COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (26/30)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (26/30)
Cinq nouveaux chapitres, amusez-vous, je l’espère.
Vers sept heures je quitte les filles et je rejoins Pat qui est déjà devant la toile susceptible de me ressembler.
• Voilà mon modèle, il était temps, je n’arrivais plus à m’imaginer comment il est fait et je n’avançais pas.
Je la prends dans mes bras et je l’embrasse tendrement.
• M’as-tu trompé, oh ! pardon qui je suis pour te poser une telle question ?
Toi qui as accepté de faire de moi une femme, alors que tous et surtout William a tous fait pour me laisser dans ma misère sexuelle.
• Oui avec Chantal et Malaurie, mais je les ai prévenues, que j’avais t...
Je suis à deux doigts de dire à Patou ce que je dis déjà partout et à de nombreuses personnes, alors que je veux faire ça dans un moment hors du commun.
Patou et sa fraicheur mérite que je fasse le grand jeu.
• T’avais dépucelé !
• Tu as buté sur la fin de ta phrase, soit sans crainte tu peux aller avec ces jeunes femmes, je sais que tu as su faire vibrer mon cœur et que c’est moi qui t’ai enlevé à elles !
• Eh toi, je suis sûr que tu m’as trompé !
• Méchant, je suis restée sur mon fauteuil sas bougé et je cela sans m’arrêter de travailler.
• Même pas un petit pipi ?
• Comment tu le sais, tu me...
Idiot, tu me fais marcher et moi je cours, oui j’y suis allée et j’en ai profité pour me caresser le clitoris, j’ai joui plus fort qu’avec ta queue.
• Alors là, je vois ton nez bougé, tu prêches le faux pour savoir le vrai, ma queue, sera toujours plus forte que le bout de tes doigts.
• Eh si, j’allais me doucher, tu m’accompagnerais.
• Oui, mais avec mon cahier à croquis, regarde ici, je suis incapable de combler ce vide.
Je regarde, certes, il y a une zone blanche, mais le reste de la toile me semble partir dans tous les sens, mais si ça plait, pourquoi contredirais-je ceux qui sont férus de peinture, même moderne.
Je me douche et je m’habile pour aller retrouver mon travail.
Une nouvelle fois, je quitte Patou avec un grand pincement au coeur.
Je suis sûr que si j’avais une conversation avec des personnes connaissant le moment de l’histoire, on me conseillerait d’abandonner ce travail me mettant en compact avec de nombreuses femmes.
Si je prenais cette décision, je serais obligé de retourner à mon collège, mais ce serait revenir la queue entre les jambes.
Sans compter mon père qui gagnerait et ça je suis très peu enclin à le supporter.
Je prends le métro et je suis à l’heure pour l’ouverture.
Je préviens Christine que le lendemain je vais passer ma visite médicale pour mon incorporation.
Pendant ces deux jours et demi, par chance, aucun paquet à porter.
Je me contente de faire du rangement avec Amélie.
Je reste sage avec elle, même si ses regards appuyés avec ses grands yeux me disent « baise-moi salopard, mets ta main dans ma petite culotte, tu me fais mouiller.
Plus simplement, je veux être fidèle à ma promesse de ne plus baiser de jeunes femmes hors de mon travail.
Bien qu’ici je sois à mon travail, ça fait partie de mes quelques moments où je perds la notion du Nord ou du Sud, bien que bientôt, ce soit vers le Sud de notre belle France que je vais me diriger.
En entrant j’informe Patou de cette visite médicale, pour confirmer mon engagement, je vois quelques débuts de larmes aux coins de ses yeux.
À quelques minutes de l’heure fatidique, j’entre au centre de la marine.
On me dirige vers une salle où plusieurs jeunes hommes sont déjà là.
Un infirmier nous demande de le suivre, je passe dans une cabine où je ressors en slip.
Pourquoi en avançant vers un des deux médecins, je traîne légèrement la jambe ?
• Vous semblez avoir un problème, jeune homme.
