COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,5)
Nous venons de jouer un jeu de con.
Laisser Ophélie la femme de Samy se faire, par jeu, des clients moyennant finance dans une contre allée du bois de Vincennes, non loin du château de la même ville.
Jeu de con lorsqu’une voiture de flics nous coince.
Prestement Samy descend et va les rencontrer, ils palabrent, je le vois sortir une carte de sa poche et les flics repartant après l’avoir salué réglementairement.
Samy lui aussi est-il un flic qui a convaincu ses collèges de nous laisser repartir.
Les filles reviennent, Malaurie tremble de froid, mais aussi certainement de peur.
Elle me demande de la réchauffer en la baisant.
Je détache mon pantalon et fais sortir ma verge.
Je vais être franc, j’ai moi aussi eu tellement peur qu’une bonne pipe va m’aider à me remettre de ce qui vient de se passer.
Je ne m’en rendais même pas compte, mais je bande comme jamais.
Mon sexe me fait mal, Malaurie m’avale jusqu’au fond de sa gorge.
Elle ne m’a jamais enfoncé aussi profondément dans sa bouche.
Je sens que je passe sa glotte avant de descendre dans son arrière gorge.
Ma verge est assez importante et disparaît entièrement, elle me recrache et reprend son souffle.
• Il faut que je te baise, mon cœur, tu m’as fait la peur de ma vie.
Laisse-moi m’allonger, dans cet espace restreint, tu vas t’empaler sur ma bite !
Comme je viens de le dire à Malaurie, dans cet espace restreint la manœuvre est périlleuse.
L’envie de la baiser pour calmer mes nerfs est si forte que d’un coup, elle s’empale sur mon vit en soulevant simplement sa jupe, d’où l’utilité de la sortir la chatte à l’air.
Je n’ai pas le temps de faire un mouvement qu’elle hurle sa jouissance.
Plusieurs jets m’inondent ainsi que la banquette en cuir.
La salope, je n’ai pas fait un mouvement que je la remplis.
Nous nous embrassons comme jamais nous ne l’avons fait depuis que je la connais.
Repus, nous sombrons dans le néant.
• Les amoureux, on est arrivé !
J’émerge, Malaurie aussi, Samy attend l’ouverture de la porte d’un garage et entre.
Il gare son véhicule à un emplacement qui doit lui être réservé.
• Samy, il nous est arrivé un accident, un peu de ma faute, Malaurie est une femme fontaine et en jouissant, elle a inondé ta banquette alors que je le savais !
• Je vais nettoyer, je vous rejoins.
Ils nous font descendre et Ophélie nous dirige vers un ascenseur qui nous monte au dernier étage.
Nous arrivons sur le palier où une seule porte s’offre à nous.
Ophélie ouvre et nous fait enter.
Je dois soutenir ma compagne, ses jambes ayant du mal à la soutenir, après tout ce qu’elle a subi pour une jeune femme fraichement dépucelée, à normalement un coup de mou, on en aurait à moins.
• Christophe, dirigeons là vers la salle de bain, je vais lui donner un bain.
Je m’exécute, Ophélie me précède et fait couler l’eau dans une baignoire transparente.
Chez mes parents, la salle de bain est si petite que lorsqu’il l’on fait refaire, une simple baignoire sabot a pu être posée.
La vue de ma petite soumise lorsque je la pose dans l’eau après l’avoir dénudé, c’est la vision de ma mère une fois, j’ignore pourquoi avec le temps, je devais avoir huit ans.
Elle m’a fait entrer dans la salle de bains, elle était elle aussi nue dans la baignoire, mais recroqueviller, ses seins m’étaient cachés.
Certains diraient qu’ils étaient frustrés, pour moi, surtout dans ces années-là, j’ignorais la nudité d’une femme.
Ce vu vers mes treize ans, qu’un copain nous a sorti un magazine de son cartable avant de rentrer en classe.
Moyennant 1 franc, nous pouvions le feuilleter cinq minutes.
