COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (27/30)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (27/30)
Je viens de passer un examen physique et psychologique à la caserne de la Pépinière, centre parisien de la marine nationale.
J’ai très nettement l’impression que je fais ce qu’il faut pour me faire recaler.
Certains diront que j’avais simplement à oublier de me rendre à la convocation, n’ayant rien signé de définitifs.
Mais j’ai dans ma tête un autre objectif, nous en reparlerons certainement plus tard.
Au moment de quitter la caserne, je vois une coopérative et j’achète dix pompons comme ceux posés au sommet de ce que je croyais être un béret mais dont j’apprends que ça s’appelle un « bachi. »
Le jeune mari avec lequel je converse, m’apprend un autre point qui me fait réfléchir, depuis l’évolution de ma vie, la paye, 20 francs le temps de mon service militaire.
Un instant je pense que c’est par jour, non c’est par mois.
Ils sont fous ces marins, moi je fais 800 francs en moins d’une heure avec ma queue. Après ces révélations, cela fait peu, le droit de frimer avec un pompon.
Je le quitte retrouvant ma vie civile.
• Je te souhaite bon voyage !
Il me regarde, mon sourire en dit long sur l’ironie de mon souhait, quoiqu’il y ait la Seine, mais assez éloigné de cette caserne.
Je rejoins la boutique de Christine, elle est dans son bureau.
• Tout s’est bien passé !
• J’ai fait ce qu’il faut !
• Quand auras-tu la réponse ?
• Minimum 72 heures à ce qu’ils m’ont dit, si je suis refusé.
• Pourquoi serais-tu refusé avec la santé que tu affiches ?
Il faut être positif dans sa vie.
Pour le voyage avec Patou à Venise, vous partez dans une semaine, mardi soir, jusqu’au vendredi par l’orient express.
J’ai aussi réservé une chambre dans un hôtel donnant directement sur la place Saint-Marc, je pense que vous ferez bon voyage !
Je l’embrasse et nous décidons que nous irons choisir la bague le vendredi matin.
• Qu’as-tu à ta boutonnière ?
Mince, pour rigoler, en revenant, j’ai pris un de mes pompons et je l’ai mis à la boutonnière de la veste que je porte ce jour-là.
• Un pompon de bachi, le bachi, je suis sûr que tu ignores ce que ça veut dire !
• J’espère que tu rigoles, j’ai vécu avant de te rencontrer envoyé par Ophélie.
Avant d’avoir cette boutique, j’ai vécu, je suis allée en vacances dans le Var et à Toulon, j’ai posé un bonnet des gars de la marine, appelé « bachi. »
Sais-tu ce que m’a dit Félix, mon marin d’un jour ?
• Si tu touches le pompon rouge, j’ai le droit et je dirais le devoir de toucher ton pompon blond.
• Le devoir, il ne l’a pas dit, mais mon pompon sur ma chatte, il me l’a bouffé pendant trois jours.
• Tu l’as revu ou eu de ses nouvelles !
• Oui, il faisait son service militaire et a rempilé dans la gendarmerie.
Il m’a arrêté à Chartes, près de la cathédrale.
• Allais-tu faire tes prières ?
• Bien, l’humour, non j’allais en Bretagne, mais là-bas c’est un chapeau breton que j’ai mis sur ma tête.
Tu sais ceux qui sont ronds dans la chanson.
Ce pompon te va bien, je suis sûr que tu vas devenir l’homme au pompon.
Fais en ta marque de fabrique, ça va plaire à Patou.
Je rentre au garage où justement Patou m’attend.
Il est vrai que je l’ai un peu délaissé ces dernières heures.
Lorsque j’arrive, elle est nue sur notre lit.
Je la rejoins dans la même tenue.
Je lui dépose des petits bisous, je commence par ses yeux, son nez j’oublie la bouche, je remonte et redescendant oubliant toujours ses lèvres.
Je rejoins ses seins.
