COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (32/35) - histoire érotique

Moi, Christophe, je serais imbu de ma personne, si je disais Christophe 1er.
Garçon qui a perdu son pucelage après avoir eu la chance de rencontrer Chantal une jeune fille très salope en vacances dans le Doubs.
Qui a séduit son professeur principal d’anglais dans son collège !
Qui l’a déniaisé devant et derrière !
Qui lui a proposé de se prostituer avec notre amie Ophélie mariée à Samy avec laquelle elle m’a trompé dans notre propre lit alors que le même jour j’avais été baiser Ophélie en la reconduisant dans le cadre de mon travail de sexe boy !

Bien sûr pour compléter le carré magique que je forme avec mes trois femmes.
Mon bébé, mon bouchon, ma perle rare, ma caille, mon petit bouton d’or, mon canari d’amour et surtout mon « petit Pompon » qui m’a donné et son cœur et son corps.
Certains diront que son talent comme peintre lui rapportant gros, c’est par intérêt que je me suis mis avec elle.
C’est mal me connaitre, je suis un garçon entier et direct, si c’était le cas, je n’aurais pas demandé à mes amies de s’occuper d’elle.
Si j’étais comme ça, je pourrais garder ma liberté tous en lui apportant des plaisirs sexuels.
Mais ce serait se tromper surtout que j’ai décidé de la demander en mariage le soir de Noël, à minuit sur la place Saint-Marc en français et piazza San Marco en Italien de Venise que nous rejoindrons par l’orient express !

Je vois le corps de Malaurie se tendre et je prends conscience à ce qui va arriver à Patou.
Lorsque celle qui vient de devenir sa maîtresse car elles ont baisé ensemble en ouvrant les vannes de son corps avant d’inonder la figure de ma petite.
Je n’ai pas le temps de compter jusqu’à dix avant que Patou se demande ce qui lui arrive dans la bouche et que je sois éclaboussé par les jets puissants sortant du corps de Malaurie.
Tout ceci se passe si vite, qu’elle n’a pas le temps de ce posé la question, car je suis content de la voir prendre son plaisir.

• Emporte-moi dans l’eau mon cœur, Malaurie m’a déjà donné ma douche mais j’aimerais nager.

Ce qu’une femme veut, une nouvelle fois, elle là.
Je reste avec les autres filles à la regarder s’ébattre dans l’eau comme si sa jeunesse n’avait pas été fauchée.
Pour la première fois, je m’aperçois que son visage est très serein, je sens que j’ai bien fait de lui faire connaître Malaurie et Chantal.

• Mes amies, venez me rejoindre vous me manquer déjà.

Chantal et Malaurie enjambent le rebord m’étalant leurs intimités sous le nez.

• Les filles vous pourrez m’aider à sortir toutes les deux tout à l’heure !
• À deux aucun problème !
• Christophe, laisse-nous, revient demain matin à 11 heures !
Je vais passer la nuit avec mes copines et au petit déjeuner si elles ont été prévenantes avec moi je leur dirais si j’en redemanderais !
• Voilà comment vous êtes les filles, on vous fait connaitre les unes et les autres et la pauvre queue que je vous offrais peut aller se faire voir.

Tout penaud, je prends rapidement une douche, embrasse mes trois femmes et je sors de l’appartement.
Je traîne mon âme en peine jusqu'à notre quartier.
L’envie de discuter avec Christine et ainsi ne pas rester seule me conduit devant chez elle.
Dès qu’elle ouvre, elle s’inquiète pour Patou !
Je la rassure lui disant qu’elle est en de bonnes mains et qu’il est inutile qu’elle s’inquiète.
La bague que je lui fais garder, en est la meilleure preuve, vouloir épouser quelqu’un, montre mon attachement à cette personne.
Elle m’embrasse comme le fait ma maman, alors que nous sommes amants et nous prenons place sur le divan ou elle me rejoint venant se lover dans mes bras.
Je lui fais la description complète de notre journée.
Elle est étonnée des avancées de sa filleule depuis que je suis devenu son futur mari.

• C’est incroyable Christophe, en en faisant une femme, tu l’as ouvert au monde, à part venir me voir, elle vivait recluse dans son étrange logement.

Je lui parle d’un de mes projets après avoir vu Pat dans la grande baignoire de Chantal.
Elle va me chercher un bloc et un crayon pour que fasse un croquis de mon idée.
Je veux implanter une piscine chauffée dans le garage de notre petite.
Une partie pourra se découvrir dans une partie du jardin pour l’été et la grande partie dans l’atelier même.
Il faut qu’elle trouve une société capable de construire cette piscine de 10 mètres sur 4.
Je dessine un système de palan électrique lui permettant d’accéder seule au basin sans risque pour elle.
L’idée l’emballe, si elle trouve à la réaliser.

