COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (31/35)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (31/35)
C’est reparti pour cinq chapitres.
Je viens de conduire, même de porter dans mes bras Patou afin qu’elle rencontre mes autres maîtresses depuis que j’ai pris mon envol dans ma vie sexuelle très active.
Dans mes bras car l’ascenseur était trop petit pour y faire entrer le fauteuil roulant.
De nouveau légèrement autonome, elle part découvrir le palais des plaisirs sadomaso que Chantal a créé dans Paris.
Tout en conversant avec moi, Chantal s’attache à faire monter ma tige.
Si elle a joui avec Patou, elle n’a pas pris ma bite dans sa chatte lors du bain.
• Veux-tu que je te fasse l’amour ?
• La réponse à ma question avant !
• Christophe a raison, la réponse après, la bite de mon copain ne doit pas attendre lorsqu’elle est prête.
La vicieuse, mon petit oiseau entre dans mon jeu.
Nous avons à notre merci deux femmes qui passent leur principale de leur temps à soumettre des personnes volontaires.
Elle-même dans l’attente de ma décision, je veux dire à notre décision.
• Malaurie, viens m’embrasser, j’ai perdu le goût de ta langue sur la mienne.
Malaurie même si elle aussi attend ma réponse vient s’agenouiller à ses pieds et rapidement pour la deuxième fois mon amour met sa langue dans celle d’une autre femme.
Elles sont belles toutes les deux, dire que c’est moi qui leur ai appris l’amour physique.
Dire que ces deux femmes étaient des terres vierges que j’ai su défricher pour en extraire ces magnifiques fleurs.
Comme Chantal a su le faire pendant nos vacances sur cette terre qui me semble fort lointaine depuis quelque temps.
De notre côté, Chantal a décidé de passer à l’étape suivante.
Son branlage de bite avec son fessier a produit son effet, je bande une nouvelle fois.
• Salope, lève-toi !
Elle s’exécute et je repousse la vaisselle que j’aie devant moi.
• Allonge tes bras et met tes seins sur la table.
• Elle est en verre, cela va être froid.
• Douillette, je vais demander à Malaurie d’aller chercher la cravache et que diraient tes clients s’ils constataient que tu as peur d’un morceau de verre.
• Surtout pas, je crains.
La maîtresse qui soumet de nombreuses personnes tous les jours et qui a peur d’être soumise, on aura tout vu.
Ma queue doit lui faire envie, car elle finit par s’exécuter et tendre sa croupe vers moi.
Un frisson court le long de son dos quand ses seins touchent le plateau de verre.
• C’est bien, veux-tu que je te la mette ?
• Oh que oui, tu vois bien que je mouille !
• Non, tu as raison, j’ai oublié de contrôler.
• Alors fais-le !
• Ce n’est pas toi qui décides, à partir de maintenant c’est moi.
• Je m’en fiche du moment que tu t’occupes de ma chatte !
Ayant pitié de Chantal qui toute sa vie à décidé pour les autres, je me baisse, lui fait écarter les jambes et je plonge ma langue dans son intimité.
Je la lèche à grands coups de langue du bouton jusqu'à son anus.
J’y introduis même la langue qui pénètre facilement sur quelques centimètres.
Elle sait faire travailler son corps la copine.
Elle fait fonctionner ses muscles et essaye de me la bloquer.
Phénoménal comme effet.
J’ai l’impression que ma langue est une petite bite.
Petite bite qui doit donner du plaisir à cette femme.
Cette femme qui un jour dans une clairière a fait ce qu’il fallait pour que je passe du stade d’adolescent boutonneux à celui d’homme qui sait ce qu’il veut.
Ma première femme, celle qui va rester dans ma tête toute ma vie.
Bien que Patou m’envahisse la tête de plus en plus.
Le doute m’assaille souvent qu’elle peut très bien refuser de recevoir la bague achetée avec amour.
Elle est actuellement chez Christine, la bague, elle est très présente auprès de moi. C’est Christine qui me la donnera au moment du départ.
Elle a eu peur que je ne la perde.
Avec tout cela, Chantal attend.
J’ai pitié d’elle et je lui plante ma verge dans sa chatte que je trouve ruisselante.
• Bon sang que c’est bon, boure-moi bien, ma chatte a besoin de toi.
Merci Patou de me la prêter encore un petit moment.
• Comment te refuser ce que je vous ai pris depuis que Christophe a enfin fait de moi une femme, vous savez que malgré mon handicap, il m’a appris à baiser en levrette ?
Je la laboure avec de grands coups qui me font pénétrer au plus profond de son corps.
Je veux éviter les comparatifs trop à mon avantage, je reste un jeune mâle en rut, prêt à bourrer tout ce qui bouge de forme féminine.
