COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (37/39)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (37/39) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (37/39)
C’est parti, vers Venise lieu risquant de marquer d’une pierre rouge une grande partie de notre vie à Patou et à moi.
Situation improbable entre un garçon de la banlieue est et une jeune femme à qui tout souriait jusqu’à un accident de la route la privant de ses parents, mais plus grave de l’usage de ses jambes.
Elle aurait pu couler devant l’inéluctable mais elle s’est relevée grâce à la sœur de son papa et de la peinture ou elle a eu la chance d’être douée.
On a beau aimé, mais pour moi, c’est du barbouillage, mais j’en dis de même de Pablo Picasso et de la Joconde.
Grand écart entre les deux, mais si la Joconde, je suis resté devant un jour où mes parents ont décidé qu’il fallait que je m’instruise et m’avait emmené au Palais du Louvre.
Je m’attendais à un tableau immense, papa avait acheté un guide je me souviens encore 77 de hauteur sur 53 de largeur.
Je vais faire voir que j’ai bien retenu ma leçon, c’est ce cher Léonard qui la peint et c’est un tableau de la renaissance.
Bref assez fais voir ma science, pour le reste je l’ai dit, sauf l’anglais je suis un cancre.
Dans ce train, Patou souhaite sortir de notre compartiment pour se rendre avec moi au wagon bar.
Je veux jouer les matamores avec Pedro le steward attaché à notre service, mais je suis obligé de faire appel à lui pour décoincer la roue de son fauteuil

Dès que nous entrons, je vois la comtesse installée à une table avec l’homme qui a dû l’aider à punir son mari.
Christophe et Jacqueline sont attablés et lorsqu’il me voit, il se lève et nous propose de partager leur table.
J’installe Pat avec les serveurs en face de Christophe, l’autre, et je m’installe en face de mon amie.
Entre les plats succulents mon colibri prend son carnet et dessine tout ce qui l’entoure.
Elle l’avait pris avec elle et l’avait rangé sur le côté de son fauteuil.

• Êtes-vous dessinatrice, mademoiselle ?
• Non, je suis peintre.
• Je vous connais, vous êtes Patricia la jeune peintre plein d’avenir !

Que Jacqueline s’intéresse à Patricia me met en joie.

• Oui et nous allons à Venise pour passer Noël.
• Nous aussi, nous allons fêter nos dix ans de mariage.
• J’aimerais un jour pouvoir les fêter aussi !
• Christophe, ce beau jeune homme le fera peut-être avec vous !
• Il va m’abandonner, il s’engage dans la marine nationale.
• Je comprends mieux le pompon à ton revers Christophe.

Aucune pensée noire pendant notre voyage.
L’avenir se trouve devant nous.
D’un coup, je sens le pied de Jacqueline caresser le mien.
Une idée folle me vient.
Les nappes sont assez longues pour nous cacher.
J’enlève mon mocassin et je lève mon pied dans l’entrejambe de ma maîtresse.
Un moment étonné, elle écarte légèrement les cuisses pour laisser passer mon pied.
Pas de culotte, comme hier elle est nue sous la petite robe style 1900.
Dommage, ma socquette fait rempart entre mon pied et sa chatte.
Je pose ma serviette, remets mon mocassin.
Je fais tomber un peu de sauce sur mon revers de costume.
Je m’essuie et je me lève.

• Excusez-moi, j’ai été maladroit.

Direction les toilettes et après avoir réparé l’impaire, j’enlève mes socquettes.
Quand je reviens, j’ai l’impression que tous regardent mes pieds !
Assis de nouveau je mets dix secondes à investir sa chatte.
La garce, elle a profité de mon absence pour écarter ses jambes et me permettre d’atteindre mon but plus facilement.
À l’extérieur le train traverse les dolomites et file vers mon avenir.
Du moins, c’est le barman qui donne l’information à Jacqueline qui s’est adressée à lui.
Les dolomites, ça fait partie de mon inculture, mais je me soigne grâce à Patou et toutes ces relations.
Mon avenir pour le moment c’est de donner du plaisir à Jacqueline.
Mes orteils montent et descendent le long de sa fente après que j’ai écarté ses grandes lèvres.
J’insiste principalement sur son bouton ou de la cyprine macule mon pied.
Sa chatte est chaude et mes doigts de pieds trouvent l’endroit agréable.
Jacqueline doit commencer à sentir monter son plaisir, car je vois sa main se crisper sur sa fourchette et ses yeux se fermer un rapide instant.
Coup de chance, je sais ce que je lui fais subir et je suis le seul à le remarquer.
De son côté, Christophe parle de ses tableaux, avec mon bébé.
Si je comprends bien, Christophe investi beaucoup dans l’art et il souhaite acquérir quelques toiles de la jeune femme au top de son art.
Je comprends qu’avoir un tableau de Patricia chez eux, pour un amateur, c’est primordial pour paraitre à la mode.
Et dire, que j’étais à deux doigts de dire que la représentation de moi qu’elle a déjà fait, je ne miserais pas le moindre sous dessus.
Du côté de mon pied, je sens les choses s’accélérer jusqu'à ce que l’orgasme qui traverse le corps de Jacqueline atteigne ses lèvres et qu’un léger trouble vienne inonder notre table.

