COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (35/35) - histoire érotique

Nous sommes partis, les immeubles défilent depuis que la loco a lâché les freins direction Venise.
Je me la pète, je dois le reconnaitre, mais qui peut me prouver qu’en si peu de temps il a un tel tableau de chasse.
Elle se déshabille et j’ai devant mes yeux ses jolis seins.
Je lui enlève sa petite culotte.
Elle se couche entièrement nue comme elle a l’habitude de le faire dans ce qui est devenu notre chez-nous.
Lorsqu’elle est allongée, elle propose que j’aille boire un verre au wagon piano bar.

Pour le voyage, j’ai mis un costume gris perle avec gilet et une paire de mocassins.
À mon revert j’ai mis l’un de mes pompons.
En partant, je lui donne son cahier de croquis et ses crayons.
Elle a décidé de faire des toiles dans son style sur l’ensemble du voyage.
Lorsque je sors, elle a tracé les contours d’un train, notre train.
Arrivé au bar, un pianiste en queue de pie joue les morceaux que ces dames appuyées au piano lui demandent.
Sans avoir l’air dit toucher l’une d’elles, jeune femme très chic se rapproche pour demander une coupe.
Au moment de boire une gorgée elle lève sa coupe vers moi.

• Santé,

Je lève celle qui vient de m’être servi, sans le moindre mot, mais elle en profite pour se rapprocher.

• Êtes-vous seul, jeune homme ?
• Non, ma fiancée est dans notre compartiment.
• Vous allez à Venise !

La conversation continue quelques minutes jusqu’à ce qu’elle me propose de la rejoindre dans son compartiment.
Je suis un peu étonné, lui ayant dit que je suis avec ma fiancée !
Quand je disais que j’étais un tombeur !

• Si vous me suivez, il vous en coûtera 1000 francs.
Un voyage cela coûte cher.

Une pute de luxe, je viens de me faire aborder par une pute de luxe.
Bravo la belle gueule.
Je l’éconduis poliment.
Elle reste zen et retourne vers le piano.
Il y a dix minutes que je suis prêt à rejoindre Patou, par la porte opposée d’où je suis un couple entre.
Smoking pour lui et robe du soir pour elle.

Il s’installe à une table dans des petits fauteuils.
De suite le serveur leur amène une bouteille de champagne avec deux verres.
La femme de petite vertu se désintéresse d’eux voyant qu’il n’y avait rien à gagner avec eux.
Quand dans mon dos j’entends quelqu’un arrivé et se placer très près d’elle assis au bar, son instinct de chasseresse se réveille.
Elle l’approche et quelques minutes après ils trinquent ensemble.
L’homme au smoking se lève s’approche de moi.
Un instant je m’attends à ce qu’il m’interpelle.
C’est au serveur qu’il demande des allumettes au serveur qui lui tend une pochette.
J’ai le temps de voir marquer « L’orient exprès. »
Il semble me découvrir et m’adresse la parole.

• Bonsoir,
• Bonsoir, vous êtes seul !

Un instant je panique, me prend-il pour un homo suceur de bite, il a dû mal voir la bête que je suis.

• Non, mon amie est dans notre compartiment.
• Vous voulez vous joindre à nous, nous avons horreur de boire seul, je vous propose de vous joindre à nous.
• C’est sympa, pourquoi pas !

Je me lève et rejoins un des sièges face à la dame.
Je lui fais un baisemain très protocolaire qu’elle semble appréciée.

• Ma femme s’appelle Jacqueline et moi Christophe.

Dans un premier temps il ne me croit pas mais finit par reconnaître que le monde est petit et accepte que je m’appelle aussi par leur même prénom.

• Au cours de notre voyage, si ma femme me trompe avec vous, lorsque nous ferons l’amour ensemble si elle appelle Christophe, je pourrais ignorer qu’elle a fait de moi un cocu.

Nous éclatons de rire.
Nous discutons de choses et d’autres lorsque Jacqueline écarte ostensiblement ses jambes sous couvert de se remonter dans ces fauteuils bas.
Sa chatte épilée sans protection m’apparaît par une fente de sa robe qui a glissé sur le côté.

• Christophe, vous avez vu, ma femme vous fait-elle bander !

Cette phrase m’arrive en plein visage alors que je ne m’y attendais pas.

• Cela vous surprend, mais je me répète, ma femme vous fait-elle bander !
• Oui bien sûr, une si belle femme !
• Accepteriez-vous de nous suivre dans notre compartiment ?