Rapidement le traitement que je lui inflige fait son effet et elle atteint l’orgasme.
Je me retire la laissant les bras en croix sur la table qu’elle a réchauffée avec son corps.
Son postérieur est si tentant ainsi exposé que je ne me prive pas de lui plaqué une belle claque qui la fait sursauter.
Pour que son autre fesse ne soit pas jalouse, ma main repart dans l’autre sens.
Chantal devait s’attendre à un retour, car son corps a moins bougé.
Commencerait-elle à aimer que je la soumette à ma bite, toujours prête, comme l’on dit dans l’armée ?
Combien de temps me faudra-t-il pour l’amener dans la salle où elle a laissé ma chérie pendant deux heures ?
• Chantal, je t’ai plusieurs fois baisée.
Je suis un garçon respectueux, puis-je te sodomiser !
• J’allais te le demander.
• Tu n’as pas pris autant de précaution pour me prendre ma vertu lorsque je me suis retrouvée seule avec toi dans mon ancien garage !
• Et tu le regrettes !
• Non.
Un, non, cour et précis, pourquoi surenchérir dans de puériles discussions sur le pourquoi du comment ?
Je replace mon gland sur son fondement que j’investis sans rencontrer de grande résistance.
Sa vie sexuelle a tellement été bien remplie, je dirais même très intense depuis que je la connais que d’essayer de savoir combien de verges sont passées par sa petite rondelle seraient saugrenues.
Ça la ramènerait à sa condition de pute, comme l’a été le temps d’une soirée Malaurie et qu’elle a su dépasser, maintenant elle a pignon sur rue même si son activité reste très marginale.
C’est au fond de son rectum que je vois Malaurie présenter sa fente à Patou.
Quelle sensation pour moi, je bande comme jamais.
Je maltraite l’anus de Chantal tellement cette vision est fabuleuse.
Ma petite a qui tout le monde refusait les plaisirs du sexe sait se rattraper.
Elle ne s’est jamais autant éclatée que depuis que j’ai décidé de l’épouser sans encore qu’elle ne le sache.
J’aime qu’elle s’ouvre à tous les plaisirs, car je compte bien que lorsque nous serons mariées nous soyons un couple libre et ouvert à tous et à toutes.
• Chantal est-ce que tu aimes ?
Dans un souffle le plaisir monte en elle.
• Continu, il y a longtemps que l’on ne m’a pas fait autant de biens !
Malaurie a amené sa chatte sur la langue de ma petite Pat.
Qu’elles sont belles mes deux petites femelles !
Elles sont deux, non trois car celle que je pointe au bout de ma queue n’est pas mal non plus.
Ce que la table me cache mais que je peux facilement deviner c’est que Malaurie a les doigts dans la chatte de ma petite.
Je vois les corps des deux filles se tendre de plaisir en même temps que Chantal exprime le grand plaisir que je lui procure avec mon vit au fond de son corps.
Retiens-toi Christophe je n’ai rien contre les fesses de celle qui m’a dépucelé, mais donné du plaisir avant mon sperme à ma future femme est le but de ma journée.
Il va de soi, que c’est pour faire diversion dans mon cerveau et réussir à me contrôler que je me parle ainsi, Patou doit encore attendre un peu pour me donner une réponse.
Je libère Chantal après un dernier spasme de plaisir.
Je m’approche des deux filles.
Malaurie a réussi à introduire trois doigts dans la fente de mon amie.
Patou quitte les grandes lèvres de Malaurie pour me donner un baiser.
Je retrouve le goût de la chatte de ma prof d’anglais.
Que de chemins, j’ai réussis à lui faire parcourir en si peu de temps et par extension moi aussi !
Vierge à 26 ans, dépucelée par un de ses élèves, Cadet de 8 ans.
Prostitué dans le bois de Vincennes le temps d’une soirée marquant une étape importante m’ayant montré l’état de soumission ou elle était.
Devenue femme sans tabou acceptant tous les jeux du sexe et adjointe d’une maîtresse femme avec laquelle elle domine des personnes de haut rang.
Quel parcours dont pour la plus grande partie je peux être fière.
Chantal, qui m’a déniaisé, pendant mes vacances dans le Doubs, qui voulait être chanteuse, mais voir pute qu’elle est devenue avec sa mère au champ de courses du bois de Vincennes.
Prendre la direction d’un salon de domination et de réussir à faire démissionner mon professeur principal de l’Éducation nationale pour venir fouetter les clients dans l’appartement contigu à celui ou nous nous amusons dans ce salon.
Heureux ?
On le serait à moins...