Ils doivent m’attendre, car dès que je touche le premier mamelon il se dresse fièrement.
Je le lape, je le mets en bouche et le mords tendrement, appuyant un peu plus fortement que la dernière fois.
• Oui mon beau tof, arrache-le, il n’attend que cela !
Je relève la tête, la regarde dans les yeux.
• Si je fais ce que tu demandes, si je te l’arrache, tu seras dans l’impossibilité de m’accompagner mardi prochain à Venise !
Comme si un insecte l’avait piqué elle se redresse sur ses avants bras et l’air ébahi me regarde !
• Répète ?
• Répète, que veux-tu que je répète ?
• Ce que tu viens de dire !
• Mardi à Venise !
A oui, c’est vrai, excuse-moi, j’avais oublié de te prévenir, nous partons pour Venise fêter Noël tous les deux, à la condition que tu le souhaites !
Sans lui laisser le temps de répondre je m’avance vers ses lèvres et dans le degré de ses baisers celui-ci est le plus passionné que nous nous sommes donné.
Tout a une fin, mais provisoire.
• Va chercher le pouf !
Je sais où cette demande va nous entraîner.
Elle se déplace grâce à sa barre et descendant comme une véritable fusée, je le récupère et le mets en place sans oublier le coussin.
J’en profite pour récupérer le pompon sur ma veste.
Elle apprend vite mon petit bouchon, quelques secondes après, elle s’est positionnée toute seule pour subir les assauts de ma queue.
J’approche mes lèvres de sa petite pastille.
Je lui donne des petits coups avec la pointe de la langue.
Je lui fais une très belle feuille de rose qui la laisse pantelante.
Je prends le pompon et je glisse les petites broches de fixation sur le bachi dans son anus.
• Chéri, qu’est-ce que tu me fais, tu me feras toujours de nouveaux plaisirs.
Oui, lèche-moi de ma chatte à mon petit trou, je ne vais pas tarder à jouir.
Mais que m’as-tu mis dans mon cul, tu me prends pour Jannot lapin ?
Est-ce le pompon ou la vision qu’elle a lorsqu’elle tourne sa tête, elle se met à jouir dans les secondes qui suivent.
Elle m’envoyant pendant qu’elle y est quelques petites giclées que j’aie appris à aimer avec Malaurie et qui mouillent mon pompon.
Je me positionne dans l’alignement de sa chatte et je lui enfonce mon dard directement au fond, mais de son vagin.
Je la prends assez fermement ne ralentissant pas mes coups de bite qu’elle reçoit avec délices lorsque ses râles et ses cris de plaisir se font entendre, je sais qu’elle jouit.
Le pompon est tombé sur le lit à côté du pouf.
Je l’attrape et lui met dans ses cheveux.
Sa petite rosette est encore tout humide des coups de langue que je lui aie prodigués et ne demande qu’à m’être offerte.
Je m’y emploie immédiatement en entrant plus délicatement pour ne pas la blesser.
J’adore le chant qui sort de son corps qui me reçoit avec délices.
Je n’oublie pas de titiller ses seins et son bouton qui eux aussi me répondent par l’intermédiaire de sa gorge qui éructe des râles et des mots d’amour.
Je tiens lorsque mon plaisir commence à monter et que je suis à deux doigts de lui remplir le fondement de me retirer.
Je viens dans sa bouche pour lui faire boire mon sperme qui je l’espère sera un nectar pour elle.
J’ai tellement été excité, qu’elle a du mal à garder l’intégralité de mon foutre dans sa bouche.
Après avoir dégluti, elle se lèche les lèvres avant de me saisir la queue d’une main, l’autre lui servant à garder son équilibre et consciencieusement elle me nettoie la verge.
Je l’aide à s’allonger et nous finissons la nuit lovée dans les bras l’un de l’autre.
Je dois reconnaitre, est-ce, mon annonce de notre voyage, de sa première sodomie, mais c’est notre plus belle nuit d’amour depuis son dépucelage.
