COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (36/39)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2467 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 257 022 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 566 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (36/39)
5 nouveaux chapitres...
Nous revoici, le voyage se poursuit, j’ai eu une expérience étrange, un couple m’a fait venir dans leur compartiment dans le wagon opposé à celui où ils étaient.
Madame, elle s’appelait Jacqueline a baisé avec moi avant qu’une fois ou j’aie eu déchargé monsieur soit venu prendre ma place.
Avec moi, je l’ai labouré pendant un grand moment sans arriver à la faire jouir.
Première fois de ma courte vie, mais après qu’elle m’ait viré, Christophe, l’autre le mari, a pris ma place.
Dans le couloir, malgré le bruit du train sur les rails, le temps que je remette mes vêtements, elle s’est mise à bramer autant que lorsque l’on égorge un cerf.
De retour dans notre compartiment, j’ai l’impression que le steward sous-couvert d’aider Patou à se rendre aux toilettes, il en a un peu profité.
• Il t’a reposé sur ton fauteuil !
• Non, sur le lit, lorsqu’il m’a reposé il m’a mis des doigts dans ma petite minette.
• As-tu joui ?
• Ouiis.
• Et c’est tout !
• Non, il a sorti sa bite et l’a approché près de ma bouche.
• Tu la sucer ?
• Ouiis.
• T’es une belle cochonne.
• Ouiis, je le sais, mais il avait été serviable !
• Il a rempli ta bouche.
• Ouiis.
• As-tu avalé ?
• Ouiis.
• Eh tu souhaites que je te pardonne !
• Pourquoi, c’est de ta faute, il ne fallait pas m’abandonner, je t’avais dit d’aller boire simplement un verre ?
Je vais pour l’embrasser et je me souviens de ce qu’elle a avalé.
Mon mouvement de corps ne lui passe pas inaperçu.
• Il a été correct, il a été me chercher ma brosse à dents et mon cerre pour que je me rince.
Je ne peux que l’embrasser pour me faire pardonner de mon abandon sans oublier ce que j’ai fait avec le couple dans l’autre compartiment.
Je passe dans la salle de bain et très fatigué, je me couche et très rapidement je dors.
Nous avons laissé les rideaux de la fenêtre ouverte et dès 8 heures, le levé du jour nous réveille.
Patou s’était glissé vers la fenêtre et croquent les alpes suisses que nous traversons.
On frappe à la porte.
• Entrez.
Le steward entre nous trouvant nus tous les deux.
Patou n’a pas vu, que j’avais appuyé sur la sonnette d’appel.
• Merci d’avoir aidé mon ami hier.
J’ai failli dire, « ma femme. »
• À votre service monsieur et madame, je suis là pour rendre votre voyage le plus agréable possible.
Un regard vers Patou me fait penser qu’il aimerait bien savoir si la privauté qu’il s’est octroyée m’a été rapportée.
• Préparer le compartiment, nous avons faim.
Faire l’amour cela creuse.
Petite vengeance en passant, Patou me regarde un léger sourire au coin de ses jolies lèvres
• C’est vrai monsieur, mon ami a raison, ça creuse !
Je vais dans le coin toilettes et je me prépare.
Lorsque je reviens dans le compartiment, Patou semble absorbé par le paysage sans prêter attention à l’homme qu’elle a sucé lors de mon absence.
Il replis la banquette où j’ai dormi, ma présence doit lui poser problème pour déplacer la petite afin d’en faire de même avec celle où elle est assise.
Je fais durer le plaisir en ne remarquant pas qu’il faut la prendre et la déplacer.
• Aidez-moi !
Patou qui prend plaisir à mes jeux comme chez Chantal l’oblige à exécuter un ordre pour lequel la compagnie le met à notre disposition.
Ma petite vicieuse lui tend les bras comme elle l’avait fait avec moi lorsque nous avions pris le taxi en sortant de la boutique de Christine.
Il la prend sous les fesses et la dépose délicatement sur un des fauteuils du coin-repas, qu’il a préparé pour la journée.
• Merci, vous avez été moins entreprenant qu’hier au soir !
• À votre service.
Je m’amuse comme un fou à voir cet homme rougir ce demandant jusqu’à ou je suis complice.
Rapidement il termine son travail et sort pour aller nous chercher notre petit déjeuner.
