COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (29/30)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (29/30) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (29/30)
Mon père semble s’être suicidé, du moins c’est ce que semble conclure la police, la voiture de mes parents ayant fracassé un parapet en bord de marne avant qu’elle plonge au fond des eaux.
La voiture a fait un tout droit et mon père seul à l’intérieur est mort noyé.
Je retourne chez Christine, un peu choqué, jusqu’à ou suis-je responsable personnellement ou maman lui ayant signifié qu’elle préférait la chatte d’Iris à sa verge masculine.
Une vieille cliente de Christine souhaite que je porte ses paquets.
La bague de fiançailles achetées place Vendôme me contraint de respecter mon engagement.
Vu son âge, si elle veut plus qu’un porteur, je vais prendre ça pour une punition divine, bien que je sois loin de croire en ces conneries de vie éternelle.
Non de Dieu que ces bijoux sont chers à cette place parisienne.
Au même moment où je pense aux conneries de la religion, le début de ma phrase me monte toute mon incohérence, entre mots et croyances.

• Christine, cette cliente est-elle généreuse ?
• Très !
• Alors d’accord, je veux bien me rendre disponible !

Il faut bien rembourser mes dettes et pouvoir faire vivre ma future femme.
En payant, la cliente parle à Christine en me regardant.
Un instant je me sens comme une bête de foire, c’est tout juste si elle ne vient pas jusqu’à moi pour tâter ma braguette comme d’autres dans le futur tâteront la croupe des vaches.

• Christophe, raccompagnez madame, je vous ai appelé un taxi.

Je prends les cinq paquets et nous sortons.
La dame me prend par le bras et je lui ouvre la portière.
Je contourne la voiture et je monte à ses côtés.
Le taxi ne parcourt que quelques centaines de mètres, car nous arrivons avenue Foch.
Je descends, fait descendre madame et je lui ouvre la porte.
Arrivé à son appartement, je fais ce que veut ma cliente qui est très satisfaite de la manière dont je lui ai porté ses achats et la façon dont je lui ai ouvert les portes.
Le défraiement est à la hauteur de la prestation, fourni.
Ouf, la punition divine était limitée, j’ai échappé à sa fureur ayant blasphémé.

• Avez-vous encore besoin de mes services, est-ce que je peux disposer !
• Oui, jeune homme, vous avez été un serviteur plein de prévenance.

Je quitte l’appartement et je redescends les Champs tranquillement la journée bien remplie.
Lorsque j’entre, dans le garage, musique et peinture, fait équipe.
Patou ne m’a pas entendu.
Je me glisse sur le canapé et la regarde travailler.
Le téléphone sonne, c’est Chantal et Malaurie qui nous invite dimanche à manger.
J’évite de déranger Pat et je donne mon accord, je suis sûr qu’elle acceptera cette invitation.
Avant de raccrocher, je leur annonce le décès de mon père et comme elles travaillent, elles s’excusent de ne pas pouvoir venir, le tableau de leur rendez-vous étant plein.
Combien y a-t-il de masos dans cette capitale qu’est Paris ?

Vendredi devant le garage, j’attends le courrier, aucune lettre.
Je me sens partant pour cinq ans, le facteur revient.

• Est-ce vous qui vous prénommez Christophe, je vois que vous attendiez !
J’ai oublié que j’avais un recommandé, c’est une lettre bleu, blanc et rouge de l’État français, j’espère que ce n’est pas un P.V ?
• Non, c’est une réponse de la marine donnez-la-moi, ou dois-je signer !

J’ai envie d’exulter sachant ce qu’il y a dans cette lettre, du moins je le crois.
Je ne l’ouvrirais que lorsque nous serons seuls avec Patou, mais pas aujourd’hui.
Je décide de ne parler du résultat qu’à Venise avec elle.

Le lendemain, ma petite chérie me fait le plaisir d’être présente à l’enterrement.
J’arrive dans le fourgon au cimetière de Champigny.
Depuis son suicide, j’ai compris pourquoi la police a rapidement pris sa décision de suicide sans meurtre potentiel.
Papa a laissé une lettre dans la salle avant d’aller faire le grand saut dans l’eau froide.
Il parle de maman, dit qu’il lui pardonne, mais qu’il ne pouvait vivre sans elle et lui souhaite que son amie la rendre plus heureuse qu’il ait su le faire.
Moi aussi, il me laisse quelques lignes que j’aurais la décence de ne pas commenter.
La seule chose que je puis dire c’est que ma décision de rentrer dans la marine, l’a rendue pleine de fierté.
La jeune femme des pompes funèbre, qui gère l’enterrement de mon daron, a apporté un panier avec des pétales de roses.
Chacun passe devant le caveau et sa dépouille et en jète quelques pétales.
J’ai mis le costume que Christine, m’a prêté, il va falloir que je voie si je lui dois quelque chose, ça amplifiera ma dette envers elle, car elle n’en vend pas dans sa boutique spécifiquement féminine.
Au lieu de prendre ces pétales, je sors l’un de mes pompons et je le jette sur le cercueil, c’est l’hommage que je lui rends malgré nos fréquents différent ces dernières semaines.
Un dernier point sur la lettre, ni fleur, ni couronne, surtout pas de messe, ça c’est plus facile.
Je rappelle si c’est nécessaire que nous sommes en 1967 et que l’église refuse d’enterrer religieusement les suicidés.
Je suis donc dans le fourgon suivi par Maman dans la voiture d’Isis et avec la voisine.
C’est la première fois que je la vois toute en noire, elle a un petit bibi avec une voilette.
Rapidement, vu le froid qui est tombé sur Paris, la petite cérémonie étant terminée, le cercueil descendu dans le caveau, les personnes défilent devant nous.
J’en profite pour présenter Patou à maman ainsi que Christine qui l’accompagne.
Nous quittons le cimetière, c’est moi qui pousse son fauteuil.
J’embrasse mon bouchon en l’aidant à remonter dans le taxi qui les attendait.

