COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (28/30)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (28/30)
Bien sûr, la dernière phrase du chapitre précédent, c’était de l’humour.
Je sais très bien à quelle sauce je vais être manger.
J’ai un début de réponse dans le taxi qui se dirige vers Saint-Maur.
Dès que nous sommes assis et qu’il démarre Ophélie me tend sa bouche et me met la main sur le sexe !
J’aperçois le chauffeur qui tourne légèrement son rétroviseur.
Il veut du spectacle, il va en avoir, alors qu’elle m’embrasse, je mets directement ma main sous la jupe de la grande.
Elle remonte tellement que le petit cache sexe de la dame apparaît.
Sans aucune précaution je passe deux doigts sur le côté de sa vulve et tire un coup sec.
Le tissu même s’il est minuscule est résistant.
Rien ne me résiste, je tire une seconde fois et j’ai dans les doigts, le voile de tissu convoité.
Je le monte jusqu’à nos visages et je le sens tout en le passant sous le nez d’Ophélie.
Heureusement que nous sommes à un feu rouge, le chauffeur est cramoisi.
Bonne journée pour lui, une grande course qui va lui rapporter, plus un couple qui va lui offrir une vision, type porno.
Je place deux doigts dans la chatte d’Ophélie qui semble appréciée, elle mouille.
• Évitez de tacher les sièges, ma journée, même si elle est bonne, ne fait que commencer !
Le goujat, je lui offre un tableau idyllique et la seule chose qui lui importe maintenant qu’il a mâté la chatte de ma copine, c’est l’état de ses sièges.
Arrivé à l’appartement sur les bords de Marne, aucun préliminaire, c’est inutile avec Ophélie.
Je sais pourquoi nous sommes là, seules une partie de baise entre amis malgré le fric qu’elle va me donner est le moteur des coups de bite que je lui mets dans le vagin sur son canapé.
Sa chatte dénudée réagit dès qu’elle retrouve mon sexe.
Je m’occupe en vrai mâle à satisfaire ma copine qui n’hésite pas à bramer son plaisir lorsqu’il arrive au bord de ses lèvres.
Fidèle à l’habitude que j’ai prise lorsque je suis en mode escorte, j’évite de lui remplir le vagin de mes longs traits de sperme.
Il y a quelque temps, je le faisais par bravade en étalon qui voulait se prouver sa virilité.
Aujourd’hui c’est par amour pour mon petit bouchon que je tiens à résister.
Mon amie bien rassasiée, me libère avec en main le petit paquet de billets qui vont rejoindre ma cagnotte.
J’ai une bague à acheter et je veux éviter d’en demander trop à Christine !
• Veux-tu que je t’appelle un taxi ?
• Merci Ophélie, je vais passer chez mes parents voir comment les choses évoluent, salut Samy pour moi !
• Je le vois peu, sa boîte marche fort et il est souvent absent, c’est pour cela que j’avais besoin de ton sexe et tu as été celui-là.
Je l’embrasse une dernière fois et je quitte l’immeuble, je suis rapidement devant le pavillon d’Isis.
J’ai du mal de dire « d’Isis et de maman » bien que je sois satisfait qu’elle ait trouvé son bonheur.
Les deux femmes sont absentes, la voiture et le pavillon sont vides.
Je franchis les quelques mètres qui me séparent de celui de mes parents.
Devant la porte de la grille plusieurs voitures de la police nationale.
Du moins, c’est marqué sur les portières et les flics qui sont là, semble bien réel et non d’opérette, surtout avec les flingues qu’ils ont à la ceinture.
Anxieux je m’approche et j’essaye d’entrer.
Un agent m’arrête et me demande qui je suis, il interpelle un supérieur qui descend les marches de notre perron.
• Vous êtes bien le fil de la maison !
• Oui, mais je suis anxieux, que se passe-t-il ?
• J’ai le regret de vous annoncer que votre père a mis fin à ses jours.
• Il est mort, je suis bête, si vous me dites qu’il a mis fin à ses jours !
• Il s’est suicidé en se jetant dans la marne avec sa voiture à trois kilomètres d’ici.
• Il faut que je prévienne maman !
• C’est fait, elle sera ici dans quelques minutes, votre voisine la prévenue.
• Qu’est-ce que vous faites dans le pavillon ?
• Dès qu’il y a une mort hors naturel, il y a enquête, mais je suis sûr qu’ici, tout sera classé rapidement.
C’est votre voisine qui, ayant les clefs, nous a ouvert, avec l’accord de votre mère par téléphone.
Les quelques témoignages confirmés par votre voisine et votre mère au téléphone on fait apparaitre que votre père n’a pas supporté leur rupture.
