COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (38/39)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (38/39)
Un p'tit train s'en va dans la campagne
Un p'tit train s'en va de bon matin
On le voit filer vers la montagne
Tchi tchi fou tchi tchi fou
Pleins d'entrain...
Cette chanson, une nouvelle fois, c’est à la radio que je l’entendais.
Qui la chantait, en quelle année, impossible de le dire, encore mon inculture, bien que la teneur des paroles, nous la chantions avec mes parents lorsque nous étions partis en train.
Nous sommes revenus de notre repas s’étant terminé en beuverie de champagne, comme mon père avec ses copains, mais avec de la bière lors des troisièmes mi-temps des matchs du tournoi des cinq nations.
• Chéri, tu as vu, Christophe m’a donné l’adresse de leur hôtel, si on leur téléphonait pour les inviter demain soir !
• Petite fleur, de qui parles-tu, l’adresse de notre hôtel, de quoi tu parles ?
• C’est malin, tu te crois unique après m’avoir fait danser le french-cancan dans mon fauteuil, l’autre Christophe, celui de Jacqueline !
• Tu as envie de lui, je l’ai vu tous à l’heure dans vos regards.
• Toi, qu’est-ce que tu as fait à Jaqueline sous la table ?
Le coup de la viande ayant eu du mal à passer à d’autres !
Avec marraine, nous fréquentons les meilleures tables de Paris, le veau qui nous a été servi c’était du velours.
Je l’ai coupé sans me servir de mon couteau, il fondait dans la bouche.
Je dois reconnaitre que mon pied s’est égaré.
Et c’est moi la putain qui voudrais me faire baiser par le mari de Jacqueline.
Tu vois, plus de confusion avec vos noms, ce sera le mari de Jacqueline.
Si tu insistes plus, mon cœur, je crois que Pedro sera très serviable avant que nous arrivions à Venise.
Le « mon cœur » calme le jeu entre nous, je vois que Pat a gardé son humour, j’ai failli une nouvelle fois être jaloux.
J’aime Patou et je veux faire tout ce que je peux pour éviter de m’embrouiller pour de simples histoires de fesses.
Hélas, j’en ai eu dernièrement un mauvais souvenir entre mes parents, deux femmes, un cocu et aujourd’hui lorsque j’y pense une boule remonte dans ma gorge.
Toujours complice nous retrouvons notre cabine et le train un peu après entre au bout du monde qu’est le terminus de la gare de Santa-lucias de Venise.
Le train arrêté dans un bruit de ferraille, tout a été prévu par Christine.
Deux personnes, un homme et une femme sont là pour nous conduire vers les embarcations.
Ils font descendre Patou en m’aidant, car c’est moi qui suis derrière elle.
Pedro est au pied du wagon, Patou ouvre son sac où elle a ses papiers et certainement un mouchoir et quelques produits féminins.
Je la vois sortir un gros billet de 100 francs qu’elle lui met dans sa main.
Je suis à deux doigts de lui demander si cet argent c’est pour service rendu lorsqu’il s’est fait sucer, mais je vois que tous prennent le chemin vers les bateaux et je réfrène mes envies de meurtres.
Christophe et Jacqueline plus prompts à quitter leur wagon arrivent à notre hauteur, je les arrête deux minutes.
La femme en tailleur B.C.B.G. parlant le français est à notre service pendant tout notre séjour.
Elle se présente, elle s’appelle Mona-Lisa, ça ne s’invente pas, elle parle avec une pointe d’accent italien qui nous enchante.
• Nos amis sont descendus à l’hôtel Danieli, est-il possible de les emmener ?
• Sans problème la vedette est assez grande, nous irons les déposer en premier et vous pourrez admirer les quais de Venise.
Arrivé sur le quai Patou ais déçus de ne pas prendre de gondoles.
J’ai regardé des brochures avant de partir que Christine avait récupéré à la maison de l’Italie.
• Il y a presque 10 kilomètres pour aller à notre hôtel, à la rame ils seraient morts en arrivant.
Les employés aident Patricia à monter à bord du motoscafo, comme nous l’explique Mona-Lisa.
En même temps, elle nous montre le vaporetto, qui est le bus vénitien pour le commun des mortels.