Le lendemain, je me prépare à rejoindre la boutique, il faut bien assumer les engagements que j’ai pris.
Je me garde bien de lui parler des clientes que je risque d’accompagner avec leur sac de course dans la boutique.
Je sais qu’elle sait, mais si elle m’en parle, j’assumerais, mais pourquoi casser l’ambiance.
Après avoir pris un déjeuner rapide Patou s’installe devant son chevalet et démarre sa chaîne pour passer des disques de grandes musiques.
Dans ses cheveux, elle a toujours mon pompon, elle semble l’avoir oublié.
C’est la première fois qu’elle met cette musique d’un genre que mon inculture me fait ignorer.
Si je veux épouser mon bébé, j’ai beaucoup de chemins à faire pour améliorer ma culture.
Il ne suffit pas de savoir que Madame de Beauvoir assistera à notre mariage, il faut pouvoir avoir une conversation sensée avec les gens de ce monde.
La musique en fait partie.
Je m’approche pour l’embrasser et j’empoigne la pochette du disque qui tourne. « Sonate pour piano N°16 de Mozart » !
C’est enregistré, j’ai une bonne oreille et je saurais reconnaître ce morceau si j’ai l’occasion de l’entendre à nouveau.
Dans l’après-midi Ophélie fait sont entrés dans la boutique toujours aussi pétillante. Lorsqu’elle finit de régler, elle se tourne vers Christine.
• Ce jeune homme au pompon serait-il disponible pour venir jusque chez moi en m’aidant à porter mes paquets ?
• Si tu en as besoin, je le libère jusqu’à ce soir, aucune urgence pour lui.
Je pense qu’il aimera vous donner satisfaction.
Les deux femmes échangent un sourire complice.
Il faut dire qu’Ophélie n’a qu’un sac de vêtements à porter.
Certes l’ensemble qu’elle s’est offert lui a coûté un beau paquet de billets, mais elle a des bras suffisamment costaux pour ne pas avoir besoin de porteur.
Aurait-il anguilles sous roche ?
Attendrait-elle que j’enflamme son corps ?...
J’ai très nettement l’impression que je fais ce qu’il faut pour me faire recaler.
Certains diront que j’avais simplement à oublier de me rendre à la convocation, n’ayant rien signé de définitifs.
Mais j’ai dans ma tête un autre objectif, nous en reparlerons certainement plus tard.
Au moment de quitter la caserne, je vois une coopérative et j’achète dix pompons comme ceux posés au sommet de ce que je croyais être un béret mais dont j’apprends que ça s’appelle un « bachi. »
Le jeune mari avec lequel je converse, m’apprend un autre point qui me fait réfléchir, depuis l’évolution de ma vie, la paye, 20 francs le temps de mon service militaire.
Un instant je pense que c’est par jour, non c’est par mois.
Ils sont fous ces marins, moi je fais 800 francs en moins d’une heure avec ma queue. Après ces révélations, cela fait peu, le droit de frimer avec un pompon.
Je le quitte retrouvant ma vie civile.
• Je te souhaite bon voyage !
Il me regarde, mon sourire en dit long sur l’ironie de mon souhait, quoiqu’il y ait la Seine, mais assez éloigné de cette caserne.
Je rejoins la boutique de Christine, elle est dans son bureau.
• Tout s’est bien passé !
• J’ai fait ce qu’il faut !
• Quand auras-tu la réponse ?
• Minimum 72 heures à ce qu’ils m’ont dit, si je suis refusé.
• Pourquoi serais-tu refusé avec la santé que tu affiches ?
Il faut être positif dans sa vie.
Pour le voyage avec Patou à Venise, vous partez dans une semaine, mardi soir, jusqu’au vendredi par l’orient express.
J’ai aussi réservé une chambre dans un hôtel donnant directement sur la place Saint-Marc, je pense que vous ferez bon voyage !
Je l’embrasse et nous décidons que nous irons choisir la bague le vendredi matin.
• Qu’as-tu à ta boutonnière ?