En allant au bar, à quelques mètres au bout de notre wagon, j’ai vu une porte maquée « office. »
Dès qu’il est parti, je sors comme le loup du bois et je m’assois près de mon amour !
Je l’embrasse tendrement et avant qu’elle ait eu le temps de comprendre ce qu’il lui arrive, je la bascule sur mes genoux.
Sa tête tournée vers la porte et les fesses en l’air que je commence à fesser la droite et la gauche.
C’est au moment où elle commence à se plaindre de mon traitement que l’on frappe à la porte.
• Entrez.
L’homme entre avec le plateau du petit déjeuner.
Je recommence à fesser la petite.
Il ne sait plus ce qu’il doit faire, mais il faut bien qu’il dresse la table.
• Savez-vous pourquoi je fesse mon amie ?
• Non, je l’ignore.
• Elle m’a avoué qu’elle n’avait pas été sage pendant que j’étais au wagon piano bar.
• Le wagon, j’y suis passé après avoir aidé votre femme et je ne vous ai pas vu.
Très digne, sans un regard, il quitte le wagon.
Patou redresse la tête incapable de changer seule de position.
• Où étais-tu ?
Je l’aide à s’asseoir, je la prends dans mon bras et je lui explique ce qu’il m’est arrivé d’abord avec la pute, puis avec le couple.
• Salop, tu m’as battu par ce que j’ai sucé le steward alors que tu baisais la première voyageuse venue.
• Oui, mais elle était nettement plus vieille que toi.
• Eh ça devrait t’absoudre de m’avoir trompé !
Nous éclatons de rire et nous nous embrassons.
Une nouvelle fois, j’appelle notre ami sans qu’elle me voie.
On frappe.
• Entrez.
Un autre homme entre que notre copain.
• Excusé Pedro, il s’est absenté pensant que vous n’auriez plus besoin de lui quelques minutes.
Que puis-je faire pour vous ?
• Madame et moi avons traîné et le café est froid, pouvez-vous nous en apporter du chaud ?
Lorsqu’il est reparti, nous éclatons de rire de l’embarras du garçon de nous voir nue tous les deux.
Quelques minutes après c’est Pedro qui nous amène le nouveau café bien chaud.
• Excusez-moi, je pensais pouvoir m’absenter quelques minutes.
• Rien de grave, Pedro, la tête de votre collège, nous a mis en joie.
• Il est nouveau, c’est son premier voyage.
Moi après 5 ans j’ai déjà tous vu dans ce train.
• C’est sûr, hier au wagon bar j’ai même été abordé par une pute de luxe qui voulait que je la baise pour 1 000 francs.
• La comtesse, une pute, vous vous trompez, elle est milliardaire.
• Pourquoi racole-t-elle ?
• Elle a surpris son mari en train de sodomiser leur bonne dans leur propre lit. Pour le punir, depuis deux ans, trois fois par an, elle réserve une cabine et cherche des clients pour se venger.
Lorsqu’elle rentre, elle lui lance l’argent qu’il doit ramasser à quatre pattes.
Il n’a pas un sou personnel et si elle le jète il se retrouve à la rue.
• Merci pour le café, nous allons le boire avant qu’il ne soit froid.
Nous déjeunons et je lave mon bouchon, bien sûr elle assise et me rendant vers le petit lavabo à côté des toilettes.
Nous nous préparons pour le reste de la journée.
Le reste de la matinée Patou continue ses croquis, elle attaque son deuxième carnet.
Le paysage de l’autre côté des alpes car nous sommes passés en Italie.
À midi Pedro nous apporte le fauteuil de Pat, car nous voulons profiter du train dans sa totalité.
Nous rejoignons le wagon-bar.
• Voulez-vous que je vous conduise mademoiselle ?
• Laisse tomber Pedro, cette demoiselle a son chevalier servant.
• Excusez, c’était pour rendre service, au passage des tambours entre les deux wagons avec le fauteuil roulant.
Bien sûr, je coince une roue, je n’ai pas l’air con, j’entends Patou rire dans sa barbe, qu’elle n’a pas bien sûr.
La porte de l’office, est ouverte, Pedro y est retourné et lave des verres.
• Bien vous aviez raison, venez m’aider...
Nous revoici, le voyage se poursuit, j’ai eu une expérience étrange, un couple m’a fait venir dans leur compartiment dans le wagon opposé à celui où ils étaient.