• Je peux téléphoner !
• Oui, la ligne est toujours en service.
J’appelle Christine qui me libère le temps nécessaire pour aider ma mère à régler tout ce qu’entraîne le décès de mon père.
Sa mort me touche, mais pas autant que cela.
La situation créée par la vie de couple avec son amie Isis, a dû engendrer des conflits entre eux.
Il a dû trouver insupportable qu’il soit dit que sa femme l’avait quittée pour brouter une autre chatte, faisant fi de sa bite.
Connaissant son caractère, la vie aurait pu devenir impossible pour les deux femmes.
Leur voiture arrive, maman descend et Isis repart vers chez elle, je le pense, veut-elle éviter les questions des policiers, s’ils s’aperçoivent que ce sont des lesbiennes.
Maman me tombe dans les bras en larmes.
Rapidement la police part nous laissant seuls.
La voisine est là et nous apporte son réconfort.
Maman refuse de rester dans le pavillon.
De plus elle sait qu’Isis va l’aider dans les démarches d’autant que notre voiture a fait un plongeon et est irrécupérable.
Je l’accompagne à pied jusque chez son amie, Isis, la reçoit dans ses bras, elle pleure autant l’une que l’autre.
J’ai une pensée pour papa, même si les rapports avec lui étaient tellement tendus, surtout dans les derniers temps.
J’ai peur que ce ne soit des larmes de crocodile, sa disparition leur enlevant une grosse, une très grosse épine du pied.
Elle souhaite que j’entre, je refuse et lui demande de m’appeler chez Patou.
Dans ces circonstances, j’évite de leur parler de mon voyage et je reprends le chemin de l’atelier, j’aurais le temps de les prévenir.
Lorsque j’arrive, Patou a sorti une valise et y range des affaires.
Je suis encore étonné de l’agilité toute relative que son handicap lui apporte, le seul problème et là je viens à son secours, c’est pour fermer cette dernière.
• Te voilà déjà ?
Tu n’es pas en retard.
Il est difficile de parler de la mort, moi qui depuis peu mort la vie à pleines dents.
• J’ai hâte d’être à mardi alors je m’occupe.
Je n’ai pas la tête à peindre depuis que tu m’as annoncé notre voyage pour Venise à Noël.
Je l’embrasse tendrement et je lui explique les derniers évènements risquant de remettre en cause notre voyage.
C’est en fin d’après-midi que la bonne nouvelle arrive.
Ma mère a eu l’autorisation d’enterrer mon géniteur le suicide étant avéré.
C’est samedi matin 10 heures au cimetière de Champigny que la cérémonie aura lieu.
Demain, elles finaliseront toutes les démarches et n’ont pas besoin de moi.
Dès que j’ai raccroché, je saute au cou de Pat lui confirmant notre départ !
Notre soirée est calme, malgré le peu de sentiments que j’avais avec mon père sa mort me touche un petit peu.
Le lendemain je rejoins Christine chez elle profitant ainsi de son taxi pour rejoindre sa boutique.
Je lui explique la situation.
Elle souhaite savoir le lieu et l’heure de l’enterrement.
Vers dix heures nous entrons dans une joaillerie de la place Vendôme où Christine est bien connue d’un directeur qui nous reçoit personnellement.
• Jeune homme, je vais vous présenter plusieurs de nos plus belles pièces.
Vous regardez, si un modèle vous touche, pour qu’il plaise à votre promise, elle doit vous aller droit au cœur.
Cela sera un gage de réussite, vous me la désignerez.
Souvent le premier choix est toujours le bon.
Inutile de regarder la grosseur, la pureté du ou des diamants fait la valeur de la bague, le montage aussi fait varier sa valeur, nous parlerons prix après.
Il enlève le voile posé sur le plateau.
La deuxième est la bonne, elle correspond exactement à mon bébé, elle va être magnifique à son doigt, si elle l’accepte.
• Excellent choix, à ce que m’a dit madame Christine, j’étais sûr que c’était celle que vous choisiriez !
Il me communique le prix, il va falloir que je porte beaucoup de paquets pour la payer.
• Madame Christine vous m’avez bien dit qu’il lui fait une taille 48 !
• C’est bien cette taille, je vous le confirme.
Christine fait le chèque, je verrais pour la rembourser.
Dans l’après-midi une femme d’un certain âge, pour ne pas dire d’un âge certain, vient acheter des sous-vêtements.
Christine m’appelle.
• Christophe, je connais bien cette cliente, elle va vouloir que tu lui portes ses paquets, acceptes-tu ?
Il faut savoir se sacrifier pour faire plaisir, à l’amour de sa vie, n’ai-je pas accepté d’être une escorte...