Je viens de conduire, même de porter dans mes bras Patou afin qu’elle rencontre mes autres maîtresses depuis que j’ai pris mon envol dans ma vie sexuelle très active.
Dans mes bras car l’ascenseur était trop petit pour y faire entrer le fauteuil roulant.
De nouveau légèrement autonome, elle part découvrir le palais des plaisirs sadomaso que Chantal a créé dans Paris.
Tout en conversant avec moi, Chantal s’attache à faire monter ma tige.
Si elle a joui avec Patou, elle n’a pas pris ma bite dans sa chatte lors du bain.
• Veux-tu que je te fasse l’amour ?
• La réponse à ma question avant !
• Christophe a raison, la réponse après, la bite de mon copain ne doit pas attendre lorsqu’elle est prête.
La vicieuse, mon petit oiseau entre dans mon jeu.
Nous avons à notre merci deux femmes qui passent leur principale de leur temps à soumettre des personnes volontaires.
Elle-même dans l’attente de ma décision, je veux dire à notre décision.
• Malaurie, viens m’embrasser, j’ai perdu le goût de ta langue sur la mienne.
Malaurie même si elle aussi attend ma réponse vient s’agenouiller à ses pieds et rapidement pour la deuxième fois mon amour met sa langue dans celle d’une autre femme.
Elles sont belles toutes les deux, dire que c’est moi qui leur ai appris l’amour physique.
Dire que ces deux femmes étaient des terres vierges que j’ai su défricher pour en extraire ces magnifiques fleurs.
Comme Chantal a su le faire pendant nos vacances sur cette terre qui me semble fort lointaine depuis quelque temps.
De notre côté, Chantal a décidé de passer à l’étape suivante.
Son branlage de bite avec son fessier a produit son effet, je bande une nouvelle fois.
• Salope, lève-toi !
Elle s’exécute et je repousse la vaisselle que j’aie devant moi.
• Allonge tes bras et met tes seins sur la table.
• Elle est en verre, cela va être froid.
• Douillette, je vais demander à Malaurie d’aller chercher la cravache et que diraient tes clients s’ils constataient que tu as peur d’un morceau de verre.
• Surtout pas, je crains.
La maîtresse qui soumet de nombreuses personnes tous les jours et qui a peur d’être soumise, on aura tout vu.
Ma queue doit lui faire envie, car elle finit par s’exécuter et tendre sa croupe vers moi.
Un frisson court le long de son dos quand ses seins touchent le plateau de verre.
• C’est bien, veux-tu que je te la mette ?
• Oh que oui, tu vois bien que je mouille !
• Non, tu as raison, j’ai oublié de contrôler.
• Alors fais-le !
• Ce n’est pas toi qui décides, à partir de maintenant c’est moi.
• Je m’en fiche du moment que tu t’occupes de ma chatte !
Ayant pitié de Chantal qui toute sa vie à décidé pour les autres, je me baisse, lui fait écarter les jambes et je plonge ma langue dans son intimité.
Je la lèche à grands coups de langue du bouton jusqu'à son anus.
J’y introduis même la langue qui pénètre facilement sur quelques centimètres.
Elle sait faire travailler son corps la copine.
Elle fait fonctionner ses muscles et essaye de me la bloquer.
Phénoménal comme effet.
J’ai l’impression que ma langue est une petite bite.
Petite bite qui doit donner du plaisir à cette femme.
Cette femme qui un jour dans une clairière a fait ce qu’il fallait pour que je passe du stade d’adolescent boutonneux à celui d’homme qui sait ce qu’il veut.
Ma première femme, celle qui va rester dans ma tête toute ma vie.
Bien que Patou m’envahisse la tête de plus en plus.
Le doute m’assaille souvent qu’elle peut très bien refuser de recevoir la bague achetée avec amour.
Elle est actuellement chez Christine, la bague, elle est très présente auprès de moi. C’est Christine qui me la donnera au moment du départ.
Elle a eu peur que je ne la perde.
Avec tout cela, Chantal attend.
J’ai pitié d’elle et je lui plante ma verge dans sa chatte que je trouve ruisselante.
• Bon sang que c’est bon, boure-moi bien, ma chatte a besoin de toi.
Merci Patou de me la prêter encore un petit moment.
• Comment te refuser ce que je vous ai pris depuis que Christophe a enfin fait de moi une femme, vous savez que malgré mon handicap, il m’a appris à baiser en levrette ?
Je la laboure avec de grands coups qui me font pénétrer au plus profond de son corps.
Je veux éviter les comparatifs trop à mon avantage, je reste un jeune mâle en rut, prêt à bourrer tout ce qui bouge de forme féminine.
Rapidement le traitement que je lui inflige fait son effet et elle atteint l’orgasme.