J’évite de répondre, mais je me lève, je prends la main de Jacqueline pour l’aider à se relever.
Un virage donne un mouvement au train qui la plaque sur ma poitrine.
Ma main vient se poser sur l’un de ses seins que je sens libre de toute protection.
Elle est un peu âgée, comparée à Patou, mais son sein est ferme.
Le temps de la retirer, je sens sa fraise durcir sous ma caresse.
Elle me regarde avec un sourire au coin des lèvres.
Elle me prend la main et m’entraîne dans le couloir et ouvre la porte de la deuxième cabine à l’opposé du compartiment où Patou dessine
Dès que nous sommes entrés, Jacqueline détache une broche sur son épaule qui fait tomber sa robe d’un seul mouvement.
Elle est nue devant moi sans avoir l’air d’être embarrassée devant son homme.
Il semble être un habitué de cette sorte de situation.
Christophe, dès qu’il est entré, s’installe sur la banquette près de la salle d’eau.
Jacqueline en femme d’expérience m’enlève mes vêtements et s’agenouille pour me prendre le sexe sans que l’un de nous ne dise le moindre mot.
À la télé, s’il y avait de la musique, nous serions en train de tourner un film muet, de Laurel et Hardy que je dévore lorsqu’ils sont diffusés.
Elle n’a pas besoin de forcer son art du léchage pour que ma tige soit prête à honorer la dame.
Je la relève, la positionne sur ses genoux sur la banquette, les seins appuyés sur la paroi de la cabine voisine.
Direct au but, je m’enfonce dans sa moule déjà très juteuse et lui attrapant les seins, je la transperce de mon pieu jusqu’à la garde.
Je tape sur son fessier chaque fois que je plonge en elle.
Un virage pris un peu rapidement et je suis expulsé à deux doigts de la perforer dans l’anus.
J’ignore si Jacqueline aime être sodomisée, je prends ma verge en main et je rentre à fond une nouvelle fois.
Une demi-heure je la lime, je la change de position couchée sur la banquette en lui reprenant la chatte.
Rien, pas un cri, pas un murmure, pourtant je sens que ma queue ne lui est pas insensible.
C’est en la remettant en levrette que je craque et que j’emplis sa chatte de mon sperme surabondant depuis que je la travaille.
Je me retire sort mon mouchoir et m’essuie la queue.
Elle s’est replacée sur le dos.
Je sens un mouvement dans mon dos.
Christophe me contourne nu, il a dû se déshabiller sans que je ne le voie.
Sa queue est aussi tendue que la mienne dans les débuts où je pilonnais Jacqueline.
Il se couche sur sa femme et la plante directement dans la chatte.
Je vais pour m’approcher d’elle et lui donner ma queue à sucer quand elle me fait un geste me signifiant de partir.
Je ramasse mes affaires et je sors dans le couloir me rhabiller.
Dans la nuit je me retrouve nu dans le couloir d’un train filant à toute vitesse vers l’Italie.
Je finis de mettre ma veste pour rejoindre mon compartiment lorsqu’à travers la porte du compartiment j’entends Jacqueline bramer son plaisir ainsi que Christophe qui pousse un grand cri certainement lorsqu’il éjacule.
J’avais entendu parler des maris qui ne pouvaient baiser leur femme que s’il l’avait vu se faire prendre par un autre.
De là à penser que cela m’arriverait dans ce train il y a un monde que je viens de franchir.
Mais depuis que j’ai décidé de dire « merde » à l’école, je navigue dans un monde loin de celui que j’ai connu dans ma jeunesse.
Et que dire dans cette année 1967 des amours féminins découverts, surtout entre ma mère et son amie.

Je travers le piano bar, baiser ça assoiffe, je me fais servir une coupe.
L’homme et la pute, brillent par leur absence, elle est peut-être en train de gagner ses 1 000 francs.

Arrivé dans notre cabine la petite dort son carnet serré sur sa poitrine nue.
Je veux lui enlever, elle se réveille.

• Christophe, j’ai eu un gros problème !
• Lequel ma chérie ?
• J’ai eu un besoin d’aller aux toilettes.

Je prends en compte le problème et comment elle a pu faire ?

• J’ai appelé le steward.
• C’est bien bébé, il t’a aidé et ta vue nue !
• Oui, tu avais mis mes affaires trop loin de moi et ça pressait !
• Ce c’est loin d’être grave, cela lui fera un bon souvenir.
• Cela n’est pas tout !
Lorsqu’il m’a repris sur les toilettes, il m’a mis la main sur les seins.
• Et c’est tout !

J’ai cocufié ma petite avec Jacqueline, je dirais plutôt avec le couple Jacquemine et Christophe.
Qu’a pu faire Patou !...


La suite e temps de mettre tout en forme et nos amis voyageurs vont nous revenir rapidement pour cinq autres chapitres.