu bu et il s’est vanté de me sauter pour un peu d’argent.
Une pute parisienne qui venait chez eux c’était exceptionnel.
Tous les soirs à l’heure où la fermière donnait à manger aux animaux ce qui lui prenait plus d’une heure, il défilait les uns et les autres dans la cuisine du couple.
Le jour où la femme est revenue chercher un couteau qu’elle avait oublié, c’était le maire du village qui venait de me pénétrer.
Je tenais toujours à la main l’argent qu’il venait de me donner.
Tout le village a résonné des cris des femmes dans les différentes fermes, car non content de me sauter, les uns et les autres se glorifiaient de m’avoir fait jouir.
Certaines femmes ont tellement tarabusté leur mari qu’ils se sont repentis pour se faire pardonner.
Je suis sûr que si nous retournions au café de ce village, certains d’entre eux se glorifieraient de m’avoir séduite, alors que je les plumais.
• Je comprends, ça a dû faire scandale sur place !
• Pour éviter ce scandale, le maire étant en première ligne dans l’affaire, avec le directeur du placement, ils sont tombés d’accord pour me déplacer et ainsi étouffer l’affaire.
• Et c’est là que tu nous as rejointes pour notre plus grand bonheur.
• Une ferme à trois kilomètres du plus proche village leur a semblé le meilleur endroit pour que je finisse les vacances.
Le fermier a eu beau se défendre que ce soit moi qui lui avais proposé de baiser pour de l’argent, ils n’ont pas voulu le croire.
Ce qu’ils avaient oublié c’est que dans cette ferme deux jeunes hommes de mon âge pouvaient être des proies pour moi et c’est grâce à cela que vous avez perdu votre pucelage.
• Si je te comprends bien, je t’ai sauté une dizaine de fois, je te dois donc 2 000 francs.
Dommage, je suis nu et il m’est impossible de régler ma dette.
• Oh ! cher Christophe, il y a bien des manières de rembourser ta dette.
Tu m’as amené Malaurie, avec la manière dont elle apprend la soumission pour mes clients, ce sera vite fait !
Pendant toutes ces explications sans m’en apercevoir, je me suis redressé et ma bite sort de l’eau.
J’étais tellement concentré sur ses explications, transformant l’intégralité de mes certitudes, je m’aperçois que Malaurie a saisi ma bite et l’a avalée.
Elle a réussi à me durcir la tige qui est prête à être utilisée par leurs petites chattes ou anus.
Je la relève, je m’assieds et j’amène sa grotte sur ma queue.
• Mon cœur, j’avais envie que tu m’enfiles.
J’aime beaucoup lécher Chantal, mais rien ne te remplacera.
Chantal s’approche de nous et nous embrasse tendrement.
• Malaurie, laisse-moi la place, s’il te plait afin que je constate si notre étalon a progressé depuis que je l’ai déniaisé !
• Tu sais qu’il te suffit de me l’ordonner mon cœur.
Elle se retire et Chantal prend sa place.
• Christophe, ta bite a pris du volume, elle va plus loin en moi.
Tu sais, il y a des mois qu’aucun homme ne m’a baisé.
Je fais subir, je refuse de subir, c’est moi la maîtresse.
Il est dommage que tu partes, Malaurie et moi aurions fait de toi notre mâle personnel.
• Je vais vous annoncer une grande nouvelle, je vais me marier !
Je sens Chantal quitter ma bite.
• Tu vas te marier et tu la trompes déjà avec nous, je serais toi, j’aurais honte.
Je leur raconte mon embauche dans le magasin de Christine.
Comment j’avais raccompagné Patricia, Patou pour les intimes, cher elle où j’ai découvert qu’elle était une jeune peintre commençant à être célèbre ?
Et comment nous sommes tombés amoureux et que je vais la demander en mariage ?
Malaurie me regarde avec de grands yeux.
• Patricia, qui signe Patou, la jeune peintre dans le vent ?
• Oui !
• Mais ?
• Je sais, elle a eu un accident et est en fauteuil roulant !
Ça conforte mon amour, je lui ai fait découvrir qu’elle avait droit au bonheur, je l’aime et nous nous arrangeons très bien de ce problème au sein de notre couple.
• Elle n’est pas jalouse !
• Tu sais Chantal lorsque tu vas la connaître, tu pourras me féliciter de l’avoir pris sous mon aile.
• Je suis contente pour vous deux.
• Tu sais Malaurie, depuis le début de notre relation, je t’ai toujours dit la vérité, nous savions que nous deux ce n’était pas pour la vie.
• Christophe, je t’aime, comment pourrais-je te reprocher quoique ce soi, surtout depuis que tu m’as fait rencontrer Chantal.
Nous avons des atomes crochus, c’est pour cela que nous restons ensemble et que je quitte l’enseignement car je manque de charisme.
Tu as déjà constaté que j’aime être un peu humilié et avec Chantal, j’ai aussi découvert que d’être maîtresse me plaisais aussi, nous la présenteras-tu ?
• Sur, si elle est d’accord nous vous inviterons au restaurant.
• Au restaurant, nous aurions préféré chez elle !
• Non, c’est autre chose, j’ai eu l’honneur de goûter à sa cuisine et il vaut mieux le restaurant.
Tous les trois, nous partons dans un grand éclat de rire, ça fait du bien de se dilater la rate.
Nous quittons la salle de bain et nous décidons de passer la nuit ensemble.
Le dîner est très bien préparé, ce serait dommage avec deux femmes au fourneau.
Dès que l’on est au lit, je retrouve la chatte de ma jeunesse et la fontaine des temps derniers...
Cinq chapitres, cinq autres en préparation, les aventures du « Pompon » vont bientôt continuer.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi agréable à lire bien écrit beaucoup d’explications on attend la suite Daniel

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