Madame, elle s’appelait Jacqueline a baisé avec moi avant qu’une fois ou j’aie eu déchargé monsieur soit venu prendre ma place.
Avec moi, je l’ai labouré pendant un grand moment sans arriver à la faire jouir.
Première fois de ma courte vie, mais après qu’elle m’ait viré, Christophe, l’autre le mari, a pris ma place.
Dans le couloir, malgré le bruit du train sur les rails, le temps que je remette mes vêtements, elle s’est mise à bramer autant que lorsque l’on égorge un cerf.
De retour dans notre compartiment, j’ai l’impression que le steward sous-couvert d’aider Patou à se rendre aux toilettes, il en a un peu profité.
• Il t’a reposé sur ton fauteuil !
• Non, sur le lit, lorsqu’il m’a reposé il m’a mis des doigts dans ma petite minette.
• As-tu joui ?
• Ouiis.
• Et c’est tout !
• Non, il a sorti sa bite et l’a approché près de ma bouche.
• Tu la sucer ?
• Ouiis.
• T’es une belle cochonne.
• Ouiis, je le sais, mais il avait été serviable !
• Il a rempli ta bouche.
• Ouiis.
• As-tu avalé ?
• Ouiis.
• Eh tu souhaites que je te pardonne !
• Pourquoi, c’est de ta faute, il ne fallait pas m’abandonner, je t’avais dit d’aller boire simplement un verre ?
Je vais pour l’embrasser et je me souviens de ce qu’elle a avalé.
Mon mouvement de corps ne lui passe pas inaperçu.
• Il a été correct, il a été me chercher ma brosse à dents et mon cerre pour que je me rince.
Je ne peux que l’embrasser pour me faire pardonner de mon abandon sans oublier ce que j’ai fait avec le couple dans l’autre compartiment.
Je passe dans la salle de bain et très fatigué, je me couche et très rapidement je dors.
Nous avons laissé les rideaux de la fenêtre ouverte et dès 8 heures, le levé du jour nous réveille.
Patou s’était glissé vers la fenêtre et croquent les alpes suisses que nous traversons.
On frappe à la porte.
• Entrez.
Le steward entre nous trouvant nus tous les deux.
Patou n’a pas vu, que j’avais appuyé sur la sonnette d’appel.
• Merci d’avoir aidé mon ami hier.
J’ai failli dire, « ma femme. »
• À votre service monsieur et madame, je suis là pour rendre votre voyage le plus agréable possible.
Un regard vers Patou me fait penser qu’il aimerait bien savoir si la privauté qu’il s’est octroyée m’a été rapportée.
• Préparer le compartiment, nous avons faim.
Faire l’amour cela creuse.
Petite vengeance en passant, Patou me regarde un léger sourire au coin de ses jolies lèvres
• C’est vrai monsieur, mon ami a raison, ça creuse !
Je vais dans le coin toilettes et je me prépare.
Lorsque je reviens dans le compartiment, Patou semble absorbé par le paysage sans prêter attention à l’homme qu’elle a sucé lors de mon absence.
Il replis la banquette où j’ai dormi, ma présence doit lui poser problème pour déplacer la petite afin d’en faire de même avec celle où elle est assise.
Je fais durer le plaisir en ne remarquant pas qu’il faut la prendre et la déplacer.
• Aidez-moi !
Patou qui prend plaisir à mes jeux comme chez Chantal l’oblige à exécuter un ordre pour lequel la compagnie le met à notre disposition.
Ma petite vicieuse lui tend les bras comme elle l’avait fait avec moi lorsque nous avions pris le taxi en sortant de la boutique de Christine.
Il la prend sous les fesses et la dépose délicatement sur un des fauteuils du coin-repas, qu’il a préparé pour la journée.
• Merci, vous avez été moins entreprenant qu’hier au soir !
• À votre service.
Je m’amuse comme un fou à voir cet homme rougir ce demandant jusqu’à ou je suis complice.
Rapidement il termine son travail et sort pour aller nous chercher notre petit déjeuner.
En allant au bar, à quelques mètres au bout de notre wagon, j’ai vu une porte maquée « office. »
Dès qu’il est parti, je sors comme le loup du bois et je m’assois près de mon amour !