Malgré le froid un peu vif, elle tient à rester à l’arrière sur la banquette recouverte d’un drap blanc.
Je saute à bord et je la prends dans mes bras pour l’asseoir là où elle veut.
J’aide Jacqueline à monter.
Le mouvement qu’elle fait relève sa jupe 1900 qu’elle a gardée, en remontant j’ai le temps de voir ainsi que l’un des deux hommes restés près de moi sa magnifique chatte qu’aucune culotte ne protège.
Christophe fait comme moi, j’ai l’impression qu’il souhaite aider Mona-Lisa à nous rejoindre afin de profiter d’un point bas à ce moment-là.
Loupé à part la main qu’il lui tend et qu’elle accepte, la demoiselle très habituée à monter à bord de ces bateaux en deux petits sauts est à bord grâce à ses ballerines.
Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est le gros vaporetto qui vient de démarrer avec beaucoup de touristes qui créent une vague qui déstabilise notre embarcation.
Mona-Lisa est projetée contre moi, ma main insidieusement se pose sur son corsage et je peux constater que le soutien gorge à de beaux bonnets.
Rouge de confusion, elle rejoint l’autre homme qui s’apprête à démarrer l’embarcation.
Elle lui parle à l’oreille, il se retourne et me regarde avec un œil noir.
Fricoteraient-ils ensemble ?
Jacqueline s’est blottie dans les bras de Patou.
Les deux femmes se réchauffent l’une l’autre.
Tous les deux Christophe et moi, nous restons debout en tenant fortement le toit de la cabine de l’embarcation.
Mona-Lisa prévenante pour nos dames sort d’un coffre une couverture qu’elle étend sur nos femmes.
En allant et en retournant vers son mec, elle fait très attention au mouvement du bateau lorsqu’elle passe vers moi.
Le motoscafo est un gros canot à moteur, taxi vénitien en bois vernis, que les Vénitiens ayant des moyens prennent alors que le commun des mortels prend le vaporetto.
Encore une différence de classe.
Tous à bord nous prenons la route du grand canal à grande vitesse.
Nous le suivons jusqu’au pont appelé le Rialto, l’un des deux plus célèbres de Venise avec son architecture assez exceptionnelle.
Sur le pont lorsque nous passons en dessous des dizaines de touristes nous fonds de grands signes avec leurs mains.
Tous les quatre nous leur répondons.
Ne sont-ils pas les touristes du haut et nous ceux du bas ?
• Christophe, regarde une gondole, j’ai fait un voeux !
• Lequel ?
• Si je te le dis, il ne se réalisera pas, je t’aime mon amour.
• Si c’est ton vœu de parler de ton amour, je peux reprendre le prochain vaporetto et reprendre un train pour Paris.
• Tu es bête, viens m’embrasser, mais mon voeu c’est le mien.
Je lâche, le haut de la cabine, je vais pour aller vers Patou, un autre vaporetto nous croise forme une vague.
Notre coque de noix comparée au gros bateau se met une nouvelle fois à tanguer, je suis à deux doigts de passer par-dessus bord.
Je me retiens à la planche formant le bord du motoscato et j’atterris sur les genoux de Mona-Lisa qui après avoir placé la couverture, s’est assise elle aussi vers elles.
J’évite de regarder le conducteur, si c’est ce que je crois, l’Italie, peut ben battre la France un à zéro.
Je me place à côté de Patou, que j’embrasse amoureusement, ça devrait calmer le bel italien de lui montrer de qui j’ai le béguin.
Tous le long du grand canal des dizaines de gondoles sont arrimés.
Les deux amies poussent des cris de joie chaque fois que nous doublons l’une de ces gondoles.
Est-ce la gondole ou le gondolier debout à l’arrière de la barque la faisant avancer à grands coups de leur grande rame quels saluts ?
Entre les vaporettos, véritables bus du canal, les motoscafos et les gondoles, le canal me semble être un grand capharnaüm.
Mona-Lisa a rejoint notre pilote depuis que nous sommes passés sous le pont en même temps qu’il a ralenti et elle nous explique ou nous passons.
• A droite, le quartier de San-Polo ou vous trouverez de nombreuses églises et marchands de souvenirs.