• Que t’arrive-t-il Jacqueline ?
• J’ai avalé de travers, chéri, ça doit venir du mouvement du train.

Avec un regard complice, elle s’essuie la bouche avec sa serviette comme le fond les femmes distingué là encore vu à la télé, car mon pied continue à l’agresser.
Cette télé que mon père s’est offerte avec une prime de fin d’année alors qu’avant nous avions le droit qu’à la radio.
Je la sens repartir vers un nouveau sommet, j’attends avec impatience de voir comment elle va s’en sortir.
J’arrive à lui écarter ses grandes lèvres en insistant un peu plus en son centre et à introduire la pointe de mon pied dans sa chatte.
Ces parois intimes sont trempées, je suis certain que si j’insiste, je pourrais introduire une grande partie de mon pied dans son intimité.
Jacqueline a déjà un gros problème à gérer, la partie de mon corps qui est en prolongement du sien.
D’un seul coup elle se lève et part rapidement vers son compartiment ou les toilettes.
J’aimerais être là lorsqu’elle est entrée, qu’elle a dû relever sa jupe pour se caresser la chatte.
S’est-elle introduite les doigts dedans, arrivée dans la cabine afin de pouvoir beugler son plaisir.
Un quart d’heure plus tard, elle revient le rouge encore aux joues.

• Ma chérie, as-tu bien joui ?
• Non, j’avais un morceau de viande coincé dans ma bouche.
• En es-tu sur, tu avais du mal à marcher en sortant du wagon !

Jacqueline regarde Christophe, ses yeux auraient été des mitraillettes, nous aurions pu lire, après notre arrivée, un mort dans le mythique Orient Express.

Cause toujours ma belle garce, ce n’est pas dans ta bouche que tu avais de la viande coincée.
Le dessert terminé, le chef vient faire le tour des tables pour savoir si nous avons apprécié le repas qu’il nous avait concocté.
Jacqueline et moi prévenant lui répondons avec un grand « oui » alors que si vous me demandez ce que j’ai mangé, j’aurais beaucoup de mal à dire si la viande était du veau ou du porc.
Ce dont je me souviens, ce sont les légumes, des brocolis italiens à ce que j’apprends.

Nous quittons le wagon-restaurant pour rejoindre la partie piano-bar.
Je m’arrête aux toilettes pour remettre mes socquettes.
Christophe tient personnellement à conduire Pat jusqu’au wagon.
Arrivé près des fauteuils où pour la première fois j’ai pu voir la chatte de mon avaleuse de pied, Christophe prend Patricia pour la déposer dans un des fauteuils.
Un sentiment de jalousie monte en moi, Patou c’est moi qui ai promis à Christine de m’en occuper.
Mais je réfrène rapidement ce sentiment malsain dans un couple surtout avec un garçon libertin comme je le suis.
Pat, elle, est aux anges.
Pendant longtemps peu de personnes ne s’intéressaient à elle que dans le cadre de son art et encore pour être à la mode comme je l’ai dit pour Christophe.
Depuis que j’ai fait apparaître la femme en elle, pour les hommes, il semble que leur vision ait changé.
La bouteille de champagne qui nous est servie, conjugué à la beauté du paysage nous fait passer un agréable moment.
Le pianiste a dû remarquer la robe de Jacqueline et se met à jouer un french-cancan endiablé.

• Christophe vient danser !

C’est reparti comme chez « gégène » à Joinville avec Samy et Ophélie.

• Tu peux y aller, mon chéri, c’est une danse trop rapide pour moi.

Toujours l’humour pour Pat qui est si heureuse de notre voyage et semble oublier les vicissitudes de sa vie.

Quelques mouvements faits par ma professeur de danse et j’arrive à croiser et décroiser mes bras et mes jambes sans pour autant paraître ridicule.
Au retour, il va falloir que j’entreprenne deux actions.
La conduite, d’une voiture et des cours de danse.
La comtesse qui est venue boire un thé se joint à nous, son amant du voyage et Christophe aussi.
À part Patou, c’est le wagon en folie que Patricia croque.
Je voudrais bien voir dans son style comment cela va être traduit.
Une folie me prend, je viens devant elle, dégage son fauteuil et je la fais pivoter sur ses roues.
Elle participe à la fête, au grand dam de son croquis, le fusain dont elle se sert continue à dessiner des courbes, presque plus jolies que certains des tableaux terminés qui attendent leurs proprios dans le garage atelier de mon petit bouchon.

Peu avant notre arrivée nous nous séparons en trinquant avec le dernier verre que Patou fait mettre sur son compte.
Là encore, le fric, pour ces personnes dites bien nées, une simple signature et l’on vous fait confiance.
Tout le monde se souhaite bon séjour et bonne fête de Noël.
En raccompagnant ma poupée et en faisant attention au passage des tambours, je vois qu’il a été marqué sur son dernier bloc.
« Jacqueline - Christophe Hôtel DANIELI. »...

Les avis des lecteurs

Daniel, la suite est déjà programmée je couvre même des textes jusque à fin avril...

Histoire Erotique
Bien Chris ton texte est toujours enivrant apparemment Patou s’émancipé et le banlieusard libertin voit cela d’un autre œil, ne laissons pas la jalousie ternir cette superbe suite. Daniel



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (37/39)
Histoire sexe : Une rose rouge
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