COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (39/39)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (39/39)
Arrivé à Venise, nous sommes dans un taxi flottant mis à notre disposition par l’hôtel pour venir nous chercher.
Nous avons évité ces vaporettos pleins de tourismes qui doivent se marcher sur les pieds comme c’est le cas à Paris dans le métro.
Je rigole, mais un peu moins lorsque Mona-Lisa énumère les quartiers et places que nous longeons.
À part son accent sympathique, pourquoi ne parle-t-elle pas en français comme tout le monde.
San Marco, là elle a dû parler de la place Saint Marc !
Nous suivons les quais noirs de monde.
La nuit est tombée, mais l’éclairage public est très bien fait et nous n’avons aucune difficulté à voir ce qu’elle nous présente.
• Toujours à notre gauche, Mesdames vous pouvez voir après le Palais Ducal et le célèbre pont des Soupirs, il franchit le canal qui sépare le Palais Ducal de la prison.
On l'a appelé le « Pont des Soupirs » car l'on imaginait les plaintes des condamnés qui le franchissaient pour aller directement du tribunal à la prison.
Ils savaient très souvent qu’ils y passaient dans ce sens sans grande chance de revenir dans l’autre sens.
La prison possédait une salle de torture.
Ce pont construit en 1602 est le seul pont couvert possédant des fenêtres.
Elles étaient la dernière source de lumière que les détenus devant finir leur vie en prison, voyaient.
• Mona-Lisa, pouvez-vous nous dire pourquoi le pont des Soupirs, à notre époque est considéré comme le pont des amoureux ?
C’est Patou qui pose la question, je savais qu’il y avait une histoire dans ce sens ; mais je suis dans l’impossibilité de le savoir.
• C'est le début de l'erreur historique et romantique.
C’est Lord Byron dans un de ces poèmes dans l’année 1840 qui va faire du pont des Soupires, le pont des amoureux qui soupirent !
Erreur funeste lorsque l'on pense à tous ces malheureux qui y ont soupiré en disant au revoir à la vie.
Quelle histoire conserverons-nous dans notre mémoire, mon bébé et moi, la réalité ou la romance ?
Connaissant les femmes, leur âme romantique se souviendra de la belle histoire alors que le pragmatisme des hommes retiendront la rudesse de ces années de terreur.
Le temps de ces explications nous accostons en face de l’hôtel de nos amis.
Ils sont si agréables que nous les invitons à dîner dans notre chambre à 21 heures.
Juste une bise, leur bagage déposé nous revenons sur nos pas, mais en restant sur notre bateau et nous empruntons ce petit canal qui nous amène au pied de l’embarcadère.
L’hôtel est magnifique, que dire de chambre qui donne sur les bâtiments entourant la place Saint Marc et les jardins Realti.
Passé la porte de notre palace, nous nous donnons le premier baisé de notre séjour.
La chambre que Christine a réservée est la plus belle de l’hôtel.
Chambre, je dois dire appartement car entre la chambre, la salle de bain et la zone des repas et petits-déjeuners, c’est un bijou qui nous est proposé.
Sur la table du séjour une bouteille de champagne nous est offerte.
Je nous sers deux coupes que nous prenons le temps de déguster.
La salle de bain spacieuse est l’occasion de porter nue Patricia dans la baignoire, lors de notre transfert, avant le canal, les embruns venaient nous caresser le visage.
La forme de cette dernière et l’or qui est partout dans la chambre, salon et salle de bain me donnent l’impression que nous allons passer trois jours dans les pièces du château de Versailles.
J’en parle avec mon bouchon.
• Aucun problème Christophe tu es le Roi Soleil, mon cœur.
Quel plus beau compliment, il reste du champagne, j’apporte la bouteille et c’est face à face que nous dégustons son reste.
Quel beau moment de vie, un bain chaud, une femme nue ses petits seins affleurant l’eau et un verre de champagne très frais.
Le Roi ayant posé son verre sur une margelle certainement mise là à cet effet, je décide de m’attaquer à son vagin.
