COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (34/35)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (34/35) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (34/35)
Mady, la première cliente que j’ai baisée en lui montant ses paquets jusqu’à son appartement semble apprécier ma prestation, outre l’argent que cela m’a rapporté, elle revient ce matin à la charge.
Au moment de partir et le paiement de la cliente, Christine me fait un clin d’œil, satisfaite de la note qu’elle vient d’encaisser, je rentabilise largement son investissement.
Ajoutez le plaisir que je lui ai donné, c’est une journée que je vais essayer de finir en beauté.

• Stop, you killed me!
• No, you want it I am going you to give it.
• Yes.

Et je continue à la labourer.
Elle a son compte et ne peut être que satisfaite.
Lorsqu’elle me donne les billets liés à la fatigue, que j’ai eue en portant son énorme paquet.
Quoique, je puisse penser que ce soit ma bite qu’elle récompense très largement.

• Ton mari est absent !
• Oui, il est parti une semaine en Angleterre passé Noël avec sa mère qui ne peut pas me voir.
• Es-tu libre pendant deux jours ?

Je pense qu’une seconde elle espère que je reste avec elle.

• Habille-toi, et dès que tu es prête appel un taxi, mais avant, je peux téléphoner.
• Bien sûr mon Chicken !

Me faire traiter de poulet anglais, je suis à deux doigts d’éclater de rire.
Elle part dans l’appartement et j’appelle le numéro on s’en doute de mes deux petites dominatrices.
Quelques minutes plus tard je sonne avec the woman et Chantal vient nous ouvrir.
Ma cliente est surprise dans l’endroit où nous la faisons entrer.
Le vestiaire où elle doit se mettre nue l’intrigue.
Ma présence la rassure et elle s’exécute.
Chantal l’emmène dans une pièce que je n’ai pas vue où elle lui fait enfiler une tenue que je ne veux même pas savoir à quoi elle va servir.
La seule chose que je peux voir avant de les laisser ensemble c’est que notre austro-anglaise a perdu l’usage de la parole.
La cagoule qu’elles lui ont mise sur la tête l’isole complètement, lui interdisant de produire le moindre son.
Chantal me raccompagne en me disant de revenir dans deux jours à 17 heures.
Pendant que j’y suis, je lui demande et elle me donne quelques cartes de son association de bienfaisance.

Ces deux jours sont une période de préparation du voyage et l’achat de quelques vêtements pour moi.
Chez une grande enseigne je demande à la caisse si je peux avoir une porteuse de mes paquets.
Le gérant me regarde en pensant, quel est ce fou qui n’est pas capable de porter lui-même moins d’un kilo à 20 ans.

Deux jours plus tard, j’ai porté trois paquets qui m’ont permis de rembourser le prix de la bague pour Patou.
Parmi ces trois femmes, j’ai battu l’âge le plus élevé dont j’ai eu à accompagner ses paquets et bien sûr, plus si affinités, soixante-quinze ans.
Sans avoir à être désagréable, au vu des billets ramassés, sa chatte était si large, que seuls les trains en partance non loin de chez elle, avaient oublié de s’arrêter au terminus.
Je l’ai accompagné en taxi à côté de la gare de Lyon,

Demain soir, nous aussi nous prenons le train, tard dans la soirée, avec une arrivée à Venise vers 17 heures.
À l’heure prévue c’est par le côté appartement privé que je viens rechercher mon anglaise, j’ai décidé qu’elle était anglaise.
Je veux qu’un minimum de mondes, puisse savoir que je viens en client.
Lorsque je sonne, une femme d’un certain âge, mais ressemblant énormément à Chantal se trouve devant moi.

• Vous êtes Christophe, Chantal m’a parlé de vous
• Je vois que je suis connu.
• On parle beaucoup de vous ici.

Chantal arrive, la femme s’éclipse vers le fond de l’appartement.

• Tout s’est bien passé, je pense que tu m’as fait gagner une cliente.
• Il va falloir que je t’intéresse au bénéfice.

Je retrouve les œufs aux plats dans la pièce de sortie.
En attendant le taxi, la dame me remercie chaudement de l’avoir fait connaître Chantal.
Mais je dois dire que dans sa voix il semble qu’elle ait un faible pour Malaurie.
Je la comprends, Patou ayant pris mon cœur, hors de ce fait, j’aurais beaucoup aimé qu’elle soit la bonne, malgré notre différence d’âge.
Je veux éviter de savoir ce qu’elles ont fait ou ce qu’elle lui a fait, mais elle semble avoir passé du bon temps.
Avant d’arriver, elle se fait arrêter devant une banque.
En arrivant chez elle, elle paye le taxi.