Je l’embrasse tendrement et avant qu’elle ait eu le temps de comprendre ce qu’il lui arrive, je la bascule sur mes genoux.
Sa tête tournée vers la porte et les fesses en l’air que je commence à fesser la droite et la gauche.
C’est au moment où elle commence à se plaindre de mon traitement que l’on frappe à la porte.
• Entrez.
L’homme entre avec le plateau du petit déjeuner.
Je recommence à fesser la petite.
Il ne sait plus ce qu’il doit faire, mais il faut bien qu’il dresse la table.
• Savez-vous pourquoi je fesse mon amie ?
• Non, je l’ignore.
• Elle m’a avoué qu’elle n’avait pas été sage pendant que j’étais au wagon piano bar.
• Le wagon, j’y suis passé après avoir aidé votre femme et je ne vous ai pas vu.
Très digne, sans un regard, il quitte le wagon.
Patou redresse la tête incapable de changer seule de position.
• Où étais-tu ?
Je l’aide à s’asseoir, je la prends dans mon bras et je lui explique ce qu’il m’est arrivé d’abord avec la pute, puis avec le couple.
• Salop, tu m’as battu par ce que j’ai sucé le steward alors que tu baisais la première voyageuse venue.
• Oui, mais elle était nettement plus vieille que toi.
• Eh ça devrait t’absoudre de m’avoir trompé !
Nous éclatons de rire et nous nous embrassons.
Une nouvelle fois, j’appelle notre ami sans qu’elle me voie.
On frappe.
• Entrez.
Un autre homme entre que notre copain.
• Excusé Pedro, il s’est absenté pensant que vous n’auriez plus besoin de lui quelques minutes.
Que puis-je faire pour vous ?
• Madame et moi avons traîné et le café est froid, pouvez-vous nous en apporter du chaud ?
Lorsqu’il est reparti, nous éclatons de rire de l’embarras du garçon de nous voir nue tous les deux.
Quelques minutes après c’est Pedro qui nous amène le nouveau café bien chaud.
• Excusez-moi, je pensais pouvoir m’absenter quelques minutes.
• Rien de grave, Pedro, la tête de votre collège, nous a mis en joie.
• Il est nouveau, c’est son premier voyage.
Moi après 5 ans j’ai déjà tous vu dans ce train.
• C’est sûr, hier au wagon bar j’ai même été abordé par une pute de luxe qui voulait que je la baise pour 1 000 francs.
• La comtesse, une pute, vous vous trompez, elle est milliardaire.
• Pourquoi racole-t-elle ?
• Elle a surpris son mari en train de sodomiser leur bonne dans leur propre lit. Pour le punir, depuis deux ans, trois fois par an, elle réserve une cabine et cherche des clients pour se venger.
Lorsqu’elle rentre, elle lui lance l’argent qu’il doit ramasser à quatre pattes.
Il n’a pas un sou personnel et si elle le jète il se retrouve à la rue.
• Merci pour le café, nous allons le boire avant qu’il ne soit froid.
Nous déjeunons et je lave mon bouchon, bien sûr elle assise et me rendant vers le petit lavabo à côté des toilettes.
Nous nous préparons pour le reste de la journée.
Le reste de la matinée Patou continue ses croquis, elle attaque son deuxième carnet.
Le paysage de l’autre côté des alpes car nous sommes passés en Italie.
À midi Pedro nous apporte le fauteuil de Pat, car nous voulons profiter du train dans sa totalité.
Nous rejoignons le wagon-bar.
• Voulez-vous que je vous conduise mademoiselle ?
• Laisse tomber Pedro, cette demoiselle a son chevalier servant.
• Excusez, c’était pour rendre service, au passage des tambours entre les deux wagons avec le fauteuil roulant.
Bien sûr, je coince une roue, je n’ai pas l’air con, j’entends Patou rire dans sa barbe, qu’elle n’a pas bien sûr.
La porte de l’office, est ouverte, Pedro y est retourné et lave des verres.
• Bien vous aviez raison, venez m’aider...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore mille fois merci
Bravo Chris ce chapitre continue dans la même lignée on ne se lasse pas de les lire, Patou n’est plus aussi sage et maintenant que Christophe l’a deniaisee elle n’hésite plus et profite de chaque moment malgré son handicap et là-dessus je te trouve super dans ton écriture. Vivement la suite Daniel