Elle ne les refuse pas.
Ces deux doigts que je fais entrer sans plus de difficulté ont aiguisé son appétit de sexe.
Hier j’ai fait l’amour avec Jacqueline alors qu’elle ne s’est contentée que de sucer Pedro le steward à notre service dans l’orient express.
Comme nous savons le faire dans une baignoire plutôt exiguë, Pat s’avance sur moi s’appuyant sur les bords de la baignoire et se plante mon manche hyper tendu dans son vagin qui semble très heureux de me recevoir.
C’est presque sans bouger que je l’amène vers l’orgasme son envie d’être prise ayant exacerbé toutes ses parties intimes.
Nos bouches ont du mal à se séparer.
L’envie de sortir visiter les alentours de l’hôtel et les jets de spermes que j’envoie en elle termine par avoir raison de ce baiser.
Nos bagages sont arrivés, ils sont posés sur un reposoir au pied de notre lit bateau, une vraie piste d’atterrissage pour Caravelles.
Quelques minutes et vêtements ou autres manteaux de fourrure sont posés sur le lit.
Christine dans les bagages, très prévenante, a prévu un plaide que je mets sur les jambes de ma petite pour qu’elles soient bien au chaud.
Habiller de nouveau un peu couvert, c’est bientôt Noël, nous appelons l’ascenseur pour regagner le rez-de-chaussée.
Je conduis Patou à droite en sortant et après être passé sous un porche nous débouchons sur la place San-Marco.
Place immense et face à nous la Basilique à droite et le palais des doges.
L’éclairage nous donne l’impression que nous sommes en plein jour.
Nous entrons au café Florian ou nous prenons une boisson chaude, la température avoisinant le zéro degré.
Pendant que nous nous réchauffons, je sens intuitivement que Patou voulait me parler d’une chose qui devait lui tenir à cœur et qu’elle a des difficultés à exprimer.
• Patou, je te sens anxieuse as-tu quelque chose qui te tracasse ?
• Je vois que tu commences à bien me connaître, il s’agit de ma réponse à Chantal et Malaurie concernant les bébés qu’elles espèrent avoir avec toi.
• Oui, c’est toi qui dois décider, crois-tu que ce voyage est le bon moment pour en parler ?
Mais si tu sens que c’est le moment de me donner ta réponse ici je t’écoute.
Je suis sûr que ton choix aura été judicieux.
N’hésite pas, dit moi.
• Tu as compris que moi aussi je veux un bébé de toi.
Même si en mars tu pars pour Toulon, j’espère que tu reviendras auprès de moi chaque fois que tu le pourras.
Je leur ai promis que si un jour j’attends un bébé de toi.
Comme ma grossesse m’obligera à rester sous surveillance médicale par le médecin qui m’a permis de récupérer la mobilité que j’ai actuellement.
Je t’enverrais habiter avec elles et si pendant cette période tu es père, je serais la plus heureuse du monde.
Ces enfants seront demi-frères ou demi-sœur, voir les deux, nous vivrons tous en parfaite intelligence.
• Je savais que tu prendrais une décision équilibrée.
J’adhère complètement à cette idée, mais es-tu sur à ne jamais me le reprocher par jalousie ?
• Oh ! comment le pourrais-je, tu m’apportes tellement et que dire de ce voyage, je révais de le faire et grâce à toi ce rêve ai devenu réalité.
• Et un peu grâce à Christine ta marraine.
• Oui, elle a tout bien préparé, mais j’ai l’habitude depuis qu’elle m’a recueilli pour m’éviter de me retrouver en foyer.
Tient, j’y pense, elle aussi, avant moi, tu as couché avec elle, en suis-je jalouse !
• Si les choses entre elles et toi évoluent dans ce sens et je l’espère de tout mon cœur, j’ai eu une dernière demande qu’elles se sont empressées d’accepter.
C’est que je sois la marraine de chacun de leurs enfants.
• Tu seras la marraine si nous avons un enfant, je te propose que notre fils ait deux marraines !
• Pourquoi un garçon et pas une fille ?