Je dois dire, que ce fut la première et la dernière fois que je volais dans le porte-monnaie de maman.
J’ai pu voir des photos floutées de femme dans Paris Hollywood, des seins nus, mais maintenant que je connais la partie basse des corps des femmes, leurs chattes nous étaient cachées.
La pièce est assez grande et est principalement composée d’une baignoire d’angle aussi impressionnante que celle dans l’appartement de Chantal.
L’eau réveille ma soumise, le bien-être qui se lie sur son visage me montre le plaisir qu’elle prend dans ce bain chaud.
Ophélie prestement enlève tout et se présente nue devant moi.
Une merveille de seins haut perchés sur son tort avec des fraises d’au moins deux centimètres.
Je viens de prendre ma compagne, mais la vue de cette beauté me fait de nouveau bander.
Elle aussi enjambe la baignoire me laissant voir une chatte avec une toison brune tellement fournie qu’elle me cache ses grandes lèvres.
Elle rejoint Malaurie qui vient se blottir dans ses bras.
Elle lève la tête et regarde son amie avec les yeux qu’elle me fait lorsqu’elle veut me montrer qu’elle m’aime.
Je les laisse car j’entends Samy entrer.
• Elles sont dans leur bain !
• Oui !
• Un whisky ?
• Non, jamais d’alcool, un coca si tu as !
Il ouvre un petit frigo placé dans le bar qui est formé par trois demi-tonneaux.
• Asseyons-nous, on peut dire que la soirée a été mouvementée !
Le salon, salle à manger, cuisine où je me trouve à une surface telle que l’on pourrait y faire entrer des centaines de personnes sans les serrer.
• Je peux te poser une question, Samy !
• Si je peux répondre, se sera bien volontiers, mais je connais déjà ta question !
• Es-tu un flic ?
Samy éclate de rire.
• Je le savais, non je suis chef d’entreprise !
• Alors pourquoi cette carte de police ?
• Avec Ophélie, nous aimons vivre des situations dangereuses.
Lors de sorties comme celle de ce soir, Ophélie et moi, nous aimons faire monter notre adrénaline au maximum.
Il faut avoir des portes de sortie comme tu l’as vue tout à l’heure pour nous amuser comme nous l’avons fait faire aux filles ce soir.
J’ai appris cela depuis que j’ai créé ma boîte qui travaille pour la défense nationale.
• Tu es industriel !
• Oui j’ai créé une société avec l’aide de mon beau-père pété de tunes ou avec ma femme nous sommes actionnaires majoritaires.
Elle se trouve non loin d’ici non loin d’ici.
• Lorsque l’on voit le pavillon de mes parents et ce que je vois de ton appartement tu dois gagner un max de fric !
Mon père est ouvrier, mais sait ce que gagner sa vie veut dire pour sa famille, il travaille en 3x8 pour cela.
• Je connais, j’ai moi-même commencé dans une boîte où les machines devaient tourner vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
J’ai vite compris que je serais esclave du système alors j’ai créé ma boîte.
C’est loin d’être drôle, j’évite de me plaindre malgré tout ce que je donne en impôts, alors ce soir, je me suis un peu remboursé sur la bête.
• Il faut bien que l’État ait de l’argent pour acheter tes armes !
• Tu as raison, mais il est bien français de toujours se plaindre, tu ne m’as toujours pas expliqué pour la carte !
Il sort de sa poche son portefeuille, l’ouvre et me montre une carte.
J’ai devant mes yeux une carte barrée bleu, blanc et rouge.
En gros « POLICE NATIONALE » en petit en dessous.
« Carte de donateur aux orphelins de la police. »
Suivi des renseignements sur le titulaire de la carte.
Qui lit les petits caractères sur une carte ou sur un contrat, surtout éclairé par un réverbère perché à quelques mètres de haut.
• Et c’est ce que tu leur as montré !
• Oui, mais la carte est insuffisante, il faut comprendre deux choses.
L’endroit était peu éclairé simplement avec le gyrophare et le réverbère sous lequel nos filles s’amusaient à se prostituer.