• Cela va mieux, lorsque j’étais petit j’ai eu un accident de bicyclette qui m’a laissé cette légère claudication.
Tout va bien, je tiens à servir mon pays monsieur le commandant.
Il note des mots sur sa fiche et à aucun moment, il me reparle de ma jambe.
Un infirmier récupère ma fiche et note mes caractéristiques physiques habituelles. Hauteur : 1 m 83, Poids : 72 kilos etc, jusqu’à la couleur de mes yeux.
Je me demande bien à quoi peut leur servir la couleur de mes yeux, ils sont un peu cons ces marins, heureusement qu’ils ont les pompons.
Nous nous rhabillons dès la visite médicale terminée et je suis conduit devant un autre gradé.
Je comprends que c’est un psychologue qui va tester l’intérieur de ma tête.
Il me présente des dessins avec des taches noires.
• Que voyez-vous ?
Je regarde, j’ai envie de lui répondre « une tache noire ! »
• Si elle était rouge, une tache de sang !
• Eh celui-là ?
• Un arbre avec une personne pendue !
• Développer, ça m’intéresse, vous êtes le premier à nous faire ce genre de réponse !
Je m’avance et je lui montre pourquoi et comment je vois ce personnage macabre pendu.
Je retourne la feuille devant lui et montre que la tache dans ce sens montre bien une personne pendue.
Au fur et à mesure, il remplit ma fiche.
Je réponds à toutes les questions qu’il me pose.
Comment pourrait-il avoir des doutes de ma sincérité, ne me suis-je pas inscrit pour m’engager sans fusil sur la tempe ?
C’est moi qui ai fait cette démarche et qui ait signé la demande d’engagement.
• Dites-moi, ici, c’est bien vous qui avez signé et non vos parents voulant se débarrasser de vous ?
• Pourquoi me posez-vous cette question, je voulais entrer dans les commandos, c’est mon père qui a voulu que je rentre dans la marine.
Lorsqu’il était jeune, il voulait entrer dans la marine et pour qu’on le prenne, il a été jusqu’à s’ouvrir les veines.
Il va de soi qu’ils l’ont recallé !
• Mettez-vous là sur le côté, je vais devoir vous faire une lettre pour vos parents.
Lorsque tous sont passés le médecin nous réunis pour nous donner quelques renseignements.
• Si nous ne sommes pas retenues suite à la visite de ce jour, d’ici 72 heures vous recevrez un avis de la marine expliquant, notre refus à votre engagement
Si nous considérons que votre profil psychologique est incompatible avec un engagement, vous le saurez.
Si sur cette lettre, vous avez été classé P4, il serait nécessaire de consulter un psychologue hors de l’armée.
• Qu’est-ce que c’est qu’un P4, monsieur l’officier ?
• Un P4, cette classification vous recalera et vous exemptera du service militaire.
• J’ai compris, ceux qui seront P4 même chez Lustucru, ils n’en voudront pas.
• Pourquoi jeune homme, que vient faire Lustucru dans cette journée ?
• J’ai compris, vous seriez incapable de rentrer chez Lustucru !
• Je ne vois pas le rapport, foutre-moi le camp.
La lettre qu’il devait me donner, je suis à deux doigts de lui en parler.
Mais aux yeux qu’il me fait étant dans l’armée, j’ai peur que ce ne soit des mitraillettes alors je tourne les talons.
Au moment de sortir je passe devant un guichet où est marquée « coopérative, » un marin avec son bonnet et son pompon en sort.
• Pouvez-vous me prêter votre bonnet ?
• Bien sûrs, mais dans la marine, nous l’appelons un « bachi. »
Il me le passe, devant sur un bandeau, il est marqué « Marine National ».
Le « pompon » est fixé à l’intérieur par deux petites barres de métal souple.
• À ce que je vois, le pompon, s’enlève !
• Oui lorsqu’ils sont trop vieux ou lorsqu’une fille veut que nous lui laissions !
• Au ton que tu prends pour me dire ça, je sens une ambiguïté !