• Trois mères, trois filles et moi au milieu, je deviendrais fou.
Si tu as un fils, ça équilibrera la situation dès qu’il aura grandi.
• Alors demain je commanderais un fils au père Noël !
• Moi, qu’il est une belle queue pour plus de sécurité.
• Qui le père Noël ?
• Tu cherches encore une bonne fessée.
• C’est facile de t’en prendre à une pauvre fille clouée dans un fauteuil roulant.
C’est sur cette espérance que nous nous dirigeons vers la basilique.
Nous longeons le Palais des Doges pour retrouver le pont des Soupires.
Il n’est pas trop difficile de mener Patou en haut du petit pont qui est à quelques mètres du pont des soupirs.
Les personnes prévenantes nous laissent approcher sans la bousculer.
J’ai récupéré l’appareil photo que j’avais prévu et que j’avais mis bêtement dans ma valise ce qui ne m’a pas permis de faire des photos dans le train.
Nous restons une bonne demi-heure, le carnet de croquis était lui aussi au chaud sous le plaid.
Pat, tracent des traits, des courbes à une vitesse supersonique.
En dessous de nous, régulièrement des gondoles passent ce qui fait envie à ma petite.
Autour de nous, bien des visiteurs regardent autant Patou que le pont.
Je suis presque à leur dire qui elle est, mais la langue plus le bide que je peux ramasser, Patricia est certainement inconnue en Italie.
• Oh ! bellissime Patricia...
Le reste, impossible de l’écrire, « bellissime » certainement une Italienne.
Elle embrasse Patou et fait demi-tour certainement pour éviter de nous déranger plus longtemps.
• Mon cœur, je te promets que nous irons faire un tour en gondole ce soir après dîner avec nos amis Jacqueline et Christophe.
Lorsque l’on parle du loup, on me tape sur l’épaule...
Quelqu’un a-t-il de nouveau reconnut Patou, on le saura dans quelques jours en lisant la suite de leur aventure.
Nous avons évité ces vaporettos pleins de tourismes qui doivent se marcher sur les pieds comme c’est le cas à Paris dans le métro.
Je rigole, mais un peu moins lorsque Mona-Lisa énumère les quartiers et places que nous longeons.
À part son accent sympathique, pourquoi ne parle-t-elle pas en français comme tout le monde.
San Marco, là elle a dû parler de la place Saint Marc !
Nous suivons les quais noirs de monde.
La nuit est tombée, mais l’éclairage public est très bien fait et nous n’avons aucune difficulté à voir ce qu’elle nous présente.
• Toujours à notre gauche, Mesdames vous pouvez voir après le Palais Ducal et le célèbre pont des Soupirs, il franchit le canal qui sépare le Palais Ducal de la prison.
On l'a appelé le « Pont des Soupirs » car l'on imaginait les plaintes des condamnés qui le franchissaient pour aller directement du tribunal à la prison.
Ils savaient très souvent qu’ils y passaient dans ce sens sans grande chance de revenir dans l’autre sens.
La prison possédait une salle de torture.
Ce pont construit en 1602 est le seul pont couvert possédant des fenêtres.
Elles étaient la dernière source de lumière que les détenus devant finir leur vie en prison, voyaient.
• Mona-Lisa, pouvez-vous nous dire pourquoi le pont des Soupirs, à notre époque est considéré comme le pont des amoureux ?
C’est Patou qui pose la question, je savais qu’il y avait une histoire dans ce sens ; mais je suis dans l’impossibilité de le savoir.
• C'est le début de l'erreur historique et romantique.
C’est Lord Byron dans un de ces poèmes dans l’année 1840 qui va faire du pont des Soupires, le pont des amoureux qui soupirent !
Erreur funeste lorsque l'on pense à tous ces malheureux qui y ont soupiré en disant au revoir à la vie.
Quelle histoire conserverons-nous dans notre mémoire, mon bébé et moi, la réalité ou la romance ?
Connaissant les femmes, leur âme romantique se souviendra de la belle histoire alors que le pragmatisme des hommes retiendront la rudesse de ces années de terreur.