C’était trop mal éclairer pour distinguer ce qu’il était écrit dessus, surtout que sur un ton de commandement, j’ai demandé à celui qui conduisait d’arrêter le gyrophare.
Les simples traits aux trois couleurs leur ont sauté aux yeux.
La deuxième chose qu’il faut faire et que mon métier m’a appris est la fermeté dans mes paroles comme je viens de te le dire lorsque j’ai parlé au conducteur.
• Que leur as-tu dit ?
• En arrivant près d’eux sur un ton ferme, je leur ai dit « POLICE » en brandissant ma carte.
« Arrêter votre sirène et ces lumières qui nous font remarquer »
« Mes deux collèges féminins ainsi que celui dans la voiture sont avec moi sur une interception d’un dangereux malfrat.
Un de nos indique, nous a signalé qu’il vient souvent dans cette allée près de dame de petites vertus et qu’il avait prévu de venir tirer un coup ce soir.
Nous étions à deux doigts de le cerner, avec votre arrivée en fanfare, la planque est devenue foireuse.
Donnez-moi vos numéros de police, je vais faire un joli rapport qui va vous envoyer au fin fond de la France. »
« Excusez-nous chef, on aurait dû nous prévenir au commissariat ! »
• Comme tu l’as vu, ils sont montés dans leur voiture et se sont dépêchés de disparaître.
En ce moment, ils doivent chier dans leur froque se demandant où ils vont atterrir.
• Tu es gonflé et s’il ne t’avait pas cru !
• Ils nous auraient conduit au poste où nous aurions passé la nuit et au matin mon avocat nous aurait fait libérer avec les appuis que nous connaissons.
Nous n’avions aucun risque que celui de ne pas pouvoir baiser ces deux jolies femmes que je vois arriver près de nous !
Ophélie tenant Malaurie par la taille couverte d’un peignoir nous rejoint.
Ma petite maîtresse vient s’agenouiller devant moi et pose sa tête sur mes genoux...
Laisser Ophélie la femme de Samy se faire, par jeu, des clients moyennant finance dans une contre allée du bois de Vincennes, non loin du château de la même ville.
Jeu de con lorsqu’une voiture de flics nous coince.
Prestement Samy descend et va les rencontrer, ils palabrent, je le vois sortir une carte de sa poche et les flics repartant après l’avoir salué réglementairement.
Samy lui aussi est-il un flic qui a convaincu ses collèges de nous laisser repartir.
Les filles reviennent, Malaurie tremble de froid, mais aussi certainement de peur.
Elle me demande de la réchauffer en la baisant.
Je détache mon pantalon et fais sortir ma verge.
Je vais être franc, j’ai moi aussi eu tellement peur qu’une bonne pipe va m’aider à me remettre de ce qui vient de se passer.
Je ne m’en rendais même pas compte, mais je bande comme jamais.
Mon sexe me fait mal, Malaurie m’avale jusqu’au fond de sa gorge.
Elle ne m’a jamais enfoncé aussi profondément dans sa bouche.
Je sens que je passe sa glotte avant de descendre dans son arrière gorge.
Ma verge est assez importante et disparaît entièrement, elle me recrache et reprend son souffle.
• Il faut que je te baise, mon cœur, tu m’as fait la peur de ma vie.
Laisse-moi m’allonger, dans cet espace restreint, tu vas t’empaler sur ma bite !
Comme je viens de le dire à Malaurie, dans cet espace restreint la manœuvre est périlleuse.
L’envie de la baiser pour calmer mes nerfs est si forte que d’un coup, elle s’empale sur mon vit en soulevant simplement sa jupe, d’où l’utilité de la sortir la chatte à l’air.
Je n’ai pas le temps de faire un mouvement qu’elle hurle sa jouissance.
Plusieurs jets m’inondent ainsi que la banquette en cuir.
La salope, je n’ai pas fait un mouvement que je la remplis.