• Veux-tu boire un verre, je vais tout t’expliquer ?
• C’est marqué « Foyer, » j’ai le droit d’entrer !
• Si tu es là, c’est qu’ils t’ont laissé entrer, surtout si tu es avec moi !
• Avant, tu veux m’acheter un pompon, c’est pour une copine.
Je vois une fiche sur la porte avec leur prix.
Il appuie sur une sonnette.
• Encore toi ?
• Mon copain voudrait des pompons.
• Combien ?
J’ignore pourquoi je lui dis.
• J’en veux dix !
Je m’attends qu’il se montre étonné, il part dans sa coopérative et me les rapporte dans un sac.
Nous entrons par la porte où il est marqué « Foyer. »
Un marin est là qui nous sert, je tiens à régler nos deux bibines.
• Je vais venir boire ma bière ici tous les jours, ce n’est vraiment pas cher.
• Je te disais pour les pompons, lorsqu’une fille te demande de toucher ton pompon, nous lui rétorquons que nous sommes d’accord.
À la seule condition que si elle touche le rouge, nous touchions le roux, le noir, voire le blond, suivant la couleur de leurs cheveux.
• Eh ! ça marche !
• Neuf fois sur dix, dans ce cas j’en ai toujours un autre dans la poche et je peux lui donner en souvenir de la partie de baise avec elle.
• Je vois, tu es là pour les sauter les unes après les autres, as-tu beaucoup voyagé ?
• Il y a trois mois que j’ai été affecté ici, je n’ai jamais vu la mer.
• Et tu es payé combien par mois ?
• La solde est de 800 francs par mois pour un quartier-maitre engagé, mais je fais mon service militaire, je touche 20 francs chaque mois.
Va savoir pourquoi, tu sais ici, article premier ferme ta gueule, article deux, ferme ta gueule et article trois, ferme...
• Ta gueule !
• Non, même si tu sais que tu as raison, ferme ta gueule, ton chef à toujours raison.
Même si celui qui voulait me donner une lettre avait tort, j’ai bien fit de fermer ma gueule...
Vers sept heures je quitte les filles et je rejoins Pat qui est déjà devant la toile susceptible de me ressembler.
• Voilà mon modèle, il était temps, je n’arrivais plus à m’imaginer comment il est fait et je n’avançais pas.
Je la prends dans mes bras et je l’embrasse tendrement.
• M’as-tu trompé, oh ! pardon qui je suis pour te poser une telle question ?
Toi qui as accepté de faire de moi une femme, alors que tous et surtout William a tous fait pour me laisser dans ma misère sexuelle.
• Oui avec Chantal et Malaurie, mais je les ai prévenues, que j’avais t...
Je suis à deux doigts de dire à Patou ce que je dis déjà partout et à de nombreuses personnes, alors que je veux faire ça dans un moment hors du commun.
Patou et sa fraicheur mérite que je fasse le grand jeu.
• T’avais dépucelé !
• Tu as buté sur la fin de ta phrase, soit sans crainte tu peux aller avec ces jeunes femmes, je sais que tu as su faire vibrer mon cœur et que c’est moi qui t’ai enlevé à elles !
• Eh toi, je suis sûr que tu m’as trompé !
• Méchant, je suis restée sur mon fauteuil sas bougé et je cela sans m’arrêter de travailler.
• Même pas un petit pipi ?
• Comment tu le sais, tu me...
Idiot, tu me fais marcher et moi je cours, oui j’y suis allée et j’en ai profité pour me caresser le clitoris, j’ai joui plus fort qu’avec ta queue.
• Alors là, je vois ton nez bougé, tu prêches le faux pour savoir le vrai, ma queue, sera toujours plus forte que le bout de tes doigts.
• Eh si, j’allais me doucher, tu m’accompagnerais.
• Oui, mais avec mon cahier à croquis, regarde ici, je suis incapable de combler ce vide.
Je regarde, certes, il y a une zone blanche, mais le reste de la toile me semble partir dans tous les sens, mais si ça plait, pourquoi contredirais-je ceux qui sont férus de peinture, même moderne.