Le temps de ces explications nous accostons en face de l’hôtel de nos amis.
Ils sont si agréables que nous les invitons à dîner dans notre chambre à 21 heures.
Juste une bise, leur bagage déposé nous revenons sur nos pas, mais en restant sur notre bateau et nous empruntons ce petit canal qui nous amène au pied de l’embarcadère.
L’hôtel est magnifique, que dire de chambre qui donne sur les bâtiments entourant la place Saint Marc et les jardins Realti.
Passé la porte de notre palace, nous nous donnons le premier baisé de notre séjour.
La chambre que Christine a réservée est la plus belle de l’hôtel.
Chambre, je dois dire appartement car entre la chambre, la salle de bain et la zone des repas et petits-déjeuners, c’est un bijou qui nous est proposé.
Sur la table du séjour une bouteille de champagne nous est offerte.
Je nous sers deux coupes que nous prenons le temps de déguster.
La salle de bain spacieuse est l’occasion de porter nue Patricia dans la baignoire, lors de notre transfert, avant le canal, les embruns venaient nous caresser le visage.
La forme de cette dernière et l’or qui est partout dans la chambre, salon et salle de bain me donnent l’impression que nous allons passer trois jours dans les pièces du château de Versailles.
J’en parle avec mon bouchon.
• Aucun problème Christophe tu es le Roi Soleil, mon cœur.
Quel plus beau compliment, il reste du champagne, j’apporte la bouteille et c’est face à face que nous dégustons son reste.
Quel beau moment de vie, un bain chaud, une femme nue ses petits seins affleurant l’eau et un verre de champagne très frais.
Le Roi ayant posé son verre sur une margelle certainement mise là à cet effet, je décide de m’attaquer à son vagin.
Elle ne les refuse pas.
Ces deux doigts que je fais entrer sans plus de difficulté ont aiguisé son appétit de sexe.
Hier j’ai fait l’amour avec Jacqueline alors qu’elle ne s’est contentée que de sucer Pedro le steward à notre service dans l’orient express.
Comme nous savons le faire dans une baignoire plutôt exiguë, Pat s’avance sur moi s’appuyant sur les bords de la baignoire et se plante mon manche hyper tendu dans son vagin qui semble très heureux de me recevoir.
C’est presque sans bouger que je l’amène vers l’orgasme son envie d’être prise ayant exacerbé toutes ses parties intimes.
Nos bouches ont du mal à se séparer.
L’envie de sortir visiter les alentours de l’hôtel et les jets de spermes que j’envoie en elle termine par avoir raison de ce baiser.
Nos bagages sont arrivés, ils sont posés sur un reposoir au pied de notre lit bateau, une vraie piste d’atterrissage pour Caravelles.
Quelques minutes et vêtements ou autres manteaux de fourrure sont posés sur le lit.
Christine dans les bagages, très prévenante, a prévu un plaide que je mets sur les jambes de ma petite pour qu’elles soient bien au chaud.
Habiller de nouveau un peu couvert, c’est bientôt Noël, nous appelons l’ascenseur pour regagner le rez-de-chaussée.
Je conduis Patou à droite en sortant et après être passé sous un porche nous débouchons sur la place San-Marco.
Place immense et face à nous la Basilique à droite et le palais des doges.
L’éclairage nous donne l’impression que nous sommes en plein jour.
Nous entrons au café Florian ou nous prenons une boisson chaude, la température avoisinant le zéro degré.
Pendant que nous nous réchauffons, je sens intuitivement que Patou voulait me parler d’une chose qui devait lui tenir à cœur et qu’elle a des difficultés à exprimer.
• Patou, je te sens anxieuse as-tu quelque chose qui te tracasse ?
• Je vois que tu commences à bien me connaître, il s’agit de ma réponse à Chantal et Malaurie concernant les bébés qu’elles espèrent avoir avec toi.
• Oui, c’est toi qui dois décider, crois-tu que ce voyage est le bon moment pour en parler ?