Mince, pour rigoler, en revenant, j’ai pris un de mes pompons et je l’ai mis à la boutonnière de la veste que je porte ce jour-là.
• Un pompon de bachi, le bachi, je suis sûr que tu ignores ce que ça veut dire !
• J’espère que tu rigoles, j’ai vécu avant de te rencontrer envoyé par Ophélie.
Avant d’avoir cette boutique, j’ai vécu, je suis allée en vacances dans le Var et à Toulon, j’ai posé un bonnet des gars de la marine, appelé « bachi. »
Sais-tu ce que m’a dit Félix, mon marin d’un jour ?
• Si tu touches le pompon rouge, j’ai le droit et je dirais le devoir de toucher ton pompon blond.
• Le devoir, il ne l’a pas dit, mais mon pompon sur ma chatte, il me l’a bouffé pendant trois jours.
• Tu l’as revu ou eu de ses nouvelles !
• Oui, il faisait son service militaire et a rempilé dans la gendarmerie.
Il m’a arrêté à Chartes, près de la cathédrale.
• Allais-tu faire tes prières ?
• Bien, l’humour, non j’allais en Bretagne, mais là-bas c’est un chapeau breton que j’ai mis sur ma tête.
Tu sais ceux qui sont ronds dans la chanson.
Ce pompon te va bien, je suis sûr que tu vas devenir l’homme au pompon.
Fais en ta marque de fabrique, ça va plaire à Patou.
Je rentre au garage où justement Patou m’attend.
Il est vrai que je l’ai un peu délaissé ces dernières heures.
Lorsque j’arrive, elle est nue sur notre lit.
Je la rejoins dans la même tenue.
Je lui dépose des petits bisous, je commence par ses yeux, son nez j’oublie la bouche, je remonte et redescendant oubliant toujours ses lèvres.
Je rejoins ses seins.
Ils doivent m’attendre, car dès que je touche le premier mamelon il se dresse fièrement.
Je le lape, je le mets en bouche et le mords tendrement, appuyant un peu plus fortement que la dernière fois.
• Oui mon beau tof, arrache-le, il n’attend que cela !
Je relève la tête, la regarde dans les yeux.
• Si je fais ce que tu demandes, si je te l’arrache, tu seras dans l’impossibilité de m’accompagner mardi prochain à Venise !
Comme si un insecte l’avait piqué elle se redresse sur ses avants bras et l’air ébahi me regarde !
• Répète ?
• Répète, que veux-tu que je répète ?
• Ce que tu viens de dire !
• Mardi à Venise !
A oui, c’est vrai, excuse-moi, j’avais oublié de te prévenir, nous partons pour Venise fêter Noël tous les deux, à la condition que tu le souhaites !
Sans lui laisser le temps de répondre je m’avance vers ses lèvres et dans le degré de ses baisers celui-ci est le plus passionné que nous nous sommes donné.
Tout a une fin, mais provisoire.
• Va chercher le pouf !
Je sais où cette demande va nous entraîner.
Elle se déplace grâce à sa barre et descendant comme une véritable fusée, je le récupère et le mets en place sans oublier le coussin.
J’en profite pour récupérer le pompon sur ma veste.
Elle apprend vite mon petit bouchon, quelques secondes après, elle s’est positionnée toute seule pour subir les assauts de ma queue.
J’approche mes lèvres de sa petite pastille.
Je lui donne des petits coups avec la pointe de la langue.
Je lui fais une très belle feuille de rose qui la laisse pantelante.
Je prends le pompon et je glisse les petites broches de fixation sur le bachi dans son anus.
• Chéri, qu’est-ce que tu me fais, tu me feras toujours de nouveaux plaisirs.
Oui, lèche-moi de ma chatte à mon petit trou, je ne vais pas tarder à jouir.
Mais que m’as-tu mis dans mon cul, tu me prends pour Jannot lapin ?
Est-ce le pompon ou la vision qu’elle a lorsqu’elle tourne sa tête, elle se met à jouir dans les secondes qui suivent.