Nous nous embrassons comme jamais nous ne l’avons fait depuis que je la connais.
Repus, nous sombrons dans le néant.
• Les amoureux, on est arrivé !
J’émerge, Malaurie aussi, Samy attend l’ouverture de la porte d’un garage et entre.
Il gare son véhicule à un emplacement qui doit lui être réservé.
• Samy, il nous est arrivé un accident, un peu de ma faute, Malaurie est une femme fontaine et en jouissant, elle a inondé ta banquette alors que je le savais !
• Je vais nettoyer, je vous rejoins.
Ils nous font descendre et Ophélie nous dirige vers un ascenseur qui nous monte au dernier étage.
Nous arrivons sur le palier où une seule porte s’offre à nous.
Ophélie ouvre et nous fait enter.
Je dois soutenir ma compagne, ses jambes ayant du mal à la soutenir, après tout ce qu’elle a subi pour une jeune femme fraichement dépucelée, à normalement un coup de mou, on en aurait à moins.
• Christophe, dirigeons là vers la salle de bain, je vais lui donner un bain.
Je m’exécute, Ophélie me précède et fait couler l’eau dans une baignoire transparente.
Chez mes parents, la salle de bain est si petite que lorsqu’il l’on fait refaire, une simple baignoire sabot a pu être posée.
La vue de ma petite soumise lorsque je la pose dans l’eau après l’avoir dénudé, c’est la vision de ma mère une fois, j’ignore pourquoi avec le temps, je devais avoir huit ans.
Elle m’a fait entrer dans la salle de bains, elle était elle aussi nue dans la baignoire, mais recroqueviller, ses seins m’étaient cachés.
Certains diraient qu’ils étaient frustrés, pour moi, surtout dans ces années-là, j’ignorais la nudité d’une femme.
Ce vu vers mes treize ans, qu’un copain nous a sorti un magazine de son cartable avant de rentrer en classe.
Moyennant 1 franc, nous pouvions le feuilleter cinq minutes.
Je dois dire, que ce fut la première et la dernière fois que je volais dans le porte-monnaie de maman.
J’ai pu voir des photos floutées de femme dans Paris Hollywood, des seins nus, mais maintenant que je connais la partie basse des corps des femmes, leurs chattes nous étaient cachées.
La pièce est assez grande et est principalement composée d’une baignoire d’angle aussi impressionnante que celle dans l’appartement de Chantal.
L’eau réveille ma soumise, le bien-être qui se lie sur son visage me montre le plaisir qu’elle prend dans ce bain chaud.
Ophélie prestement enlève tout et se présente nue devant moi.
Une merveille de seins haut perchés sur son tort avec des fraises d’au moins deux centimètres.
Je viens de prendre ma compagne, mais la vue de cette beauté me fait de nouveau bander.
Elle aussi enjambe la baignoire me laissant voir une chatte avec une toison brune tellement fournie qu’elle me cache ses grandes lèvres.
Elle rejoint Malaurie qui vient se blottir dans ses bras.
Elle lève la tête et regarde son amie avec les yeux qu’elle me fait lorsqu’elle veut me montrer qu’elle m’aime.
Je les laisse car j’entends Samy entrer.
• Elles sont dans leur bain !
• Oui !
• Un whisky ?
• Non, jamais d’alcool, un coca si tu as !
Il ouvre un petit frigo placé dans le bar qui est formé par trois demi-tonneaux.
• Asseyons-nous, on peut dire que la soirée a été mouvementée !
Le salon, salle à manger, cuisine où je me trouve à une surface telle que l’on pourrait y faire entrer des centaines de personnes sans les serrer.
• Je peux te poser une question, Samy !
• Si je peux répondre, se sera bien volontiers, mais je connais déjà ta question !
• Es-tu un flic ?
Samy éclate de rire.
• Je le savais, non je suis chef d’entreprise !
• Alors pourquoi cette carte de police ?
• Avec Ophélie, nous aimons vivre des situations dangereuses.