Je sais très bien à quelle sauce je vais être manger.
J’ai un début de réponse dans le taxi qui se dirige vers Saint-Maur.
Dès que nous sommes assis et qu’il démarre Ophélie me tend sa bouche et me met la main sur le sexe !
J’aperçois le chauffeur qui tourne légèrement son rétroviseur.
Il veut du spectacle, il va en avoir, alors qu’elle m’embrasse, je mets directement ma main sous la jupe de la grande.
Elle remonte tellement que le petit cache sexe de la dame apparaît.
Sans aucune précaution je passe deux doigts sur le côté de sa vulve et tire un coup sec.
Le tissu même s’il est minuscule est résistant.
Rien ne me résiste, je tire une seconde fois et j’ai dans les doigts, le voile de tissu convoité.
Je le monte jusqu’à nos visages et je le sens tout en le passant sous le nez d’Ophélie.
Heureusement que nous sommes à un feu rouge, le chauffeur est cramoisi.
Bonne journée pour lui, une grande course qui va lui rapporter, plus un couple qui va lui offrir une vision, type porno.
Je place deux doigts dans la chatte d’Ophélie qui semble appréciée, elle mouille.
• Évitez de tacher les sièges, ma journée, même si elle est bonne, ne fait que commencer !
Le goujat, je lui offre un tableau idyllique et la seule chose qui lui importe maintenant qu’il a mâté la chatte de ma copine, c’est l’état de ses sièges.
Arrivé à l’appartement sur les bords de Marne, aucun préliminaire, c’est inutile avec Ophélie.
Je sais pourquoi nous sommes là, seules une partie de baise entre amis malgré le fric qu’elle va me donner est le moteur des coups de bite que je lui mets dans le vagin sur son canapé.
Sa chatte dénudée réagit dès qu’elle retrouve mon sexe.
Je m’occupe en vrai mâle à satisfaire ma copine qui n’hésite pas à bramer son plaisir lorsqu’il arrive au bord de ses lèvres.
Fidèle à l’habitude que j’ai prise lorsque je suis en mode escorte, j’évite de lui remplir le vagin de mes longs traits de sperme.
Il y a quelque temps, je le faisais par bravade en étalon qui voulait se prouver sa virilité.
Aujourd’hui c’est par amour pour mon petit bouchon que je tiens à résister.
Mon amie bien rassasiée, me libère avec en main le petit paquet de billets qui vont rejoindre ma cagnotte.
J’ai une bague à acheter et je veux éviter d’en demander trop à Christine !
• Veux-tu que je t’appelle un taxi ?
• Merci Ophélie, je vais passer chez mes parents voir comment les choses évoluent, salut Samy pour moi !
• Je le vois peu, sa boîte marche fort et il est souvent absent, c’est pour cela que j’avais besoin de ton sexe et tu as été celui-là.
Je l’embrasse une dernière fois et je quitte l’immeuble, je suis rapidement devant le pavillon d’Isis.
J’ai du mal de dire « d’Isis et de maman » bien que je sois satisfait qu’elle ait trouvé son bonheur.
Les deux femmes sont absentes, la voiture et le pavillon sont vides.
Je franchis les quelques mètres qui me séparent de celui de mes parents.
Devant la porte de la grille plusieurs voitures de la police nationale.
Du moins, c’est marqué sur les portières et les flics qui sont là, semble bien réel et non d’opérette, surtout avec les flingues qu’ils ont à la ceinture.
Anxieux je m’approche et j’essaye d’entrer.
Un agent m’arrête et me demande qui je suis, il interpelle un supérieur qui descend les marches de notre perron.
• Vous êtes bien le fil de la maison !
• Oui, mais je suis anxieux, que se passe-t-il ?
• J’ai le regret de vous annoncer que votre père a mis fin à ses jours.
• Il est mort, je suis bête, si vous me dites qu’il a mis fin à ses jours !
• Il s’est suicidé en se jetant dans la marne avec sa voiture à trois kilomètres d’ici.
• Il faut que je prévienne maman !
• C’est fait, elle sera ici dans quelques minutes, votre voisine la prévenue.
• Qu’est-ce que vous faites dans le pavillon ?
• Dès qu’il y a une mort hors naturel, il y a enquête, mais je suis sûr qu’ici, tout sera classé rapidement.
C’est votre voisine qui, ayant les clefs, nous a ouvert, avec l’accord de votre mère par téléphone.
Les quelques témoignages confirmés par votre voisine et votre mère au téléphone on fait apparaitre que votre père n’a pas supporté leur rupture.
• Je peux téléphoner !
• Oui, la ligne est toujours en service.