Je me douche et je m’habile pour aller retrouver mon travail.
Une nouvelle fois, je quitte Patou avec un grand pincement au coeur.
Je suis sûr que si j’avais une conversation avec des personnes connaissant le moment de l’histoire, on me conseillerait d’abandonner ce travail me mettant en compact avec de nombreuses femmes.
Si je prenais cette décision, je serais obligé de retourner à mon collège, mais ce serait revenir la queue entre les jambes.
Sans compter mon père qui gagnerait et ça je suis très peu enclin à le supporter.
Je prends le métro et je suis à l’heure pour l’ouverture.
Je préviens Christine que le lendemain je vais passer ma visite médicale pour mon incorporation.
Pendant ces deux jours et demi, par chance, aucun paquet à porter.
Je me contente de faire du rangement avec Amélie.
Je reste sage avec elle, même si ses regards appuyés avec ses grands yeux me disent « baise-moi salopard, mets ta main dans ma petite culotte, tu me fais mouiller.
Plus simplement, je veux être fidèle à ma promesse de ne plus baiser de jeunes femmes hors de mon travail.
Bien qu’ici je sois à mon travail, ça fait partie de mes quelques moments où je perds la notion du Nord ou du Sud, bien que bientôt, ce soit vers le Sud de notre belle France que je vais me diriger.
En entrant j’informe Patou de cette visite médicale, pour confirmer mon engagement, je vois quelques débuts de larmes aux coins de ses yeux.
À quelques minutes de l’heure fatidique, j’entre au centre de la marine.
On me dirige vers une salle où plusieurs jeunes hommes sont déjà là.
Un infirmier nous demande de le suivre, je passe dans une cabine où je ressors en slip.
Pourquoi en avançant vers un des deux médecins, je traîne légèrement la jambe ?
• Vous semblez avoir un problème, jeune homme.
• Cela va mieux, lorsque j’étais petit j’ai eu un accident de bicyclette qui m’a laissé cette légère claudication.
Tout va bien, je tiens à servir mon pays monsieur le commandant.
Il note des mots sur sa fiche et à aucun moment, il me reparle de ma jambe.
Un infirmier récupère ma fiche et note mes caractéristiques physiques habituelles. Hauteur : 1 m 83, Poids : 72 kilos etc, jusqu’à la couleur de mes yeux.
Je me demande bien à quoi peut leur servir la couleur de mes yeux, ils sont un peu cons ces marins, heureusement qu’ils ont les pompons.
Nous nous rhabillons dès la visite médicale terminée et je suis conduit devant un autre gradé.
Je comprends que c’est un psychologue qui va tester l’intérieur de ma tête.
Il me présente des dessins avec des taches noires.
• Que voyez-vous ?
Je regarde, j’ai envie de lui répondre « une tache noire ! »
• Si elle était rouge, une tache de sang !
• Eh celui-là ?
• Un arbre avec une personne pendue !
• Développer, ça m’intéresse, vous êtes le premier à nous faire ce genre de réponse !
Je m’avance et je lui montre pourquoi et comment je vois ce personnage macabre pendu.
Je retourne la feuille devant lui et montre que la tache dans ce sens montre bien une personne pendue.
Au fur et à mesure, il remplit ma fiche.
Je réponds à toutes les questions qu’il me pose.
Comment pourrait-il avoir des doutes de ma sincérité, ne me suis-je pas inscrit pour m’engager sans fusil sur la tempe ?
C’est moi qui ai fait cette démarche et qui ait signé la demande d’engagement.
• Dites-moi, ici, c’est bien vous qui avez signé et non vos parents voulant se débarrasser de vous ?
• Pourquoi me posez-vous cette question, je voulais entrer dans les commandos, c’est mon père qui a voulu que je rentre dans la marine.
Lorsqu’il était jeune, il voulait entrer dans la marine et pour qu’on le prenne, il a été jusqu’à s’ouvrir les veines.
Il va de soi qu’ils l’ont recallé !
