COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (30/30) - histoire érotique

Papa est mort !
Papa s’est suicidé !
Papa n’a pas supporté ce qu’il a pris comme une trahison de maman, partie vivre sur les bords de Marne avec une autre femme.
Même si j’étais souvent en conflit avec lui, le jeune coq que je suis voulant marquer son territoire, j’aimais mon papa.
À son enterrement, après l’autorisation de la police, son suicide ayant été reconnu, foncer dans un parapet pour plonger dans la marne était édifiant.
Papa voulait-il nous faire passer un message en mourant dans la marne à quelques mètres de celle qu’il avait aimé et qui pour lui l’avait trahi en allant vivre avec Isis sur ces bords de marne.
Patou avec Christine est venu à son enterrement ce qui m’a permis de les présenter à maman et son amour Isis.
Maman semble avoir un peu de réticente à cause des problèmes physiques de Patou, vite effacé par Isis, qui me souhaite plein de bonheur.

C’est dimanche, nous sommes invités chez Chantal, pardon, maîtresse Chantal.
Pardon, maîtresse Chantal et son adjointe apprentie maîtresse Malaurie.
Quelle évolution de ma prof, vierge à vingt-six ans et s’assumant entièrement depuis que je lui ai pris son pucelage.
Le fauteuil ne passant pas dans l’ascenseur, j’ai le plaisir de la faire monter dans mes bras et après retourner chercher le fauteuil roulant permettant à Patou de circuler dans l’appartement d’habitation.
La baignoire que j’ai déjà testée l’impressionne.

Elle me demande de les laisser seules entre femmes et deux minutes après elle pleure pour que je vienne.

• Christophe, qu’en penses-tu, je voudrais faire installer la même baignoire, m’aideras-tu à y entrer ?
• Tu sais que je ne te refuse rien espèce de capricieuse.
• C’est exact, j’adore faire des caprices, chaque fois, je sais que vous allez les satisfaire, pourquoi m’en priverais-je !

Je retourne sur mon canapé et je reprends le magazine qui est sur la table très design. C’est un magazine people, à l’intérieur une double page parle de ma Patou, jeune artiste qui monte dans la sphère de la peinture moderne.
Des photos de ma future qui l’ignore encore, dans la partie de son atelier où elle travaille avec sa blouse crade devant la toile qui me représente.
L’angle est pris pour éviter de monter son handicape, ça devait être peu vendeur alors que j’ai dépassé ces moments de gêne.
Je suis très déçu, car mis sous le manteau la réalité qui est le quotidien des gens c’est une forme de tromperie.

Je suis tellement concentré sur ce que je lis, que je sursaute lorsque Chantal me parle.
Elles sont toutes les deux seules sans Patou.
Mieux, Malaurie a sur son bras les affaires de mon bébé.
Qu’ont-elles fait ?
Ou ont-elles laissé ma petite, pourquoi lui avoir enlevé ses affaires ?

• Je vois que tu t’interroges Christophe !
• Oui qu’avez-vous faites de Patou ?
• Ta petite est formidable, elle a voulu tester l’une de nos machines de domination.
Soit sans crainte, elle est en toute sécurité, nous allons la laisser une heure avant d’aller la chercher, car nous souhaitons profiter du rayonnement de cette jeune fille.

J’allais m’offusquer à ce que je viens de lire dans le journal people et qui m’a interpellé me faisant accepter que ma future femme ait envie de tester la domination.
C’est pleinement s’assumer et je sais qu’elle le fait depuis que je l’ai rencontré.
Nous papotons jusqu'à ce que Chantal propose de ramener ma petite parmi nous.

• Êtes-vous pressé ?
• Seulement de passer à table !
• Alors si elle aime votre domination laissée là une heure de plus, si elle ne risque rien pour son équilibre.
• Elle ne risque rien et mieux si elle est soumise, elle sera contente que nous ne venions pas la rechercher.

Nous mettons le couvert et Malaurie prépare à manger.
Pendant ce temps, j’entends Chantal faire couler l’eau de la baignoire.
Une heure après, les filles reviennent avec la petite, elles sont toutes les trois nues.

• Christophe, viens nous aider.

Elle se dirige vers la salle de bain où je les suis.

• Christophe, porte là dans l’eau !

En me tendant ses bras.

• Oui mon bel étalon, porte-moi dans l’eau !

Je la prends comme elle aime, en lui pelotant les fesses et je la dépose dans l’eau.
Aussitôt elle s’ébat dans l’espace restreint de la piscine en se mouvant à la seule force de ses bras.
Chantal et Malaurie enjambent, elle aussi le bord me permettant une fois d’admirer leurs parties intimes.
Je me déshabille et je les rejoins.
Nous sommes un peu serrés, mais nous nous serrons pour que ma petite continue à nager.
Au bout d’un moment elle se fatigue, vient me rejoindre et vient s’asseoir sur ma bite.
Son fessier même s’il n’est pas lourd comprime mon sexe qui a cette sollicitation se déploie, en se retournant sans bouger ses fesses.

• Mon saligaud, tout est bon pour agresser une pauvre fille !
• Pat, je parie qu’il bande !
• Oui, Chantal, il cherche toujours à me fourrer sa bite dans tous mes trous.
• Petite vicieuse, je parie que tu aimes et même que tu en redemande !

En me regardant.