A gauche un autre quartier, le San-Marco que nous allons contourner jusqu’à vos hôtels.
Nous passons à gauche devant la mairie de Venise.
À droite et à gauche vous pouvez voir les plus beaux palais de la ville qui regorgent d’œuvres d’art, dont un très grand nombre est encore inconnu, car faisant partie de collections privées.
• Les filles regarder les gondoles dans tous les petits canaux !
• Oui, vous pouvez voir les petits canaux où les gondoliers aiment promener les nombreux touristes.
Messieurs, mesdames, notre hôtel met à votre disposition des gondoles avec les gondoliers qui vous les feront découvrir.
Éclat de rire général, les femmes en primes se passent la langue sur leurs lèvres.
Penseraient-elles à la même chose que moi en entendant l’adverbe « avec... »
Passer la partie étroite où nous longeons la ville, nous accélérons et rapidement à notre droite elle nous signale qu’après San-Polo c’est le quartier Dorsoduro que nous longeons qui est composé de dune et des petits canaux.
Alors que nous continuons notre voyage dans la ville de Marco Polo, toujours des palais à droite, le canal s’élargit de nouveau.
Nous avons l’impression d’être de nouveau en pleine mer.
Mona-Lisa parle au pilote qui ralentit de nouveau la vitesse.
• Voyez à gauche, nous longeons toujours San–Marco et le petit canal que vous voyez est celui où nous serions entrés directement si nous n’avions pas conduit vos amis.
Notre hôtel est directement desservi par un quai où nos seuls clients peuvent accoster.
Maintenant nous longeons le jardin Realti.
Toujours en suivant vous pouvez voir l’entrée de la piazza Sant-Marco avec au-devant le Palais des Doges et au fond la Basilique Saint-Marc.
Voilà, monsieur madame, nous arrivons à votre hôtel après avoir passé le pont des soupirs...
Un p'tit train s'en va de bon matin
On le voit filer vers la montagne
Tchi tchi fou tchi tchi fou
Pleins d'entrain...
Cette chanson, une nouvelle fois, c’est à la radio que je l’entendais.
Qui la chantait, en quelle année, impossible de le dire, encore mon inculture, bien que la teneur des paroles, nous la chantions avec mes parents lorsque nous étions partis en train.
Nous sommes revenus de notre repas s’étant terminé en beuverie de champagne, comme mon père avec ses copains, mais avec de la bière lors des troisièmes mi-temps des matchs du tournoi des cinq nations.
• Chéri, tu as vu, Christophe m’a donné l’adresse de leur hôtel, si on leur téléphonait pour les inviter demain soir !
• Petite fleur, de qui parles-tu, l’adresse de notre hôtel, de quoi tu parles ?
• C’est malin, tu te crois unique après m’avoir fait danser le french-cancan dans mon fauteuil, l’autre Christophe, celui de Jacqueline !
• Tu as envie de lui, je l’ai vu tous à l’heure dans vos regards.
• Toi, qu’est-ce que tu as fait à Jaqueline sous la table ?
Le coup de la viande ayant eu du mal à passer à d’autres !
Avec marraine, nous fréquentons les meilleures tables de Paris, le veau qui nous a été servi c’était du velours.
Je l’ai coupé sans me servir de mon couteau, il fondait dans la bouche.
Je dois reconnaitre que mon pied s’est égaré.
Et c’est moi la putain qui voudrais me faire baiser par le mari de Jacqueline.
Tu vois, plus de confusion avec vos noms, ce sera le mari de Jacqueline.
Si tu insistes plus, mon cœur, je crois que Pedro sera très serviable avant que nous arrivions à Venise.
Le « mon cœur » calme le jeu entre nous, je vois que Pat a gardé son humour, j’ai failli une nouvelle fois être jaloux.
J’aime Patou et je veux faire tout ce que je peux pour éviter de m’embrouiller pour de simples histoires de fesses.
Hélas, j’en ai eu dernièrement un mauvais souvenir entre mes parents, deux femmes, un cocu et aujourd’hui lorsque j’y pense une boule remonte dans ma gorge.