Lors de sorties comme celle de ce soir, Ophélie et moi, nous aimons faire monter notre adrénaline au maximum.
Il faut avoir des portes de sortie comme tu l’as vue tout à l’heure pour nous amuser comme nous l’avons fait faire aux filles ce soir.
J’ai appris cela depuis que j’ai créé ma boîte qui travaille pour la défense nationale.
• Tu es industriel !
• Oui j’ai créé une société avec l’aide de mon beau-père pété de tunes ou avec ma femme nous sommes actionnaires majoritaires.
Elle se trouve non loin d’ici non loin d’ici.
• Lorsque l’on voit le pavillon de mes parents et ce que je vois de ton appartement tu dois gagner un max de fric !
Mon père est ouvrier, mais sait ce que gagner sa vie veut dire pour sa famille, il travaille en 3x8 pour cela.
• Je connais, j’ai moi-même commencé dans une boîte où les machines devaient tourner vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
J’ai vite compris que je serais esclave du système alors j’ai créé ma boîte.
C’est loin d’être drôle, j’évite de me plaindre malgré tout ce que je donne en impôts, alors ce soir, je me suis un peu remboursé sur la bête.
• Il faut bien que l’État ait de l’argent pour acheter tes armes !
• Tu as raison, mais il est bien français de toujours se plaindre, tu ne m’as toujours pas expliqué pour la carte !
Il sort de sa poche son portefeuille, l’ouvre et me montre une carte.
J’ai devant mes yeux une carte barrée bleu, blanc et rouge.
En gros « POLICE NATIONALE » en petit en dessous.
« Carte de donateur aux orphelins de la police. »
Suivi des renseignements sur le titulaire de la carte.
Qui lit les petits caractères sur une carte ou sur un contrat, surtout éclairé par un réverbère perché à quelques mètres de haut.
• Et c’est ce que tu leur as montré !
• Oui, mais la carte est insuffisante, il faut comprendre deux choses.
L’endroit était peu éclairé simplement avec le gyrophare et le réverbère sous lequel nos filles s’amusaient à se prostituer.
C’était trop mal éclairer pour distinguer ce qu’il était écrit dessus, surtout que sur un ton de commandement, j’ai demandé à celui qui conduisait d’arrêter le gyrophare.
Les simples traits aux trois couleurs leur ont sauté aux yeux.
La deuxième chose qu’il faut faire et que mon métier m’a appris est la fermeté dans mes paroles comme je viens de te le dire lorsque j’ai parlé au conducteur.
• Que leur as-tu dit ?
• En arrivant près d’eux sur un ton ferme, je leur ai dit « POLICE » en brandissant ma carte.
« Arrêter votre sirène et ces lumières qui nous font remarquer »
« Mes deux collèges féminins ainsi que celui dans la voiture sont avec moi sur une interception d’un dangereux malfrat.
Un de nos indique, nous a signalé qu’il vient souvent dans cette allée près de dame de petites vertus et qu’il avait prévu de venir tirer un coup ce soir.
Nous étions à deux doigts de le cerner, avec votre arrivée en fanfare, la planque est devenue foireuse.
Donnez-moi vos numéros de police, je vais faire un joli rapport qui va vous envoyer au fin fond de la France. »
« Excusez-nous chef, on aurait dû nous prévenir au commissariat ! »
• Comme tu l’as vu, ils sont montés dans leur voiture et se sont dépêchés de disparaître.
En ce moment, ils doivent chier dans leur froque se demandant où ils vont atterrir.
• Tu es gonflé et s’il ne t’avait pas cru !
• Ils nous auraient conduit au poste où nous aurions passé la nuit et au matin mon avocat nous aurait fait libérer avec les appuis que nous connaissons.
Nous n’avions aucun risque que celui de ne pas pouvoir baiser ces deux jolies femmes que je vois arriver près de nous !
Ophélie tenant Malaurie par la taille couverte d’un peignoir nous rejoint.
Ma petite maîtresse vient s’agenouiller devant moi et pose sa tête sur mes genoux...
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