• Tu montes chéri !

Elle serait française, je prendrais ces mots comme ceux dans les films ou une pute à Pigalle dit à un de ses clients potentiels.
« Tu montes chéri ! »

Explication donnée, comprenant mon voyage le lendemain, mon retour au garage devient évidant.
Juste au moment de descendre, elle me glisse quelque chose dans la main.
Lorsque nous sommes repartis, je regarde discrètement, je pourrais offrir un apéritif à la petite place Saint-Marc, un gros billet se trouve dans ma main.

Le lendemain, je rejoins la boutique.
Comme je l’ai dit, je commence à rembourser Christine.
Je récupère la bague bien qu’elle soit à notre départ, je veux éviter que Patou ne l’aperçoive.
Nous discutons de la piscine, tout est bouclé, nous aurons la surprise à notre retour.

Une heure avant le départ nous sommes à la gare de l’Est.
Patou, ayant très peur d’être en retard bouillonne, comme toutes les femmes lorsqu’elles doivent voyager.
À part une petite valise chacun pour notre voyage au long cours Christine s’est occupée de nos bagages.
Ils ont déjà rejoint notre hôtel de la place Saint-Marc.
Lorsque nous arrivons aux portes du train un steward est mis personnellement à notre service.
Je porte, ma petite vers notre cabine, suite qui ressemble plus à une petite salle à manger qu’à un compartiment de train.
J’ai pris un train une fois pour aller chez mes grands-parents, hélas décédés, les wagons avaient des bancs en bois, là ce sont de véritables fauteuils avec des coussins plus gros que le matelas de mon lit
Je l’installe pour qu’elle soit dans le sens de la marche pour qu’elle voie le maximum du paysage.
Christine est plus excitée que Patou qui s’est calmé depuis qu’elle est sûre d’être à l’heure au départ de ce qu’elle pense être simplement un voyage d’agrément avec son amoureux.
J’accompagne ma patronne et maîtresse jusque sur le quai après qu’elle ait serré sa filleule dans ses bras.
J’apprends dans le même temps que c’est leur première séparation depuis que Christine a remplacé son papa.
Elle me prend dans ses bras et me donne une grosse bise aux coins des lèvres.

• Bon voyage prend soin d’elle, je te la confie.

Le train démarre, je suis sur le marchepied et je fais signe à mon amie et patronne jusqu’à ce qu’un virage me la cache.
Je rejoins mon cœur qui me tend ses bras pour me donner un gros poutou.

• Je t’aime mon cœur.
Ne te revoyant pas revenir, j’ai cru que tu étais descendu du train pour raccompagner marraine et que tu avais loupé le départ.
Ma chérie, te quitter ne serait-ce qu’un instant, serait pour moi l’arrêt de mon cœur à tout jamais.

Le train prend de la vitesse vers mon destin.
Je vois les immeubles longeant les voies défilées de plus en plus vite.
Je plains les occupants vivants entendant toute la journée ces trains qui font énormément de bruit lorsque les roues passent sur les rails.
Je devrais apprendre par notre steward que ce sont des boggies qui font du bruit en passant sur les aiguillages.
La première fois où j’avais pris le train, je l’ai dit pour aller chez mes grands-parents.
Je voyais dans les virages toutes ces voies et je me demandais comment le conducteur pouvait choisir le bon chemin sans jamais ce tromper.

Notre Stewart nous propose un petit repas dit de « nuit »
Une brochure nous signale que le repas est préparé par un chef français meilleur ouvrier de France.
Un régal, la petite prend un peu de champagne boisson principale au cours de notre voyage.
Lorsque le repas est terminé, le steward vient préparer le compartiment pour la nuit.
Je l’aide lorsque Patou lui pose des problèmes.
Ça me donne l’occasion de l’embrasser la petite adore me donner sa bouche dans un baiser qui a tendance à me réveiller la queue.
Lorsqu’il est parti, elle souhaite se coucher rapidement pour profiter le plus possible du paysage demain matin dès que le jour sera revenu.
Et surtout du séjour dont elle rêvait depuis qu’elle est toute petite et qu’elle ne pensait pas pouvoir faire avec un beau garçon qui fait tourner la tête de toutes les jolies femmes.
Je me la pète, je dois le reconnaitre, mais qui peut me prouver qu’en si peu de temps il a un tel tableau de chasse...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très bien Chris ta suite est merveilleuse un vrai conte de fée erotique j’adore cette histoire attend le prochain chapitre qui devrait être splendide. Daniel



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (34/35)
Histoire sexe : Une rose rouge
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