Mais si tu sens que c’est le moment de me donner ta réponse ici je t’écoute.
Je suis sûr que ton choix aura été judicieux.
N’hésite pas, dit moi.
• Tu as compris que moi aussi je veux un bébé de toi.
Même si en mars tu pars pour Toulon, j’espère que tu reviendras auprès de moi chaque fois que tu le pourras.
Je leur ai promis que si un jour j’attends un bébé de toi.
Comme ma grossesse m’obligera à rester sous surveillance médicale par le médecin qui m’a permis de récupérer la mobilité que j’ai actuellement.
Je t’enverrais habiter avec elles et si pendant cette période tu es père, je serais la plus heureuse du monde.
Ces enfants seront demi-frères ou demi-sœur, voir les deux, nous vivrons tous en parfaite intelligence.
• Je savais que tu prendrais une décision équilibrée.
J’adhère complètement à cette idée, mais es-tu sur à ne jamais me le reprocher par jalousie ?
• Oh ! comment le pourrais-je, tu m’apportes tellement et que dire de ce voyage, je révais de le faire et grâce à toi ce rêve ai devenu réalité.
• Et un peu grâce à Christine ta marraine.
• Oui, elle a tout bien préparé, mais j’ai l’habitude depuis qu’elle m’a recueilli pour m’éviter de me retrouver en foyer.
Tient, j’y pense, elle aussi, avant moi, tu as couché avec elle, en suis-je jalouse !
• Si les choses entre elles et toi évoluent dans ce sens et je l’espère de tout mon cœur, j’ai eu une dernière demande qu’elles se sont empressées d’accepter.
C’est que je sois la marraine de chacun de leurs enfants.
• Tu seras la marraine si nous avons un enfant, je te propose que notre fils ait deux marraines !
• Pourquoi un garçon et pas une fille ?
• Trois mères, trois filles et moi au milieu, je deviendrais fou.
Si tu as un fils, ça équilibrera la situation dès qu’il aura grandi.
• Alors demain je commanderais un fils au père Noël !
• Moi, qu’il est une belle queue pour plus de sécurité.
• Qui le père Noël ?
• Tu cherches encore une bonne fessée.
• C’est facile de t’en prendre à une pauvre fille clouée dans un fauteuil roulant.
C’est sur cette espérance que nous nous dirigeons vers la basilique.
Nous longeons le Palais des Doges pour retrouver le pont des Soupires.
Il n’est pas trop difficile de mener Patou en haut du petit pont qui est à quelques mètres du pont des soupirs.
Les personnes prévenantes nous laissent approcher sans la bousculer.
J’ai récupéré l’appareil photo que j’avais prévu et que j’avais mis bêtement dans ma valise ce qui ne m’a pas permis de faire des photos dans le train.
Nous restons une bonne demi-heure, le carnet de croquis était lui aussi au chaud sous le plaid.
Pat, tracent des traits, des courbes à une vitesse supersonique.
En dessous de nous, régulièrement des gondoles passent ce qui fait envie à ma petite.
Autour de nous, bien des visiteurs regardent autant Patou que le pont.
Je suis presque à leur dire qui elle est, mais la langue plus le bide que je peux ramasser, Patricia est certainement inconnue en Italie.
• Oh ! bellissime Patricia...
Le reste, impossible de l’écrire, « bellissime » certainement une Italienne.
Elle embrasse Patou et fait demi-tour certainement pour éviter de nous déranger plus longtemps.
• Mon cœur, je te promets que nous irons faire un tour en gondole ce soir après dîner avec nos amis Jacqueline et Christophe.
Lorsque l’on parle du loup, on me tape sur l’épaule...
Quelqu’un a-t-il de nouveau reconnut Patou, on le saura dans quelques jours en lisant la suite de leur aventure.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chris cette arrivée et installation à l’hôtel est bien racontée ensuite le sexe la promenade et le sujet des enfants et de l’armée. Maintenant on attend la soirée qui je pense sera chaude avec leurs nouveaux amis. Daniel