Toujours complice nous retrouvons notre cabine et le train un peu après entre au bout du monde qu’est le terminus de la gare de Santa-lucias de Venise.
Le train arrêté dans un bruit de ferraille, tout a été prévu par Christine.
Deux personnes, un homme et une femme sont là pour nous conduire vers les embarcations.
Ils font descendre Patou en m’aidant, car c’est moi qui suis derrière elle.
Pedro est au pied du wagon, Patou ouvre son sac où elle a ses papiers et certainement un mouchoir et quelques produits féminins.
Je la vois sortir un gros billet de 100 francs qu’elle lui met dans sa main.
Je suis à deux doigts de lui demander si cet argent c’est pour service rendu lorsqu’il s’est fait sucer, mais je vois que tous prennent le chemin vers les bateaux et je réfrène mes envies de meurtres.
Christophe et Jacqueline plus prompts à quitter leur wagon arrivent à notre hauteur, je les arrête deux minutes.
La femme en tailleur B.C.B.G. parlant le français est à notre service pendant tout notre séjour.
Elle se présente, elle s’appelle Mona-Lisa, ça ne s’invente pas, elle parle avec une pointe d’accent italien qui nous enchante.
• Nos amis sont descendus à l’hôtel Danieli, est-il possible de les emmener ?
• Sans problème la vedette est assez grande, nous irons les déposer en premier et vous pourrez admirer les quais de Venise.
Arrivé sur le quai Patou ais déçus de ne pas prendre de gondoles.
J’ai regardé des brochures avant de partir que Christine avait récupéré à la maison de l’Italie.
• Il y a presque 10 kilomètres pour aller à notre hôtel, à la rame ils seraient morts en arrivant.
Les employés aident Patricia à monter à bord du motoscafo, comme nous l’explique Mona-Lisa.
En même temps, elle nous montre le vaporetto, qui est le bus vénitien pour le commun des mortels.
Malgré le froid un peu vif, elle tient à rester à l’arrière sur la banquette recouverte d’un drap blanc.
Je saute à bord et je la prends dans mes bras pour l’asseoir là où elle veut.
J’aide Jacqueline à monter.
Le mouvement qu’elle fait relève sa jupe 1900 qu’elle a gardée, en remontant j’ai le temps de voir ainsi que l’un des deux hommes restés près de moi sa magnifique chatte qu’aucune culotte ne protège.
Christophe fait comme moi, j’ai l’impression qu’il souhaite aider Mona-Lisa à nous rejoindre afin de profiter d’un point bas à ce moment-là.
Loupé à part la main qu’il lui tend et qu’elle accepte, la demoiselle très habituée à monter à bord de ces bateaux en deux petits sauts est à bord grâce à ses ballerines.
Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est le gros vaporetto qui vient de démarrer avec beaucoup de touristes qui créent une vague qui déstabilise notre embarcation.
Mona-Lisa est projetée contre moi, ma main insidieusement se pose sur son corsage et je peux constater que le soutien gorge à de beaux bonnets.
Rouge de confusion, elle rejoint l’autre homme qui s’apprête à démarrer l’embarcation.
Elle lui parle à l’oreille, il se retourne et me regarde avec un œil noir.
Fricoteraient-ils ensemble ?
Jacqueline s’est blottie dans les bras de Patou.
Les deux femmes se réchauffent l’une l’autre.
Tous les deux Christophe et moi, nous restons debout en tenant fortement le toit de la cabine de l’embarcation.
Mona-Lisa prévenante pour nos dames sort d’un coffre une couverture qu’elle étend sur nos femmes.
En allant et en retournant vers son mec, elle fait très attention au mouvement du bateau lorsqu’elle passe vers moi.
Le motoscafo est un gros canot à moteur, taxi vénitien en bois vernis, que les Vénitiens ayant des moyens prennent alors que le commun des mortels prend le vaporetto.
Encore une différence de classe.
Tous à bord nous prenons la route du grand canal à grande vitesse.
Nous le suivons jusqu’au pont appelé le Rialto, l’un des deux plus célèbres de Venise avec son architecture assez exceptionnelle.
Sur le pont lorsque nous passons en dessous des dizaines de touristes nous fonds de grands signes avec leurs mains.
Tous les quatre nous leur répondons.