Je me retire la laissant les bras en croix sur la table qu’elle a réchauffée avec son corps.
Son postérieur est si tentant ainsi exposé que je ne me prive pas de lui plaqué une belle claque qui la fait sursauter.
Pour que son autre fesse ne soit pas jalouse, ma main repart dans l’autre sens.
Chantal devait s’attendre à un retour, car son corps a moins bougé.
Commencerait-elle à aimer que je la soumette à ma bite, toujours prête, comme l’on dit dans l’armée ?
Combien de temps me faudra-t-il pour l’amener dans la salle où elle a laissé ma chérie pendant deux heures ?
• Chantal, je t’ai plusieurs fois baisée.
Je suis un garçon respectueux, puis-je te sodomiser !
• J’allais te le demander.
• Tu n’as pas pris autant de précaution pour me prendre ma vertu lorsque je me suis retrouvée seule avec toi dans mon ancien garage !
• Et tu le regrettes !
• Non.
Un, non, cour et précis, pourquoi surenchérir dans de puériles discussions sur le pourquoi du comment ?
Je replace mon gland sur son fondement que j’investis sans rencontrer de grande résistance.
Sa vie sexuelle a tellement été bien remplie, je dirais même très intense depuis que je la connais que d’essayer de savoir combien de verges sont passées par sa petite rondelle seraient saugrenues.
Ça la ramènerait à sa condition de pute, comme l’a été le temps d’une soirée Malaurie et qu’elle a su dépasser, maintenant elle a pignon sur rue même si son activité reste très marginale.
C’est au fond de son rectum que je vois Malaurie présenter sa fente à Patou.
Quelle sensation pour moi, je bande comme jamais.
Je maltraite l’anus de Chantal tellement cette vision est fabuleuse.
Ma petite a qui tout le monde refusait les plaisirs du sexe sait se rattraper.
Elle ne s’est jamais autant éclatée que depuis que j’ai décidé de l’épouser sans encore qu’elle ne le sache.
J’aime qu’elle s’ouvre à tous les plaisirs, car je compte bien que lorsque nous serons mariées nous soyons un couple libre et ouvert à tous et à toutes.
• Chantal est-ce que tu aimes ?
Dans un souffle le plaisir monte en elle.
• Continu, il y a longtemps que l’on ne m’a pas fait autant de biens !
Malaurie a amené sa chatte sur la langue de ma petite Pat.
Qu’elles sont belles mes deux petites femelles !
Elles sont deux, non trois car celle que je pointe au bout de ma queue n’est pas mal non plus.
Ce que la table me cache mais que je peux facilement deviner c’est que Malaurie a les doigts dans la chatte de ma petite.
Je vois les corps des deux filles se tendre de plaisir en même temps que Chantal exprime le grand plaisir que je lui procure avec mon vit au fond de son corps.
Retiens-toi Christophe je n’ai rien contre les fesses de celle qui m’a dépucelé, mais donné du plaisir avant mon sperme à ma future femme est le but de ma journée.
Il va de soi, que c’est pour faire diversion dans mon cerveau et réussir à me contrôler que je me parle ainsi, Patou doit encore attendre un peu pour me donner une réponse.
Je libère Chantal après un dernier spasme de plaisir.
Je m’approche des deux filles.
Malaurie a réussi à introduire trois doigts dans la fente de mon amie.
Patou quitte les grandes lèvres de Malaurie pour me donner un baiser.
Je retrouve le goût de la chatte de ma prof d’anglais.
Que de chemins, j’ai réussis à lui faire parcourir en si peu de temps et par extension moi aussi !
Vierge à 26 ans, dépucelée par un de ses élèves, Cadet de 8 ans.
Prostitué dans le bois de Vincennes le temps d’une soirée marquant une étape importante m’ayant montré l’état de soumission ou elle était.
Devenue femme sans tabou acceptant tous les jeux du sexe et adjointe d’une maîtresse femme avec laquelle elle domine des personnes de haut rang.
Quel parcours dont pour la plus grande partie je peux être fière.
Chantal, qui m’a déniaisé, pendant mes vacances dans le Doubs, qui voulait être chanteuse, mais voir pute qu’elle est devenue avec sa mère au champ de courses du bois de Vincennes.
Prendre la direction d’un salon de domination et de réussir à faire démissionner mon professeur principal de l’Éducation nationale pour venir fouetter les clients dans l’appartement contigu à celui ou nous nous amusons dans ce salon.
Heureux ?
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bonne suite toujours agréable à lire. L’érotisme et le sexe sont omniprésents Christophe a maintenant 3 pouliches à satisfaire et un départ probable pour la marine. Daniel

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