• Au contraire, tu as raison, inutile de me punir pour que j’avoue, j’aime trop.
• Tu as de la chance, nous avons une règle immuable, dans cette partie de notre logement, les maîtresses restent à la porte de séparation.

Puis que j’aie son assentiment, ma verge ayant assez de vigueur, je la soulève et atteins directement ma cible.

• Il te la mise !
• Oui, oh ! oui !
• Christophe, après ce qu’elle a subi entre nos mains, un petit plaisir pourrait lui faire beaucoup de bien.
• Un grand plaisir.

Elle prend appui sur le rebord et se plante plusieurs fois ma lance dans son vagin, elle est tellement lubrifiée qu’elle coulisse avec énormément de facilité.

• Chantal, tu m’avais juré de ne rien dire.
• C’est vrai, dit moi, tu as aimé.
• Je vais revenir après notre voyage à Venise avec ce grand escogriffe !

J’adore cette conversation avec ma verge dans sa chatte.
Malaurie ne voulant pas être en reste plonge sa main dans l’eau bouillonnante et doit venir certainement caresser le clitoris de ma poupinette.
En se retournant de nouveau.

• Elles sont vicieuses tes copines, Malaurie me caresse le bouton, continue, je vais jouir !

Elle dépasse le dire pour arriver au faire.
Son sexe mange le mien et comme c’est mon bébé, je la laisse jouir et je me retiens, car je sens que ma journée va être pénible pour un mâle seul avec ces baccanals.
Je lui prends la bouche qu’elle trouve grâce à la rotation de son tronc.
Chantal se rapproche de nos bouches et pour la première fois je vois Patou prendre la bouche d’une autre femme.
Deux femmes qui s’embrassent à quelques centimètres de mes yeux me donnent la plus belle vision, car l’une de ces bouches appartient à celle que j’aime.
Patou ne veut pas se contenter de la bouche de Chantal, elle lui tend les bras et s’enlève de mon sexe pour retomber sur les cuisses de mon amie.
Elle se sert de la portée de l’eau pour que ses cuisses se trouvent autour du bassin de Chantal.
Les filles redoublent d’ardeur avec leur langue.
Là encore, l’eau bouillonnante m’empêche de voir ce que font leurs mains.
Elles doivent être très actives car Chantal qui n’a pas encore pris son plaisir démarre et son sexe doit lui donner bien du plaisir.
Pendant ce temps, Malaurie elle aussi est active.
Elle avance sa main sur ma verge et sa bouche sur la mienne me rappelant les jours pas si lointain où j’enlevais sa virginité à mon petit professeur d’anglais.
Je me place pour la recevoir et aussi souple que Patou elle amène sa chatte sur mon pieu et s’empale dessus.
J’adore retrouver ce sexe que j’ai façonné et que j’ai ouvert à la vie sexuelle.
Je sens Malaurie faire travailler ses muscles vaginaux autour de ma hampe.
Je me maîtrise bien, mais ma copine a un orgasme que je sens monter du fond de son ventre.
Chantal et Patou repartent pour faire chanter leur corps.
Elles y parviennent sans aucun problème.
Malgré l’eau, Malaurie a gardé ses bonnes habitudes.
Lorsqu’elle arrive au sommet elle m’expulse sur la verge les traits chauds que j’ai pris l’habitude de recevoir depuis que je pénètre cette petite femelle.

Pour un instant rassasié de sexe, nous sortons de l’eau sauf mon bouchon qui reprend sa nage quelques minutes semblant retrouver une certaine autonomie.
Je pêche ma petite et je la maintiens pendant que les deux filles la sèche.
C’est nu que nous mangeons tous les quatre.
Petit repas sympa jusqu’au dessert ou une demande des deux filles à Patou me tombe sur la tête.

• Patricia, nous souhaitons te faire une demande.
• Patou, mais pas Patricia, je vous écoute !
• J’ai défloré Christophe qui en a fait de même pour Malaurie.
Je crois savoir qu’il en est de même pour toi !
• Pas de problème, c’est devenu le dépuceleur national.

Les filles, je vous adore toutes les trois, mais je suis là !
On peut m’intégrer à la discussion qui parle de moi !

• On voudrait vous demander quelque chose.
Nous voudrions avoir chacune un enfant et nous voudrions qu’ils aient le même père.
Nous souhaiterions que tu acceptes que ton homme soit le donneur.
• C’est dur ce que tu me demandes, surtout que je ne suis pas sur d’en avoir un moi-même.
Christophe est tellement gentil avec nous toutes que s’il accepte, je vous dis oui.
• Christophe ?
• Serez-vous gentilles avec moi ?
• On te le jure !
• Je vais devoir vous faire l’amour plusieurs jours, aurais-je droit aux petits croissants le matin ?
• Ça va de soi !
• Des pains au chocolat ?
• Arrête de nous faire languir, c’est important pour nous !
• Je me prononcerais après un bon café !
• Malaurie, prends ton couteau, on va l’émasculer.
• Mon café...

Elles me servent très prévenante, c’est bon d’être leur mâle dominant, je recule ma chaise.

• Venez-vous asseoir sur chacun de mes genoux mes belles.

Elle s’empresse de me rejoindre et frotte leurs fesses sur ma verge.

• Cela te plaît salopard de profiter de faibles femmes !
• Faibles femmes, vous rigolez, guêpières, botte et fouet ou cravache, vous ressemblez énormément à de faibles femmes.
Vous vous foutez carrément de ma gueule...

Cinq autres, bientôt la suite.