Elle m’envoyant pendant qu’elle y est quelques petites giclées que j’aie appris à aimer avec Malaurie et qui mouillent mon pompon.
Je me positionne dans l’alignement de sa chatte et je lui enfonce mon dard directement au fond, mais de son vagin.
Je la prends assez fermement ne ralentissant pas mes coups de bite qu’elle reçoit avec délices lorsque ses râles et ses cris de plaisir se font entendre, je sais qu’elle jouit.
Le pompon est tombé sur le lit à côté du pouf.
Je l’attrape et lui met dans ses cheveux.
Sa petite rosette est encore tout humide des coups de langue que je lui aie prodigués et ne demande qu’à m’être offerte.
Je m’y emploie immédiatement en entrant plus délicatement pour ne pas la blesser.
J’adore le chant qui sort de son corps qui me reçoit avec délices.
Je n’oublie pas de titiller ses seins et son bouton qui eux aussi me répondent par l’intermédiaire de sa gorge qui éructe des râles et des mots d’amour.
Je tiens lorsque mon plaisir commence à monter et que je suis à deux doigts de lui remplir le fondement de me retirer.
Je viens dans sa bouche pour lui faire boire mon sperme qui je l’espère sera un nectar pour elle.
J’ai tellement été excité, qu’elle a du mal à garder l’intégralité de mon foutre dans sa bouche.
Après avoir dégluti, elle se lèche les lèvres avant de me saisir la queue d’une main, l’autre lui servant à garder son équilibre et consciencieusement elle me nettoie la verge.
Je l’aide à s’allonger et nous finissons la nuit lovée dans les bras l’un de l’autre.
Je dois reconnaitre, est-ce, mon annonce de notre voyage, de sa première sodomie, mais c’est notre plus belle nuit d’amour depuis son dépucelage.
Le lendemain, je me prépare à rejoindre la boutique, il faut bien assumer les engagements que j’ai pris.
Je me garde bien de lui parler des clientes que je risque d’accompagner avec leur sac de course dans la boutique.
Je sais qu’elle sait, mais si elle m’en parle, j’assumerais, mais pourquoi casser l’ambiance.
Après avoir pris un déjeuner rapide Patou s’installe devant son chevalet et démarre sa chaîne pour passer des disques de grandes musiques.
Dans ses cheveux, elle a toujours mon pompon, elle semble l’avoir oublié.
C’est la première fois qu’elle met cette musique d’un genre que mon inculture me fait ignorer.
Si je veux épouser mon bébé, j’ai beaucoup de chemins à faire pour améliorer ma culture.
Il ne suffit pas de savoir que Madame de Beauvoir assistera à notre mariage, il faut pouvoir avoir une conversation sensée avec les gens de ce monde.
La musique en fait partie.
Je m’approche pour l’embrasser et j’empoigne la pochette du disque qui tourne. « Sonate pour piano N°16 de Mozart » !
C’est enregistré, j’ai une bonne oreille et je saurais reconnaître ce morceau si j’ai l’occasion de l’entendre à nouveau.
Dans l’après-midi Ophélie fait sont entrés dans la boutique toujours aussi pétillante. Lorsqu’elle finit de régler, elle se tourne vers Christine.
• Ce jeune homme au pompon serait-il disponible pour venir jusque chez moi en m’aidant à porter mes paquets ?
• Si tu en as besoin, je le libère jusqu’à ce soir, aucune urgence pour lui.
Je pense qu’il aimera vous donner satisfaction.
Les deux femmes échangent un sourire complice.
Il faut dire qu’Ophélie n’a qu’un sac de vêtements à porter.
Certes l’ensemble qu’elle s’est offert lui a coûté un beau paquet de billets, mais elle a des bras suffisamment costaux pour ne pas avoir besoin de porteur.
Aurait-il anguilles sous roche ?
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Merci
Toujours aussi agréable et bandant merci Chris 71