• Mettez-vous là sur le côté, je vais devoir vous faire une lettre pour vos parents.
Lorsque tous sont passés le médecin nous réunis pour nous donner quelques renseignements.
• Si nous ne sommes pas retenues suite à la visite de ce jour, d’ici 72 heures vous recevrez un avis de la marine expliquant, notre refus à votre engagement
Si nous considérons que votre profil psychologique est incompatible avec un engagement, vous le saurez.
Si sur cette lettre, vous avez été classé P4, il serait nécessaire de consulter un psychologue hors de l’armée.
• Qu’est-ce que c’est qu’un P4, monsieur l’officier ?
• Un P4, cette classification vous recalera et vous exemptera du service militaire.
• J’ai compris, ceux qui seront P4 même chez Lustucru, ils n’en voudront pas.
• Pourquoi jeune homme, que vient faire Lustucru dans cette journée ?
• J’ai compris, vous seriez incapable de rentrer chez Lustucru !
• Je ne vois pas le rapport, foutre-moi le camp.
La lettre qu’il devait me donner, je suis à deux doigts de lui en parler.
Mais aux yeux qu’il me fait étant dans l’armée, j’ai peur que ce ne soit des mitraillettes alors je tourne les talons.
Au moment de sortir je passe devant un guichet où est marquée « coopérative, » un marin avec son bonnet et son pompon en sort.
• Pouvez-vous me prêter votre bonnet ?
• Bien sûrs, mais dans la marine, nous l’appelons un « bachi. »
Il me le passe, devant sur un bandeau, il est marqué « Marine National ».
Le « pompon » est fixé à l’intérieur par deux petites barres de métal souple.
• À ce que je vois, le pompon, s’enlève !
• Oui lorsqu’ils sont trop vieux ou lorsqu’une fille veut que nous lui laissions !
• Au ton que tu prends pour me dire ça, je sens une ambiguïté !
• Veux-tu boire un verre, je vais tout t’expliquer ?
• C’est marqué « Foyer, » j’ai le droit d’entrer !
• Si tu es là, c’est qu’ils t’ont laissé entrer, surtout si tu es avec moi !
• Avant, tu veux m’acheter un pompon, c’est pour une copine.
Je vois une fiche sur la porte avec leur prix.
Il appuie sur une sonnette.
• Encore toi ?
• Mon copain voudrait des pompons.
• Combien ?
J’ignore pourquoi je lui dis.
• J’en veux dix !
Je m’attends qu’il se montre étonné, il part dans sa coopérative et me les rapporte dans un sac.
Nous entrons par la porte où il est marqué « Foyer. »
Un marin est là qui nous sert, je tiens à régler nos deux bibines.
• Je vais venir boire ma bière ici tous les jours, ce n’est vraiment pas cher.
• Je te disais pour les pompons, lorsqu’une fille te demande de toucher ton pompon, nous lui rétorquons que nous sommes d’accord.
À la seule condition que si elle touche le rouge, nous touchions le roux, le noir, voire le blond, suivant la couleur de leurs cheveux.
• Eh ! ça marche !
• Neuf fois sur dix, dans ce cas j’en ai toujours un autre dans la poche et je peux lui donner en souvenir de la partie de baise avec elle.
• Je vois, tu es là pour les sauter les unes après les autres, as-tu beaucoup voyagé ?
• Il y a trois mois que j’ai été affecté ici, je n’ai jamais vu la mer.
• Et tu es payé combien par mois ?
• La solde est de 800 francs par mois pour un quartier-maitre engagé, mais je fais mon service militaire, je touche 20 francs chaque mois.
Va savoir pourquoi, tu sais ici, article premier ferme ta gueule, article deux, ferme ta gueule et article trois, ferme...
• Ta gueule !
• Non, même si tu sais que tu as raison, ferme ta gueule, ton chef à toujours raison.
Même si celui qui voulait me donner une lettre avait tort, j’ai bien fit de fermer ma gueule...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau chapitre on attend les suivants Daniel