J’appelle Christine qui me libère le temps nécessaire pour aider ma mère à régler tout ce qu’entraîne le décès de mon père.
Sa mort me touche, mais pas autant que cela.
La situation créée par la vie de couple avec son amie Isis, a dû engendrer des conflits entre eux.
Il a dû trouver insupportable qu’il soit dit que sa femme l’avait quittée pour brouter une autre chatte, faisant fi de sa bite.
Connaissant son caractère, la vie aurait pu devenir impossible pour les deux femmes.
Leur voiture arrive, maman descend et Isis repart vers chez elle, je le pense, veut-elle éviter les questions des policiers, s’ils s’aperçoivent que ce sont des lesbiennes.
Maman me tombe dans les bras en larmes.
Rapidement la police part nous laissant seuls.
La voisine est là et nous apporte son réconfort.
Maman refuse de rester dans le pavillon.
De plus elle sait qu’Isis va l’aider dans les démarches d’autant que notre voiture a fait un plongeon et est irrécupérable.
Je l’accompagne à pied jusque chez son amie, Isis, la reçoit dans ses bras, elle pleure autant l’une que l’autre.
J’ai une pensée pour papa, même si les rapports avec lui étaient tellement tendus, surtout dans les derniers temps.
J’ai peur que ce ne soit des larmes de crocodile, sa disparition leur enlevant une grosse, une très grosse épine du pied.
Elle souhaite que j’entre, je refuse et lui demande de m’appeler chez Patou.
Dans ces circonstances, j’évite de leur parler de mon voyage et je reprends le chemin de l’atelier, j’aurais le temps de les prévenir.
Lorsque j’arrive, Patou a sorti une valise et y range des affaires.
Je suis encore étonné de l’agilité toute relative que son handicap lui apporte, le seul problème et là je viens à son secours, c’est pour fermer cette dernière.
• Te voilà déjà ?
Tu n’es pas en retard.
Il est difficile de parler de la mort, moi qui depuis peu mort la vie à pleines dents.
• J’ai hâte d’être à mardi alors je m’occupe.
Je n’ai pas la tête à peindre depuis que tu m’as annoncé notre voyage pour Venise à Noël.
Je l’embrasse tendrement et je lui explique les derniers évènements risquant de remettre en cause notre voyage.
C’est en fin d’après-midi que la bonne nouvelle arrive.
Ma mère a eu l’autorisation d’enterrer mon géniteur le suicide étant avéré.
C’est samedi matin 10 heures au cimetière de Champigny que la cérémonie aura lieu.
Demain, elles finaliseront toutes les démarches et n’ont pas besoin de moi.
Dès que j’ai raccroché, je saute au cou de Pat lui confirmant notre départ !
Notre soirée est calme, malgré le peu de sentiments que j’avais avec mon père sa mort me touche un petit peu.
Le lendemain je rejoins Christine chez elle profitant ainsi de son taxi pour rejoindre sa boutique.
Je lui explique la situation.
Elle souhaite savoir le lieu et l’heure de l’enterrement.
Vers dix heures nous entrons dans une joaillerie de la place Vendôme où Christine est bien connue d’un directeur qui nous reçoit personnellement.
• Jeune homme, je vais vous présenter plusieurs de nos plus belles pièces.
Vous regardez, si un modèle vous touche, pour qu’il plaise à votre promise, elle doit vous aller droit au cœur.
Cela sera un gage de réussite, vous me la désignerez.
Souvent le premier choix est toujours le bon.
Inutile de regarder la grosseur, la pureté du ou des diamants fait la valeur de la bague, le montage aussi fait varier sa valeur, nous parlerons prix après.
Il enlève le voile posé sur le plateau.
La deuxième est la bonne, elle correspond exactement à mon bébé, elle va être magnifique à son doigt, si elle l’accepte.
• Excellent choix, à ce que m’a dit madame Christine, j’étais sûr que c’était celle que vous choisiriez !
Il me communique le prix, il va falloir que je porte beaucoup de paquets pour la payer.
• Madame Christine vous m’avez bien dit qu’il lui fait une taille 48 !
• C’est bien cette taille, je vous le confirme.
Christine fait le chèque, je verrais pour la rembourser.
Dans l’après-midi une femme d’un certain âge, pour ne pas dire d’un âge certain, vient acheter des sous-vêtements.
Christine m’appelle.
• Christophe, je connais bien cette cliente, elle va vouloir que tu lui portes ses paquets, acceptes-tu ?
Il faut savoir se sacrifier pour faire plaisir, à l’amour de sa vie, n’ai-je pas accepté d’être une escorte...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours agréable à lire scènes de sexe bien suggéré la suite est attendue avec impatience. Daniel