Ne sont-ils pas les touristes du haut et nous ceux du bas ?
• Christophe, regarde une gondole, j’ai fait un voeux !
• Lequel ?
• Si je te le dis, il ne se réalisera pas, je t’aime mon amour.
• Si c’est ton vœu de parler de ton amour, je peux reprendre le prochain vaporetto et reprendre un train pour Paris.
• Tu es bête, viens m’embrasser, mais mon voeu c’est le mien.
Je lâche, le haut de la cabine, je vais pour aller vers Patou, un autre vaporetto nous croise forme une vague.
Notre coque de noix comparée au gros bateau se met une nouvelle fois à tanguer, je suis à deux doigts de passer par-dessus bord.
Je me retiens à la planche formant le bord du motoscato et j’atterris sur les genoux de Mona-Lisa qui après avoir placé la couverture, s’est assise elle aussi vers elles.
J’évite de regarder le conducteur, si c’est ce que je crois, l’Italie, peut ben battre la France un à zéro.
Je me place à côté de Patou, que j’embrasse amoureusement, ça devrait calmer le bel italien de lui montrer de qui j’ai le béguin.
Tous le long du grand canal des dizaines de gondoles sont arrimés.
Les deux amies poussent des cris de joie chaque fois que nous doublons l’une de ces gondoles.
Est-ce la gondole ou le gondolier debout à l’arrière de la barque la faisant avancer à grands coups de leur grande rame quels saluts ?
Entre les vaporettos, véritables bus du canal, les motoscafos et les gondoles, le canal me semble être un grand capharnaüm.
Mona-Lisa a rejoint notre pilote depuis que nous sommes passés sous le pont en même temps qu’il a ralenti et elle nous explique ou nous passons.
• A droite, le quartier de San-Polo ou vous trouverez de nombreuses églises et marchands de souvenirs.
A gauche un autre quartier, le San-Marco que nous allons contourner jusqu’à vos hôtels.
Nous passons à gauche devant la mairie de Venise.
À droite et à gauche vous pouvez voir les plus beaux palais de la ville qui regorgent d’œuvres d’art, dont un très grand nombre est encore inconnu, car faisant partie de collections privées.
• Les filles regarder les gondoles dans tous les petits canaux !
• Oui, vous pouvez voir les petits canaux où les gondoliers aiment promener les nombreux touristes.
Messieurs, mesdames, notre hôtel met à votre disposition des gondoles avec les gondoliers qui vous les feront découvrir.
Éclat de rire général, les femmes en primes se passent la langue sur leurs lèvres.
Penseraient-elles à la même chose que moi en entendant l’adverbe « avec... »
Passer la partie étroite où nous longeons la ville, nous accélérons et rapidement à notre droite elle nous signale qu’après San-Polo c’est le quartier Dorsoduro que nous longeons qui est composé de dune et des petits canaux.
Alors que nous continuons notre voyage dans la ville de Marco Polo, toujours des palais à droite, le canal s’élargit de nouveau.
Nous avons l’impression d’être de nouveau en pleine mer.
Mona-Lisa parle au pilote qui ralentit de nouveau la vitesse.
• Voyez à gauche, nous longeons toujours San–Marco et le petit canal que vous voyez est celui où nous serions entrés directement si nous n’avions pas conduit vos amis.
Notre hôtel est directement desservi par un quai où nos seuls clients peuvent accoster.
Maintenant nous longeons le jardin Realti.
Toujours en suivant vous pouvez voir l’entrée de la piazza Sant-Marco avec au-devant le Palais des Doges et au fond la Basilique Saint-Marc.
Voilà, monsieur madame, nous arrivons à votre hôtel après avoir passé le pont des soupirs...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vois-tu Daniel, je m'interroge sur les histoires longue 144 lecteurs de ce chapitre alors que la dernière histoire courte que j'ai édité presque 3500 lecteurs, je suis en train de finir une série j'écris le 17 ème chapitre ne ferais-je pas mieux de faire des histoire de 1 ou 2 maxi 3 chapitres?
Très beau récit qui ́nous promène et nous présente les abords les quartiers de Venise et qui nous transcrit la circulation sur les canaux Daniel