• Pour le financement ?
Tu sais que je suis insolvable surtout après l’achat de la bague de fiançailles.
• La bague, mais tu l’as payée au bijoutier, de quelle dette sembles-tu parler ?
Pour la piscine, j’ai toutes les procurations nécessaires et dès demain je me mets en piste pour réaliser ton projet que je trouve excellent.
La petite va adorer, viens que je te remercie de prendre soin de ma petite.

La coquine elle veut que je la remercie avec mon sexe.
Je n’ai aucun scrupule de lui faire l’amour, surtout ce soir m’étant fait jeter comme un mal propre par sa gentille garce de filleule.
Patou mérite une petite leçon de ma part pour la manière dont mon cœur m’a laissé les couilles pleines puisque je lui avais gardé mon sperme afin d’être performant ce soir.

À genoux entre mes jambes, Christine sort ma queue de mon pantalon, commence par me lécher et finit par me pomper le gland.
Ma verge devient très vite utilisable par ma maîtresse qui est toujours aussi experte pour s’occuper de moi.
Nous nous relevons et nos habits volent lorsqu’elle est nue, elle me saute au cou et comme une gamine ses jambes viennent enserrer ma taille.
Je la saisis sous les fesses et en la soulevant un peu je lui plante ma verge au fond de la chatte.
Plusieurs tours de la pièce avec sa bouche prenant la mienne la conduisent à l’éclatement de la partie inférieur de son corps.
Je suis loin d’être un surhomme, bien que depuis que je baise ces femmes, je sois de plus en plus performant.
Ainsi empalé sur ma queue à un moment je la pose sur la table de la cuisine qui passait par là.
J’avais bien un moment envisagé de la conduire dans sa chambre pour la besogner dans cette situation hasardeuse, mais je renonce en sentant mes muscles commencer à se tétaniser.
C’est sur cette table que je lui arrache un dernier orgasme avant de me laisser aller par de longs traits lui inondant la vulve.
Reposé, je la reprends autour de moi et c’est comme cela que nous retournons vers le canapé.
Je récupère le temps nécessaire pour que mon corps soit en état d’entreprendre d’autres manœuvres, j’arrive à me lever et à m’habiller sans bruit.
Je prends le bloc ou j’ai dessiné la piscine.

• Christine, tu as été parfaite, tu es toujours une sacrée baiseuse.
Inutile de m’attendre demain car je dois récupérer Pat.
Christophe, ton ami fidèle.

Quelques minutes et je rejoins le garage, je me couche nue sur notre lit, tous me faisant rêver à ma chérie son odeur emplissant mes narines.
C’est drôle, comme l’odora est plus développé en l’absence de celle qui présente, rempli si bien tout l’espace.

Je rêve, de Patou venant prendre ma verge dans sa main et me fais bander rapidement.
Elle est de plus en plus douée la coquine.
Je vais continuer à faire semblant de dormir.
Oui, sa bouche comme elle me suce bien, je suis content d’avoir été un bon professeur pour faire de ma petite une magnifique pompeuse et suceuse de bite !
Dommage, elle m’abandonne, non là revoilà, sa bouche qui reprend mon gland est douce.
La garce, elle vient de me mordiller la queue.
Difficile de faire semblant.
Enfin elle vient sur moi et s’enfile ma verge dans sa minette.
Elle a dû se servir de sa barre pour tomber sur ma barre pointée vers le ciel.
D’un coup mon cerveau se remet à fonctionner, quel con.
Pat se trouve chez Chantal et Malaurie !
J’ouvre les yeux et sur ma queue les mains posées sur ma poitrine, Vicky la blonde kiné s’est enfilée sur ma verge.

• Excuse Christophe c’était trop tentant, ou est Patou !

Ne parle plus belle pouliche, profite à fond de moi, même si tu m’as littéralement violé.
Bien sûr ces pensées, c’est pour moi que je les garde, une nouvelle chatte plongeant sur ma verge, quel magnifique réveil.

• Quel âge as-tu Vicky ?
• 22 je suis majeure, tu sais.

Baise-moi ma grande, baise-toi autant que tu veux, tu es plus vieille que ma petite et ainsi je respect ma parole à mon colibri de ne jamais la tromper avec une fille plus jeune qu’elle.

Maintenant que tout est cadré dans ma tête, j’empoigne les seins de Vicky qui sont magnifiques.
Je la sors de ma bite et toujours couché sur le dos je l’attire jusqu'à ma bouche.
Sa vulve est contente de rencontrer ma langue, la belle frotte sa chatte dessus avec application.
Son clito apprécie le traitement et un premier cri de plaisir sort de sa bouche.
Je me dégage et je la place en levrette.
Mon sexe vient de lui-même percuter son vagin qui ne résiste pas et s’ouvre à toutes mes envies.

• Je vais être en retard, mais que c’est bon.

Une nouvelle prise sans que j’aie eu à la séduire, lorsque je sens mon sperme à deux doigts de lui remplir son con, je me retire, j’ignore si la donzelle a une contraception.
En 1967, celles pouvant prendre la pilule sont rares et je me vois mal être obligé de l’épouser, j’ai d’autres vues de ce côté-là...