• À ce soir, je reste un peu avec maman.
• À ce soir, je vais aller fini ma valise avec ma marraine.

Pour la première fois, je pénètre chez Isis.
Le décor est très Moyen-Orient, mais géré avec goût.
Les deux femmes qui ont l’impression que je ne les vois pas se rapprochent et s’échangent un langoureux baiser.
Pour ce faire, elle soulève la voilette placée devant les yeux de maman.
Dans ces situations il y a toujours une glace mal placée pour vous renvoyer ce que vous n’êtes pas censé voir.
Nous mangeons un morceau.

• Comment c’est passé ta visite médicale, tu y es bien allé ?
• Oui, je pense que c’est bon !
• La petite qui était là, c’est du sérieux.
• Nous partons mardi à Venise et je vais la demander en mariage le jour de Noël.
• Me permets-tu de te poser une question ?
• Je sais ce que tu vas me dire, lorsqu’on aime, on est capable de déplacer des montagnes.

Isis se rapproche de maman et la prend par les épaules.

• Tu as raison, qui aurait cru que deux femmes mariées et reconnues comme très honorables vont finir leur vie ensemble en faisant fi des convenances.
Si tu aimes cette jeune femme malgré ses problèmes, évite qu’elle ne t’échappe, sinon tu risques de le regretter toute ta vie !

Pour la première fois, elle relève la tête de sa maîtresse et l’embrasse à pleine bouche.

• Bravo, Isis, soyez heureuse, je vais la rejoindre, je vous enverrai une carte postale.

Je quitte les deux femmes pour rejoindre ma Patou chérie.
En entrant au garage, je retrouve mon bouchon qui est toujours aussi enthousiaste de partir pour Venise.
Ce soir, malgré notre amour, nous n’avons pas le cœur à avoir des rapports.
C’est la seule concession que je fais à celui qui repose pour sa première nuit à six pieds sous terres dans le froid de ce début d’hiver.
Je téléphone à Chantal pour confirmer notre venue, nous allons y déjeuner dimanche prochain.

Le dimanche à 11 heures le taxi que j’ai appelé nous dépose devant l’appartement des filles.
L’ascenseur n’est pas assez grand pour que le fauteuil entre.
Chevalier servant, je prends Patou dans mes bras et la monte jusqu'aux appartements de Chantal et Malaurie.
Lorsqu’elle ouvre Chantal comprend le problème que j’ai eu et nous fait entrer. Je dépose ma petite sur le canapé et je retourne monter son fauteuil.

• Patricia veux-tu visiter nos appartements ?
• Pas tant de Patricia, Chantal, pour mes amis, c’est Patou et les amies de Christophe sont mes amis.
• Pour la visite, oh ! que oui, ce que m’a dit Christophe me met l’eau à la bouche.
• Aimes-tu être dominé ?
• Depuis que je suis toute petite j’ai toujours dominé les autres !
Ma situation me donnant un avantage, ils ont toujours peur de me casser. Pourtant je ne suis pas en verre.
Je ne parle même pas de Christophe qui est toujours aux petits soins pour moi.
• Attends, la visite sera plus drôle, Malaurie, tu viens nous allons passer nos tenues de travail.

Cinq minutes après elles reviennent et impressionnent mon bébé.
Le fouet que Chantal a dans ses mains, semble la fasciner, je me lève pour les accompagner.

• Chéri, c’est une visite entre filles attend-nous !

C’est la première fois qu’elle m’appelle chéri.
Je m’installe sur le canapé et j’attends leur retour, elle commence par le logement, Patou me montre du doigt la jolie baignoire.

• Christophe, regarde, je voudrais que nous fassions installer la même !...

Les avis des lecteurs

Merci Daniel la suite dans deux jours

Histoire Erotique
Bonne suite pour nous tenir en haleine sur plusieurs points. Daniel



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (29/30)
Histoire sexe : Une rose rouge
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